Marquixanes
Modèle:Infobox Commune de France
Marquixanes Modèle:API-fr est une commune française, située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Conflent, correspondant à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis et Rodès.
La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Marquixanes est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Marquixanois ou Marquixanoises.
Géographie
Localisation
Modèle:Maplink La commune de Marquixanes se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Perpignan<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Prades<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité d'Amélie-les-Bains-Palalda<ref> Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades<ref name=meta group=I/>.
Sur le plan historique et culturel, Marquixanes fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
L'altitude de la commune varie entre 244 et 568 mètres<ref name="Cassini"/>.
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Hydrographie
La commune est drainée par le fleuve côtier la Têt, le ruisseau de la Coume d'Espira et par divers autres petits cours d'eau.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eus », sur la commune d'Eus, mise en service en 1994<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « coteaux du Fenouillèdes et Roc del Maure » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « massif du Fenouillèdes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Marquixanes.
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Marquixanes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,5 %), forêts (24 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), cultures permanentes (11,2 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 337, alors qu'il était de 328 en 2013 et de 303 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.
Parmi ces logements, 64,4 % étaient des résidences principales, 16,7 % des résidences secondaires et 18,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,1 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Marquixanes en 2018 en comparaison avec celle des Pyrénées-Orientales et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,7 %) inférieure à celle du département (28,2 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 52,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (55 % en 2013), contre 59,7 % pour les Pyrénées-Orientales et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.
Typologie | Marquixanes<ref name="LogT2" group="I"/> | Pyrénées-Orientales<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 64,4 | 63,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 16,7 | 28,2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 18,8 | 8,2 | 8,2 |
Voies de communication et transports
Modèle:... La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Marquixanes, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Perpignan et de Villefranche - Vernet-les-Bains.
La ligne 520 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Prades. Modèle:Article détaillé
Risques naturels et technologiques
Le territoire de la commune de Marquixanes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre 1 - Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène<ref>Modèle:Lien web</ref>.
-
Carte des zones inondables.
-
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref name=DDRM-TMD>Modèle:Lien web, partie 3 - chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Nobr susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le Barrage des Bouillouses sur la Têt, un ouvrage de Modèle:Nobr de hauteur construit en 1910<ref name=DDRM-Barrage>Modèle:Lien web, partie 3 - chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Marquixanes est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
La première mention du nom en 1007 est Marchexanes, alors qu'un certain Miron et son épouse font don de terrains situés à Marquixanes au profit de l'abbaye Saint-Martin-du-Canigou<ref name="tosti">Jean Tosti, Le Roussillon passé et présent : Marquixanes</ref>. On rencontre ensuite Matrechexanas en 1025 et Madrechexanes en 1035<ref name="pc2">Modèle:Le pays catalan 2.</ref>, suivies au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle des formes Marechexanes et Marchexanes. On a aux {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXV
}}
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
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}}
}} Marcaxanes et Marquexanes, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Marcaxanes et Marqueixanes. Le nom actuel, Marquixanes, s'impose à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=thcn>Modèle:Toponymie historique de Catalunya Nord.</ref>.
Marquixanes est une francisation du catalan Modèle:Langue, prononcé Modèle:MSAPI ou Modèle:MSAPI<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Ouvrage.</ref>.
Histoire
Modèle:... Une première église est bâtie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur les restes d'un soubassement terrassé par les romains. De cette petite église romane, il ne reste presque rien. Une deuxième église plus grande, construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle d'après la thèse des architectes venus étudier les lieux en 2014, aurait également disparu<ref>Le patrimoine de Marquixanes, hypothèse de constructions successives de trois églises</ref>.
Autour de la première église s'est installée une cellera en trois périodes. Une première enceinte a d'abord enserré quelques celliers construits dans le périmètre du cimetière, espace consacré censé être à l'abri des pillages. Les récoltes y sont engrangées. En 1172 le roi Alphonse d'Aragon donne l'autorisation de construire un deuxième rang de fortification. Ce rempart protège un périmètre plus important et abrite des celliers supplémentaires. Il est en galets disposés en arête-de-poisson<ref>Patrimoine de Marquixanes, deuxième rang de fortification</ref>. En 1245 Jaume premier, roi d'Aragon accorde le privilège de construire de nouvelles fortifications.
Les celliers ont été utilisés pour conserver les récoltes jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ce n'est qu'à cette époque que quelques celliers ont été convertis en maisons. Certains d'entre eux servent encore de remise dans les années 2010<ref name="Catafau">Aymat Catafau, les Celleres et la naissance du village en Roussillon, ouvrage mentionné en Bibliographie</ref>.
Dans sa forme actuelle l'église est dédiée à sainte Eulalie. Elle date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le clocher porte la date de 1611.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Prades du département des Pyrénées Orientales.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vinça<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Canigou Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription des Pyrénées-Orientales. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
Marquixanes était membre de la communauté de communes du Conflent, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du Modèle:Date-, qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes Conflent Canigó, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Modèle:Tableau population Modèle:Article connexe
Démographie contemporaine
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : Modèle:Date-<ref name=pog>Modèle:PO Guide de La Torre.</ref> ;
- Fête communale : Modèle:Date-<ref name=pog/>.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Nobr fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nobr. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nobr, parmi lesquelles on compte 57,7 % d'actifs (40 % ayant un emploi et 17,7 % de chômeurs) et 42,3 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Nobr en 2018, contre 121 en 2013 et 129 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 142, soit un indicateur de concentration d'emploi de 88,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,4 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 142 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 81,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,2 % les transports en commun, 9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
46 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Marquixanes au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 46 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
8 | 17,4 % | (8,7 %) |
Construction | 8 | 17,4 % | (14,3 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
10 | 21,7 % | (30,5 %) |
Information et communication | 4 | 8,7 % | (1,9 %) |
Activités immobilières | 2 | 4,3 % | (6,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
4 | 8,7 % | (13 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
2 | 4,3 % | (13,9 %) |
Autres activités de services | 8 | 17,4 % | (8,5 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,7 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 46 entreprises implantées à Marquixanes), contre 30,5 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (35 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- Église Sainte-Eulalie de Marquixanes, église romane.
- Chapelle Saint-Pons de Marquixanes.
- Porte à bretèche. Elle date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et donne accès à la cellera.
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Vue générale de l'église
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Clocher de l'église.
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Reliquaire de l'église, photo de Brutails, 1890
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Porte de l'église de la Cellera
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Murailles de la Cellera
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Les muralles de Marqueixanes
Personnalités liées à la commune
- Auguste Mas (1854-1908) : homme politique mort à Marquixanes.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Chapitre, sur OpenEdition.
- Aymat Catafau, Les celleres et la naissance du village en Roussillon, Presse Universitaire de Perpignan, 1998
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes