Marsat

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Sources à lier Modèle:Infobox Commune de France Marsat est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle fait partie de l'unité urbaine de Riom et d'une manière plus large de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Les habitants sont appelés les Marsadaires.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Marsat est située au sud-ouest de Riom, et à Modèle:Unité au nord de Clermont-Ferrand, chef-lieu du département.

Quatre communes sont limitrophes<ref name="geoportail">Carte de Marsat sur le site Géoportail (consulté le Modèle:Date-). Couches « Communes », « Carte IGN » et « Photographies aériennes » activées.</ref> :

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est traversée par le ruisseau de Mirabel<ref name="geoportail" />. Le ruisseau de Mirabel coule dans le vallon de Mirabel, de l'ouest vers l'est. Il se situe au sud du bourg. Le ruisseau de La Palle lui traverse le bourg. Il prend sa source à l'ouest à 2 km du centre bourg, et est une résurgence de l'impluvium de Volvic.

Voies de communication et transports

Le territoire communal est traversé par les routes départementales 83 (reliant Riom à Volvic par le centre-bourg), 405 (toujours par le centre-bourg) et 446, cette dernière permettant de rejoindre Clermont-Ferrand<ref name="geoportail" />.

Depuis le Modèle:Date-, Marsat est desservie par la ligne 2 du réseau RLV Mobilités. Cette ligne relie Volvic à la zone d'activités des Portes de Riom via Saint-Genès-l'Enfant et la gare SNCF de Riom<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Marsat est une commune urbaine car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Riom, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,2 %), zones agricoles hétérogènes (30,7 %), zones urbanisées (17,8 %), cultures permanentes (11,4 %), prairies (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), terres arables (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

L'origine du nom de Marsat connaît plusieurs thèses qui ont été proposées et défendues. Néanmoins aucune ne fait autorité.

  • Version Sidoine Apollinaire : Martialis (lieu choisi par les Romains pour y établir leur quartier d’hiver).
  • Version de saint Martin : en 525, saint Martin fonde un monastère arverne pour abriter de précieuses reliques ; il l’appelle aussitôt Marciacus ;
  • Version donnée par les celtisants et peut-être la plus plausible Marsac : cette version prend ses racines dans Mar et Ac ce qui signifierait : « terroir où coulent les eaux abondantes ».
  • D’autres appellations : Marzacum ; Martiaco sont également évoquées.

Ces différentes versions ont vraisemblablement conduit à l'appellation actuelle de Marsat. Dans tous les cas au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Grégoire de Tours rend visite à Marsat.

Histoire

Fichier:Vieille Tour Marsat2.jpg
Tour du château de Marsat.

L'historien local François Morel, dans un de ses ouvrages, donne une définition de Marsat assez surprenante. En effet, il écrivait Modèle:Citation. Toutefois il s’empressait d’ajouter Modèle:Citation.

Marsat qui, au fil des décennies, s’est transformé mais est resté un village auvergnat typique et historique avec :

  • deux tours de son château qui restent visibles. Si une de ces tours est encore relativement intacte la deuxième est plus abîmée ;
  • le couvent des Bénédictines qui avait subi les vicissitudes de la Révolution et de l’usure du temps et laissé à l’abandon a été en partie restauré ;
  • le lavoir toujours intact ;
  • quelques anciennes et somptueuses demeures.

Il est classé « site clunisien » et est riche d’un patrimoine religieux hors du commun. En effet, l’Église Notre-Dame de l'Assomption, ancienne église prieurale et paroissiale des {{#switch: XV

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}}

}}, abrite :

La commune de Marsat a également restauré le couvent que la Révolution de 1789 et l’usure du temps avaient laissé à l’abandon.

Vierge à l'Enfant
Vierge à l'Enfant romane de l'église Notre-Dame de Marsat.

La commune de Marsat adhère à la Fédération des sites clunisiens<ref>Fédération des sites clunisiens.</ref> depuis 2000<ref group="M" name="clunisien">Modèle:Lien web.</ref>, association européenne qui s'occupe de la promotion des sites historiques qui dépendaient de l'ordre de Cluny éteint à la Révolution.

Le couvent des moniales Notre-Dame de Marsat était un prieuré qui dépendait de l'abbaye de Mozac avant la Révolution.

Moyen Âge

Louis XI

En 1440, Louis XI de France, encore dauphin du roi Charles VII, rejoint la Praguerie : révolte des grands seigneurs mécontents qui considèrent leurs responsabilités insuffisantes. C'est à Cusset (alors en Auvergne, aujourd'hui dans l'Allier) que cette fronde est vite matée et Louis XI offre sa soumission au roi.

Une fois roi, Louis XI doit, à son tour, lutter contre ligue du Bien public, contestataires féodaux qui s'opposent au roi.

C'est à ce titre qu'il se rend à Riom pour combattre ces ligueurs. Et pendant son séjour il se rend à l'église de Marsat où il prie la Vierge. Il semble être entendu puisque c'est à Aigueperse qu'il signe un accord de réconciliation avec les princes ligueurs.

Heureux que la paix, avec les princes, soit revenue Louis XI remercie par lettre la Vierge qu'il a tant priée et demande que soit dit tous les matins à Marsat, par un chapelain, une messe perpétuelle. Par ailleurs il attribue une rente annuelle de Modèle:Unité.

En passant par l'abbaye de Mozac, le roi Louis XI est arrivé à l'église de Marsat le dimanche Modèle:Date-, afin de remercier Notre Dame<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Menacée par la ligue du Bien public, l'armée royale avait dû lutter contre les Bourbons. Toutefois, le roi a réussi, après les batailles, à obtenir leur fidélité entière, notamment celle de Pierre de Beaujeu, futur gendre. Aussitôt quitté Marsat, toute l'armée réunie a fait diligence, jusqu'à Paris.

Le roi n'a pas oublié de cette église Notre-Dame pour laquelle il avait ordonné Modèle:Unité tournois de don par an, afin que le chapelain Claude Benoît puisse célébrer quotidiennement la messe. En 1469, le roi Louis XI a expédié une lettre au receveur ordinaire de Montferrand à cause du payement insuffisant : Modèle:Citation bloc

Époque contemporaine

Marsat, absent de zone industrielle ou artisanale et dépourvu de commerçants à l’exception d’un bar/restaurant et d'un salon de coiffure, est devenu une banlieue résidentielle de l’agglomération de Riom.

Le Modèle:Date-, environ 500 militants anti-OGM du Collectif des faucheurs volontaires ont détruit l'après-midi deux parcelles de maïs transgénique (cinq hectares) à Marsat. Plusieurs élus y ont participé tandis qu'une contre-manifestation d'agriculteurs pro-OGM était organisée également à Marsat.

Politique et administration

Découpage territorial

Marsat fait partie depuis 2018 de la communauté d'agglomération Riom Limagne et Volcans et depuis 2014 du canton de Châtel-Guyon.

La commune dépendait en 1793 du district de Riom et du canton de Riom, puis en 1801 de l'arrondissement de Riom et du canton de Riom-Ouest<ref name="Cassini" />.

Le redécoupage des cantons de 2014 impacte l'ensemble des communes du département ; depuis les élections départementales de 2015, la commune est rattachée au canton de Châtel-Guyon<ref>Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme, sur Légifrance.</ref>.

Marsat faisait partie de la communauté de communes Riom-Communauté, laquelle a fusionné le Modèle:Date- avec les communautés de communes de Limagne d'Ennezat et de Volvic Sources et Volcans. Cette proposition de fusion, actée par la préfecture, a été approuvée par le conseil municipal le Modèle:Nobr<ref group="M">Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, la communauté de communes Riom Limagne et Volcans est devenue communauté d'agglomération sous le nom de Riom Limagne et Volcans.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Instances judiciaires

Marsat dépend de la cour d'appel de Riom, du tribunal de proximité de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Marsat dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

Les élèves commencent leur scolarité à l'école élémentaire publique de la commune<ref>Annuaire des établissements scolaires de Marsat sur le site du ministère de l'Éducation nationale.</ref>. Ils la poursuivent à Riom, au collège Pierre-Mendès-France<ref>Modèle:Lien web. Taper « Marsat » dans le formulaire de saisie.</ref> puis aux lycées Virlogeux ou Pierre-Joël-Bonté<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Associations

La Société des Amis de Marsat<ref>Site de la Société des Amis de Marsat.</ref> participe à la promotion du patrimoine, à la recherche et à la conservation numérisée de documents historiques sur la commune de Marsat avec l'aide des habitants.

Économie

Modèle:Section vide ou incomplète

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Marsat compte plusieurs monuments protégés au titre des monuments historiques :

Modèle:Article détaillé

  • Le monastère des Bénédictines de Marsat, inscrit au titre des monuments historiques le 4 avril 1931<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Modèle:Article détaillé

  • La Vieille Tour, vestige de l'ancien château de Marsat dont la construction date du Moyen Âge et inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 12 novembre 1926<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Modèle:Article détaillé

  • La maison Ducorail, une maison de plaisance inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 10 février 1997<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Modèle:Article détaillé

Modèle:Article détaillé

  • La croix de Marsat, croix monumentale en pierre de Volvic, située juste derrière l'église et inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 20 octobre 1913<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Modèle:Article détaillé

  • La croix de carrefour de Marsat, croix de carrefour classée au titre des monuments historiques par arrêté du 26 juin 1963<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Modèle:Article détaillé

Pays d'art et d'histoire de Riom

Depuis 2005, la commune de Marsat est labellisée Pays d'art et d'histoire, et forme avec les communes de Chambaron-sur-Morge, Enval, Le Cheix-sur-Morge, Malauzat, Ménétrol, Mozac, Pessat-Villeneuve, Riom, et Saint-Bonnet-près-Riom, le Pays d'art et d'histoire de Riom.

Un circuit-découverte permet de découvrir la commune.

Personnalités liées à la commune

Grégoire de Tours

Modèle:Article détaillé

En 550, allant prier à l’oratoire de Marsat il se dit témoin d’une lueur qu’il attribue à « la vertu de la glorieuse Vierge Marie ». Ainsi il écrit :

Modèle:Citation bloc

Un vitrail de la cathédrale du Mans (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) retrace cette scène. C’est au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que Grégoire de Tours, prélat et historien français, en poste à Clermont-Ferrand, écrit dans l’un des premiers chapitres de son livre sur « La Gloire des Martyrs » :

L’authenticité de ce texte constitue, un document d’une haute valeur historique. On apprend ainsi, qu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Grégoire de Tours, établit, dans l’oratoire du village de Marsat, un culte particulier à l’égard de la Mère du Sauveur. Ce témoignage de Grégoire de Tours, fait de cet humble sanctuaire de la Vierge, tout proche de la ville de Riom, l’un des plus anciens sanctuaires connus, voués en France, à Marie<ref>fascicule NOTRE DAME DE MARSAT - Sa statue – Son église et son culte.</ref>.

On notera également que Grégoire de Tours consacre plusieurs de ses ouvrages aux « miracles ». Événements pour lesquels, selon ses écrits, il aurait été lui-même le témoin. Dans tous les cas ses écrits ont une valeur d’authenticité.

Dès lors, cet événement aurait attiré les pèlerins de marque.

La langue de Grégoire de Tours, éloignée du latin classique, a valu de nombreux jugements péjoratifs à son œuvre, jugements qui ont participé jusqu’à très récemment à une méconnaissance générale du haut Moyen Âge et à la vision réductrice d’une période de recul de la civilisation.

Louis XI de France

Riom, capitale du duché d’Auvergne, était fidèle au roi de France, Louis XI. C’est pourquoi, Riom est assaillie par les armées de Jean II de Bourbon, duc de Bourbonnais et d’Auvergne, conduites par les ducs de Nemours et d’Armagnac. Princes rebelles, fidèles à Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, qui anime contre le roi, une coalition de la noblesse française : « La Ligue du Bien public ».

Ainsi, Riom appelle Louis XI à son secours. Et le Modèle:Date-, le jeune roi installe ses troupes à Mozac et son quartier général à Marsat. À plusieurs reprises il s’agenouille au pied de la statue miraculeuse de la Vierge de Notre-Dame de Marsat où il reste longtemps en prière.

Par d’habiles négociations, le Modèle:Date-, il signe, à Mosac, un traité avec ses adversaires et la guerre n’a pas lieu.

Heureux que la paix avec les princes soit revenue, Louis XI remercie par une lettre la Vierge qu'il a tant priée et demande que soit dite tous les matins, à Marsat, par un chapelain, une messe perpétuelle. Par ailleurs, il attribue une rente annuelle de Modèle:Unité tournois. Son courrier précisait : Modèle:Citation

Pendant tout son règne Marsat restera sous sa protection.

Autres personnalités

  • Louis Chartoire, as de la Première Guerre mondiale (1895-1997).
  • Jeanne Marie Robertine Murat 1880-1926, décédée au couvent de Marsat. Sœur d'Améie Murat.

Héraldique

Blason de Marsat
Blason de Marsat.

Le blason de la commune de Marsat a été décidé par délibération du conseil municipal le Modèle:Date- : taillé : au premier de gueules aux trois pals d'hermine, au second de sinople à la pomme d'or soutenue d'une grappe de raisin du même ; à la barre ondée d'argent brochant sur la partition ; sur le tout d'azur à la Vierge en majesté de sable vêtue d'or, tenant sur ses genoux l'Enfant Jésus aussi de sable vêtu d'or.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Pierre Balme (dir.), « Marsat en Basse-Auvergne. Ses trésors d'archéologie et d'art. Son histoire civile et ecclésiastique », dans L'Auvergne littéraire artistique et historique, Modèle:16e, cahier no 99, Clermont-Ferrand, Éditions de Bussac, 1939.
  • André David, Louis XI à Marsat, Éditions La Source d'or, 1972.

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

Site de la mairie

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Autres sources

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