Martinvast

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Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France

Martinvast Modèle:API-fr est une commune française située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.

Géographie

La commune est au nord de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à Modèle:Unité au sud-ouest de Cherbourg-Octeville, à Modèle:Unité au nord-est des Pieux, à Modèle:Unité au sud-est de Beaumont-Hague et à Modèle:Unité au nord-ouest de Valognes<ref>Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.</ref>.

Le paysage est constitué de prairies bordées de haies (Lande Cadeau, le mont Polidor, les Mines, les Trigants, Plateau de l'Arabie, les Quatre Barrières). Il y a un bois à l'est du territoire : la Sapinière.

Martinvast est dans le bassin de la Divette qui délimite le territoire de l'ouest au nord. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal dont le Nardouet qui marque au nord-est et le Bisard. Un point d'eau : la fontaine aux Bœufs.

Le point culminant (Modèle:Unité) se situe en limite est sur la « Modèle:Info » des Mines (Modèle:Nobr). Le point le plus bas (Modèle:Unité) correspond à la sortie de la Divette du territoire, au nord. La commune est bocagère.

La commune se compose d'un bourg principal (Martinvast) et de plusieurs écarts<ref>http://www.geoportail.fr/?c=-1.6636,49.5958&l=Scan%2850%29,Admin&z=7</ref> : Carneville (avec son manoir, son école d'équitation), Mélingue, Belle Feuille, Hameau Léger, Beuzeville, le Pont Blondel, les Roches de Sideville, la Vallée, l'Alleu (avec son haras), la Bihellerie, la Danetterie, les Rosées, le Château (et son parc : les Bœufs, le Capelier), Hameau Virel, la Bourbonnerie, la Couvillerie, la Fournellerie, le Bas de la Couaille, le Clos Giot, le Pont, la Mare Aubert, la Couespellerie, le Pont Cosnard, la Bellefeuille, la Roche au Chat, les Ingoufs, l'Arabie, Croix Goupil, le Caillou, la Duquesnerie, les Telliers, le Bosquet, l'Orangerie, Hameau Dubost, le Vigny, l'Oraille le Haut, l'Oraille, Tabarin.

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et qui se trouve à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Martinvast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle appartient à l'unité urbaine de Cherbourg-en-Cotentin, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), terres arables (10,7 %), zones urbanisées (8 %), forêts (3,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Martinvast vers 1150 et vers 1180<ref name="de Beaurepaire">Modèle:Ouvrage.</ref>, Martinwast en 1172<ref name="adcr">Modèle:Ouvrage.</ref>, Martin Wasto vers 1210 (ou en 1150<ref name="Toponymie générale de la France, Volume 2" />)<ref name="de Beaurepaire"/>, de Martini Wasto en 1283<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -vast<ref name="de Beaurepaire"/>, anciennement -wast. L'appellatif vast signifie « terre inculte, gâtée » et constitue également le radical du verbe gâter (anciennement gaster), la forme waster étant caractéristique des dialectes d'oïl septentrionaux. Il est fréquent dans le Cotentin, mais plus rare ailleurs en Normandie. Le premier élément est Modèle:Page h'<ref name="de Beaurepaire"/>, anthroponyme devenu par la suite le plus fréquent en France comme patronyme. Il se rencontre parfois dans la toponymie normande, par exemple dans Martintot (à Siouville-Hague, en composition avec l'ancien norrois topt, toft), situé à 18 km, ou dans les plus répandus Modèle:Page h'. Albert Dauzat et René Lepelley parlent respectivement de nom de personne latin ou roman Martinus<ref name="adcr"/>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, ce qui n'est pas nécessaire, le toponyme étant à la fois une formation médiévale et populaire, la désinence -us avait disparu depuis longtemps sans laisser de trace dans ce cas.

Les autres toponymes du Cotentin en -vast sont tous composés avec des noms de personnes scandinaves<ref>Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 Modèle:ISBN, p. 82.</ref>, tels que Soti / Sote dans Sottevast (anciennement Sotevast); Tolir dans Tollevast (anciennement Toberwast, lire *Tolerwast); Barni dans Barnavast; Sigfridr dans Chiffrevast, sauf Hardinvast (anciennement Herdinvast) sur l'anthroponyme anglo-saxon ou plus généralement germanique Hardinc<ref name="de Beaurepaire"/>. Il existait également un Beroldwast (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, AG NLM) et un Fredevast (1238, Charte Lessay)<ref name="de Beaurepaire"/>. Ces formations remontent donc à l'implantation scandinave et ce Martin est vraisemblablement un colon anglo-scandinave qui a reçu un nom chrétien lors de son baptême, tout comme son homonyme dans Martintot.

L'appellatif toponymique vast se retrouve dans d'autres toponymes normands employé de manière autonome ou comme déterminant complémentaire dans Le Vast, mais aussi sous sa forme française Le Gast, Saint-Denis-le-GastModèle:Etc..

Le gentilé est Martinvastais.

Microtoponymie

Les Roches de Sideville tiennent leur nom de la commune voisine : Sideville.

Le hameau Alleu vient de l'ancien français, il signifie « fonds de terres possédé en pleine propriété, exempt de droits féodaux »<ref>Toponymie générale de la France, Volume 1, par Ernest Nègre</ref>.

Le hameau Carneville, à l'origine Kerinon-villa, était « la ferme de Kerinon » (nom germain)<ref name="Toponymie générale de la France, Volume 2">Toponymie générale de la France, Volume 2, par Ernest Nègre</ref>Modèle:Source insuffisanteModèle:Douteux.

Le hameau Beuzeville, à l'origine Bozo-villa, était « la ferme de Bozo » (nom germain)<ref name="Toponymie générale de la France, Volume 2"/>Modèle:Source insuffisanteModèle:Douteux.

Modèle:Refnec.

Les hameaux en Y-ère/-erie sont des habitats ultérieurs, résultant du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des {{#switch: -

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles

}}. Les essarts prennent le nom des familles qui s'y installent, suivi du suffixe -erie ou -ière. Les autres hameaux en Hôtel / Le / Clos / Pont / Maison...Y sont des constructions encore plus tardives, ils désignent le bien d'une famille Y.

Histoire

Le bourg date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, époque des premiers défrichements de l'immense forêt du Clos du Cotentin (Modèle:Cf. forêt de Brix). André Davy signale la présence d'un dolmen à Martinvast<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.

En 1466, Robert, seigneur de Martinvast est décapité sur ordre de Modèle:Louis XI pour avoir soutenu dans la ligue du Bien public, Charles, duc de Berry et de Normandie, et Modèle:NobleModèle:Sfn.

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la généralité de Caen, de l'élection de Valognes et de la sergenterie de Tollevast.

À la création des cantons, Martinvast est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)<ref name="Cassini"/>.

L'affaire criminelle Louis-Jean Guéret, coupable de l'homicide d'un baron, s'est déroulée au château de Martinvast en 1906. Elle fut jugée par la cour d'assises de la Manche, le Modèle:Date-<ref>Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, 2012.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Politique et administration

Administration municipale

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints<ref name=ʺof-municipales-2020ʺ />.

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Économie

  • Filature de laine (fermée).
  • Les Vergers de la Passion : produits régionaux.

Lieux et monuments

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}), inscrit en 1976 et 1992 aux monuments historiques<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>, et son parc floral de Modèle:Nobr inscrit à l'Modèle:Abréviation discrète<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.

Le château d'origine fut ruiné lors de la guerre de Cent Ans et reconstruit en 1581 par Berthole du Moncel. Il sera restauré de 1820 à 1867 par Alexandre du Moncel et qui le céda au banquier de Schickler. Le château sera en partie détruit en 1944 par les bombardements alliés, puis restauré par la famille de Pourtalès-SchicklerModèle:Sfn.
Elle est aujourd'hui rattachée à la nouvelle paroisse Sainte-Bernadette du doyenné de Cherbourg-Hague<ref>Site du diocèse.</ref>.
  • Manoir de Carneville ({{#switch: -
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}}), avec école d'équitation.

  • Ferme-manoir de Beuzeville ({{#switch: -
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles

}}). Sur le pignon du logis, on peut voir une dalle sculptée insérée sur laquelle figure les armes de la famille Foubert, d'argent à la fasce d'azur chargée d'un léopard d'or<ref name="Blasons_p85">Modèle:Ouvrage.</ref>. On retrouve ses armes au-dessus de la cheminée de la cuisine figurée sur un blason échancré « à l'allemande »<ref name="Blasons_p85"/>.

Un guillaume Foubert, demeurant en la paroisse de Martinvast, écuyer, sieur de Beuzeville, était procureur du Roi en la maîtrise de Valognes. Selon Frédéric Scuvée, l'élection du manoir de Beuzeville « comme siège de la seigneurie de Martinvast est à peu près certaine, au moins avant 1429 »<ref name="Blasons_p85"/>.
  • Ferme des Roches avec jardin remarquable de Modèle:Nobr.
  • Pont de Carneville. Sur le mur bordant la Divette, on peut voir les armes de Jean-René Le Fort, d'argent au croissant de gueules mis en cœur, accompagné de trois merlettes de sable, 2 en chef et 1 en pointe et celle de son épouse (1753), Marguerite d'OzouvilleModèle:Note, de gueules à une pile d'argent (ou lame d'épée) accompagnée de six losanges de même, rangées en pal 3 et 3 avec à gauche la date de 1769Modèle:Sfn.
  • Deux croix de chemin dont l'une à Carneville (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), dans le talus, en face du manoir, en souvenir de Michel de Ravalet, curé de Breuville, assassiné à cet endroit en 1579 par Robert Le Fort de Carneville, qui avait vainement tenté d'obtenir la main d'une demoiselle de Ravalet. Robert fut décapité, un de ses frères emprisonné et le troisième dut élever en expiation une croix de granit sur le lieu du crime. On distingue à sa base les armes des Le Fort (d'argent au croissant de gueules mis en cœur, accompagné de trois merlettes de sable, 2 en chef et 1 en pointe)Modèle:Sfn.
  • Croix de cimetière (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
  • Calvaire (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
  • La Roche à Trois Pieds, site naturel.

Activité et manifestations

L'Association sportive de Martinvast fait évoluer deux équipes de football en divisions de district<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les vallons de Martinvast, course pédestre créée en 2007, sont organisés en septembre par l'association Cap Martinvast<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Alexandre du Moncel (1784-1861), comte, général du Génie, député de 1815 à 1816 et de 1827 à 1830, pair de France de 1846 à 1848, maire de la commune, restaurateur du château de Martinvast et créateur d'une ferme modèle.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Communes de la Communauté d'agglomération du Cotentin Modèle:Portail