Max Roustan

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Modèle:Voir homonymes Modèle:À sourcer Modèle:Infobox Personnalité politique

Max Roustan, né le Modèle:Date de naissance à Saint-Julien-les-Rosiers (Gard), est un homme politique français. Député de la quatrième circonscription du Gard de 1993 à 1997 et de 2002 à 2012, il est maire d'Alès depuis 1995.

Biographie

Origines et formation

Modèle:... Orphelin, Max Roustan est adopté et éduqué, avec ses deux frères, par sa tante et son oncle<ref name="LM">Modèle:Lien web.</ref>.

Carrière professionnelle

Jusqu'en 1993, il est enseignant d'auto-école au lycée privé de La Salle, à Alès. Il est en même temps apiculteur<ref name="LM"/>.

Parcours politique

En 1989, après diverses candidatures infructueuses, il sera élu troisième adjoint au maire d'Alès, dans le cadre d'une union avec la gauche non communiste, l'UDF, le RPR et quelques personnalités de la société civile.

Élu député du Gard en 1993, contre le maire d'Alès en exercice Alain Fabre (DVG), en battant au second tour le député sortant communiste et ancien maire d'Alès de 1985 à 1989, Gilbert Millet. Il crée Modèle:Refnec de ces élections. Son suppléant est le maire de Sainte-Anastasie, Claude Vian.

Mis au ban de la majorité municipale de l'époque, il prend son indépendance avec une partie du groupe majoritaire et annonce son intention de briguer en Modèle:Date- le fauteuil de maire d'Alès avec une liste apolitique décidée à en finir avec le marasme de l'après mine.

Le Modèle:Date-, il devient maire d'Alès au prix d'une triangulaire avec 37 % des voix et à peine 177 d'avance sur la liste de l'ancien communiste Gilbert Millet et 1207 voix d'avance sur celle du maire sortant Alain Fabre, ce qui fut un vrai séisme dans cette ville à fort passé ouvrier et minier gérée par la gauche et les communistes pendant des décennies.

En Modèle:Date-, à la suite de la dissolution de l'Assemblée nationale par Jacques Chirac, il perd son siège de député au profit du maire PC de La Grand-Combe, Patrick Malavieille.

Aux élections régionales de 1998, il conduit la liste d'union de la droite, l'Union pour la Région, dans le Gard. Il est alors élu conseiller régional, vice-président de la Région.

En mars 2001, il est réélu maire d'Alès dès le premier tour avec un score de près de 60 %.

Il sera à nouveau réélu dès le premier tour en 2008 avec 54 % des suffrages.

Il retrouve son siège de député le Modèle:Date-, pour la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} législature (2002-2007), dans la quatrième circonscription du Gard, en même temps que Yvan Lachaud, Étienne Mourrut et Jean-Marc Roubaud dans le reste du Gard. Il fait partie du groupe UMP. Son suppléant est Bertrand Drouot, ancien maire UMP de Saint-Chaptes.

Candidat à sa réélection en 2007, pour la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }} législature (2007-2012) dans la Modèle:4e du Gard, il est réélu avec 53,15 % des suffrages.

Candidat investi par l'UMP aux élections sénatoriales dans le Gard en Modèle:Date-, il n'est pas élu (3 sièges étaient à pourvoir, il arrive Modèle:4e)<ref>[1]</ref>

En 2012, il perd son siège de député de la 4e circonscription au second tour avec 47,90 % des voix contre 52,10 % des voix pour le candidat socialiste Fabrice Verdier.

Lors des élections municipales de 2014, il est réélu maire d'Alès dès le premier tour face à 4 candidats : Jean-Michel Suau (PC), Benjamin Mathéaud (PS), Nathalie Challier (FN) et Brahim Aber (SE) ; il qualifie son score de Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>.

Modèle:Pertinence détail

Lors des élections régionales de 2015 en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, il est candidat en Modèle:19e sur la liste conduite par Dominique Reynié<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lors des élections sénatoriales de Modèle:Date-, Max Roustan est élu sénateur pour un mandat de six ans. Il démissionne cependant dès le Modèle:Date- pour privilégier son mandat local, en application de la loi du 14 février 2014 sur le non-cumul des mandats en France<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="jorfdemission">Modèle:Lien web.</ref>. Pascale Bories, qui le suivait sur la liste, le remplace<ref name="jorfdemission" />.

Lors des élections municipales 2020, il est réélu maire d'Alès dès le premier tour avec un score de 56,80 %<ref>Modèle:Lien web</ref>, face à 6 autres listes. Il devient alors le seul maire d'Occitanie d'une commune de plus de 15 000 habitants à avoir été élu 4 fois d'affilée au premier tour et pour un Modèle:5e mandat en cours, le dernier affirme-t-il, préparant déjà l'avenir et sa succession avec son plus ancien collaborateur Christophe Rivenq<ref>Modèle:Lien web</ref>, qui devient Modèle:1er adjoint à la ville d'Alès le 23 mai 2020 après la mise en place du Conseil municipal.

Dans la même ligne, il le propose à sa succession à la présidence d'Alès Agglomération, lui laissant alors son fauteuil le 15 juillet 2020, lors de l'installation du Conseil communautaire (88 voix sur 111)<ref>Modèle:Lien web</ref> et devenant Modèle:1er vice-président.

Vie privée

Marié à Monique Balcaen, ils ont ensemble une fille<ref name="LM"/>.

Détail des mandats et fonctions

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

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