Mont-Dol

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Mont-Dol est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne et peuplée de Modèle:Unité<ref group=alpha>Population municipale Modèle:Population de France/dernière année, légale en {{#expr:Modèle:Population de France/dernière année+3}}.</ref>.

Géographie

Territoire communal et communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Mont-Dol donne sur la baie du Mont-Saint-Michel, et est entouré<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> des communes (en commençant par le nord-est, puis dans le sens des aiguilles d'une montre) de Cherrueix, Baguer-Pican, Dol-de-Bretagne, Roz-Landrieux, La Fresnais, Hirel et Le Vivier-sur-Mer.

Description

La commune se distingue par son mont qui lui a donné son nom. Le mont Dol, d'une hauteur de Modèle:Unité, situé au centre de la commune à proximité de la ville de Dol-de-Bretagne, apparaît dans le marais de Dol, terre gagnée naturellement sur la mer, contrairement aux polders créés par l'homme à partir de la chapelle Sainte-Anne de la commune de Saint-Broladre en direction du mont Saint-Michel. Sous ce marais, le socle se situe entre 14 et Modèle:Unité de profondeur. Il est recouvert de sédiments périglaciaires au pied de la falaise fossile et de sables et graviers fluviatiles tardiglaciaires dans les talwegs. La transgression flandrienne provoque la sédimentation d'une argile saumâtre dans les dépressions. Ensuite se déposent des sables intertidaux puis des tangues au sommet desquelles sont intercalés des niveaux tourbeux lorsque la transgression ralentit<ref group=alpha>La montée irrégulière de la mer se traduit par la construction de cordons littoraux. Le sol tourbeux se développe dans des dépressions à l'arrière de ces cordons qui bloquent l'écoulement des aux continentales.</ref> il y a Modèle:Unité B.P.<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

On peut distinguer deux types de marais : le marais blanc côté nord du mont (où selon la légende s'étendait la forêt de Scissy) vers la baie, formé de sables marins et de tangue ; le marais noir côté sud du mont vers Dol-de-Bretagne, correspondant à une lagune tourbeuse qui reçoit les eaux continentales et parfois aussi des intrusions limitées des eaux marines, lesquelles introduisent localement des veines de tangue au sein de la tourbe. Du haut du tertre on peut encore distinguer les différences car la couleur de la terre renseigne bien les différentes zones du marais. Modèle:Multiple image

Charles Le Goffic a décrit ainsi le Mont-Dol en 1910 : Modèle:Citation bloc

Géologie

Il y a Modèle:Nobr d'années, une chaîne de montagnes se forme : la chaine cadomienne. L'érosion de la chaîne cadomienne remplit de sables et d'argiles la mer briovérienne. Le métamorphisme ultérieur, faible, donne les schistes briovériens plus ou moins gréseux (donnent de basses collines et des reliefs peu accentués) recoupés par les granitoïdes cadomiens du batholite mancellien (massifs de Fougères, Lanhélin, Bécherel, et dans la région massif de Saint-Broladre)<ref>Carte géologique du Mont Dol et ses marais.</ref>. Une intrusion tardive de leucogranite à biotite et muscovite<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> a lieu il y a Modèle:Nobr d'années par fusion de la croûte terrestre : ce granite mancellien<ref>De Modèle:Langue, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.</ref>, recuisant les roches encaissantes, donne naissance, par métamorphisme de contact, aux roches cornéennes et forme désormais une falaise fossile<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Cette époque voit le développement d'un important plutonisme bien représenté en Normandie (massif de Vire) et dans l'Ille-et-Vilaine avec les massifs de Fougères et de Combourg auxquels se rattachent les granites du mont Dol, du mont Saint-Michel, des îles Chausey et, dans le Trégor, les granites de Bréhat et de Perros-Guirec<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Il y a Modèle:Nobr d'années le filon de dolérite se met en place dans une fracture de l'écorce terrestre pendant une période de distension. Enfin, entre Modèle:Nobr d'années et aujourd'hui, l'érosion agit sur le granite, la dolérite, la roche cornéenne et les roches encaissantes. Les roches encaissantes étant moins résistantes à l'érosion, le mont Dol forme un relief par rapport au paysage environnant.

Exploitation de la roche

Cent-soixante carriers ont travaillé à Mont-Dol sur l'exploitation de la roche, essentiellement le leucogranite, la roche cornéenne et la dolérite, sorte de basalte très dur. L'activité cessa en 1948, lorsque la commission des sites obtint l'arrêt de l'exploitation. Si les carrières n'avaient pas cessé leur activité, le mont Dol aurait pu être coupé en deux : en effet, la dolérite traverse le mont Dol de part en part et les carrières exploitaient ce filon de chaque côté. La roche extraite du mont Dol avait plusieurs utilisations, la plus récente étant le ballast de la ligne de chemin de fer reliant Rennes à Saint-Malo.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Méloir », sur la commune de Saint-Méloir-des-Ondes, mise en service en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Mont-Dol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), prairies (10,6 %), zones urbanisées (4,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:Article connexe La première référence au mont apparaît dans l'ouvrage médiéval Historia Brittonum. Attesté sous les formes Mons Doli en 1158, ecclesia de Monte Dolis au {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVe{{#if:|  }} }} siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Mont Dol (sans trait d'union) en 1793, Mont-Dol (avec trait d'union) en 1801,

Il s'agit d'une formation toponymique pré-celtique ou celtique qui remonterait par un intermédiaire gaulois à un primitif *tŭll- « hauteur » (non attesté), cette explication étant peu étayée<ref name="dauzat">Modèle:Ouvrage</ref>. Cependant, l'hypothèse d’un élément non-identifié semble solide, car les formes anciennes sont proches de celles attestées pour Déols (Indre, Dolensis vicus Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avec le suffixe de provenance latin -ensis), Dole (Jura, Dola, sans date) et Dolus (Charente-Maritime, Dolos Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Dolum 1107, avec une finale obscure)<ref name="dauzat"/>. Il peut être également brittonique et apparenté au gallois dôl « méandre », le mot s'appliquant à une terre entourée par la boucle d'une rivière<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'auteur celtisant Éloi Johanneau le faisait procéder du breton taol « table », mais cette hypothèse n'est pas fondée<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, car l'étude des formes anciennes et la phonétique étaient inconnues à son époque.

Histoire

Le site est fréquenté dès le Paléolithique, il y a environ Modèle:Unité, par des chasseurs néandertaliens. En 1872, des carriers exploitant le granit mettent au jour des os géants qu'ils crurent de baleine. L'archéologue Simon Sirodot (1825-1903) entreprend alors la première grande fouille archéologique de Bretagne et découvre de nombreux ossements (traces d'une cinquantaine de mammouths, d'une douzaine de rhinocéros, d'une cinquantaine de chevaux, de lions, de cerfs, de bœufs), silex taillés (racloirs, outils pour débiter la viande et travailler les peaux) qui font du Mont-Dol le plus important site paléolithique breton<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ses travaux pourtant rigoureux n'échappent pas à la polémique sur l'origine de l'homme<ref>Simon Sirodot, Conférence faite le 17 mai 1873 à la Société d’émulation des Côtes-du-Nord sur les fouilles exécutées au Mont-Dol (Ille-et-Vilaine) en 1872, éditeur Francisque Guyon, 49 p.</ref>, des personnes comme l'abbé Hamard se refusant à admettre la haute antiquité de l'homme<ref>M. l'abbé Hamard, Le gisement préhistorique du Mont-Dol (Ille-et-Vilaine) et les conséquences de cette découverte au point de vue de l’ancienneté de l’Homme et de l’Histoire, éditeur Plihon, 1877, 270 p.</ref>.

Mont-Dol et la religion

Fichier:Temple païen du Mont-Dol.jpg
Plan du temple païen et de l'ancienne chapelle du Mont-Dol.
Fichier:Autel taurobolique du Mont-Dol.jpg
Autel taurobolique du Mont-Dol.

Ce tertre dominant les marais, à Modèle:Nobr de hauteur (comparable au mont Saint-Michel qui se dessine à l'horizon) ne pouvait que cristalliser les manifestations du sacré<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Il fut peut-être un haut lieu de culte païen : culte gaulois de Taranis<ref group=alpha>Hypothèse fondée sur un nom ancien du mont Dol, Mons Jovis (mont de Jupiter, à l'époque gallo-romaine un lieu consacré à Taranis, le Jupiter celtique. La découverte dans un manuscrit d'une abbaye de Clermont-Ferrand relatant la vie de Saint Turiau, évêque de Dol, d'un nom plus ancien Lecteren, issu peut-être d'une évolution de Lexo-Taranis, le « lieu sacré de Taranis », appuie cette hypothèse.</ref> ? Cultes gallo-romains de Mithra, de Cybèle (au printemps et aux marées d'équinoxe) ? Des traces de temple (substructions, maçonnerie de pierres sèches à mi-coteau) sont encore visibles aujourd'hui aux visiteurs avertis. Saint Samson aurait fait édifier une chapelle dédiée à saint Michel dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans l'enceinte d'un temple dédié à Cybèle<ref group=alpha>Cet édifice se trouvait sur la pointe orientale, entre la petite chapelle actuelle et la tour octogonale surmontée par la statue monumentale de la Vierge.</ref>. Sous les ruines de cette chapelle ont été découverts deux anciennes tables-passoires qui correspondraient aux autels tauroboliques<ref>Gilles Déric, Histoire ecclésiastique de Bretagne, Modèle:T., 1780.</ref> élevés au culte de Cybèle<ref group=alpha>Le temple possédait, à sa partie orientale, deux autels-passoires en pierre, dont la table, percée de trois rangs de neuf quadrilatères en entonnoir, reposait, par ses bords sur trois pièces de support, de manière que l'autel restât creux. Ces autels sont détruits en 1802 pour utiliser ses matériaux à la construction du télégraphe Chappe. Une maquette du plus grand des autels a été faite.</ref>. Le bas d'un pilier fut aussi récupéré pour l'église en contrebas<ref group=alpha>Il est encore en place aujourd'hui, il s'agit du pilier gauche lorsque l'on rentre face à la nef, doté de croix de christianisation gravées à sa base. Des croix de christianisation sont également présentes sur un rocher en haut du tertre.</ref>.

L'église Saint-Pierre date des {{#switch: et

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}. On peut découvrir sur les côtés de la nef principale des traces de fresques très anciennes représentant le cycle de la Passion. Certaines demeurent encore bien visibles aujourd'hui et la représentation du malin mangeant des hommes en enfer est très particulière. Au cœur de la nef, l'archange sous forme de statue en bois tient une place privilégiée où on le voit en train de terrasser le diable à l'aide de sa lance.

Légendes

Beaucoup de légendes<ref>Modèle:Lien web.</ref> courent sur le mont Dol, souvent liées à saint Michel. En voici quelques-unes : Celle-ci raconte la formation du relief : Modèle:Citation

Une autre raconte la formation de l'étang au sommet du mont : Modèle:Citation

Une autre concerne l'une des nombreuses chamailleries entre saint Michel et le diable :

Modèle:Citation

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blasonnement

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Lieux et monuments

Fichier:Mont-dol panorama.jpg
Depuis le Mont Dol, panorama de la baie du Mont Saint Michel
  • Église Saint-Pierre.
  • Chapelle Saint-Michel.
  • La tour Notre-Dame-de-l'Espérance ou de Bonne-Espérance, piédestal d'une statue de Notre-Dame : tour octogonale en granite construite en 1857 à l'initiative du recteur du Mont-Dol, l'abbé Deminiac. La statue géante sur la plate-forme supérieure est l'œuvre du sculpteur rennais Rouaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Mont (la butte )

Fichier:Survol du Mont Dol (35).jpg
Survol du Mont Dol (2011)

Vue aérienne du Mont Dol. On distingue deux moulins, un ancien bâtiment de ferme, la tour Notre-Dame-de-l'Espérance et la chapelle Saint-Michel

La chapelle Saint-Michel

Une chapelle aurait été édifiée par Saint Samson dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Tombant en ruines en 1802, elle est démolie et ses matériaux sont réutilisés pour la construction de la cage du télégraphe Chappe, un point clef de la ligne Paris-Brest. Le télégraphe électrique, basé sur le morse, ayant rendu obsolète le télégraphe optique de Chappe supprimé en 1854, la commune récupère le bâtiment désaffecté et le recteur du Mont-Dol, l'abbé Deminiac, décide en 1857 d'en faire une petite chapelle consacrée à Notre-Dame de l'Espérance, protectrice des laboureurs et des marins. L'abbé ne laisse que le rez-de-chaussée<ref group=alpha>Aujourd'hui, il encore possible de voir les anciennes pierres du télégraphe.</ref> et rétablit la fonction première du bâtiment<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Les moulins

Fichier:Moulin de Mont-Dol 2.jpg
Un des deux moulins de Mont-Dol.

Il y a deux moulins sur le sommet du mont Dol. L'un, qui a perdu ses ailes au début du {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:s| s }} }} siècle, appartient à un propriétaire privé. Le second, le moulin du Tertre, construit en 1843, n'est plus exploité depuis 1954, mais est encore en état de fonctionnement. Il appartient à la commune et est géré par l'association des Courous d'pouchées (littéralement en gallo : « coureurs de sac »).

Il y a eu deux autres moulins dans le marais mais ceux-ci n'ont pas fonctionné très longtemps.

Personnalités liées à la commune

  • Les religieux de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet, propriétaires de rentes, terres et juridictions à Mont-Dol<ref>Déclaration de l'évêque de Dol, 1575.</ref>.

Dans la culture populaire

La fin du tome 3 de la série La Porte des anges: les cavaliers du chaos se déroule au Mont-Dol<ref>Michael Dor, La Porte des anges : les cavaliers du chaos, Modèle:P..</ref>.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

Insee (dont les Notes du § Démographie)

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Autres sources

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Annexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail