Mont-Saint-Aignan
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Mont-Saint-Aignan est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie, connue pour son campus universitaire (Modèle:Unité étudiants en 2019) et l'Espace Marc-Sangnier abritant la programmation culturelle de la ville et celle du Centre dramatique national de Normandie-Rouen. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Chef-lieu de canton, la commune est située sur une colline en surplomb et accolée à Rouen. Déville-lès-Rouen est l'autre commune du canton.
La ville compte quatre quartiers : la Vatine, le Village (Saint-Aignan), le Mont-aux-Malades et Saint-André.
Voies de communication et transports
Mont-Saint-Aignan est desservie par la ligne T1 de l'infrastructure TEOR depuis son inauguration en 2002. La ligne relie le campus au centre-ville de Rouen à une fréquence d'un bus toutes les Modèle:Unité en heure de pointe. Depuis Modèle:Date-, cette ligne connait notamment une extension de ses horaires le soir (jusqu'à Modèle:Heure en semaine, et jusqu'à Modèle:Heure le vendredi).
La ligne T1 est complétée par quatre lignes régulières de bus (F2, F7, F8, 10 et 43) dont deux à haute fréquence qui relie le centre commercial La Vatine au centre-ville de Rouen. Ainsi que les communes aux alentours
Mont-Saint-Aignan est également desservie par le Noctambus, circulant jusqu'à plus d'une heure du matin les dimanches, lundis, mardis, mercredis et jeudis, et circulant jusqu'à un peu plus de Modèle:Heure du matin les vendredis, samedis et veilles de jours fériés.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Mont-Saint-Aignan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (92,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (57,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (23,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,8 %), terres arables (2,9 %), forêts (2,8 %), prairies (1,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de Mont-Saint-Aignan provient des anciennes communes du Mont-aux-Malades et de Saint-Aignan.
Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctum Anianum au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="François de Beaurepaire">Modèle:Ouvrage.</ref>.
L'hagiotoponyme Saint-Aignan se réfère à l'hagionyme Aignan d'Orléans, ancien évêque d'Orléans, saint patron de la paroisse<ref name="François de Beaurepaire"/>.
Histoire
Dès l'âge de la Tène finale (Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle en Gaule), on retrouve des traces d'une activité agricole sur la commune de Mont-Saint-Aignan. Les fouilles effectuées dans le cadre du contournement routier (de Bois-Guillaume) ont mis au jour quatre occupations gauloises et gallo-romaines liées à l'aménagement du territoire rural, parmi lesquelles on retrouve aujourd'hui le site des Bouillons<ref name="histoire">[1], Philippe Fargeon, « Les Implantations des habitats ruraux antiques », Revue archéologique de Picardie, Année 2003, 1-2, Modèle:P..</ref>.
En 933, Modèle:Noble sortit de la ville de Rouen avec ses partisans pour s'installer sur une colline dite Le Mont aux Malades<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Commune formée au 1819 par la fusion des deux anciennes paroisses de Saint-Aignan (Sanctum Anianum, ancien évêque d'Orléans patron de la paroisse, cité au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) et du Mont-aux-Malades (Monte Infirmorum vers 1251 qui tire son nom d'un établissement hospitalier fondé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). Une léproserie fut fondée vers 1119 sous la garde d'un prieuré de chanoines réguliers, par dix-neuf paroisses de Rouen sur le mont Saint-Jacques. Elle prit le nom de Mont-des-Lépreux ou Mont-des-Malades. Le prieuré, tombé en commende en 1518, fut dévasté par les protestants en 1562 et ses archives détruites. Modèle:Noble y adjoignit en 1176 une église dédiée à saint Thomas de Canterbury dont il espérait ainsi expier le meurtre. Ce prieuré devint église paroissiale en 1790 et servit sous la Révolution aux réunions de la « Société populaire et républicaine du Mont-Libre ».
Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Mont-aux-Malades, porte provisoirement le nom du Mont-Libre<ref name=Cassini/>.
En 1815, la commune absorbe une partie de celle voisine de Saint-Denis-de-Bondeville, qui se retrouve partagée entre Notre-Dame-de-Bondeville, Le Houlme, Maromme, Saint-Aignan et Saint-Jean-du-Cardonnay<ref name=Cassini/>.
En 1819, elle absorbe celle de Saint-Aignan et devient Mont-Saint-Aignan<ref name=Cassini/>.
Le passé rural de Mont-Saint-Aignan a été bouleversé par une urbanisation rapide à partir des années 1960.
Politique et administration
Tendances et résultats politiques
La ville de Mont-Saint-Aignan, tout comme sa voisine Bois-Guillaume, est très ancrée à droite (au sein d'une agglomération rouennaise nettement acquise à la gauche). Néanmoins, dans le cadre d'une élection triangulaire avec un candidat du MoDem, les élections municipales de 2008 ont porté, pour la première fois, une majorité de gauche aux responsabilités.
Lors du second tour des élections législatives de 2012, le candidat de l'UMP, Cyrille Grenot, a obtenu, dans la seule commune de Mont-Saint-Aignan, 17 voix de plus que Valérie Fourneyron, ministre des sports des Modèle:Page h' et candidate PS, élue au niveau de la circonscription.
- Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2007<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.</ref>: 56,43 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 43,57 % pour Ségolène Royal (PS), 84,92 % de participation.
- Élection présidentielle de 2012<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.</ref>: 52,51 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 47,49 % pour François Hollande (PS), 83,03 % de participation.
- Élection présidentielle de 2017<ref>Modèle:Article.</ref>: 84,38 % pour Emmanuel Macron (EM), 15,62 % pour Marine Le Pen (FN), 75,9 % de participation.
- Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours : Modèle:Section à actualiser
- Élections législatives de 2007<ref>Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.</ref>: 51,23 % pour François Guégot (UMP), 48,77 % pour François Zimeray (PS), 62,49 % de participation.
- Élections législatives de 2012<ref>Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 18/06/2012.</ref>: 50,11 % pour Cyrille Grenot UMP), 49,89 % pour Valérie Fourneyron (PS), 61,41 % de participation.
- Élections législatives de 2017 : 60.47 % pour Damien Adam, 39.53 % pour Valérie Fourneyron
- Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores : Modèle:Section à actualiser
- Élections européennes de 2009<ref>Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/06/2012.</ref>: 35,74 % pour Dominique Riquet (UMP), 19,20 % pour Hélène Flautre (Europe Écologie), 47,85 % de participation.
- Élections européennes de 2014<ref>Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le Modèle:Date-.</ref>: 30,51 % pour Jérôme Lavrilleux (UMP), 15,84 % pour Gilles Pargneaux (PS), 51,37 % de participation.
- Élections cantonales et départementales
- Élections municipales
Résultats des deuxièmes tours : Modèle:Section à actualiser
- Élections municipales de 2008<ref>Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site des Echos. Consulté le Modèle:Date-.</ref>: 46,15 % pour Pierre Léautey (PS), 41,56 % pour Françoise Guégot (UMP), 12,29 % pour Philippe Grigy (MoDem), 58,95 % de participation.
- Élections municipales de 2014<ref>Résultats de l'élection municipale 2014 sur le site du Monde.fr. Consulté le Modèle:Date-.</ref>: 56,51 % pour Catherine Flavigny (UMP), 43,48 % pour Patrice Colasse (PS), 61,28 % de participation.
- Élections municipales de 2020 (Modèle:2d) : Catherine Flavigny (maire sortante, Union de la droite) : Modèle:Unité, 49,98 % ; Sylvie Nicq-Croizat (EELV, PC) et Alexandre Riou (PS) : Modèle:Unité, 35,90 %. Abstention : 64,04 %<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Référendums :
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe<ref>Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le Modèle:Date-.</ref>: 64,46 % pour le Oui, 35,54 % pour le Non, 71,57 % de participation (Modèle:Unité).
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
La commune entretient des accords de coopération<ref>Modèle:CNCD.</ref> avec :
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
La commune comprend la plus grosse partie du pôle universitaire, et est à ce titre, la ville de France où le taux d'étudiant est le plus élevé<ref>Classement des villes étudiantes.</ref>.
À sa population d'un peu plus de Modèle:Unité s'ajoutaient auparavant près de Modèle:Unité. Depuis la répartition des différentes UFR sur l'ensemble de l'agglomération rouennaise, il reste environ Modèle:Unité sur le campus historique de Mont-Saint-Aignan, principalement à travers l'UFR des lettres et sciences humaines, L'UFR des Sciences de L'Homme et de la Société, le pôle chimie/biologie de l'UFR des sciences, l'Institut régional de chimie organique fine, l'IUT de Rouen, l'UFR des STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) et l'ESPE.
Par ailleurs, on peut mentionner aussi la présence d'un centre de formation du CNAM et d'une partie de l'INSA de Rouen. Depuis 1965, la ville abrite le campus du groupe Rouen Business School, regroupant au sein de NEOMA Business School l'IFI, l'ECAL et l'ISPP. En 2008, l'ÉSITPA est venu s'installer à Mont-Saint-Aignan alors que l'ESIGELEC l'a quitté en 2005 au profit de Saint-Étienne-du-Rouvray, campus que l'INSA de Rouen a également rejoint en Modèle:Date-.
L'enseignement du primaire est assuré par l'école Saint-André, l'école Albert-Camus, l'école Berthelot, l'école du Village, les écoles Pierre-et-Marie-Curie, et l'école Saint-Exupéry.
L'enseignement secondaire est assuré par le collège Jean-de-La Varende.
Manifestations culturelles et festivités
- L'Espace Marc-Sangnier organise régulièrement des spectacles (danse, musique, théâtre) tout public et jeune public, ainsi que des expositions. Inauguré en Modèle:Date- après une longue période de travaux, il accueille en ses lieux la toute nouvelle bibliothèque municipale, l'école municipale de musique, les cours d'Arts Dramatiques, les cours de danse ainsi que l'école d'improvisation de jazz (EIJ). Doté de deux salles de spectacle (l'une de 440 places et l'autre de 120 places), il propose à la fois une saison culturelle propre à la Ville de Mont-Saint-Aignan et baptisée pour la saison 2020/2021 « La vi[ll]e demain! » mais également une partie de la programmation du CDN Normandie-Rouen dirigé par David Bobée de 2013 à 2021.
- Le cinéma Ariel, classé Art et Essai, participe également à divers festivals comme « la Semaine italienne », « À l'Est du nouveau » ou encore « Le Courtivore ». Inauguré le Modèle:Date-, ce cinéma doté d'une salle unique propose aujourd'hui une programmation sur cinq jours dès le mercredi et des séances Galopins plus particulièrement destinées aux enfants. Des soirées thématiques sont régulièrement organisées qui permettent aux spectateurs de dialoguer et débattre avec des réalisateurs/réalisatrices ou des producteurs/productrices venus présenter leur travail. Le responsable de ce cinéma poursuit, au travers d'un dispositif d'éducation à l'image soutenu par le pôle Normandie Images<ref>Modèle:Lien web.</ref>, un travail d'initiation à la sémiologie de l'image avec les élèves des classes primaires de la commune.
Labels
- La ville est labellisée « Ville en poésie », « Ville amie des enfants ».
- La commune a obtenu en 2017 le niveau 3 du label 0 % phyto de la charte d'entretien des espaces publics.
- Depuis le Modèle:Date-, la ville est labellisée « Terre Saine communes sans pesticides ».
- Depuis 2020, Mont Saint Aignan participe à l'initiative « Territoire engagé pour la Nature » qui vise à faire émerger, reconnaître et valoriser des plans d'actions en faveur de la biodiversité portés par des collectivités locales.
Santé
- Centre hospitalier du Belvédère.
- L'EHPAD Boucicaut est l'un des établissements de soins et d'hébergement du Centre hospitalier universitaire de Rouen.
Sports
- Mont-Saint-Aignan Basket Club
- Le Rugby Club Mont-Saint-Aignan au stade Boucicaut
- Golf de Rouen Mont-Saint-Aignan
- Rink hockey
- L'ASRUC (Association Sportive Rouen Université Club), club universitaire dont les installations sont situées sur la commune de Mont-Saint-Aignan, rue de la Croix-Vaubois. Le club est constitué de nombreuses sections (tennis, rugby, hockey sur gazon, judo, apnéeModèle:Etc.).
- Le Judo club de Mont-Saint-Aignan au centre sportif des Coquets
- Le SUAPS (Service Universitaire des Activités physiques et sportives)
Médias
- Presse
- Paris Normandie (édition de Rouen)
- Liberté-Dimanche (parution le dimanche)
- Radio
- Radio Campus Rouen
Économie
Le secteur agricole en tant qu'exploitation a totalement disparu de la commune - Il subsiste une seule ferme maraîchère, non exploitée<ref>« Notre Dame des Bouillons, la ferme normande qui ne veut pas se laisser abattre », Breizh Journal, publié le Modèle:Date-</ref> - mais reste présent sur la ville notamment par la coopérative agricole Cap Seine qui y a son siège (plus d'un milliard d'euros de CA en 2013).
- Parc d'activités technologiques de la Vatine : siège de Ferrero France ; siège de la société Replitec (duplication CD, DVD, clés USB et disquettes 3" ½)
- Centre commercial Carrefour La Vatine.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'ancienne église Saint-Jacques (ruines) est bâtie dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il en subsiste encore la nef, ornée de corbeaux et de chapiteaux. Elle est située près de la mairie actuelle<ref>Henry Decaëns, Aperçu historique et descriptif architectural des ruines.</ref>. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
- L'église Saint-Thomas-de-Canterbury est inscrite au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>,<ref>Henry Decaëns, Aperçu historique et architectural de l'église</ref>.
- L'église Sainte-Marie de Mont-Saint-Aignan, située dans le quartier du village (Saint-Aignan)<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
- L'église Saint-André (fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>,<ref>Nadine-Josette Chaline, L'église Saint-André, 2010.</ref> Ses architectes sont Eugène Barthélémy et Charles Lassire.
- Le musée national de l'Éducation, issu du musée pédagogique créé par décision de Jules Ferry en 1879, est transféré à Rouen dans les années 1970<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Sur le site de l'université, dans le prolongement du boulevard André-Siegfried et avant de redescendre vers Rouen, on trouve un panorama de la ville de Rouen et d'une partie de la vallée de la Seine.
Patrimoine naturel
- Modèle:Nobr de forêts.
- Trois grands massifs forestiers : le bois du Cotillet, le bois l'Archevêque et le bois des Compagnons.
- Modèle:Unité en milieu urbain, hors parc et bois, soit l'équivalent de Modèle:Nobr d'espaces boisés.
- Plus de Modèle:Nobr de plantes.
- Modèle:Nobr remarquables recensés en 2015.
- Modèle:Nobr d'oiseaux.
- Modèle:Nobr de papillons.
- De nombreux arbres centenaires : chênes, magnolias, cèdres bleus, désespoir des singes…
Personnalités liées à la commune
- Nicolas Marsolet de Saint-Aignan (mort en 1667), aventurier et seigneur en Nouvelle-France.
- Ignace Casimir Goube (1750-1841), maire de Rouen.
- Henri Frère (1836-1903), avocat et historien.
- Charles Lenepveu (1840-1910), musicien.
- Jean-Baptiste Morel (1851-1942), avocat et maire de Rouen.
- Léon Hodebert (1852-1914), peintre, y vécut.
- Charles Frechon (1856-1929), peintre.
- Ernest Le Deley (1859-1917), éditeur de cartes postales.
- Narcisse Guilbert (1878-1942), peintre.
- Narcisse Hénocque (1879-1952), peintre, né dans la commune.
- Ernest Cloërec-Maupas (1883-1940), ténor et auteur-compositeur, mort dans la commune.
- Georges Lanfry (1884-1969), entrepreneur et archéologue, né dans la commune.
- Lucien Tesnière (1893-1954), linguiste, né dans la commune.
- Georges Taconet (1889-1962), compositeur, né dans la commune.
- Robert Aubreton (1909-1980), professeur, y vécut.
- Hervé Bazin (1911-1996), écrivain, y a vécu de 1984 à 1992.
- Maurice Cantor (1921-2016), ecclésiastique dissident, fondateur de l'église Sainte-Marie de Mont-Saint-Aignan.
- Pierre Gautiez (1923-2006), peintre ayant vécu dans la commune.
- Gérard Simon (1928-2019), syndicaliste et homme politique ayant vécu dans la commune.
- Claude Le Ber, (1931-), ancien coureur cycliste, né dans la commune.
- Jacques Anquetil (1934-1987), cycliste, né dans la commune.
- Jean-Claude Éloy (1938-), compositeur, né dans la commune.
- Jean-Claude Bateux (1939-), homme politique, né dans la commune.
- Éric Delcroix (1944-), avocat, né dans la commune.
- Thierry Foucaud (1954-), homme politique, né dans la commune.
- Allain Leprest (1954-2011), poète, chanteur.
- Daniel Delarue (1955-), chanteur lyrique - contre-ténor, né dans la commune.
- Vincent Lagaf' (1959-), animateur de télévision, né dans la commune.
- Pascal Wintzer (1959-), archevêque de Poitiers, curé de la commune de 1989 à 1996<ref>Fiche biographique de l’archevêque sur poitiers-catholique.fr consulté le 21/09/2013.</ref>.
- Franck Haise (1971-), footballeur puis entraîneur, né dans la commune.
- Trantkat (1974-), dessinateur de BD, né dans la commune.
- David Cormand (1974-), homme politique, né dans la commune.
- Élodie Woock (1976-), footballeuse française, née dans la commune.
- François Delarue (1976-), mathématicien, né dans la commune.
- Aurélie Félix (1979-), athlète, née dans la commune.
- Jérôme Pineau (1980-), coureur cycliste, né dans la commune.
- Tiffany Hopkins (1981-), actrice de films X, née dans la commune.
- Tony Parker (1982-), joueur de basket-ball professionnel ; il a donné son nom au gymnase municipal.
- Tatiana-Laurens Delarue (1982-), candidate de téléréalité et animatrice de télévision, né dans la commune.
- Pierric Poupet (1984-), joueur de basket-ball professionnel, né dans la commune.
- Jamel Aït Ben Idir (1984-), footballeur, né dans la commune.
- Sébastien Le Toux (1984-), footballeur, né dans la commune.
- Mathieu Duhamel (1984-), footballeur, né dans la commune.
- Mohamed Sissoko (1985-), footballeur malien, né dans la commune.
- Ousmane Camara (1989-), joueur de basket-ball professionnel, né dans la commune.
- Ugo Legrand (1989-), judoka médaillé olympique de bronze 2012, né dans la commune.
- Jérémie Douillet (1991-), joueur de basket-ball professionnel et fils de David Douillet, né dans la commune.
- Flora Coquerel (1994-), Miss France 2014.
- Steve Ambri (1997-), footballeur né dans la commune.
- Sandy Dujardin (1997-), cycliste né dans la commune.
- Bradley Danger (1998-), footballeur né dans la commune.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:PatCom76
- « Saint André, histoire d'un quartier de l'agglomération », Études normandes, Modèle:N°, 2010
- Modèle:Ouvrage
- Albert Tougard, Le Clocher de l'église du Mont-aux-Malades et la cérémonie de la bénédiction des cloches, Rouen, Imprimerie Nouvelle Paul Leprêtre, 1889.
- Modèle:Ouvrage.