Montbrun-des-Corbières

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Montbrun-des-Corbières <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française, située dans le nord du département de l'Aude, en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Montbrunois et Montbrunoises.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Ruisseau Mayral et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Fichier:Chapelle rurale.jpg
Chapelle Notre-Dame-de-Colombier.

Montbrun-des-Corbières est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Montbrunois ou Montbrunoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle Notre-Dame-de-Colombier, classée en 1950.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Montbrun-des-Corbières est une commune de l'Aude située dans les Corbières, à 7 km de Lézignan-Corbières, 26 km de Narbonne et 29 km de Carcassonne.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hameaux et lieux-dits

  • Bois-Vert ;
  • Cardanès ;
  • Cavaillès ;
  • les Espinassès ;
  • l'Horte ;
  • col de la Portanelle (171 m).

Géologie et relief

La colline de Montbrun est constituée de grèse, de marne et de calcaire datant du début du Tertiaire. Elle naquit de l'érosion de la terre que causa la mer qui atteignait ses flancs.

Ruisseaux

  • Ruisseau Mayral, ruisseau de la Combe des Loups, ruisseau du Puits, ruisseau du Salenc, ruisseau du Pont-Teulé, ruisseau de la Picardelle, ruisseau de la Combe-Brindière, ruisseau de Caux, ruisseau des Teuleries, ruisseau de la Denise, ruisseau du Merle, ruisseau de Labade, ruisseau de l'Oste.

Sources permanentes

  • La Madone, située à la Portanelle.
  • La chapelle Notre-Dame-de-Colombier
  • Climat

Précipitions et température

Le niveau des précipitations se situe en moyenne autour des 600 mm d'eau par an. La température moyenne est de Modèle:Unité. Il s'agit d'un climat méditerranéen.

Vents

La commune se trouve dans une zone faisant partie des plus ventées en Europe.

  • Le vent de l'ouest, le Cers, est fréquent, il est chaud en été, froid en hiver.
  • Le vent du sud-ouest, le Marin, est celui qui apporte la pluie.
  • Les vents du nord-est sont secs et froids, ceux du sud, chauds.

Végétation

La garrigue est couverte de végétaux et herbacées adaptés à la sécheresse. La plaine est couverte de vignes. On a affaire à une végétation de type méditerranéenne avec l'olivier, le pin, le chêne vert. Les landes sont couvertes de thym, laurier, romarin. Des ruches bordent encore les landes.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:11241-Montbrun-des-Corbières-ZNIEFF1.png
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « plateau de Montbrun et de Conilhac » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Toponymie

Montbrun, du latin Montem, qui signifie "mont" et bruni "brun", d'où le mont brun. La couleur brune viendrait de son sol composé de marne lutéine. Ce mont, une garrigue, était recouverte de créquiers, un cerisier sauvage qui aurait pu aussi donner le nom au village.

Formes anciennes du nom de la commune (selon des anciens textes ou plans) :

  • 1272 : Castrum de Montbruno (château de Montbrun, en occitan).
  • 1351 : Eclesia de Montbruno (première apparition de l'église de Montbrun).
  • 1360 : de Monte bruno.
  • 1389 - 1589 : Montbrun en Minervois (la commune est à la limite entre le Minervois et les Corbières).
  • 1408 : Stratum de Montebruno (étang de Montbrun, à ce jour asséché, qui recouvrait la plaine de Montbrun).
  • 1537 : Montbru puis : Montbrù.
  • 1781 : Montbrun.
  • Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : Montbrun des Corbières.

Histoire

Préhistoire

Les premiers habitants de la commune de Montbrun des Corbières : Une première réponse à l'occupation des sols de la commune est donnée par les fouilles archéologiques réalisées au pied du village, au Nord-Ouest sur les rives Nord du ruisseau de la commune surplombé du Pont Saint-Pierre.

  • Lieu : Pourgobi (cadastre section D, parcelle n° 714). De nombreux objets de l'âge du fer furent retrouvés dont des tessons, des jarres. le site présentait des restes d'habitats ou des fosses. Il ne s'agissait pas d'un lieu d'habitation, mais d'entrepôts. D'autres objets d'âge plus récents furent découverts, des dalles de grès, des margelles, des restes de murs, des fragments d'amphores de type ibéro-puniques, des céramiques modelées, des fragments de meule en grès ou en basaltes et de grand vasques. C'est dans cette zone que le premier village de Montbrun des Corbières vit le jour. Il portait le nom du Petit-Lion. Par la suite, une motte castrale fut érigée sur la garrigue avoisinante.

Antiquité

Moyen Âge

  • Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, un gros village était signalé aux abords du château. À cette époque, la commune était plus importante que celle de Lézignan des Corbières. C'était un passage obligé pour les croisés qui partaient en Terre Sainte.
  • Un pèlerinage se tenait à Notre-Dame-de-Colombier, le lieu de culte était un prieuré qui faisait face à un lac qui recouvrait les plaines face au château. Les moines asséchèrent par la suite le lac qui disparut. Cependant, le sol calcaire à cet endroit trahit sa présence ancienne.
  • En 1209, Montbrun devint une des trente-et-une baronnies de la vicomté de Narbonne.
  • En 1272, première apparition d'une communauté villageoise de Montbrun.
  • Montbrun-des-Corbières était un fief du comté de Foix avant que le vicomte de Narbonne ne s'en empare. Le vicomte de Narbonne y voulait un seigneur chargé de veiller sur les routes menant à Narbonne.
  • Le seigneur de Montbrun met à disposition des villageois un four et un moulin banaux. La situation le long de la route de Narbonne favorise le commerce qui devient prépondérant. Toutefois, plusieurs épidémies de peste empêchèrent la commune de se développer convenablement.
  • Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'évêque de Narbonne fit bâtir une chapelle près du château-fort. Elle fut consacrée à Notre-Dame. Des maisons furent élevées tout autour, ainsi vit le jour le premier village. La chapelle fut le siège d'un archiprêtre.
  • En 1355, le Prince Noir, avec 20 000 hommes, attaque le Languedoc. Il assiège les communes voisines de Puicheric, saccage Sérame, contourne Lézignan Corbières pour atteindre Montredon des Corbières où il est refoulé par le vicomte de Narbonne. À cette époque, les villageois de Montbrun vivaient dans la plaine. Ils se réfugiaient dans le château du village à chaque menace.
  • Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la chapelle Notre-Dame-de-Colombier était une église paroissiale. Des fouilles révélèrent l'emplacement des maisons. Elle était au milieu d'un prieuré.
  • Le village faisait partie de la sénéchaussée de Carcassonne.

Famille de Montbrun

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la famille de Montbrun établie dans le Narbonnais où elle possédait plusieurs seigneuries situées en partie dans le Minervois entre Narbonne et Carcassonne prit le nom de la seigneurie et du château de Montbrun dont ses membres remplissait la fonction de châtelain pour le comte de Foix. Elle posséda aussi les seigneuries de Serame, Congous, Malpuech, Paulignan, Sainte-Anne, etc. dans la même région<ref>Gabriel François baron de Blaÿ de Gaïx, Études historiques sur les seigneurs et barons de Gaïx près Castres, 1880, p 49.</ref>, <ref name="Aude">Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, Note généalogique sur la maison de Montbrun-Roquecourbe, pp 159-162.</ref>.

On trouve à cette époque :

  • Odon de Montbrun, cité en 1177<ref name="Aude"/>
  • Pierre de Montbrun, cité en 1175 et 1204<ref name="Aude"/>
  • Raymond de Montbrun, marié à Mabilie de Saint-Martin, cité en 1180<ref name="Aude"/>.

Époque moderne

  • Des consuls sont créés pour administrer la municipalité qui possède une milice.

Jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'économie est principalement dominée par l'élevage et la culture de céréale. Le mouton est élevé dans la commune.

  • Guillaume Groc, un habitant de la commune détenait la fabrique de Montbrun.
  • L'ouverture du canal du Midi permit le développement du commerce du vin. La vigne fut plantée sur tout le territoire. Le port le plus proche se trouvait à La Redorte.
  • Un messager qui apportait le courrier, fut établi dans la commune voisine de Conilhac-Corbières.

Époque contemporaine

  • La commune possède un garde national. Il y a un contrôle du matricule de la Compagnie.
  • 1837 : les champs des Corbières, de même que ceux de Montbrun sont principalement couverts de cultures de blé, d'avoine, de fourrage, mais, à cette date, se développe considérablement la culture de la vigne.
  • 1875 : le phylloxéra atteint les vignes des Corbières. Les viticulteurs sont obligés de replanter avec des plants venus d'Amérique, plus résistants, d'où est originaire la maladie.
  • La vigne est replantée et le vin de l'Aude est vendu dans toute la France. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'arrivée du chemin de fer dans le Midi accéléra le développement de la vigne dans les Corbières et notamment à Montbrun. La gare de marchandise la plus proche était celle de Moux. Mais, la production de vin fut freinée par l'apparition de nombreuses maladies de la vigne : l'oïdium, le phylloxera et le mildiou.
  • Dans le courant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'arrivée de vins étrangers menace la viticulture audoise. Le résultat fut la baisse de production de vin dans la région et l'adhésion à l'AOC Corbières.
  • En 1933, les viticulteurs montbrunois se réunissent au sein d'une cave coopérative assurant des revenus stables.
  • En 1950, Notre-Dame-de-Colombier est inscrite aux monuments historiques.
  • En 1952, une campagne de restauration de la chapelle romane Notre-Dame-de-Colombier est lancée.
  • En 1963, la façade de Notre-Dame-de-Colombier fut ravalée.
  • Des fouilles dans le cimetière bordant la chapelle Notre-Dame et tout autour ont mis au jour des cazals (bâtiments en ruine) accréditant que le lieu était auparavant habité.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Société

Fête Locale

La Fête patronale célébrée tous les Modèle:1er août.

Célébrations religieuses

  • Célébrations de Pâques à la chapelle Notre-Dame de Colombier.
  • À l'occasion de Pâques, la statue de la vierge présente dans la chapelle est habillée pour les célébrations.
  • Tous les Modèle:Date-, un pèlerinage a lieu à la chapelle pour célébrer la Vierge Marie.

Sports

La commune possède un terrain de sport mis à la disposition des enfants pour jouer au football ou au rugby.

Elle dispose de courts de tennis dont les réservations se font à la mairie.

Il existe enfin un club de pétanque dans le village.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (68,8 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 23,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Narbonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 70 en 2013 et 71 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,6 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 82,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,8 % les transports en commun, 6,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

35 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Montbrun-des-Corbières au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 35
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
4 11,4 % (8,8 %)
Construction 4 11,4 % (14 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
14 40 % (32,3 %)
Activités immobilières 4 11,4 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
6 17,1 % (13,3 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
1 2,9 % (13,2 %)
Autres activités de services 2 5,7 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 35 entreprises implantées à Montbrun-des-Corbières), contre 32,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Chateau De L'horte, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (Modèle:Unité) ;
  • Societe Fonciere De Montbrun, culture de la vigne (Modèle:Unité) ;
  • Vignoble Jacques Bacou, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (Modèle:Unité).

Café du village.

Épicerie.

Agriculture

La commune est dans la « Région viticole » de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, également dénommée localement « Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin »<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 29 en 2000 puis à 21 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 27 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 36 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 15 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Cépage des Corbières

Les raisins : Carignan, Syrah, Grenache et Mourvèdre.

Arômes de fruits rouges. Notes florales.

Vins

Rouges et rosés.

AOC Corbières

L'AOC a été créé en 1985., Modèle:4e de France, Modèle:1re du Languedoc.

L'AOC a été créée dans le but de faire face à la concurrence de vins étrangers.

Énergies

La commune est traversée par la ligne à Haute-Tension en provenance de la centrale électrique de Castelnau d'Aude.

Elle est traversée par le gazoduc en provenance de La Ciotat et exploité par GSO, Gaz du Sud-Ouest. La conduite va jusqu'à la centrale de Capendu.

Bien que sur le sol de la commune de Conilhac-Corbières, à la limite avec la commune de Montbrun-des-Corbières, des éoliennes s'élèvent dans le ciel montbrunois.

Déchèterie

Une déchèterie municipale est présente sur la commune.

La mairie a mis en place le tri sélectif.

Les déchets ménagers sont traités par le Syndicat intercommunal de Lézignan-Corbières

Enseignement

Montbrun-des-Corbières a une école primaire communale.

Les enfants sont accueillis dans une cantine.

Équipements et services publics

Un bureau de Poste occupe une partie du rez-de-chaussée de la mairie. La commune possède sa bibliothèque municipale, une salle des fêtes et un foyer rural qui accueillent divers ateliers.

Un service municipal des Eaux assure l'approvisionnement en eau de la commune.

Transports

Autobus

Bus du département de l'Aude : Ils passent à heures régulières dans la commune, assurent le ramassage scolaire. La commune dispose d'un mini-bus qu'elle met à disposition des habitants de la commune.

Automobile

Réservation de taxis à la mairie.

Ferroviaire

La commune est accessible par la gare de Lézignan-Corbières à 7 km, ou par la gare de Carcassonne à 29 km. La gare de Narbonne se trouve à 19 km du village.

Aéroport et aérodrome

Aéroport de Carcassonne Salvaza à 29 km

Ports maritime et fluvial

Port la Nouvelle à 35 km

Hydrographie

La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le ruisseau Mayral, le ruisseau de Combe Brindière, le ruisseau de Labade, le ruisseau de la Combe des Loups, le ruisseau de la Denise, le ruisseau de la Picarelle, le ruisseau du Merle et le ruisseau du Puits, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le ruisseau Mayral, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Conilhac-Corbières et s'écoule vers l'ouest puis se réoriente au nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Roquecourbe-Minervois, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 12,5 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lezignan-Corbières », sur la commune de Lézignan-Corbières, mise en service en 1990<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Montbrun-des-Corbières est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (71,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,6 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lotissements

Le lotissement le plus ancien est celui de la Juncasse. Plus tard, ont été construits les lotissements "La Coste 1" et "La Coste 2".

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Montbrun-des-Corbières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:11241-Montbrun-des-Corbières-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montbrun-des-Corbières.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 238 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Églises

  • Église Saint-Roch. Ancienne chapelle castrale, construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur les vestiges d'une ancienne église plus petite. Église paroissiale dédiée à la Vierge marie, l'Église de l'Assomption de Montbrun-des-Corbières.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Colombier<ref>Robert Saint-Jean - Notre-Dame de Colombiers à Montbrun - pp.95-103, dans Congrès archéologique de France. Modèle:131e. Pays de l'Aude. 1973 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1973</ref>. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1950<ref>Modèle:Lien web</ref>. Un bel exemple des débuts de l’architecture romane datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (le clocher est du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). La légende raconte que le seigneur de Montbrun partit aux croisades et que, à son retour, son fils qui ne l’avait pas reconnu lança ses chiens contre lui. Le père mourut dans la nuit et quand, le lendemain matin, son fils comprit ce qu’il avait fait, il fut terrassé par le remords. Voyant une colombe se poser sur le sol, il décida de construire une chapelle à l’endroit que ses pattes avaient touché.

Château de Montbrun

Le château de Montbrun est un ancien château fort perché au sommet du village, il ne reste presque plus rien, à part quelques pierres et la forme d'une motte.

Durant la période de la Croisade des Albigeois, le seigneur de Montbrun fut dépossédé de ses biens par Simon de Montfort. Ce fut son fils Amaury de Montfort qui restitua le château au vicomte de Narbonne. Le château du village comptait un châtelain qui occupait les lieux, mais aussi un viguier.

  • Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le châtelain qui représente le seigneur possédait une maison adossée au château devenu inhabitable.
  • La seigneurie arrive par mariage en possession de Pierre-Antoine de Trégoin, seigneur de Montbrun en 1625. Jean-Pierre de Trégoin, puis Jean-Hyacinthe de Trégoin lui succèdent et portent le titre de vicomte de Montbrun en 1693. Marie-Gabrielle de Trégoin, petite fille de l'ingénieur Antoine Niquet, apporte en dot Montbrun par son mariage avec Antoine Pascal de Saint-Félix, fils d'autre Antoine Pascal, et d'Isabeau de Gothias. Leur fils, Hyacinthe-Xavier-Joachim-Antoine Pascal, marquis de Saint-Félix et seigneur de Montbrun, lui succède. Il épouse Anne-Marie-Madeleine du Bois-des-Cours de la Maisonfort, fille de messire Alexandre du Bois-des-Cours de la Maisonfort, marquis de la Maisonfort, seigneur de Bertry et de Catherine de Chicogneau. Il meurt en 1790 et sa veuve en 1824. Le château-fort est alors vendu à Antoine Boutet, dont la maison est attenante au château et est démantelée. Les pierres du château servent alors à la construction de la métairie Boutet sur le lieu-dit Le Clus.

Remparts

Les anciens remparts de la ville qui était close subsistent, ils apparaissent au détour des rues.

  • Porte Saint-Pierre : Porte médiévale emprise dans les remparts de la commune.

Moulin

Voie romaine

Passage de la voie gallo-romaine Aquitania de Narbonne à Bordeaux : la voie subsiste, elle traverse le village, elle suit le tracé du ruisseau qui va de Lézignan-Corbières à Saint-Couat d'Aude.

Sentier pédestre de la pinède de la Bisto : Sentier parcourant la pinède et la garrigue.

Personnalités liées à la commune

  • La famille de Montbrun qui forma deux branches éteintes au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans l'Aude et au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans le Tarn.
  • Gaspard de Villeneuve, 1491, devient seigneur de Montbrun.
  • La famille Potier, 1537, acquiert le fief de Montbrun.
  • Jean de Trégoin, 1568, seigneur et baron de Montbrun, gentilhomme et lieutenant du roi, devient consul de Narbonne.
  • Jean de Trégoin, seigneur et baron de Montbrun, devient en 1677 consul de Narbonne.
  • Jean-Pierre de Trégoin, seigneur et baron de Montbrun, devient en 1690 consul de Narbonne.
  • Jean-Charles-Hyacinthe de Montbrun, seigneur de Montbrun et des environs, vicomte de Montbrun devient consul de Narbonne en 1693, puis 1699.
  • Jean-Pierre de Frégose, 1675, devient baron de Montbrun.
  • Antoine de Pascal, seigneur de Montbrun, achète le titre de marquis de Saint-Félix (quartier de Narbonne) en 1741. Il réside à l'hôtel de Trégoin, actuel lycée Beausejour)
  • Hyacinthe-Xavier-Joachim-Antoine de Pascal, vicomte de Montbrun, marquis de Saint-Felix, lieutenant du roi de la province de Narbonne, ancien capitaine des dragons, décède en 1790, il est enterré à l'église Saint-Vincent de Narbonne.
Période contemporaine

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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Pour approfondir

Bibliographie

  • Notre-dame-de-Colombier, Janie Mayer.
  • Abbé Sabarthes, dictionnaire topographique de l’Aude, Paris 1912, p 240.
  • Charles Boyer, répertaire archéologique du département de l’Aude, Montpellier, 1941, p35.
  • Archives de l’Aude, Compoix de Montbrun, 1782.
  • Cité par Madeleine Mas, les Eglises audoises de style lombard, diplôme d’études supérieures, faculté de Lettres de Montpellier, 1955, p63.
  • Monseigneur Jean Rivière, Notre Dame en Pays de l’Aude, Carcasonne, 1946.
  • Archive des monuments historiques, dossier Montbrun : Classement du Modèle:Date-, consolidation, rejointement et couverture du cloche, 1951-1952.
  • Roger Hyvert, Métrologie monumentale en Languedoc, dans les monuments historiques de la France, 1961, n°3, p 111-122.
  • Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, 1971, p77-113.
  • Canton de Lézignan-Corbières, Opération Vilatges al Pais, Francis Poudou.
  • Armorial du Languedoc, Montpellier 1, Louis de la Roque
  • G Moynes série BB, inventaire des archives communales antérieures à 1790.
  • Armorial Narbonnais, feuille 8 de Quies à Sevin. Extrait : Recherche générale du diocèse de Narbonne 1537 (copie de l’époque révolutionnaire).
  • Correspondance à la faction du Compoix Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
  • Jean-Pierre de Trégoin, baron de Montbrun, 1690.
  • Mahul Cartulaire de Carcassonne, volume 1.
  • Cahier des Doléances audois, Gilbert Larguier.
  • Etudes généalogiques de Vresse concernant les familles nobles, bourgeoises et ségneuriales de l’Aude, Sigean, Durban, Narbonne, Jean-Marie Blad-Lancelin.
  • Armorial du Languedoc, Louis de la Roque, Toulouse.
  • Mémoire de la Société des Arts et Sciences de Carcassonne Tome III, 1931.
  • Toponyme, département de l’Aude, abbé Sabarthés.
  • Compoix de 1758, 1790 et 1791.
  • Histoires et avenir des vins du Languedoc, Jean Clavel, Robert Baillard, Privat.
  • Bulletin des Sociétés d’études scientifiques de l’Aude, Rigal.
  • Bulletins de la commune de Narbonne.
  • Minervois, Histoire, André Bounery.
  • Histoire et généalogie en Minervois, Pierre Armant-Clément.
  • Église oubliée du Languedoc, Louis Gavoy.
  • Église et Chapelle romane autour de Narbonne, J. Balmitgère.
  • Montbrun-Roquecourbe, Henry Roquecourbe.
  • Société d’Etude Scientifique de l’Aude, 1903.
  • Mémoire de la Société des Arts et Sciences de Carcassonne, 1931.
  • Annales du Midi, Privat.
  • Centre d’études cathares, maison des Mémoires, Meresis.
  • Société d’études scientifiques de l’Aude, Carcassonne.
  • Généalogies françaises, E. Arnaud.
  • Bulletin du centre de recherche général et héraltique.
  • Académie des arts et des sciences de Carcassonne.
  • Etude historique sur Fontfroide, E. Cauvet, 1875.
  • Les seigneurs de Palaja, M. le chanoine A. Sabarthès.
  • Voies romaines du Rhône à l’Ebre.
  • Via Domitia et Agustia, actes d’un Colloque, Maison des Sciences de l’Homme, 1997.
  • La Voie Dominitienne, Presses du Languedoc, Clément P.A / Peyre A., 1998.
  • Armorial de la Noblesse du Languedoc, Louis de la Roque.

Articles connexes

Liens externes

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