Montpitol

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Modèle:Infobox Commune de France Montpitol est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Laragou, le ruisseau de Marignol et par divers autres petits cours d'eau.

Montpitol est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Montpitolais ou Montpitolaises.

Anciennement appelé Montpitol-la-Gascogne ou Montpitol-la-Soulade. La commune de la Soulade a été rattaché à Montpitol par une ordonnance royale de 1817.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne

La commune de Montpitol se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Pechbonnieu<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montastruc-la-Conseillère<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Azas (Modèle:Unité), Saint-Jean-Lherm (Modèle:Unité), Roquesérière (Modèle:Unité), Bonrepos-Riquet (Modèle:Unité), Montastruc-la-Conseillère (Modèle:Unité), Verfeil (Modèle:Unité), Garrigues (Modèle:Unité), Gémil (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Montpitol fait partie du Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leurs vins et leurs fruits<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Montpitol est limitrophe de sept autres communes, dont une dans le département du Tarn<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Le point culminant du village (Modèle:Unité) situé sur la route des crêtes (D30) en haut du lieu-dit Prats Vidal permet de dominer, au nord le bassin versant vers la vallée du Tarn et au sud le bassin versant vers la vallée de la Garonne et de voir distinctement par temps clair les monts de l'Aveyron, la chaine des Pyrénées et la Montagne noire.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Montpitol.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le ruisseau de Laragou, le ruisseau de Marignol, le ruisseau de Crabe Nègue, le ruisseau de Ferrus, le ruisseau de Gayssou, le ruisseau de Labanal, le ruisseau de Las Canal, le ruisseau des Manenses, le ruisseau de Verdensol et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le ruisseau de Laragou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Lavaur (81) et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Gragnague, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 10,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaur », sur la commune de Lavaur, mise en service en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Montpitol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), forêts (2,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et écarts

Les principaux écarts sont, pour l'ancien territoire de La Soulade au nord et à l'est de la commune; En Marignols, La Gardière, La Negro, Castelfret (Castelfort), En Jannat, En Cansalade, En Danis, Saint-Puzet, La Soulade, Sarrail, Noubelly, Stoupignan et Trantoul, et pour l'ancien territoire de Montpitol-la-Gascogne à l'ouest et au sud de la commune; Le Fort, En Gineste, La Serre (Serre de Malconseil), Prats Vidal Bas, Prats Vidal Haut, En Cuns, Mazeillé, La Bourdette, En Maury, Le Moulin, Lissard, Lespiau, Daréou, La Goubertarie, Landillac et Landillac Bas.

Voies de communication et transports

La commune est principalement desservie au nord par la route départementale 30, dite route des crêtes, ligne de partage des eaux entre le bassin de la Garonne et le bassin du Tarn, sur l'axe Montastruc-la-Conseillère - Lavaur.

Au sud la D20c permet de rejoindre Gragnague en suivant le cours du Laragou et la D22 permet d'accéder à Verfeil et Bonrepos-Riquet.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Montpitol est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Laragou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:31388-Montpitol-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montpitol.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 116 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998 et 2002 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Avant la Révolution, Montpitol portait le nom de Montpitol-la-Gascogne.

Histoire

Au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le cartulaire de l'abbaye de Saint-Sernin cite une église nommée Sanctus Projectus dévolue à Saint-Projet sur le territoire de Montpitol<ref>In Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France - 1993 (T53) pages 187 à 189 – l'Archidiaconé de Villelongue au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Pierre Gérard</ref>.

Au Moyen Âge Montpitol faisait partie de la seigneurie de Verfeil qui comptait alors vingt places fortes alentour. Jusqu'à la Croisade des Albigeois (1208-1229) la puissante famille de Portal<ref>Modèle:Lien web.</ref>, adeptes du Catharisme, était seigneurs de Montpitol et entretenait le fort dont seul un lieu-dit dominant le village sur la route des crêtes rappelle l'existence.

En 1215 Simon de Montfort se fait attribuer les terres du comte Raymond VI de Toulouse protecteur des cathares et le revenu du fief de Verfeil dont fait partie Montpitol est alors attribué aux évêques de Toulouse.

En 1278, Bérenger de Portal obtient la restitution de ses biens.

Le fort de Montpitol fut probablement édifié au moment de la Guerre de Cent Ans pour défendre les villageois contre la menace anglaise et les mercenaires. Des murailles de terre édifiées et entretenues par les habitants, entouraient les maisons.

L'avancée de la Réforme protestante au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle permit à Jehan de Portal dit le Jeune de recouvrer en dot les propriétés (terres et forteresse) de Montpitol mais pas la seigneurie et son droit de haute et basse justice qui restèrent à l'archevêque de Toulouse.

En 1570, sous la conduite de l'amiral de Coligny, les troupes des religionnaires, grossies de celles des princes de Condé et de Navarre, s'emparaient des forts qu'ils trouvaient sur leur passage qui n'étaient défendus que par quelques paysans mal armés et sans expérience militaire. En 1574, ils réparaient celui de Montpitol avec les matériaux de l'église qui avait été saccagée récemment par les huguenots<ref>In article "Les anciens forts des villages" de P.A. Chauliac in L'Auta : organe de la société les Toulousains de Toulouse et amis du vieux Toulouse 1960/01 (N287) pages 5 à 9.</ref>.

Le Modèle:Date-, Anne de Levis, Duc de Ventadour, Lieutenant-Général pour le roi Henri IV de la province du Languedoc, dans sa lutte contre les ligueurs sur le chemin de Lavaur à Toulouse, assiégea et brula le fort de Montpitol dont les consuls furent pendus "pour avoir oser soutenir le canon !"<ref>In Bulletin de la Commission des antiquités de la ville de Castres et du département du Tarn - 1879 (T2,A2) pages 184 à 189</ref>.

En 1683 les bénéficiaires des revenus du fief de Montpitol étaient les dames Feuillantines, une congrégation de religieuses qui suivait la règle de Saint Bernard, et qui se consacrait surtout à l'éducation des jeunes filles. Elles étaient établies au faubourg Saint-Cyprien de Toulouse.

En 1733, Jacques Duilhé, bourgeois de Toulouse et propriétaire à La Soulade fut anobli par le capitoulat de Toulouse. Il devint alors coseigneur de La Soulade et rajouta à son patronyme le nom de fief de Saint-Projet.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

La commune de la Soulade, rattachée en 1817 à celle de Montpitol, portait "d'Argent à un chef-bande de sable".

Politique et administration

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Rattachements administratifs et électoraux

Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux du Girou et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Montpitol faisait partie de l'ex-canton de Montastruc-la-Conseillère).

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article détaillé

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Montpitol fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal avec la commune de Roquesérière école maternelle et pour l'école élémentaire sur la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture et festivité

Modèle:...

Sports

Le village de Montpitol est dynamisé par un club d'aviron nommé Montpitol Aviron Club du Lac du Laragou. Ce petit club d'une soixantaine de licenciés est situé sur les berges du Lac du Laragou. Ce club mélange rameurs-loisir et rameurs-compétition, la formation des jeunes y est exemplaire. Le club est une association créé en 1996 qui fait partie de la Fédération française des sociétés d'aviron. Le club se qualifie chaque année pour les championnats de France et il peut compter à son palmarès deux médailles d'or (saison 2009-2010 et saison 2010-2011), deux médailles d'argent (saison ????-????, saison 2009-2010) et une médaille de bronze, ainsi que plusieurs titres de champion du Sud-Ouest. Terrain de basketball,

Écologie et recyclage

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux du Girou<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>http://www.mairie-montpitol.fr/fr/infos-pratiques/dechets.html</ref>.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (69,5 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 24,4 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 31 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 188, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,9 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 188 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 32 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 83,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

33 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Montpitol au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 33 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
3 9,1 % (5,7 %)
Construction 8 24,2 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
3 9,1 % (25,9 %)
Information et communication 1 3 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 1 3 % (3,8 %)
Activités immobilières 1 3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 33,3 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
3 9,1 % (16,6 %)
Autres activités de services 2 6,1 % (7,9 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 33 entreprises implantées à Montpitol), contre 19,8 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Monseigneur François Duilhé de Saint-Projet<ref>Modèle:Lien web.</ref>, né le Modèle:Date- à Toulouse, prêtre, chanoine, professeur de rhétorique, lauréat des Jeux Floraux en 1853, 1854, 1855 et 1856, en a été élu mainteneur en 1857. Docteur en théologie la même année. Auteur du livre Apologie scientifique de la foi chrétienne, il fut l'initiateur de la fondation de l'Institut catholique de Toulouse dont il fut nommé recteur en 1894. Il mourut le Modèle:Date- à Toulouse. Il était propriétaire et conseiller municipal de Montpitol et ses ancêtres étaient seigneurs de Saint-Projet et co-seigneurs de la Soulade au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Site officiel

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Portail