Verfeil (Haute-Garonne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Verfeil (occitan : Vrudfuèlh prononcer "Brufel") est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Girou, le Dagour, le ruisseau de Laragou, la Balerme, le ruisseau de Conné et par divers autres petits cours d'eau.
Verfeil est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Verfeil et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Verfeillois ou Verfeilloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend cinq immeubles protégés au titre des monuments historiques : la citadelle de Verfeil, inscrite en 1952, la porte Vauraise, inscrite en 1961, le moulin de Nagasse, inscrit en 1971, l'église Saint-Blaise, inscrite en 1979, et l'église Saint-Sernin, inscrite en 1979.
Géographie
Localisation
Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne
La commune de Verfeil se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Pechbonnieu<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Verfeil<ref name=meta group=I/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Saint-Pierre (Modèle:Unité), Bonrepos-Riquet (Modèle:Unité), Teulat (Modèle:Unité), Saint-Marcel-Paulel (Modèle:Unité), Montpitol (Modèle:Unité), Gauré (Modèle:Unité), Lavalette (Modèle:Unité), Garrigues (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Verfeil fait partie du Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leurs vins et leurs fruits<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Verfeil est limitrophe de onze autres communes donc quatre dans le département du Tarn. Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Girou, le Dagour, le ruisseau de Laragou, la Balerme, le ruisseau de Conné, Canal du Moulin, l'en Dorle, le Rieutort, le ruisseau d'Argosas, le ruisseau de Barbié, le ruisseau de Buguet, le ruisseau de Castelvert, le ruisseau de Genestière, le ruisseau de Gombaut,, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Girou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Puylaurens (81) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Saint-Jory, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le Dagour, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans Le Girou sur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau de Laragou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Lavaur (81) et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Gragnague, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaur », sur la commune de Lavaur, mise en service en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Verfeil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Verfeil, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), zones urbanisées (3,7 %), cultures permanentes (1,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1 %), forêts (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Voies de communication
Accès par l'autoroute A68 direction Castres et l'ancienne route nationale 112.
Transports
La ligne 376 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse, la ligne 756 du réseau liO relie la commune à Graulhet ou à la gare routière de Toulouse, et la ligne 760 relie la commune à Castres ou à la gare routière de Toulouse également.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Verfeil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dagour et le ruisseau de Laragou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1991, 1992, 1993, 1999, 2000, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 169 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 1998, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Verful en 1137<ref name="Dauzat">Modèle:Ouvrage</ref>; Verdfeil en 1162; Verfuelh en 1390<ref name="Nègre">Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, Genève, 1990, p. 394, n° 6050 (lire en ligne sur Google Livres) [1]</ref>.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale identique à Verfeil (Tarn-et-Garonne, de Viridifolio 1272) et Verfeuil (Gard, de Viridifolio 1121)<ref name="Dauzat"/>.
Il procède ultimement du latin viridis « vert » et folium « feuille »<ref name="Dauzat"/> ou du bas latin vertifolium « barrière, claies en osier tressé »<ref name="Nègre"/>.
Histoire
Antiquité
Il n’est pas possible de dater précisément les origines de Verfeil, mais cinq siècles avant Jésus-Christ, la région de la vallée du Girou était peuplée par des Celtes venus du Nord. Pendant la domination romaine, de nombreuses habitations (maisons ou villas) furent dressées dans la région, et il ne fait nul doute que la région connaissait une grande activité.
La forteresse médiévale
Vers le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, sur la plate-forme où s'élève aujourd'hui le château, une enceinte quadrangulaire fut construite pour abriter des hommes d’armes accompagnés de leur progéniture et de leurs animaux. Quelques chaumines de paysans et d'artisans souhaitant une protection s’installèrent ensuite au pied de cette forteresse, le village grandit lentement et une église de torchis fut érigée : Verfeil était né. Les «chevaliers de Verfeil» étaient en fait des pillards qui rançonnaient les convois se rendant à Toulouse. Un accord n'intervint entre les deux parties qu'en décembre 1203.
Les guerres de religion
À partir de l'an 1000, nombreux furent les propagateurs de nouvelles doctrines religieuses dérivées du christianisme ou s'opposant violemment à lui : un des plus célèbres hérétiques, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, fut le moine Henri, installé à Verfeil vers 1140 et qui y avait fait de nombreux adeptes tant dans le peuple que parmi les seigneurs.
Ce que dit Henri a beaucoup d’écho : il sait flatter les foules et son allure ajoute à son succès car au contraire des riches représentants de l’église, il arrive pieds nus et en loques. Se séparant délibérément de l'église, il rejette sacrements et prières, les cérémonies publiques dans les temples, etc...
Pour lutter contre Henri, le pape Eugène II envoie dans la région le cardinal Albéric et saint Bernard, abbé de Clairvaux, mais ce fut un échec, les seigneurs de la ville refusant d’écouter son prêche. La légende veut qu’en quittant la ville, saint Bernard murmura : « Verfeil....cité de la verte feuille.. que Dieu te dessèche. ». Par la suite, et durant sept années, les sécheresses se succédèrent dans le pays, le premier arbre qui se vêtit à nouveau de feuilles étant un figuier. C'est pourquoi les armes de la ville portent un arbre de cette espèce s'accrochant à un sol aride et dénudé.
Ce terrain fut propice au protestantisme qui s’implanta dans la région au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle : c'est ainsi qu'en mai 1562 une troupe de soixante religionnaires Verfeillois alla renforcer les protestants toulousains qui luttaient dans cette ville. Des mesures prudentes prises par les consuls apaisèrent peu à peu les passions et le calme revint finalement dans la cité.
La Révolution française
Avant la Révolution à proprement parler, on ne déplore aucun trouble important dans la ville : elle va surtout se manifester à Verfeil sur le plan matériel et sur le plan religieux.
L’émigration fut évidemment importante dans cette ville, les notables fuyant la colère populaire, laissant derrière leurs biens, et notamment le château de la ville. Celui-ci fut sauvé de la destruction que projetaient certains candidats acquéreurs grâce à l'intervention d'un bourgeois avisé : Antoine Marie Baptistat qui remporta la vente et refusa la démolition.
Sur le plan religieux, il y a un trouble tel sur les problèmes soulevés par la constitution civile du clergé que, refusant de s'y soumettre, la plupart des prêtres du secteur préférèrent émigrer. À Verfeil-même s'installe alors un « curé constitutionnel » : Mathieu Sulpice Choussat.
La vague antireligieuse n'épargne pas tout à fait Verfeil et l'on envisagea fortement la démolition des églises. Cependant, la destruction se fit avec lenteur et réticence de sorte que l'église de Saint-Sernin-des-Rais ne fut que peu endommagée. Par contre l'église du Ramel et celle de Saint-Jean-de-Mongagne sur la route de Montpitol furent détruites.
Deux événements dramatiques marquèrent la période terrible de la Terreur à Verfeil. Tout d’abord, Dorothée Riquet de Bonrepos, mariée à Jean-Louis Emmanuel Augustin de Cambon, éminent magistrat devenu Premier Président, refusa de donner la moindre indication qui put mettre sur la trace de son mari, alors en fuite. Elle fut aussitôt arrêtée avec sa fille, puis accusée de comploter dans sa prison, condamnée à mort et exécutée le 8 Thermidor. D'autre part, Baudrique d’Escalonne, membre du Parlement de Toulouse était lui aussi recherché, mais sa mort en janvier 1793 le fit échapper aux bourreaux; ceux-ci se vengèrent alors en n’hésitant pas à guillotiner son fils aîné à peine âgé de 22 ans.
Une insurrection royaliste s'étant produite dans la Haute-Garonne et les départements limitrophes, les Verfeillois luttèrent victorieusement contre cette insurrection de Thermidor, an VII (Modèle:Date-). En effet, le 5 août, au matin, le commandant de la Garde Nationale de Lanta, bourg qui venait d'être pris par les royalistes, vint demander du secours à Verfeil. On battit alors le rappel et un détachement de soixante hommes partit donc, renforcé en cours de route par des volontaires des communes voisines. Après un violent combat, les royalistes furent vaincus et durent quitter la région.
La Seconde Guerre mondiale
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la Seconde Guerre mondiale est l’événement le plus marquant de l’histoire de Verfeil. Privée de nombreux agriculteurs, soldats restés prisonniers en Allemagne, la vie y fut rude pour tous mais grâce au travail des femmes et au fait de vivre dans une région agricole, la dureté du ravitaillement, terrible en d'autres points de France, fut atténuée.
Verfeil connut également le grand problème des réfugiés avec, en 1940, l'arrivée de Belges mélangés aux réfugiés français. Puis, en 1942 l’armée allemande envahit la zone libre et Verfeil accueillit des familles juives ou leurs enfants pour les soustraire aux arrestations de la milice ou de la Gestapo. Dans le même temps, des réseaux de résistants recevaient des parachutages ou réceptionnaient des soldats alliés tentant de rejoindre l’Angleterre via l’Espagne. Ensuite, ce furent les Toulousains qui vinrent en grand nombre se réfugier dans les environs, fuyant le danger des bombardements aériens du printemps 1944.
Le Modèle:Date-, la ville fut menacée d’être brûlée par les SS qui soupçonnaient la présence d’une cache d’armes. Ne la trouvant pas, ils quittent la ville, et finiront par quitter la région à partir du 20, fuyant le débarquement allié.
Héraldique
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la troisième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux du Girou et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Verfeil était le chef-lieu de l'ex-canton de Verfeil).
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Sources : [2], GeneawikiModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
En Modèle:Date-, la démission de 13 élus, soit plus d'un tiers du conseil municipal, provoque des élections anticipées les [[Élections municipales partielles françaises de 2017#Verfeil (Haute-Garonne)|5 et Modèle:Date-]]<ref>Modèle:Article.</ref>. Le maire sortant Hervé Dutko est éliminé dès le premier tour et au second, la liste « Verfeil dynamique et responsable » de Patrick Plicque bat la liste « Verfeil : nouveau départ » conduite par l'ancien maire Raymond Dematteis avec 51,29 % des suffrages (contre 48,71 %).
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Proche de l'agglomération toulousaine, Verfeil tend à devenir une banlieue résidentielle de Toulouse, comme le montre la forte croissance de sa population depuis trente ans.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 58 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (55,3 % dans le département).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,7 % d'actifs (71,3 % ayant un emploi et 6,4 % de chômeurs) et 22,3 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 706 en 2013 et 654 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 658, soit un indicateur de concentration d'emploi de 49,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,3 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 1 658 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 336 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 86,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,7 % les transports en commun, 3,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
348 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Verfeil au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 348 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
30 | 8,6 % | (5,7 %) |
Construction | 50 | 14,4 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
91 | 26,1 % | (25,9 %) |
Information et communication | 6 | 1,7 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 13 | 3,7 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 14 | 4 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
61 | 17,5 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
48 | 13,8 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 35 | 10,1 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,1 % du nombre total d'établissements de la commune (91 sur les 348 entreprises implantées à Verfeil), contre 25,9 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Perver, supermarchés (Modèle:Unité)
- Societe Equipements Infra, travaux de terrassement spécialisés ou de grande masse (Modèle:Unité)
- Soc D'expl ETS Algans, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (Modèle:Unité)
- SARL Du Grand Faubourg, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (Modèle:Unité)
- All For TP, commerce de gros (commerce interentreprises) de machines pour l'extraction, la construction et le génie civil (Modèle:Unité)
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 94 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 58 en 2000 puis à 47 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 50 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 47 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Barthélemy du Ramel<ref>Eglise Saint-Barthélemy - Eglises et patrimoine religieux de France</ref>.
Le patrimoine
Les portes
Autrefois, quatre portes permettaient de passer les remparts entourant la ville, dont 2 étaient fortifiées. Ces deux portes sont encore debout : il s’agit de la porte Tolosane et de la porte Vaureze.
- La porte Vaureze (ou Vauraise) doit son nom au fait qu’elle est orientée vers Lavaur. Flanquée de deux poivrières encadrant un fronton renaissance, elle comportait à l’époque un pont-levis. En 1593, il fut décidé de la rehausser et de construire une salle au-dessus du passage. Elle est classée Monument historique depuis 1961<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La porte toulousaine, tournée vers Toulouse, était à l’origine semblable à la porte Vauraise. L’état actuel résulte des transformations de la cité au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. En 1830, l’inscription « Liberté Ordre public » fut placée en haut de la porte, remplaçant les armoiries de la ville commandées en 1593 au sculpteur toulousain Jan Alaman et martelées lors de la Révolution.
-
La porte Vaureze
-
La porte toulousaine
Le château ou citadelle
Le château de Verfeil, qui couvre plus de trois mille mètres carrés fut probablement construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Sa situation dominante au-dessus du bourg lui permettait d’en assurer la protection. Simon de Montfort le donna à l'évêque de Toulouse en 1214. Remanié par l'archevêque Pierre Dumoulin (1439-1451). Le château devint citadelle et faillit disparaître totalement : mal entretenu, dégradé et découronné, il devait être démoli entièrement, peu après la Révolution, par des entrepreneurs peu scrupuleux qui projetaient d’en vendre les débris comme matériaux. Antoine Marie Baptistat, citoyen de Verfeil, après avoir obtenu l'appui de quelques autres habitants, fit les démarches nécessaires et acheta le château pour le diviser et le répartir entre ceux qui le soutenaient. Il est inscrit au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
L’église Saint-Blaise
L’église Saint-Blaise a été bâtie au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle : le travail fut commandé le Modèle:Date par les consuls. Le clocher, tour octogone à trois étages sur un massif rectangulaire fut construit de 1530 à 1554.
Certains archevêques voulurent ensuite enrichir cette église qui était celle de leur fief principal et on l’unit ainsi au château par un arc de pierre.
Plusieurs peintures de Gabriel Beringuier (peintre toulousain, 1843-1913) ornent le chœur. Sur le mur nord de l'abside les trois premiers pans représentent La Pâque selon l'ancien Testament et sur les trois pans du mur sud c'est la Communion de Marie qui est représentée. Au bas du maître autel on a le Portement de Croix avec à gauche l'Annonciation et à droite la Naissance du Christ.
Sur le maître-autel figurent huit théologiens sur huit panneaux peints à l'huile sur bois, avec de gauche à droite saint Grégoire, saint Hieronymus, saint Franciscus Silesius, saint Dominique, saint Bernard, saint Thomas d'Aquin, saint Augustin et saint Ambroise. Les vitraux du chœur sont du maître verrier Paul Chalon qui travailla au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à la restauration des vitraux de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse. La nef et les voûtes ont été peintes par La famille Ceroni, peintre et décorateur toulousain itinérants d'origine italienne, spécialisés dans la quadratura, qui travaillèrent dans le Sud-Ouest de la France au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et dans la première moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. On leur doit les décors de la Cathédrale Saint-Alain de Lavaur et de l'église Saint-Jérôme de Toulouse.
Le Modèle:Date, en début d'après-midi et alors que rien ne semblait faire prévoir ce sinistre, le clocher s'effondra sur lui-même écrasant tout le fond de l'église. Il n'y eut heureusement aucune victime. Il fut alors décidé que l'on le rebâtirait dès que possible : malheureusement faute d'argent on dut se contenter de rebâtir un seul étage au lieu des trois du passé et on ne revit plus l'horloge. Cependant, la cloche du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle a résisté à la chute.
Cette église est inscrite monument historique depuis 1979<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. La cloche est classée monument historique à titre objet depuis 1942<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>, ainsi qu'une Vierge de Pitié en bois peint et doré du {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: ou|-| – | ou }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVI
}} depuis 1975 (non retrouvée en 2002)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
-
Vue de Saint-Pierre.
-
La façade promenade Jean Jaurès
-
Vue de la place de la Victoire
-
Le portique d'entrée
-
Le maître-autel
-
Le plafond
La Croix Digne
« La Croix Digne » était un reliquaire en forme de croix processionnelle, commandé en 1467 par les consuls de l'époque à Pierre de Clusel, orfèvre toulousain, qui abritait une parcelle de la vraie Croix peut-être rapportée par un chevalier de la région ayant pris part aux Croisades.
Ce chef-d'œuvre n'a pas échappé aux fureurs de la Révolution et aux besoins de métaux précieux et la Croix Digne a donc disparu mais un fac-similé de l'ancienne croix fut réalisé en 1820.
Il était attribué à cette croix une vertu protectrice favorable aux personnes, éloignant les calamités et les chassant, surtout les menaces de la foudre et les dévastations de la grêle. Par suite et jusqu'à une période encore proche, en cas d'orage menaçant, le curé sortait cette Croix sur le seuil de l'église.
Les maisons à corondage
Le centre historique a gardé plusieurs maisons du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, typiques de architecture de cette époque avec le bois apparent dite à corondage (nom donné dans la région toulousaine au colombage du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref>M. G. Lafaille; Annales de la ville de Toulouse depuis la réünion de la Comté de Toulouse à la Couronne : avec un Abrégé de l'ancienne histoire de cette ville et un Recueil de divers titres et actes pour servir de preuves ou d'éclaircissement à ces Annales; Guillaume-Louïs Colomyez, 1701 - Modèle:P..</ref>, notamment celle du "Lieutenant de juge".
L’église Saint-Sernin-des-Rais et son enclos
À deux kilomètres de Verfeil, en direction de Lavaur, se trouve le cimetière des Petites Filles modèles immortalisées par la comtesse de Ségur, et de leur famille, les Malaret.
Les tombes des Malaret sont dans un enclos à part, entouré d'une grille et dominé par une croix. De gauche à droite :
- Madeleine de Malaret (petite-fille de la comtesse de Ségur)
- Louis Napoléon de Malaret (frère de Madeleine) et Paul de Malaret (neveu de Camille et Madeleine)
- Camille de Malaret (petite-fille de la comtesse de Ségur) et son fils Paul Belot
- Le Baron Paul de Malaret et son épouse Nathalie (fille de la comtesse de Ségur).
En face se trouve l'église de Saint-Sernin-des-Rais au clocher-mur de style toulousain. C'était une annexe de l'église Saint-Blaise de Verfeil. Elle comporte six chapelles et son clocher avait cinq cloches. Elle daterait de l'an 1604. Elle abritait certains objets comme une croix en argent, un reliquaire façon argent. L'ensemble a été inscrit aux monuments Historiques en 1986.
-
Vue aérienne de Saint-Sernin-des-Rais
-
Saint-Sernin-des-Rais
-
Le clocher-mur
-
Tombes des Petites Filles modèles
Le moulin de Nagasse
-
La tour nord
-
Façades nord-est et sud-est
-
L'arrivée d'eau sur le côté sud-est
Vie pratique
Services publics
Enseignement
Verfeil dispose de deux écoles et d'un collège. Une école publique allant de la maternelle au CM2, et une autre privée l'école Sainte-Thérèse allant aussi de la maternelle au CM2. Il y a aussi un collège, le collège Jean-Gay. Après la 3e, les élèves se dirigent sur Toulouse (lycée Saint-Sernin, Raymond-Naves ou Ozenne) ou sur Lavaur.
Culture
- L'école de danse Fever Dance enseigne les disciplines rock, salsa, country, zumba, Modern' Line Dance, tango argentin, hip-hop, danses de salon.
- L'Association Parta'Jeu<ref>Modèle:Lien web.</ref> promeut le jeu et les activités de loisirs comme médiateurs culturels, sociaux et éducatifs, Le Jeu pour Tous : soirées jeux adultes et familles, animations ludiques, prêts.. Elle gère et anime une ludothèque associative en partenariat avec la municipalité de Verfeil et la CAF 31 : La Ludothèque est ouverte au public depuis Modèle:Date- au 1A, Avenue des Ecoles.
Les événements
- La bourse toutes collections en mars
- Le Festival des musiques de l'âme en avril
- Le Salon du Livre et de la BD en mai
- Concert « 31 Notes d'été » généralement en juillet
- La Foire à Tout en septembre
- Le trail du cassoulet en octobre
- Les théâtrales de Verfeil en novembre
- Le Marché de l'Avent, dernier dimanche de novembre
Activités sportives
- Verfeil compte de nombreux clubs de sports : basket-ball, tennis, football, voile.. Et possède une piscine municipale,
- Club de rugby à XV Union sportive verfeilloise évoluant dans le Championnat honneur Midi-Pyrénées saison 2020-2021<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Le Club de tennis participe à de nombreuses compétitions durant l'année, et organise un tournoi tennis open (adulte et enfant (magic circuit)) la dernière semaine d'août durant 15 jours.
- Le club de voile est un des plus importants de la région.
Écologie et recyclage
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Mairie
- Office de tourisme de Verfeil
- Site officiel de la communauté de communes des Coteaux du Girou
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes