Mouvement républicain et citoyen

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Le Mouvement républicain et citoyen (MRC) est un parti politique français fondé en 2003, qui prend la suite du Mouvement des citoyens et avant lui du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES). De 2002 à 2004, il fait partie du Pôle républicain. Le parti prône un protectionnisme modéré ainsi qu'un fort étatisme.

En 2019, il fusionne dans la Gauche républicaine et socialiste (GRS) en s'associant à l'Alternative pour un programme républicain, écologiste et socialiste, créée par Marie-Noëlle Lienemann et Emmanuel Maurel après leur départ du Parti socialiste, mais sans se fondre pour autant.

Historique

En Modèle:Date-, Jean-Pierre Chevènement démissionne de son poste de ministre de la Défense pour manifester son opposition à l'engagement français aux côtés des troupes américaines au Koweït, pourtant décidé par François Mitterrand. Le Mouvement des citoyens (MDC) est créé l'année suivante, prenant le relais de Socialisme et République, et avant lui du CERES (aile gauche du Parti socialiste). À nouveau en désaccord avec le PS sur la question du traité de Maastricht, le MDC fait scission pour devenir un parti politique indépendant au début de l'année 1993.

Après 2002

À l'occasion de l'élection présidentielle de 2002, où Jean-Pierre Chevènement, candidat du Pôle républicain, obtient 5,33 % des voix, le Mouvement des citoyens se transforme en Pôle républicain. Après l'échec de celui-ci aux élections législatives (il n'obtient aucun élu, contre 7 élus sortant pour le MDC), des dissidents fondent l'AGR.

Les Modèle:Date- et Modèle:Date- se tient le congrès fondateur du Mouvement républicain et citoyen. Il regroupe majoritairement des anciens membres du MDC, dont son président d'honneur, Jean-Pierre Chevènement, son premier secrétaire, Jean-Luc Laurent et son porte-parole, Georges Sarre. Le Pôle républicain subsiste alors en tant que confédération composée à parité de membres du MRC et de représentants des autres composantes (gaullistes de l'Union gaulliste pour une France républicaine (UGFR), radicaux de l'Union des républicains radicaux (U2R)…).

En Modèle:Date-, quatre secrétaires nationaux du MRC, dont Éric Coquerel et l'ancien juge Éric Halphen, décident à leur tour de démissionner et fondent le Mouvement pour une alternative républicaine et sociale (MARS), dissident, qui se rapprochera du PCF et de l'AGR.

En Modèle:Date-, des militants ayant appelé à voter PCF aux européennes sont exclus.

Lors du congrès de Paris {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXe{{#if:|  }} }}, au gymnase de la Bidassoa en Modèle:Date-, le MRC réaffirme sa volonté d'agir en faveur d'une refondation républicaine de la Gauche ; il élit comme premier secrétaire l'ancien ministre Georges Sarre à 69 % des voix, et se donne les moyens d'une action militante dans la campagne pour le non au traité constitutionnel européen, victorieux le Modèle:Date-.

Lors du congrès de Paris {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }}, gymnase Japy, en Modèle:Date-, le MRC se prononce en faveur d'un candidat de rassemblement de la gauche qui puisse donner une suite au non du Modèle:Date- (voir Comité d'initiative pour un rassemblement antilibéral : élection présidentielle de 2007). Si un tel rassemblement devait ne pas aboutir, Jean-Pierre Chevènement se présenterait, soutenu par le MRC.

Les instances du MRC décident à 84 %, le Modèle:Date-, de ne pas présenter la candidature de Jean-Pierre Chevènement et de soutenir Ségolène Royal dès le premier tour. L’accord électoral prévoit que 10 circonscriptions sont réservées à des candidats MRC, qui sont également soutenus par le PS et que six places de suppléants de candidats socialistes sont réservées au MRC. Dans une soixantaine de circonscriptions, le MRC présente ses propres candidats à côté des candidats présentés ou soutenus par le PS (40). Il obtient finalement un seul siège, celui de Christian Hutin dans le Nord qui s'inscrit au groupe Socialiste, radical, citoyen.

Face au Front de gauche

Le Modèle:Date-, Jean-Pierre Chevènement prend la tête de la présidence effective du MRC lors du congrès du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), avec l'appui de Modèle:Nombre sur 178 votants. M. Chevènement fait part à cette occasion de son ambition de se présenter aux élections sénatoriales de septembre de la même année. Il lance aussi un appel au PS et au PCF pour la fondation d'un grand parti de la gauche, dont le leader serait le candidat unique de la gauche de gouvernement à l'élection présidentielle de 2012<ref>« Plébiscité par son parti, Chevènement veut refonder la gauche », AFP.</ref>.

Lors des élections sénatoriales, le MRC gagne un sénateur, Jean-Pierre Chevènement remportant le siège du Territoire de Belfort dans le cadre d'une triangulaire l'opposant au candidat socialiste PS Yves Ackermann et à l'UMP, le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Fin novembre, le sénateur de la Loire-Atlantique, François Autain, quitte le MRC pour rejoindre le Parti de gauche, réduisant les effectifs sénatoriaux du parti à un et mettant un point final à son groupe commun avec le Parti communiste français, le CRC.

En 2009, en l'absence d'un « accord avec l'ensemble des forces de gauche » sur les européennes et après des négociations infructueuses avec le Parti socialiste et le Front de gauche, le MRC décide de renoncer à participer à ces élections, préférant préparer « les échéances qui viennent et plus particulièrement celles de 2012 »<ref>Élections européennes : la position du Conseil national du Mouvement Républicain et Citoyen, résolution adoptée par le conseil national du Mouvement républicain et citoyen, dimanche Modèle:Date-.</ref>. Cette consigne n'est pas suivie par l'ensemble du MRC, plusieurs fédérations et responsables du parti décidant de rejoindre le Front de gauche, la plupart du temps dans le cadre de la nouvelle organisation « République et socialisme »<ref>frontdegauche.eu, Appel de « République et Socialisme ».</ref>. Le 14 mai, Jean-Pierre Chevènement annonce dans un communiqué de presse que le MRC appellera officiellement à voter blanc ou nul<ref>« Élections européennes : le MRC pour un vote blanc ou nul » sur le blog de J.-P. Chevènement.</ref>.

Lors des élections régionales de mars 2010, le MRC passe un accord avec le PS et obtient 19 élus. Le Modèle:Date-, deux conseillers régionaux MRC d'Île-de-France, Guillaume Vuilletet et Éric Chevaillier<ref>Modèle:Article.</ref>, annoncent rejoindre Europe Écologie. Cela porte à 5 le nombre d'élus MRC au conseil régional d'Île-de-France.

Le Modèle:Date-, le MRC conclut avec le PS un « contrat de législature » qui « fonde leur alliance pour 2012 »<ref>« Contrat de législature PS/MRC », Le Figaro, Modèle:Date-.</ref>.

Les Modèle:Date- et Modèle:Date-, lors de son Modèle:6e, le MRC reconduit Jean-Luc Laurent en tant que président et lance une convention nationale sur la question européenne en 2013 pour préparer les élections européennes de 2014. Elle sera précédée de conventions locales, ouvertes Modèle:" Finalement, le parti annonce début mai qu'il ne présentera pas de candidats à ces élections et appelle les électeurs à boycotter le scrutin : Modèle:Citation bloc

Élection présidentielle de 2017

Le Modèle:Date-, Jean-Pierre Chevènement annonce qu’il quitte la présidence d’honneur du MRC afin de « reprendre sa liberté »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette décision est critiquée par Jean-Luc Laurent qui la regrette publiquement et y voit un « refus des procédures démocratiques et du vote des militants ». Ce départ, contrairement au vote du congrès du MRC qui rejetait le rapprochement avec Nicolas Dupont-Aignan, est salué par celui-ci<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La motion adoptée au congrès par 88,5 % des délégués confirme l'inscription du MRC à gauche sur l'échiquier politique et affirme la présence d'un candidat pour l'élection présidentielle de 2017. À cette fin, l'investiture est attribuée le Modèle:Date- à Bastien Faudot, Modèle:Nombre, porte-parole du parti, conseiller départemental du Territoire de Belfort et conseiller municipal de Belfort<ref>Béatrice Houchard, « Bastien Faudot (MRC) : Relever la gauche, et la France avec », L'Opinion, Modèle:Date-.</ref>. Sa candidature devait initialement s'insérer dans la primaire citoyenne de 2017, mais le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis la recale<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il se retire le Modèle:Date- avec 18 parrainages validés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Création de la Gauche républicaine et socialiste

En octobre 2018, un conseil national du parti valide une résolution visant à s'associer avec l'Alternative pour un programme républicain, écologiste et socialiste, créée par Marie-Noëlle Lienemann et Emmanuel Maurel<ref>Sylvia Zappi, « Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann lancent Après, avec 650 élus, cadres et militants socialistes », lemonde.fr, 19 octobre 2018.</ref>. Le Mouvement républicain et citoyen acte lors de son congrès national de Paris Reuilly, les Modèle:1er et Modèle:Date-, de s'engager dès 2019 dans la création d'une Modèle:Citation conjointement avec les forces de l'APRÉS et visant à devenir la Modèle:"<ref>Modèle:Article.</ref>. Les Rencontres fondatrices de Valence les 2 et Modèle:Date- donnent naissance à une nouvelle formation politique dénommée Gauche républicaine et socialiste (GRS). Conformément à ce qui a été adopté lors de son congrès national de décembre 2018, le MRC ne disparaît pas<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Pour les élections européennes de 2019, le MRC présente une candidate sur la liste Maintenant le peuple de La France insoumise et de la GRS, Catherine Coutard, urgentiste et vice-présidente du parti<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En amont de l'élection présidentielle de 2022, le MRC et la GRS font défection de Mélenchon et participent à la campagne avortée d'Arnaud Montebourg<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le 9 mars, après le retrait en janvier d'Arnaud Montebourg, le parti annonce son soutien à Fabien Roussel (PCF)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il participe à la fondation de la Fédération de la gauche républicaine, en Modèle:Date-, avec la Gauche républicaine et socialiste, la Nouvelle Gauche socialiste et Les Radicaux de gauche (LRG, scission du PRG) en vue des législatives<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Dirigeants

Présidents

Modèle:…

Mouvement de jeunesse

Les jeunes du parti sont regroupés dans un mouvement appelé, de 2003 à 2006, « Jeunesses citoyennes<ref>Voir sur blogg.org.</ref> », puis, après quelques années d'interruption, dans une nouvelle organisation, créée en 2009 sous l’appellation « Les jeunes du MRC ».

Élus

Députés

Législatures Députés Circonscription Groupe Remarques
[[Xe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Xe{{#if:|  }} }}]]
(1993-1997)
Jean-Pierre Chevènement Territoire de Belfort 2e Socialiste (1993-1994) - République et liberté (1994-1997)
Jean-Pierre Michel Haute-Saône 2e Socialiste (1993-1994) - République et liberté (1994-1997)
Georges Sarre Paris 6e Socialiste (1993-1994) - République et liberté (1994-1997)
[[XIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }}]]
(1997-2002)
Pierre Carassus Seine-et-Marne 3e Radical, citoyen et vert
Roland Carraz Côte-d'Or 3e Radical, citoyen et vert
Jean-Pierre Chevènement Territoire de Belfort 2e Radical, citoyen et vert (1997) - (2000-2002) Nommé au gouvernement le 4 juin 1997
Gilberte Marin-Moskovitz Radical, citoyen et vert (1997-2000) Remplace Jean-Pierre Chevènement
Jacques Desallangre Aisne 4e Radical, citoyen et vert
Jean-Pierre Michel Haute-Saône 2e Radical, citoyen et vert
Georges Sarre Paris 6e Radical, citoyen et vert
Michel Suchod Dordogne 2e Radical, citoyen et vert
[[XIIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }}]]
(2007-2012)
Christian Hutin Nord 12e Socialiste, radical et citoyen
[[XIVe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIVe{{#if:|  }} }}]]
(2012-2017)
Marie-Françoise Bechtel Aisne 4e Socialiste, républicain et citoyen Quitte le MRC le 18 juin 2015
Christian Hutin Nord 13e Socialiste, républicain et citoyen
Jean-Luc Laurent Val-de-Marne 10e Socialiste, républicain et citoyen
[[XVe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVe{{#if:|  }} }}]]
(2017-2022)
Christian Hutin Nord 13e Nouvelle gauche (2017-2018) - Socialistes et apparentés (2018) Rejoint le Mouvement des citoyens en 2018

Sénateurs

Début Fin Sénateur Département Groupe Remarques
1993 2004 Paul Loridant Essonne Socialiste (1993-1995)
Communiste, républicain et citoyen (1995-2004)
2000 2004 Jean-Yves Autexier Paris Communiste, républicain et citoyen
2001 2008 Pierre Biarnès Français établis hors de France Communiste, républicain et citoyen
2001 2008 François Autain Loire-Atlantique Communiste, républicain et citoyen Quitte le MRC en 2008 et rejoint le Parti de gauche
2008 2014 Jean-Pierre Chevènement Territoire de Belfort Rassemblement démocratique et social européen
2017 2018 Sabine Van Heghe Pas-de-Calais Socialiste et républicain Rejoint le Mouvement des citoyens en 2018

Conseillers régionaux

1998-2004

Région Élus Sièges
Aquitaine Emmanuel Espagnol ¹ Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Bourgogne Michel Vasquez Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Franche-Comté Jean-Loup Coly, Éric Houlley, Christian Proust Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Île-de-France Éric Ferrand, Nicole Touquoy-Morichaud, Christophe Lepage, Jean-Luc Laurent Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Languedoc-Roussillon Denis Brouillet Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Midi-Pyrénées Marie-Pierre Gleizes (Haute-Garonne) Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Nord-Pas-de-Calais Françoise Dal (Nord), Claude Nicolet (Nord), Jean-Marie Alexandre (Pas-de-Calais) Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Picardie Michel Vignal (Aisne), Sandrine Goffinon (Somme) Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Provence-Alpes-Côte d'Azur Ladislas Polski (Alpes-Maritimes) Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
La Réunion Christine Soupramanien Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Total Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

¹ Quitte le MDC en 2001 et rejoint le PS

2004-2010

Région Élus Groupe Sièges
Île-de-France Éric Ferrand, Daniel Guérin (Val-de-Marne), Nicole Touquoy-Morichaud, Christophe Lepage
Guillaume Vuilletet (Val-d'Oise), Jean-Luc Laurent (Val-de-Marne), Rachid Adda
Républicain, radical et citoyen Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Languedoc-Roussillon Béatrice Négrier (Hérault) Communistes, républicains et citoyens Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Nord-Pas-de-Calais Françoise Dal (Nord), Christian Hutin (Nord), Jean-Marie Alexandre (Pas-de-Calais) Socialiste, citoyen et radical Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Basse-Normandie Philippe Bonneau (Calvados), Michèle Lemaux (Manche), Jacques Lecostey (Manche) Républicain et citoyen Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Provence-Alpes-Côte d'Azur Jean-Louis Dieux Socialiste, radical, citoyen et apparentés Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Total Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

2010-2015

Région Élus Groupe Sièges
Auvergne Jean-Marc Miguet (Puy-de-Dôme) Socialiste et républicain Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Franche-Comté Alain Letailleur (Doubs), Étienne Butzbach (Territoire-de-Belfort) Socialiste, républicain et gauche solidaire Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Île-de-France Pierre Dubreuil (Paris), Éric Chevaillier (Yvelines), Jean-Marc Nicolle (Essonne), Béatrice Desmartin (Seine-Saint-Denis)
Jean-Luc Laurent ¹ (Val-de-Marne), Daniel Guérin (Val-de-Marne), Guillaume Vuilletet (Val-d'Oise)
Socialiste, républicain et apparentés Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Languedoc-Roussillon Béatrice Négrier (Hérault) Communistes, républicains et citoyens Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Midi-Pyrénées Marie-Pierre Gleizes (Haute-Garonne) Parti socialiste et républicain Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Nord-Pas-de-Calais Françoise Dal (Nord), Jean-Marie Alexandre (Pas-de-Calais) Socialiste, citoyen et radical Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Pays-de-la-Loire Joël Batteux Socialiste, républicain et citoyen Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Picardie Michel Vignal (Aisne), Thierry Lucas (Somme) Socialiste, républicain et citoyen Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Provence-Alpes-Côte d'Azur Jean-Louis Dieux (Alpes-Maritimes) Socialiste, radical et républicain Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Rhône-Alpes Frédéric Vergez Parti socialiste Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Total Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

¹ Démissionne le 12 juillet 2012 à la suite de son élection à l'Assemblée nationale.

2015-2022

Région Élus Groupe Sièges
Île-de-France Jean-Marc Nicolle¹ (Val-de-Marne) Radical, citoyen, démocrate, écologiste et centristes Modèle:Infobox Parti politique/Sièges
Occitanie Thierry Cotelle

Beatrice Négrier René Moreno|| Socialiste, républicain et citoyen||

Total Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

¹ Jean-Marc Nicolle quitte le MRC en février 2018.
² Béatrice Negrier quitte le MRC en 2016 et rejoint le PS.

Porosité avec les autres partis

Petit parti, le MRC a subi plusieurs scissions et départs. Certains étaient individuels, d'autres groupés, et ont donné lieu à d'autres mouvements.

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

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Liens externes

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