Paranthrope

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Modèle:Sous-titre/Taxon Modèle:Taxobox début Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox Modèle:Taxobox taxon Modèle:Taxobox taxons Modèle:Taxobox synonymes

Modèle:Infobox V3/Fin

Les Modèle:Dfn (Modèle:Dfn) forment un genre éteint d'Hominina ayant vécu en Afrique il y a entre Modèle:Nb avant notre ère. Il regroupe les deux espèces largement acceptées P. boisei et P. robustus, parfois qualifiées d'« Modèle:Dfn ». Cependant, la validité de Paranthropus étant contestée, il est parfois considéré comme un synonyme d'Australopithecus selon certaines études.

Paranthropus est caractérisé par la disposition de crânes robustes, ayant une crête sagittale proéminente semblable à celle des gorilles le long de la ligne médiane – ce qui suggère de puissants muscles masticateurs – et de larges dents d'herbivores utilisées pour broyer les aliments. Cependant, les représentants du genre préféraient probablement les aliments mous aux aliments durs. Les espèces de Paranthropus étaient des mangeurs généralistes, mais P. robustus était probablement un omnivore, tandis que P. boisei était probablement herbivore et mangeait principalement des cormes. Tout comme Australopithecus et Homo, ils étaient bipèdes. Malgré leurs têtes robustes, ils ont des corps relativement petits. Les poids et les tailles moyennes sont estimés de Modèle:Unité et Modèle:Unité pour les mâles P. robustus, Modèle:Unité et Modèle:Unité pour les mâles P. boisei, Modèle:Unité et Modèle:Unité pour les femelles P. robustus et Modèle:Unité et Modèle:Unité pour les femelles P. boisei.

Ils étaient peut-être polygames et patrilocaux, mais il n'y a pas d'analogue moderne pour les sociétés des membres de la lignée humaine. Ils se sont associés à des outils en os et contestés comme la première preuve de la domestication du feu. Ils habitaient généralement les forêts et coexistaient (sans nécessairement intéragir) avec certaines des premières espèces d'hominines, à savoir A. africanus, A. garhi, H. ergaster, H. habilis, H.rudolfensis et H. erectus. Ils étaient la proie des grands carnivores de l'époque, en particulier les crocodiles, les léopards, les machaïrodontes et les hyènes.

Découverte et espèces

P. robustus

Le genre Paranthropus est érigé pour la première fois par le paléontologue écossais-sud-africain Robert Broom en 1938, avec l'espèce type P. robustus<ref name=Broom1938/>. Le nom générique Paranthropus vient du grec ancien Modèle:Grec ancien « à côté » et Modèle:Grec ancien « homme »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le spécimen holotype, un neurocrâne provenant d'un mâle, Modèle:Lien, a été découvert par l'écolier Gert Terblanche sur le site fossilifère de Kromdraai, situé à environ Modèle:Unité au sud-ouest de Pretoria, en Afrique du Sud<ref name=Broom1938>Modèle:Article</ref>. En 1988, au moins six individus ont été découverts à peu près dans la même zone, maintenant connue sous le nom de « berceau de l'humanité »<ref name=Constantino2004>Modèle:Chapitre</ref>.

En 1948, dans la grotte de Swartkrans, à peu près dans le même voisinage que Kromdraai, Broom et le paléontologue sud-africain Modèle:Lien décrivent P. crassidens sur la base d'une mâchoire d'un subadulte, catalogué SK 6. Il pense que les paranthropes ultérieurs étaient morphologiquement distincts des paranthropes antérieurs dans la grotte, c'est-à-dire que les paranthropes de Swartkrans auraient été isolés de manière reproductive des paranthropes de Kromdraai et que les premiers mentionnés ont finalement été spécifié<ref name=Broom1948>Modèle:Article</ref>. En 1988, plusieurs spécimens de Swartkrans ont été placés dans P. crassidens. Cependant, ce taxon a depuis été déclarée synonyme de P. robustus car les deux populations ne semblent pas être très distinctes morphologiquement<ref name=Constantino2004/>.

P. boisei

En 1959, la deuxième espèce connue, P. boisei, fut découverte par Mary Leakey dans les gorges d'Olduvaï à partir d'un crâne incomplet, répertorié sous le nom de code OH 5. Son mari Louis le nomme Zinjanthropus boisei en croyant qu'il diffère grandement des genres Paranthropus et Australopithecus. Ce nom générique dérive du terme Modèle:Arabe, un ancien mot désignant la côte de l'Afrique de l'Est et de Modèle:Grec ancien « homme ». L'épithète spécifique boisei est nommé en référence à leur bienfaiteur financier Modèle:Lien<ref name=Leakey1959>Modèle:Article</ref>. Cependant, ce genre est rejeté lors de la présentation de Mary Leakey devant le 4e congrès panafricain de préhistoire, car le taxon n'était alors basé que sur un seul spécimen<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. La découverte de la mandibule de Peninj pousse les Leakey à reclasser l'espèce sous le nom qu'Australopithecus (Zinjanthropus) boisei en 1964<ref>Modèle:Article</ref>, mais en 1967, le paléoanthropologue sud-africain Phillip Tobias le subsume dans Australopithecus en tant d'A. boisei. Cependant, au fur et à mesure que de plus en plus de spécimens sont trouvés, la combinaison Paranthropus boisei est devenue plus populaire et majoritairement défendu<ref>Modèle:Article</ref>.

Il est toujours débattu si la large gamme de variation de la taille de la mâchoire indique simplement un dimorphisme sexuel ou un motif d'identification d'une nouvelle espèce. Cela pourrait s'expliquer par le fait que la masse souterraine remplit les fissures naturellement formées après la mort, gonflant la taille perçue de l'os<ref>Modèle:Article</ref>,<ref name=Constantino2007/>,<ref name=Wood2007/>. P. boisei a également une gamme particulièrement large de variations dans l'anatomie du crâne, mais ces caractéristiques n'ont probablement aucune incidence taxonomique<ref>Modèle:Article</ref>.

P. aethiopicus

En 1968, les paléontologues français Camille Arambourg et Yves Coppens décrivent Paraustralopithecus aethiopicus sur la base sur d'une mandibule édentée découvert dans la Modèle:Lien, en Éthiopie, catalogué Omo 18<ref>Modèle:Article</ref>. En 1976, l'anthropologue américain Francis Clark Howell et Coppens reclassent le spécimen en tant que représentant d'A. africanus<ref name=Ferguson1989/>. En 1986, après la découverte du crâne KNM-WT 17000 par l'anthropologue anglais Alan Walker et Richard Leakey, il est classé dans le genre Paranthropus sous le nom de P. aethiopicus<ref>Modèle:Article</ref>. Il y a un débat pour savoir si ce taxon est synonyme de P. boisei<ref name=Constantino2007/>, le principal argument en faveur de la séparation étant que le crâne semble moins adapté pour mâcher de la végétation coriace<ref name=Wood2007/>,<ref name=Wood2000/>.

En 1989, le paléoartiste et zoologiste Modèle:Lien reclasse le spécimen KNM-WT 17000 dans une nouvelle espèce, A. walkeri, car il considère la désignation d'espèce à partir d'un crâne comme discutable, étant donné que l'holotype de P. aethiopicus ne comprend qu'une mandibule<ref name=Ferguson1989>Modèle:Article</ref>. La classification de Ferguson est presque universellement ignorée<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, est l'espèce A. walkeri est considéré comme un synonyme junior de P. aethiopicus<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Autres

En 1963, alors qu'il se trouvait au Congo, l'ethnographe français Charles Cordier attribua le nom de P. congensis à un cryptide d'homme-singe puissant et monstrueux appelé « Kikomba », « Apamándi », « Abanaánji », « Zuluzúgu » ou « Tshingómbe » par diverses tribus indigènes dont il a entendu des histoires<ref>Modèle:Article</ref>.

En 2015, le paléoanthropologue éthiopien Yohannes Haile-Selassie et ses collègues décrivent A. deyiremeda sur la base de trois mâchoires de la région d'Afar, en Éthiopie, un site déjà connu pour la découverte d'autres australopithèques, incluant le célèbre Lucy. Ils notent que bien qu'il partage de nombreuses similitudes avec Paranthropus, il n'est peut-être pas étroitement lié car il manque de molaires élargies qui caractérisent le genre<ref>Modèle:Article</ref>. Néanmoins, en 2018, le chercheur indépendant Johan Nygren recommande de déplacer l'espèce vers Paranthropus sur la base d'une similitude dentaire et alimentaire présumée<ref name=Nygren>Modèle:Article</ref>.

Description

Crâne

Les paranthropes possèdent un crâne massif, haut et plat, avec une crête sagittale proéminente le long de la ligne médiane, semblable à celui d'un gorille, qui ancrait les muscles temporaux massifs utilisés pour la mastication<ref name=Wood2004>Modèle:Article.</ref>. Comme les autres représentants de la lignée humaine, Paranthropus présente un dimorphisme sexuel, les mâles étant nettement plus gros que les femelles<ref name=Wood2000/>,<ref name=McHenry1991a>Modèle:Article.</ref>,<ref name=McHenry1991b>Modèle:Article.</ref>. Ils ont de grosses molaires avec un revêtement d'émail dentaire relativement épais (Modèle:Lien)<ref>Modèle:Article</ref>, et des incisives plutôt petites (de taille similaire à ceux d'Homo sapiens)<ref>Modèle:Article</ref>, étant éventuellement des adaptations au traitement des aliments abrasifs<ref name=Williams2015>Modèle:Article</ref>,<ref name=Wood2012>Modèle:Article</ref>. Les dents de P. aethiopicus se sont développées plus rapidement que celles de P. boisei<ref>Modèle:Article</ref>.

Les paranthropes ont des adaptations au crâne pour résister à de grandes charges de morsure pendant l'alimentation, à savoir les sutures squameuses expansives<ref>Modèle:Article</ref>. Il était autrefois admis que le palais particulièrement épais était une adaptation pour résister à une force de morsure élevée, mais s'explique mieux comme un sous-produit de l'allongement du visage et de l'anatomie nasale<ref>Modèle:Article</ref>.

Chez P. boisei, la charnière de la mâchoire est adaptée pour broyer les aliments d'un côté à l'autre (plutôt que de haut en bas chez Homo sapiens), ce qui est plus efficace pour traiter les féculents abrasifs qui constituaient probablement l'essentiel de son alimentation. P. robustus a peut-être plutôt mâché d'avant en arrière et avait des caractéristiques anatomiques moins dérivées que P. boisei car il ne nécessitait peut-être pas ce type de mastication. Cela aurait peut-être également permis à P. robustus de mieux traiter les aliments plus durs<ref>Modèle:Article</ref>.

Le volume de la boîte crânienne des paranthropes est en moyenne d'environ Modèle:Unité, comparable à certains australopithèques, mais plus petit que les représentants du genre Homo<ref name=Du2018>Modèle:Article</ref>. À titre de comparaison, le volume du cerveau d'Homo sapiens est en moyenne de Modèle:Unité pour les hommes et de Modèle:Unité pour les femmes<ref>Modèle:Article</ref>.

Membres et locomotion

Contrairement à P. robustus, les avant-bras de P. boisei sont fortement construits, ce qui pourrait suggérer un comportement suspensif habituel comme chez les orangs-outans et les gibbons<ref name=McHenry2007/>,<ref name=Dominguez2013>Modèle:Article.</ref>,<ref name=Lague2019/>. Une omoplate de P. boisei indique de longs muscles infra-épineux, qui sont également associés à un comportement suspenseur<ref>Modèle:Article</ref>. Un péroné de P. aethiopicus, en revanche, présente plus de similitudes avec ceux du genre Homo que P. boisei<ref name=Lague2019>Modèle:Article</ref>.

Les paranthropes étaient bipèdes et leurs hanches, leurs jambes et leurs pieds ressemblent à ceux d'A. afarensis et H. sapiens<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Le bassin est similaire à celui d'A. afarensis, mais les articulations de la hanche sont plus petites chez P. robustus. La similitude physique implique une démarche de locomotion similaire<ref>Modèle:Article</ref>. Leur gros orteil semblable à ceux d'Homo sapiens indique une posture du pied et une amplitude de mouvement de type humain moderne, mais l'articulation de la cheville plus distale aurait inhibé le cycle de marche de l'orteil. Il y Modèle:Unité, Paranthropus et H. habilis peuvent avoir atteint à peu près le même degré de bipédie<ref>Modèle:Article</ref>.

Taille et poids

Comparé à la tête large et robuste, le corps est plutôt petit. Le poids moyen de P. robustus peut avoir été de Modèle:Unité pour les mâles et de Modèle:Unité pour les femelles ; et pour P. boisei Modèle:Unité pour les mâles et Modèle:Unité pour les femelles<ref name=Wood2000/>. Aux membres 1 et 2 de la grotte de Swartkrans, on estime qu'environ Modèle:Unité des individus de P. robustus pesaient Modèle:Unité, Modèle:Unité environ Modèle:Unité et les Modèle:Unité restants auraient été plus gros que les premiers mais avaient moins de Modèle:Unité. Au membre 3, tous les individus pesaient environ Modèle:Unité<ref name=McHenry1991a/>. Le poids des femelles était à peu près le même chez les H. erectus contemporains, mais les mâles H. erectus pesaient en moyenne Modèle:Unité de plus que les mâles P. robustus<ref name=Susman2001>Modèle:Article</ref>. Les sites de P. robustus sont étrangement dominés par de petits adultes, ce qui pourrait s'expliquer par une prédation ou une mortalité accrue des mâles plus grands d'un groupe<ref name=Braga2017>Modèle:Article</ref>. Le plus grand individu Paranthropus connu est estimé d'avoir pesé Modèle:Unité<ref name=McHenry1991a/>.

Selon une étude publiée en 1991, basée sur la longueur du fémur et en utilisant les dimensions de l'homme moderne, on estime que le mâle et la femelle P. robustus auraient mesuré en moyenne Modèle:Unité de haut, et P. boisei Modèle:Unité, respectivement. Cependant, ces dernières estimations sont problématiques car il n'y avait pas de fémurs mâles de P. boisei positivement identifiés à l'époque<ref name=McHenry1991b/>. En 2013, un squelette partiel provenant d'un P. boisei mâle datant de Modèle:Unité était estimé à au moins Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name=Dominguez2013/>.

Pathologie

Modèle:...

Classification

Pertinence du genre

Crâne fossile de Paranthropus robustus.
Crâne du spécimen catalogué SK 48, appartenant à P. robustus.

En 1951, les anthropologues américains Sherwood Washburn et Bruce D. Patterson sont les premiers à suggérer que Paranthropus devrait être considéré comme un synonyme junior d'Australopithecus car le taxon n'était connu que par des restes fragmentaires récoltés de l'époque, et les différences dentaires seraient trop infimes pour servir de justification<ref>Modèle:Article</ref>. Face aux appels à la subsumation, Leakey et Robinson continuent de défendre sa validité<ref name=Leakey1959/>,<ref>Modèle:Article</ref>. Divers autres auteurs n'étaient toujours pas sûrs jusqu'à ce que des restes plus complets soient trouvés<ref name=Constantino2004/>. Il est à noter que Paranthropus est parfois classé comme un sous-genre d'Australopithecus<ref>Modèle:Article</ref>.

Il n'y a actuellement aucun consensus clair sur la validité de Paranthropus. L'argument repose sur la question de savoir si le genre est monophylétique ou paraphylétique dit que P. robustus et P. boisei ont développé indépendamment des têtes semblables à celles d'un gorille par évolution convergente, car les adaptations de mastication chez les hominines évoluent très rapidement et plusieurs fois à divers points de l'arbre phylogénétique (homoplasie)<ref name=Wood2007>Modèle:Article</ref>. En 1999, un os d'avant-bras ressemblant à celui d'un chimpanzé est attribué à P. boisei, étant le premier ulna découvert de l'espèce, qui est nettement différent de celui de P. robustus, ce qui pourrait suggérer une possible paraphylie<ref name=McHenry2007>Modèle:Article</ref>.

Position phylogénétique

Crâne fossile de Paranthropus boisei.
Crâne du spécimen catalogué OH 5, appartenant à P. boisei.

P. aethiopicus est le plus ancien membre connu du genre, avec les restes les plus anciens provenant de la Modèle:Lien, en Éthiopie, datant de la fin du Pliocène, vers environ Modèle:Nb. Certaines classifications le considèrent comme l'ancêtre direct de P. boisei et P. robustus<ref name=Constantino2007/>. Il est possible que P. aethiopicus ait évolué encore plus tôt, jusqu'à il y a Modèle:Nb, sur les vastes plaines inondables du Kenya de cette époque<ref name=Joordens2019>Modèle:Article</ref>. Les restes les plus anciens de P. boisei datent d'environ Modèle:Nb et proviennent du village de Modèle:Lien, au Malawi<ref name=Constantino2007>Modèle:Article</ref>. P. boisei a remarquablement peu changé au cours de son existence de près d'un million d'années<ref>Modèle:Article</ref>. Paranthropus s'est propagé en Afrique du Sud il y a Modèle:Nb, comme l'indiquent les premiers restes de P. robustus<ref name=Wood2000>Modèle:Article</ref>,<ref name=Stammers2018>Modèle:Article.</ref>,<ref name=Herries2009>Modèle:Article.</ref>.

Il est parfois suggéré que Paranthropus et Homo sont des taxons frères, tous deux descendant d'Australopithecus. Cela peut s'être produit lors d'une tendance à l'assèchement il y a entre Modèle:Nb dans la vallée du Grand Rift, qui a provoqué le recul des environnements boisés au profit de la savane ouverte, les forêts ne poussant que le long des rivières et des lacs. Homo a évolué dans le premier et Paranthropus dans le second milieu riparienne<ref name=Joordens2019/>,<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Cependant, la classification des différents espèces d'australopithèques reste problématique<ref name=Parins2019/>.

Ci-dessous, le cladogramme des Hominini basée d'après une étude publiée en 2019<ref name=Parins2019>Modèle:Article</ref> : Modèle:Clade

Paléobiologie

Régime alimentaire

Modèle:...

Technologie

En 2023, des outils oldowayens sont découverts à Nyayanga (Kenya) dans des dépôts comportant aussi des os d'hippopotame et deux fragments de molaire de paranthropes, datés d'environ Modèle:Unité (entre Modèle:Unité)<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Cette découverte contredit l'attribution commune de l'apparition des outils en pierre à l'émergence du genre Homo (ainsi qu'à des changements climatiques).

Structure sociale

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Histoire de la vie

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Paléoécologie

Habitat

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Prédateurs

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Extinction

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Notes et références

Notes

Modèle:Références Modèle:Traduction/Référence

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

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