Pie VI
Modèle:Titre mis en forme Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Prélat catholique
Giannangelo, comte Braschi, ou Giovanni Angelico Braschi à sa naissance, Jean Ange Braschy pour l'état civil français<ref>Lors de son décès à Valence (Drôme).</ref>, né le Modèle:Date de naissance à Cesena (Romagne) et mort le Modèle:Date de décès à Valence (France), est le Modèle:250e évêque de Rome et donc pape de l'Église catholique, sous le nom de Modèle:Souverain- (nom Modèle:Lang-la ; nom Modèle:Lang-it) du Modèle:Date à sa mort.
Début de carrière
Giannangelo Braschi est issu d'une famille noble de Romagne. Il est l'aîné des huit enfants du Comte Marco Aurelio Tommaso Braschi (1684-1759) et de Anna Teresa Bandi (1690-1730).
Ancien élève des Jésuites, il poursuit des études de droit in utroque jure, c'est-à-dire en droit civil et en droit canonique, à l'université de Ferrare. Il devient ensuite secrétaire du cardinal Tommaso Ruffo, légat pontifical à Ferrare.
Braschi accompagne Ruffo à Rome pour le conclave qui suit la mort du pape Modèle:Souverain2 en 1740.
Quand son maître est nommé doyen du Sacré Collège, il devient auditeur, chargé de l'administration des diocèses de Velletri et d'Ostie. Il noue alors des liens avec l'infant don Carlos, alors que ce dernier devient le premier souverain Bourbon du royaume des Deux-Siciles. Son habileté diplomatique lui obtient la charge de camérier secret.
En 1753, à la mort du cardinal Tommaso Ruffo, Braschi devient secrétaire particulier du pape Modèle:Souverain2. Il est ordonné prêtre en 1758.
En 1766, sous le pontificat de Modèle:Souverain2 (1758-1769), il obtient la charge de trésorier de la Chambre apostolique, qui le rend maître de l'administration financière des États pontificaux.
Le Modèle:Date, il est élevé à la dignité de cardinal-prêtre de Sant'Onofrio al Gianicolo par le pape Modèle:Souverain2.
Grâce au soutien français, le conclave qui s'ouvre à la mort de Modèle:Souverain2 (1774) l'élit à la dignité pontificale. Il choisit le nom de Modèle:Souverain- en hommage à Modèle:Souverain2, pape de l'application du concile de Trente et de la bataille de Lépante.
Élu le Modèle:Date, il fut consacré évêque et couronné simultanément le Modèle:Date-.
Pontificat
Début du pontificat
Modèle:Souverain-, alors âgé de Modèle:Nobr, souhaite renouer avec les fastes de Modèle:Souverain2, ce qui lui vaut les critiques de la « statue parlante » Pasquino.
Le Modèle:Date-, il reconnaît officiellement l'apparition mariale de Notre-Dame de Šiluva en Lituanie survenue en 1608, et accorde plusieurs indulgences à son sanctuaire<ref>Modèle:Article.</ref>.
En 1775, Modèle:Souverain- impose une législation anti-juive extrême notamment par l'édit Fra le pastorali sollicitudine<ref name=":13">Modèle:Lien web</ref>,<ref name=":0">Modèle:Chapitre</ref>.
Il est confronté au joséphisme autrichien et effectue même un voyage à Vienne en 1782 dans le but d'amener l'Empereur Modèle:Souverain2 à renoncer à sa politique anti-cléricale. Il y donna sa bénédiction papale urbi et orbi du balcon de l'Église am Hof.
Son passage à Venise la même année est commémoré par Francesco Guardi avec quatre toiles illustrant cette visite.
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La Rencontre de Modèle:Souverain- et du doge Paolo Renier à San Giorgio in Alga,
Philadelphia Museum of Art<ref>Musée de Philadelphie</ref> -
La Cérémonie pontificale dans la SS Giovanni e Paolo,
Cleveland Museum of Art<ref>Musée de Cleveland</ref> -
Le Pape Modèle:Souverain- descendant du trône pour prendre congé du doge dans la salle de SS Giovanni e Paolo,
Cleveland Museum of Art<ref>Cleveland Museum</ref> -
Le Pape Modèle:Souverain- bénissant le peuple sur le Campo SS Giovanni e Paolo,
Ashmolean Museum, Oxford
Révolution française
Quelque temps plus tard, Modèle:Souverain- doit affronter les événements de la Révolution française :
- la nationalisation des biens du clergé ;
- l'abolition par la Constituante des vœux monastiques perpétuels sanctionnés par la loi civile (loi du Modèle:Date) et la suppression des ordres réguliers hors ceux ayant pour activité l'éducation et les œuvres de charité, conduisant à la mise à l'écart de Modèle:Unité (moines, chanoines, etc.), soit les deux tiers du clergé de l'époque en France ;
- le projet de Constitution civile du clergé (adopté par la Constituante le Modèle:Date) ;
- ainsi que la situation de schisme qu'elle entraîna entre les prêtres et les évêques « constitutionnels » et les prêtres et les évêques restés fidèles à l'Église, « réfractaires ».
Modèle:Souverain- fait savoir le Modèle:Date au roi de France Modèle:Souverain2 qu'il s'oppose au projet de constitution civile du clergé. Il écrit aussi dans ce sens aux archevêques de Bordeaux et de Vienne le Modèle:Date.
Le Modèle:Date Modèle:Souverain- envoie son bref Quod Aliquantum au cardinal de La Rochefoucauld. Il y analyse le contenu de la Constitution civile du clergé pour le condamner. Toutefois. il précise : « Nous n'avons pas encore jusqu'ici lancé les foudres de l'Église contre les auteurs de cette malheureuse constitution du clergé »<ref>Modèle:Souverain- dans son bref « Quod Aliquantum » du Modèle:Date, Modèle:§.</ref>. Les menaces d'excommunication et d'anathème ne sont qu'implicites. Dans sa lettre apostolique Caritas du Modèle:Date Modèle:Souverain- critique sévèrement les nouvelles élections d'évêques, et leur bénédiction par l'évêque d'Autun. Il déclare schismatiques les propos suivants du nouvel évêque de Quimper : « Cette constitution n'altère en rien le dogme ; qu'elle réforme seulement la discipline, et la rappelle à la pureté des premiers siècles »<ref>Modèle:Souverain- dans sa lette apostolique « Caritas » du Modèle:Date, § Hérésie, schisme, sacrilège.</ref>. Ses actes sacerdotaux sont déclarés irréguliers ; il est menacé d'anathème. Toutefois Modèle:Souverain- réaffirme une position prudente vis-à-vis de l'Assemblée Nationale : « Nous avons déclaré Nous être abstenu jusqu'ici de déclarer retranchés de l'Église les auteurs de cette fatale constitution ».
La réaction de Modèle:Souverain- par rapport à la constitution civile du clergé n'est, aujourd'hui encore, pas simple à interpréter ; tardive par rapport aux événements, elle aurait laissé les prêtres et les évêques dans l'embarras sur la conduite à tenir par rapport au serment de fidélité à la Nation, à la loi, au roi, créant un malaise dans les provinces françaises durant les six premiers mois de l'Modèle:Nobr, et laissant s'y développer un véritable schisme. Cette question fait l'objet de discussions de la part des historiens des religions. La présence à Rome du cardinal de Bernis, chargé d'affaires auprès du Saint-Siège, explique l'hostilité de Pie VI à l'égard de la Révolution ; Bernis s'interposant systématiquement dans les échanges avec le ministère français des Affaires étrangères et réservant ses faveurs au comte d'Artois et aux émigrés.
En 1793, après la proclamation de la République en France, une commission décide de supprimer le calendrier grégorien, et de le remplacer par un calendrier républicain avec des semaines de dix jours, sans dimanche. Les campagnes françaises ne reçoivent plus les agendas traditionnels.
En Modèle:Date-, à la suite des tensions provoquées par les grands changements politiques en France, et les manifestations de ces changements par la communauté française en Italie, des habitants de Rome prennent d'assaut le ghetto juif qu'ils pillent, la palais Mancini, siège de l'Académie de France à Rome, et assassinent le diplomate Nicolas-Jean Hugou de Bassville. Cet assassinat provoque le départ de la communauté française des états pontificaux.
Directoire
La France annexe Avignon et le Comtat Venaissin. Le Modèle:Date, Bonaparte contraint Modèle:Souverain- à signer le traité de Tolentino (appelé aussi Paix de Tolentino) avec la France du Directoire, qui concède à la France les légations de Romagne, de Bologne et de Ferrare. Cette politique papale de Bonaparte combine les questions religieuses et diplomatiques.
À la nouvelle de l'assassinat du général Duphot, le Directoire ordonne le Modèle:Date l'occupation de Rome. Gaspard Monge part le Modèle:Date- pour Rome. La Révolution éclate dans la ville le Modèle:Date-. La « République romaine » est proclamée par le peuple réuni au Campo Vaccino (ancien forum).
Le pape Modèle:Souverain- est contraint par la république française de renoncer à son pouvoir temporel et de se contenter de son pouvoir spirituel. Déposé le Modèle:Date- lors de la proclamation de la République romaine, il est en fait prisonnier. Octogénaire et très malade, il demande la grâce de pouvoir mourir à Rome. Le général français a la délicatesse de lui répondre : « Mourir, cela peut se faire partout ». Modèle:Souverain- quitte Rome dans la nuit du Modèle:Date au Modèle:Date.
Il est conduit à Sienne puis à la chartreuse de Galluzzo de Florence (en Modèle:Date) où il reste jusqu'au Modèle:Date-. La Deuxième Coalition se traduisant par l'avancée des troupes autrichiennes venant de Vénétie, et des troupes napolitaines qui ont repris Rome et détruit la République romaine, les Français envoient le pape en France, tandis que leurs troupes reculent sur tous les fronts, dans ces débuts de la seconde campagne d'Italie. Le Pape passe par Bologne, Parme, Turin. On lui fait traverser les Alpes sur une civière. C'est ensuite Briançon, Grenoble et enfin Valence, chef-lieu du département de la Drôme. Il n'ira pas plus loin.
Malgré les bouleversements que connaissait alors la France, le pape octogénaire reçut de nombreuses marques de respect et de compassion de la part du peuple, tout au long de sa route, entre Briançon et Valence. Le poète Paul Claudel le surnommera le « père commun des fidèles ».
Attitude face aux Juifs
L'attitude de Modèle:Souverain- vis-à-vis de la communauté juive de Rome est notoirement hostile et répressive, dès l’édit du Modèle:Date<ref>A. Milano, « L’editto sopra gli Ebrei di Modèle:Souverain- e le mene ricattatorie di un letterato », in Rassegna mensile di Israel 19 (1953), Modèle:P..</ref>. « Les thèmes antijudaïques sont à la mode, par antimodernisme, et par souci de reconstruire une Église forte. Modèle:Souverain- resserre donc les règles du ghetto, il encourage les baptêmes, impose de nouveau le sermon du samedi avant d’aller à la synagogue. On poursuit des livres sur le judaïsme, on laisse circuler des opuscules sur les « meurtres rituels ». Dans les procès politiques, de 1792 à 1797, on retrouve un certain nombre de juifs accusés d’être philo-français. En 1793, le ghetto sera assiégé par la population lors (d')émeutes<ref>E. Sereni, « L’assedio del ghetto di Roma nel 1793 nelle memorie di un contemporaneo », in Rassegna mensile di Israel 10 (1935), Modèle:P..</ref>. Le fait le plus notoire est la publication en 1794 d’un livre de Rovira Bonnet (…)<ref>Rovira Bonnet, L’armata de’ forti, ovvero Memorie spettanti ag’infedeli Ebrei che siano, Rome, P. Giunchi, 1794, 700Modèle:Nb p.</ref>, recueil de textes des conciles ou des papes sur la conversion des juifs. Il y est question en plus des forces qui essayent de renverser la société, dont l’Assemblée Nationale de France qui a libéralisé la situation des juifs et renversé l’Église catholique : il est donc normal de réagir et de les persécuter. Modèle:Souverain- calma les esprits lors des révoltes, mais l’état d’esprit antijudaïque fut bien entretenu officiellement »<ref name=":0" />.
Fin de vie
Prisonnier du Directoire, il meurt à Valence, épuisé, le Modèle:Date à l'âge de Modèle:Nobr. Son acte de décès figure dans le registre d'état civil de la ville de Valence, où il est nommé « Jean Ange Braschy Modèle:Souverain- pontife de Rome<ref>Extrait du registre d'état civil de la ville de Valence (Drôme) : Aujourd'hui douze fructidor an sept de la république française, à l'heure de trois après-midi, par-devant moi Jean-Louis Chauveau, administrateur municipal de la commune de Valence, élu pour rédiger les actes destinés à constater les naissances, mariages et décès des citoyens, est comparu Modèle:M., archevêque de Corinthe, lequel, accompagné de Modèle:M., prêtre, âgé de quarante ans environs, et de Modèle:M., aussi prêtre, et de Modèle:M., dont le prénom est Innico, prélat âgé aussi d'environ quarante ans, et ledit Fantiny âgé de soixante-quatre ans, tous les quatre demeurant à Valence, dans la maison dépendante de la citadelle, et attachés au décédé ci-après, m'a déclaré que Jean Ange Braschy, Modèle:Souverain-, pontife de Rome, est décédé cejourd'hui, à une heure vingt-cinq minutes du matin, dans ladite maison, âgé de quatre-vingt-un ans huit mois et deux jours. D'après cette déclaration, certifiée véritable par le déclarant et les témoins, je me suis de suite transporté en ladite maison d'habitation, accompagné des membres composant l'administration centrale et le commissaire du directoire exécutif près d'elle, ainsi que de deux membres de l'administration municipale ; y étant, nous dits officier public et administrateurs ci-dessus avons fait appeler les citoyens Duvaure, officier de santé, et Vidal père, officier de santé en chef de l'hospice militaire de cette commune, lesquels, après avoir fait l'examen du corps dudit Braschy, Modèle:Souverain-, nous ont confirmé son décès. De tout quoi j'ai rédigé acte, en présence du commandant de la place et du juge de paix de ce canton, que j'ai signé avec eux, les membres desdites autorités constituées, lesdits officiers de santé, le déclarant et les témoins ; le citoyen Doux, secrétaire de la commune, écrivant. Valence, en la maison commune, les jours, mois et an que dessus. Signé : Spina, archevêque de Corinthe : Innico Riego Caracciola ; Daly, administrateur du département ; Abate Ramera ; Deydier, administrateur du département ; Gaillard, président municipal ; Boveron, administrateur du département ; Algoud, administrateur du département ; Brosset, commissaire du directoire près l'administration centrale ; Gastoud, secrétaire général ; Regnard, commissaire du directoire exécutif près la commune ; Mermilliod, commandant de la place de Valence ; Colombiez aîné, juge de paix ; Vidal, major ; Duvaure ; Chauveau, officier public ; Doux, secrétaire. Archives départementales de la Drôme.</ref> ». C'est en son honneur qu'un pâtissier de la ville eut l'idée de confectionner le fameux biscuit Suisse de Valence.
Modèle:Refnec Les États pontificaux sont rétablis à la fin de l'Modèle:Nobr, avec l'entrée des troupes napolitaines dans Rome et la chute de l’éphémère république romaine. Le conclave qui assure l'élection du successeur de Modèle:Souverain- se tient à Venise, sous la domination de l'Autriche depuis le traité de Campo-Formio de 1797. En Modèle:Date-, Modèle:Souverain2 devient le nouveau pape. Napoléon Bonaparte, désormais Premier consul de la République française, engage une offensive en Italie au Modèle:Date- et sa victoire à Marengo marque la fin du front italien de la seconde coalition, qui se disloque complètement en 1801. La République française normalise ses relations diplomatiques avec les États pontificaux reconstitués, et signe le concordat de Modèle:Date- avec l'Église catholique. Ces évolutions permettent le retour du corps de Modèle:Souverain- à Rome, le Modèle:Date, où il reçoit des funérailles conduites par son successeur le Modèle:Date, dans la basilique Saint-Pierre de Rome.
Mais, sur réclamation des habitants de Valence, le cœur et les entrailles de Modèle:Souverain- retournent et reposent dans la cathédrale Saint-Apollinaire de Valence, après une cérémonie solennelle en ce lieu le Modèle:Date. On peut lire l'inscription suivante (rédigée en latin) sur ce monument de Valence : « Les entrailles saintes de Modèle:Souverain- sont rendues aux Français ; Rome possède son corps ; son nom retentit en tous lieux ; il est mort à Valence le Modèle:Date »<ref>Nicolas Delacroix, Statistique du département de la Drôme, Valence, Borel, 1835, Modèle:P..</ref>. Depuis 1949, sa dépouille romaine repose dans la nécropole papale de la basilique Saint-Pierre, dans un sarcophage antique.
Moins de dix ans avant la mort du Saint-Père, Madame Vigée Le brun, la célèbre portraitiste de la reine de France Marie-Antoinette, qui avait elle-même fui la Révolution en se réfugiant à Rome, rapporte cette anecdote : « L'abbé Maury, qui n'était pas encore cardinal, vint chez moi pour me dire que le Pape voulait que je fisse son portrait ; je le désirais infiniment ; mais il fallait que je fusse voilée pour peindre le Saint-Père, et la crainte de ne pouvoir ainsi rien faire dont je fusse contente m'obligea à décliner cet honneur. J'en eus bien du regret, car Modèle:Souverain- était encore un des plus beaux hommes qu'on pût jamais voir. »
Grandes réalisations
En presque vingt-cinq ans de pontificat, « Modèle:Souverain- eut le temps de faire graver son nom sur bien des monuments de Rome », dans les actuels musées du Vatican ou le musée Pio-Clementino<ref name=":0" />. Il fait mener des fouilles dans la ville et entasser des antiquités dans les galeries situées entre le palais apostolique et le Belvédère. Il fait également dresser l’inventaire du musée, paru en 1792.
Dès le début de son pontificat, il fait construire la sacristie de la basilique Saint-Pierre, qui abrite également les chanoines. Il ajoute notamment un monument devant le palais du Quirinal, quelques obélisques, la restauration de la cathédrale Sainte-Scholastique à Subiaco et des travaux dans le port d’Ancône<ref name=":0" />.
L’assèchement des marais pontins, qu'il fait entreprendre, avec le concours d’ingénieurs des Pays-Bas, engloutit des sommes considérables (au total, Modèle:Nb romains en 1798), et vaut au pape le surnom de « il secatore », sous-entendant qu’il assèche les marais comme les fortunes romaines par le biais de lourds impôts<ref name=":0" />.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- Jean Flory, Modèle:Souverain-, éditions Feuilles, Modèle:Coll. Questions de religions, Paris, 2017, Modèle:ISBN
- Marina Cappiero, Modèle:Ouvrage ;
- Jacques Le Goff et René Rémond, Histoire de la France religieuse, Modèle:T., Seuil, Modèle:Coll. « Points », Paris, 2001 ; un chapitre complet analyse les mesures de déchristianisation de 1793-1794 ;
- Gérard Pelletier, Rome et la Révolution française. La théologie et la politique du Saint-Siège devant la Révolution française (1789-1799), Collection de l'École française de Rome, no 319, 2004.
- Serge Stolf, Un pape dans la tourmente : Modèle:Souverain-, de Rome à Valence, Paris, Delatour, 2017.
Articles connexes
- [[Liste des cardinaux créés par Pie VI|Liste des cardinaux créés par Modèle:Souverain-]]
- États pontificaux
- République romaine (1798)
- Constitution civile du clergé
- Chronologie de la Révolution française
- Calendrier grégorien
Liens externes
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Souverain- dans la Catholic Encyclopedia, New Advent
- « La force du pape sans arme », compte-rendu par Andrea Riccardi du livre de Gérard Pelletier
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Biographie du pape Pie VI, damian-hungs.de
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Encyclique Charitas quae de 1791, sur le serment civil en France, Papal Encyclicals Online