Récif artificiel

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Modèle:Confusion

Fichier:Blue Linckia Starfish.JPG
Le principe du récif artificiel est d'utiliser et valoriser la capacité naturelle de colonisation des espèces pionnières et de bioconstruction des organismes aquatiques.

[[Image:USS Oriskany sinking.jpg|thumb|En 2006, l'Modèle:USS, un [[liste des porte-avions de l'United States Navy|porte-avions de l'Modèle:Lang]], devient un récif artificiel dans le golfe du Mexique et le plus gros du genre<ref>Modèle:Article.</ref>.]]

Fichier:Artificialreef.JPG
De simples parpaings, reliés en attendant une accrétion naturelle, pour qu'ils résistent aux tempêtes, à un éventuel accrochage par filet, chalut ou ancre de mouillage.
Fichier:Sarcastic fringehead in plastic tube.JPG
Un banal tuyau de PVC est colonisé en quelques semaines par des algues, des éponges et des invertébrés. Ici, un poisson y trouve un habitat de substitution.

Un récif artificiel est une structure immergée volontairement, à des fins d'étude scientifique, de protection physique d'un lieu (contre les vagues et les effets du vent), de production halieutique ou de loisir (plongée et photo sous-marine). La plupart des récifs artificiels concernent des milieux marins, mais quelques expérimentations ont porté sur des eaux douces ou saumâtres estuariennes<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Michael Lowry, Heath Folpp, Marcus Gregson, Iain Suthers, Modèle:Lang ; Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr (Résumé).</ref>. Dans la plupart des cas, les récifs artificiels sont colonisés en quelques mois, en attirant de nombreuses espèces de poissons et crustacés<ref>Line Van Bever, Analyse comparative des différentes méthodologies de restauration des récifs coralliens dégradésModèle:Pdf, Modèle:Nobr romains, Environnement Méditerranéen & Développement Durable - « Environnement et Développement Durable » ; Option Géosciences marines appliquées, 45Modèle:Nb p.</ref>.

Principes

Les récifs artificiels sont d'abord colonisés par des espèces pionnières, puis ils offrent un milieu de substitution à une biodiversité plus importante. S'ils sont riches en micro-habitats (qui ne sont pas nécessairement des structures rigides ; il peut s'agir de cordes ou algues synthétiques pouvant onduler dans le courant, permettant une meilleure oxygénation du milieu et/ou un meilleur contact avec les nutriments en suspension), qui elles-mêmes se couvriront d'organismes épiphytes vivants) Ce sont des lieux où les alevins et jeunes organismes peuvent mieux se protéger de la prédation.

Le principe est d'offrir aux espèces un habitat leur convenant, en matériaux les plus « biocompatibles » possibles, et le cas échéant une offre en nourriture, qui peut elle-même croître sur la structure artificielle.

Le gestionnaire, pour des raisons de protection de la nature ou halieutique peut viser à favoriser quelques espèces cibles. Un plan de restauration ou de réintroduction peut alors être associé au projet. Des réensemencements en larves issues de culture ont été testés, par exemple en Sicile<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} G D'Anna, V.M Giacalone, F Badalamenti, C Pipitone, Modèle:Lang Aquaculture, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr (résumé).</ref>.

Certains récifs peuvent aussi être utilisés pour stabiliser, en dissipant l'énergie des vagues, le trait de côte, des digues, des jetées ou des brise-lames<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Kiran G. Shirlal, Subba Rao, Venkata Ganesh, Manu, Modèle:Lang ; Modèle:Lang Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr Modèle:Lang (Résumé).</ref>.

Le Japon, modèle d'une politique du récif artificiel

Modèle:Article détaillé Le Japon est le premier et seul pays à avoir développé une stratégie à grande échelle de développement de récifs artificiels<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jean-Marie Thierry, Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, 1988, Modèle:Nobr.</ref>. Il est le seul pays à avoir réussi à quasi-stabiliser et localement restaurer sa ressource halieutique marine, environ Modèle:Nombre de récifs répondant aux besoins de différentes espèces et aux conditions de milieu ont été construits sur environ Modèle:Nombre (en 2001, avec un budget annuel d'un milliard d'euros pour l’étude et bio-aménagement des fonds marins) après des travaux empiriques, puis scientifiques, basés sur l’étude [[In situ (biologie)|Modèle:Lang]] des comportements, besoins et capacités de migration/recolonisation des espèces locales.

Ces récifs protègent et attirent aujourd’hui des dizaines de millions de poissons et crustacés. Les plus grands de ces récifs mesurent plusieurs milliers de mètres cubes et Modèle:Unité de haut.

En France, seules une quarantaine d’expériences ont été mises en place, essentiellement à l’initiative de deux chercheurs spécialisés de l'Université de Montpellier, dont Sylvain Pioch, chercheur au laboratoire GESTER (Gestion des sociétés, des territoires et des risques) à l’Université Paul-Valéry de Montpellier formé au Japon<ref>[1].</ref>Modèle:Référence non conforme. Quelques autres projets sont en cours (dont ceux étudiés par Egis-eau, qui doit installer Modèle:Nombre au large d'Agde, Hérault) (Modèle:Unité chacun environ, posés à des profondeurs de Modèle:Unité), avec le concours et suivi de l'école des mines d'Alès et le CNRS<ref>Thalassa Modèle:Date-, interview Sylvain Pioch.</ref>. La Ville de Marseille a également lancé en 2008 l'opération « Récifs Prado » dans la rade sud de Marseille, pour repeupler les fonds quasi désertiques de cette zone<ref>[2]</ref>,<ref>[3].</ref>Modèle:Référence non conforme<ref>Modèle:Article</ref>.

Outre-Mer, La Réunion s'est engagée dans un programme expérimental depuis 2002, à l'initiative des pêcheurs professionnels. Depuis 2007, de nouveaux prototypes en béton recyclé ont été conçus et immergés dans le cadre d'un programme baptisé « CORAIL Réunion », ayant aussi comme objectif de promouvoir la colonisation corallienne sur ces structures<ref>[4].</ref>Modèle:Référence non conforme.

Dispositifs d'attraction

Un cas particulier et ancien est celui de structures de bambous ou branches construites par des pêcheurs et maintenues sous la surface de l'eau par un flotteur. Ces structures attirent et regroupent des poissons qu'il est alors plus facile de piéger ou pêcher. Ces dispositifs d'attraction contribuent aussi à nourrir et protéger des poissons.

En Méditerranée, on pêche depuis longtemps les pieuvres en les piégeant dans des amphores immergées.

Le premier exemple de récif artificiel connu est cité par l’empereur Go-Kōmyō en 1652 : des épaves coulées après avoir été remplies de pierres attiraient et abritaient les poissons, ainsi plus faciles à pêcher, près des ports.

Limites, risques, échecs

Un récif artificiel est à la fois un dispositif d'attraction et d'augmentation de la productivité biologique<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Helen Pickering, David Whitmarsh, Modèle:Lang, Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref>. S'il est exploité en tant que ressource halieutique, au-delà d'un certain seuil, comme toute ressource, il peut être surexploité. En tant que DCP, dispositif d'attraction, il peut alors devenir un puits écologique, voire un piège écologique.

Quelques tentatives de récifs constitués de matériaux polluants ont été des échecs.

Certains récifs trop fragiles, ou trop légers<ref>F.Ozan Düzbastılar, Utku Şentürk, Modèle:Lang ; Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref> ont été détruits par les tempêtes d'équinoxe (par exemple devant le port de Morgat en Bretagne dans les Modèle:Lnobr). Avec l'augmentation du nombre de cyclones dans certaines régions, du monde, des précautions doivent être prises<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Mark J. Kaiser, Richard A. Kasprzak, Modèle:Lang ; Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref>, en tenant compte des courants et des irrégularités spatiale dans le forçage du vent<ref> Marie-Aude Pradal, Bertrand Millet, Hétérogénéité spatiale du forçage du vent : fonctionnement des récifs artificiels et circulation des eaux dans la baie sud de Marseille O ; Comptes Rendus Biologies, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref>.

Des récifs artificiels de troisième génération

Ce sont des récifs expérimentés depuis la fin des Modèle:Lnobr.

  • Ils cherchent à imiter la nature en augmentant l'offre en micro-habitats. Des structures préfabriquées peuvent ainsi être mieux colonisées, dont dans les digues artificielles (module Ecopode par exemple<ref name="Ecopode">Module Ecopode, Brochure de présentationModèle:Pdf.</ref> pour les carapaces de digues). Ils peuvent en outre être teints dans la masse pour mieux ressembler à des rochers naturels et s'intégrer dans le paysage<ref name="Ecopode" />.
  • Ils sont parfois construits via des méthodes de génie écologique, par exemple au moyen de l'accrétion minérale électrolytique fondée sur l'entretien d'un faible courant électrique sur une structure porteuse métallique. Dans ce cas, le courant facilite l'accrétion du calcaire sur la structure formant le début d'un récif colonisable par de nouveaux coraux. Sur cette structure qui durcit avec le temps, s'installent spontanément ou sont « greffés » des coraux. Selon les promoteurs de cette méthode, c'est la seule méthode disponible pour rapidement restaurer un récif, et notamment des récifs morts à grande échelle à la suite d'un tsunami ou à la suite du phénomène de blanchiment des coraux<ref>Exemple Modèle:Lien archive de technique de restauration de récif coralliens, illustrations 1 Modèle:Lien archive, 2 Modèle:Lien archive (Ihuru, Maldives) photos Modèle:Lien archive d'une restauration récifale à Bali, plaquetteModèle:Pdf Modèle:Lien archive (en anglais) sur les récifs artificiels « de Modèle:3e ».</ref>.

Conditions de réussite

Le récif doit être positionné à un endroit où assez de nutriments et de lumière sont disponibles. Ils doivent présenter un volume, une structure<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Carlos Werner Hackradt, Fabiana Cézar Félix-Hackradt, José Antonio García-Charton, Modèle:Lang ; Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref> et des caractéristiques de micro-habitats convenant à l'attraction, la protection et la nourriture des espèces qu'il doit attirer et abriter (espèces facilitatrices et bioconstructrices notamment).

Il doit aussi résister aux vagues, courants et tempêtes ou à un tremblement de terre le cas échéant, voire aux tsunamis, dans la mesure du possible. Des introductions volontaires de coraux et organismes (Génie écologique) permettent une colonisation plus rapide.

Le récif doit être constitué de matériaux environnementalement neutres (« éco-compatibles »), non toxiques, non écotoxiques et être biogéographiquement judicieusement positionné. Il doit présenter les conditions de vie des espèces qu'on veut y attirer. Les cavités ombreuses, longues et étroites sont adaptées pour le congre ou la rascasse qui apprécient que leur corps soit en contact direct avec les parois. Le loup ou le sar recherchent une cavité plus grande où ils peuvent nager plus à l'aise. Ces deux derniers poissons attendront que quelques pionniers de leurs espèces aient inspecté et adopté ce nouveau décor, avant de le coloniser massivement.

Pour des raisons de sécurité (dont sécurité alimentaire) et d'écotoxicologie les récifs, sauf s'ils ont aussi un rôle de dépollution ne doivent pas être exposés à des panaches de pollution organique ou chimique, ou posés à proximité de zones de munitions immergées ou de zones mortes.

Des récifs artificiels en eau douce, par exemple notamment testés<ref name="touladi">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} J. Ellen Marsden, Michael A. Chotkowski, Modèle:Lang ; Modèle:Lang Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, 2001, Modèle:Nobr (Modèle:Où).</ref> dans l'Indiana (port en eau douce du sud du lac Michigan, pour accueillir les pontes de touladi), peuvent être colonisés par une espèce invasive (moule zébrée dans ce cas). La moule zébrée semble inhiber leur utilisation comme lieu de ponte du touladi<ref name="touladi" />. Sur des galets propres (sans moules zébrées), les pontes étaient de Modèle:Nombre plus élevées (selon le dispositif de collecte utilisées)<ref name="touladi" />. En incubateur de laboratoire les réussites en termes de taux d'éclosion sont comparables, mais Modèle:Lang, la présence des moules zébrées semble réduire la ponte et d'augmenter les dommages aux œufs<ref name="touladi" />. De tels récifs artificiels pourraient peut-être être plus utiles aux touladis s'ils sont installés en eau plus profonde, plus à l'abri du batillage et de l'effet des ondes de tempête, et là où les moules zébrées ne pullulent pas<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ellen Marsden, John Janssen, Modèle:Lang ; Modèle:Lang, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, 1997, Modèle:Nobr Modèle:Quoi.</ref>.

L'évaluation correctrice : Elle est importante pour améliorer les dispositifs et comprendre pourquoi un récif est ou non occupé par certaines espèces. Les principaux moyens sont :

  • l'observation visuelle Modèle:Lang (plongée sous-marine), avec ou sans échantillonnage, de jour et de nuit, à différentes saisons et à court (période de colonisation), moyen et long terme ;
  • l'observation par robot ou vidéo avec appâts (ou éclairage de nuit) attirant les poissons ou certains crustacés ;
  • l'observation sans appât ;
  • l'observation d'indices de braconnage ou pollutionModèle:Etc.

Ces modes d'évaluation présentent chacun des biais de surveillance, et semblent complémentaire pour repérer à la fois les espèces cryptiques (cachées dans le récif et les autres)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Michael Lowry, Heath Folpp, Marcus Gregson, Iain Suthers, Modèle:Lang ; Modèle:Lang Modèle:Nobr, Modèle:Date-, Modèle:Nobr Résumé).</ref>.

Des tests portant sur différents échantillons de matériaux peuvent également être faits en amont.

Aspects environnementaux

Modèle:Lang (ONG environnementale basé à Washington) estime que le bilan inconvénients/avantages des récifs artificiels tels qu'ils ont été réalisés en Floride (souvent à partir de carcasses métalliques de navires, avions, véhicules terrestres) doit être réexaminé. Selon Jack Sobel, chercheur au sein de cette Modèle:Abréviation discrète, quand on tient compte des problèmes de toxicité, de dommages collatéraux aux écosystèmes et de phénomènes de concentration du poisson (piège écologique ?) qui peuvent encourager une surexploitation de la ressource halieutique, Modèle:Citation<ref name="pneuxFloride2009">Modèle:Lang ; Enn.com. / Reuters Modèle:Date-. consulté Modèle:Date-.</ref>.

Camouflage de décharges

Fichier:Tires540.jpg
Environ Modèle:Nombre de pneus ont été déversés au large des côtes de Fort Lauderdale (Floride), dans les Modèle:Nobr, en présentant l'opération comme récif artificiel expérimental. Ce fut un échec. Les pneus contiennent des molécules toxiques dont du cadmium, du noir de carbone toxiques ou répulsives pour les organismes marins. De plus les tempêtes ont déstabilisé le récif. Après Modèle:Nombre, des plongeurs militaires ont commencé à retirer les pneus<ref name="pneuxFloride2009" />.

Suivant l'exemple ci-contre, des millions de pneus, souvent assemblés par des sangles de nylon ou des câbles en acier, ont été jetés en mer (en Australie, Nouvelle-Zélande, Malaisie et au large des États américains de New York, New-Jersey, de la Caroline du Nord, de Californie et de Floride)<ref name="pneuxFloride2009" />. Les câbles en acier ont rouillé, des sangles ont cédé, et des milliers de pneus ont été rejetés sur les littoraux américains, en particulier pendant les ouragans (dont le long des côtes de Caroline du Nord après le passage de l'ouragan Fran en 1996)<ref name="pneuxFloride2009" />. les États américains ont depuis interdit les récifs faits de pneus.

Certains récifs artificiels ou dispositifs d'attraction pourraient être assimilées à des tentatives de se débarrasser à moindre coût de déchets toxiques ou encombrants. Des récifs artificiels peuvent être assimilés à des structures de déchets en mer, en particulier ceux qui ont ainsi été constitués de milliers de pneus, qui n'ont d'ailleurs pas été colonisés (en raison de leur écotoxicité pour la flore et la faune marines). D'autres constitués d'accumulation de chars d'assaut, ou de carcasses de navires (avec moteurs, antifouling toxiqueModèle:Etc.) sont bien moins propices à la colonisation que des structures spécialement conçues.

Néanmoins, il a été démontré que certaines épaves pouvaient localement jouer un rôle d'oasis pour la biodiversité<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Mr Appeltans, Ward, Belgian Shipwreck: hotspots for Marine Biodiversity, Modèle:Lang ref EV/42, Acronyme : BEWREMABI, Période : Modèle:Date- à Modèle:Date-, Modèle:Lang.</ref>.

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

Modèle:Trop de liens

Bibliographie

Généralités

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Concernant les récifs artificiels d'intérêt halieutique

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Notes et références

Modèle:Références

Modèle:Portail