Saint-Étienne-de-Baïgorry
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Étienne-de-Baïgorry (en basque : Baigorri) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Le gentilé est Baigorriar<ref>Gentilé sur habitants.fr</ref>,<ref name="Académie de la langue basque">- Académie de la langue basque</ref>. Modèle:Sommaire
Géographie
Modèle:Carte communes limitrophes
Localisation
La commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Bayonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de Mauléon-Licharre<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port<ref name=meta/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Irouléguy (Modèle:Unité), Anhaux (Modèle:Unité), Banca (Modèle:Unité), Lasse (Modèle:Unité), Ascarat (Modèle:Unité), Saint-Martin-d'Arrossa (Modèle:Unité), Uhart-Cize (Modèle:Unité), Ossès (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Étienne-de-Baïgorry fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque<ref group=Note>Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones<ref name="topo">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).</ref>. La commune est dans le pays de Baïgorry-Ossès (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.
La commune est frontalière avec l'Espagne (Navarre) à l'ouest.
Paysages et relief
L'Adartza, 1250 m, est un mont situé entre Saint-Étienne-de-Baïgorry, Lasse et Anhaux.
Le Munhoa (ou Monhoa), 1021 m, est un mont situé entre Saint-Étienne-de-Baïgorry et Saint-Jean-Pied-de-Port. On y accède à partir d'Anhaux, Lasse ou Saint-Étienne-de-Baïgorry.
L'Ahintziaga, 905 m, est un sommet frontalier surplombant par l'ouest Saint-Étienne-de-Baïgorry.
L'Hautza, 1306 m, est un sommet du Pays basque espagnol surplombant par l'ouest Saint-Étienne-de-Baïgorry.
Le mont Adi, 1450 m, est une montagne entre Saint-Étienne-de-Baïgorry et Urepel.
Le col d'Ispéguy est un col de 672 m, entre Saint-Étienne-de-Baïgorry et Errazu, relie la vallée du Baztan (nom du cours supérieur de la Bidassoa) en Navarre à la vallée des Aldudes.
Hydrographie
La commune est traversée<ref>Notice du Sandre sur Saint-Étienne-de-Baïgorry</ref> par la Nive des Aldudes, affluent de la Nive, et par ses tributaires, le ruisseau de Guermiette, Bihuntzeguiko erreka (ainsi que par l'affluent de celui-ci, Herauneko erreka), les ruisseaux de Lespars et de Zahaztoy (ainsi que par les affluents de celui-ci, Abrakou erreka et le ruisseau de Sargaraï), Belechiko erreka (ainsi que par les tributaires de celui-ci, Hérraukiko erreka et Tihistako erreka), Aparaineko erreka, Lichketako erreka, Latcharrako erreka, Heratéko erreka et Nekaitzeko erreka (ainsi que par l'affluent de ce dernier, Marmarako erreka).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Socoa », sur la commune de Ciboure, mise en service en 1921 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> :
- « la Nive », d'une superficie de Modèle:Unité, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « montagnes des Aldudes », d'une superficie de Modèle:Unité, ayant une vocation essentiellement pastorale, et dans une moindre mesure forestière, ce qui a engendré une mosaïque complexe de milieux, qui accueillent une grande diversité d’espèces de flore et de faune<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
et une au titre de la « directive Oiseaux »<ref name= Natura/>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> :
- la « vallée de la Nive des Aldudes, Col de Lindux », d'une superficie de Modèle:Unité, un massif montagneux schisteux à nombreux faciès rupestres, et pelouses montagnardes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> : la « Crête d'Iparla et Artzamendi » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et les « milieux tourbeux d'Elhorrieta et d'Elhorriko Kaskoa » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> :
- les « landes de Larla-Jarra et d'Orzaize-Izpura » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « montagnes et vallées des Aldudes, massifs du Mondarrain et de l'Artzamendi » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « réseau hydrographique des Nives » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Étienne-de-Baïgorry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39,5 %), forêts (34,9 %), prairies (13,6 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %), zones urbanisées (1,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et hameaux
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Voies de communication et transports
Saint-Étienne-de-Baïgorri est reliée par autocar à Ossès sur le réseau du TER Nouvelle-Aquitaine.
Elle est desservie par les routes départementales D15 et D948.
Sentiers de randonnée
Saint-Étienne-de-Baïgorry se situe sur le GR 10, sentier de grande randonnée (GR) qui traverse la chaîne des Pyrénées d'ouest en est. C'est le point de départ de la randonnée parcourant les crêtes d'Iparla et aboutissant à Bidarray en empruntant le GR 10, à cheval sur la frontière avec l'Espagne.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Nive des Aldudes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2006, 2009, 2011, 2013, 2014, 2019 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Saint-Étienne-de-Baïgorry est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030<ref>Modèle:Lien web</ref>. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 21,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2013 et 2014<ref name=Géorisques/>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Mentions anciennes
Le toponyme Saint-Étienne-de-Baïgorry apparaît sous les formes Vallis que dicitur Bigur<ref name="Mérimée">Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice de présentation de la commune</ref> (980), Beguer<ref name="Mérimée"/>, Beigur<ref name="Mérimée"/>, Baigur<ref name="Mérimée"/> et Baigorrie<ref name="Mérimée"/> (1238), Sanctus-Stephanus de Bayguerr (1335<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées.</ref>, chapitre de Bayonne<ref name="Chapitre de Bayonne">Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>), Sant-Esteban (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune">Titres publiés par don José Yanguas y Miranda</ref>),Baygorri (1650) et Thermopile (1793).
Aphalen, désignant un mont situé sur la frontière avec l'Espagne, est attesté en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>.
Le toponyme Bastida apparaît sous les formes La Bastida (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>) et La Bastide (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).
Gathuly est le nom d’un mont qui s’étend<ref name="Raymond"/> sur les territoires des communes de Banca et de Saint-Étienne-de-Baïgorry.
Le toponyme Guermiette est mentionné en 1264<ref name="Mérimée"/> et apparaît sous la forme Guermieta (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>).
Le toponyme Leizpartz est mentionné en 1264, puis 1350<ref name="Mérimée"/> et apparaît sous les formes Leizparz (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>) et Leïspars (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).
Le toponyme Licérasse apparaît sous les formes Liçaraçu (1402<ref name="Raymond"/>, titres de Navarre, E 459<ref name="Titres de Navarre">Titres du royaume de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>), Licarasse (1445<ref name="Raymond"/>, collection Duchesne volume CXIV, feuillet 177<ref name="Duchesne">Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France</ref>), Lizarazu (1525<ref name="Raymond"/>, titres de la Camara de Comptos<ref name="Camara">Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune</ref>), Lizaraçu (1621<ref name="Raymond"/>, Martin Biscay<ref name="Martin Biscay">Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°</ref>) et Licerasse (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).
Le toponyme Occos apparaît sous les formes Oucoz et Aucoz (1328<ref name="Raymond"/> pour ces deux formes, titres de la Camara de Comptos<ref name="Camara"/>) et Oquoz (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>).
Le toponyme Otikoren apparaît sous les formes Oticoren (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>) et Otticoren (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).
Le toponyme Urdos apparaît sous les formes Urdos de la Bastida (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>) et Urdoz (1621<ref name="Raymond"/>, Martin Biscay<ref name="Martin Biscay"/>).
Graphie basque
Son nom basque actuel est Baigorri<ref name="Académie de la langue basque"/>.
Étymologie
Le mot « Baigorri », dans sa forme francisée « Baïgorry », vient du basque ibai gorri et signifie « rivière rouge »<ref>Étymologie du mot « Baïgorry »</ref>,<ref>Modèle:Ref-Trask-History.</ref>.
Histoire
En 1391, Saint-Étienne-de-Baïgorry englobait les communes actuelles de Anhaux, Ascarat, Irouléguy et Lasse<ref name="Mérimée"/>.
En 1795<ref name="Veyrin">Modèle:Ouvrage, page 185</ref>, le Directoire incita un grand nombre de municipalités à adopter de nouveaux noms conformes à l'esprit de la Révolution. Ainsi Saint-Étienne-de-Baïgorry s'appela Thermopile.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Résultats électoraux
- Élections présidentielles 2007 Modèle:2e : N. Sarkozy 52,61 % / S. Royal 47,39 %
- Élections législatives 2007 Modèle:2e : J. Lassalle (Modem) 40,37 % / H. Lucbereilh (UMP) 33,65 % / J-P. Domecq (PS) 25,98 %
Intercommunalité
La commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry participe à cinq structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- la communauté de communes de Garazi-Baigorri ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
- le syndicat mixte du bassin versant de la Nive.
Population et société
Démographie
L'enquête de 1786<ref>Archives nationales K 1235, n° 21, citées par Modèle:Ref-Goyhenetche-Histoire PB3.</ref> recense à Saint-Étienne 208 maisons et 1698 personnes<ref>avec un cheptel composé de 110 chevaux, mulets ou juments, 6090 brebis, 604 vaches et 391 cochons</ref>.
Cette même enquête relève à Leispars 108 maisons et 697 personnes<ref>avec un cheptel composé de 41 chevaux, mulets ou juments, 3034 brebis, 246 vaches et 663 cochons</ref>, à La Bastide 66 maisons et 513 personnes<ref>avec un cheptel composé de 30 chevaux, mulets ou juments, 2332 brebis, 181 vaches et 304 cochons</ref>, à Othicoren 27 maisons et 203 personnes<ref>avec un cheptel composé de 14 chevaux, mulets ou juments, 1084 brebis, 52 vaches et 139 cochons</ref> et à Occos 74 maisons et 582 personnes<ref>avec un cheptel composé de 39 chevaux, mulets ou juments, 1731 brebis, 194 vaches et 322 cochons</ref>.
Modèle:Population de France/section
Enseignement
La commune dispose de trois écoles : l'école primaire privée Baigorriko Ama Ikastola, l'école primaire privée Donostei et l'école primaire publique<ref>{{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Saint-%C3%89tienne-de-Ba%C3%AFgorry%20%2864%29}}.</ref>. La première propose un enseignement basque par immersion alors que les deux autres proposent un enseignement bilingue français-basque à parité horaire<ref>{{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=7&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.</ref>.
Deux collèges sont présents sur la commune : l'un public (collège Jean-Pujo<ref>Site du collège Jean Pujo</ref>) et l'autre privé (Donostei<ref>Site du groupe scolaire Donostei</ref>).
Sports
L'Union sportive Baigorri est un club de rugby à XV créé en 1971, représentation la ville de Saint-Étienne-de-Baïgorry. Il disparaît en 2003.
L'Union sportive Nafarroa est un club de rugby à XV créé en 2003, né de la fusion de l'US Garazi de Saint-Jean-Pied-de-Port et de l'US Baigorri de Saint-Étienne-de-Baïgorry. Son siège social est basé à Saint-Jean-Pied-de-Port<ref>Modèle:Lien web.</ref> et son siège annexe à Saint-Étienne-de-Baïgorry.
Saint-Étienne-de-Baïgorry offre la possibilité de pratiquer la pelote basque en trinquet, mur à gauche et en plein air grâce à plusieurs frontons. On peut surtout, aux beaux jours, assister à des parties de rebot, discipline particulièrement spectaculaire. Le club de la ville, le Zaharrer Segi fait partie des meilleurs clubs du Pays basque<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Site officiel.</ref>.
Économie
La forge d'Etchauz est un ancien établissement sidérurgique, situé à 1,5 km au sud du bourg. Il fut en activité du milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à 1785.
La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de celle de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole.
Culture locale et patrimoine
-
Vue du village depuis le domaine d'Etxauz.
-
La chapelle Saint-Sauveur d'Occos.
-
Petit barrage sur la Nive des Aldudes.
-
Le terrain de rugby envahi par les moutons.
-
Le pont romain (1661) sur la Nive des Aldudes.
-
Salaisons le long de la Nive des Aldudes.
-
Le pont et l'église St-Étienne.
Le mois d'avril est le mois culturel de Baigorri, le point d'orgue de cet événement traditionnel se situe le dernier dimanche de ce mois avec Nafarroaren Eguna (la journée de la Navarre). C'est le jour où se retrouvent des dizaines de danseurs, de musiciens, d'artistes en tous genres, ainsi que plusieurs milliers de Basques des deux côtés de la frontière administrative.
Patrimoine civil
- Un camp protohistorique est situé au lieu-dit Lamotainpareta et des fortifications, protohistoriques également, sont présentes au lieu-dit Quarraquey ;
- Le manoir appelé château de Licerasse ou Lizarazu<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château de Licerasse</ref> date de 1366 ;
- La maison forte appelée Jauregia d'Urdos<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison forte Jauregia</ref> date des {{#switch: XVII
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}} ;
- Le pont romain, comme beaucoup de ponts dits romains du Pays basque, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1661). Il a été construit sur la Nive des Aldudes ;
- Le château d'Etxauz (Etchauz)<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château d'Etxauz</ref>,<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice complémentaire sur le château d'Etxauz</ref> date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'édifice actuel, construit à la demande de Gratien d'Etchaux, date de 1555. Il fut modifié au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis restauré à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;
- La ferme Itze<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Itze</ref> date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle tout comme la ferme Makozain<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Makozain</ref> et la maison Martinxoloenia<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Martinxoloenia</ref> ;
- La forge d'Etchaux<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la forge d'Etchaux</ref> montre encore des vestiges de son haut-fourneau datant des {{#switch: XVIII
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}}. Elle produisait les canons et les boulets pour la Marine royale et les corsaires ;
- La ferme Berhoa<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Berhoa</ref> date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle tout comme les fermes Iturraldea<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Iturraldea</ref>, et Jokoberro<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Jokoberro</ref> et la maison Zuburia<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Zuburia</ref> ;
Patrimoine religieux
- La chapelle Saint-Laurent-de-Guermiette<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Saint-Laurent-de-Guermiette</ref> date des {{#switch: XVII
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- La chapelle Saint-Sauveur-d'Occos<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Saint-Sauveur-d'Occos</ref> date des {{#switch: XVIII
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- La chapelle d'Urdos<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle d'Urdos</ref> date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- La chapelle Notre-Dame<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Notre-Dame</ref> date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- La chapelle Oilandoi, située au sommet du pic d'Oilarandoi, a été édifiée en 1942 sur les ruines d'un ermitage du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Emmanuelle Lapeyre, « Dans les pas des traileurs à Baïgorry », Le Mag Modèle:N°, supplément à Sud Ouest, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- L'église Saint-Étienne de Baïgorry<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Étienne</ref> : les premières traces écrites mentionnant l'église remontent à 1253 comme possession de Roncevaux, mais certains vestiges sculptés romans datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a été ensuite modifiée aux {{#switch: XVIII
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}} (construction de la voûte en 1733, du clocher en 1791). Le porche fut construit en 1940. Elle recèle du mobilier<ref>Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le mobilier de l'église Saint-Étienne</ref> du {{#switch: au
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Personnalités liées à la commune
Modèle:Catégorie principale Modèle:Catégorie principale
nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Bertrand d'Etchauz, né à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1641, fut évêque de Bayonne de 1598 à 1618.
nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Jean Isidore Harispe, né en 1768 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1855 à Lacarre, est un maréchal de France.
- Thomas Etcheverry, né en 1774 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1832 dans la même commune, est un homme politique, ancien maire de Saint-Étienne-de-Baïgorry et député.
nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Jean-Amédée Etcheverry, né en 1801 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1855 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est un homme politique français.
- Jean-Baptiste Etcheverry, né en 1805 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1874 à Paris, est un homme politique français, fils de Thomas Etcheverry.
- Arnauld Michel d'Abbadie d'Arrast, qui fut propriétaire du château d'Etchaux.
- Charles d'Abbadie d'Arrast, (1821-1901) propriétaire du château d'Etchaux et décédé dans la commune.
- Harry d'Abbadie d'Arrast, né en 1897 en Argentine, décédé en 1968, cinéaste réalisateur, qui fut propriétaire du château d'Etchaux.
- Jean Dutey y Vicenta Bergouignan, natifs de Saint-Étienne-de-Baïgorry émigrés en Uruguay, sont les arrière-grands-parents paternels de Juan Domingo Perón, président argentin à 4 reprises.
nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- Amédée Arcé, né à Saint-Étienne-de-Baïgorry en 1900, est un joueur de pelote basque qui fut quatre fois champion de France, et champion du monde en 1927.
- Michel Olçomendy, né en 1901 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et mort à Singapour en 1977, est le premier archevêque de Singapour, en 1972.
- Jean Etcheverry-Aïnchart, né en 1914 et mort en 2003 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, fut député à l'Assemblée nationale constituante (1945-1946) et conseiller général du canton de Saint-Étienne-de-Baïgorry (1945-1976).
- Jean Haritschelhar, né en 1923 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et mort en 2013 à Biarritz, est un universitaire, politicien, chercheur en littérature et académicien basque. Ancien maire de la commune de 1971 à 1980.
- Pascal Mazzotti, né en 1923 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 2002 à Saint-Ouen-l'Aumône, est un comédien français.
- Erramun Martikorena, né en 1943 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est un chanteur basque.
- Agustin Errotabehere, né en 1945, est un auteur basque d’expression française.
- Pierre Bidart, né en 1947 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 2010 à Sofia, est un universitaire, anthropologue et bascologue.
- Aurelia Arkotxa, née le Modèle:Date- à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est une poète et chercheuse. Elle fut désignée membre correspondante d'Euskaltzaindia, l'académie de la langue basque, le Modèle:Date-, et membre titulaire depuis le Modèle:Date-.
- Filipe Bidart, né en 1953 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est fondateur et membre d'Iparretarrak.
Héraldique
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes