Saint-Péver
Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Péver {{#ifeq:1|0|[sɛ̃pevɛʁ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}, est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.
Ses habitants sont les Pévérois.
Petite commune de 328 habitants, Saint-Péver se perche à flanc de coteau, à Modèle:Unité de Guingamp, sur un très vieux chemin parallèle au Trieux. Saint-Péver est une commune de Leff Armor Communauté et fait partie de la région historique du Trégor.
Géographie
Situation
Saint-Péver est une petite commune des Côtes-d'Armor située à une dizaine de kilomètres de Guingamp, ville la plus proche. Sa superficie est d'environ Modèle:Unité. Le village de Saint-Péver est situé sur l'axe Guingamp-Pontivy (D 767) qui traverse une partie de la Bretagne du Nord vers le Sud. De plus, Saint-Péver est située non loin de la route nationale 12, et le trajet jusqu'à la préfecture Saint-Brieuc est de Modèle:Unité<ref>Géoportail - IGN</ref>.
Le Trieux, fleuve côtier de Modèle:Unité, passe à Saint-Péver.
Altitudes
La commune de Saint-Péver est située à une altitude moyenne de Modèle:Unité, ce qui est assez élevé pour la région. L'altitude du centre-bourg est exactement de Modèle:Unité (au pied de l'église). Le point culminant de la commune s'établit à Modèle:Unité. Ce point se situe au milieu du triangle formé par les lieux-dits du Rest, Lan Ven et Castel Pic. Le point le moins élevé de la localité est situé sur la Route de Corlay, dans la vallée du Trieux, juste à l'entrée de la commune près du Moulin de Kerauffret (ce dernier étant situé dans la commune de Ploumagoar) et son altitude est de Modèle:Unité.
Communes limitrophes
Saint-Péver est bordée des cinq communes suivantes : Lanrodec, Plésidy, Ploumagoar, Saint-Adrien, Saint-Fiacre.
Le paragraphe suivant décrit les limites entre Saint-Péver et les localités voisines :
- Saint-Péver / Saint-Adrien (longueur : Modèle:Unité) : délimitation par le Trieux entre le Moulin de Kerauffret (en Ploumagoar) et Pont-Locminé.
- Saint-Péver / Plésidy (longueur : Modèle:Unité) : délimitation par le Trieux entre Pont-Locminé et le Moulin de Toulborzou.
- Saint-Péver / Saint-Fiacre (longueur : Modèle:Unité) : délimitation par un affluent du Trieux qui débouche au niveau du Moulin de Toulborzou.
- Saint-Péver / Ploumagoar (longueur : Modèle:Unité) : délimitation terrestre qui commence au Moulin de Kerauffret, se poursuit au lieu-dit de Pont Coz Tang et continue jusqu'à Kersperz (ce dernier lieu-dit étant en Ploumagoar).
- Saint-Péver / Lanrodec (longueur : Modèle:Unité) : cette délimitation passe par le Bois d'Avaugour puis par le Bois-Meur. Elle débute aux environs de Kersperz (en Ploumagoar), continue vers Run an Botern (en Lanrodec), vers le Château d'Avaugour (en Saint-Péver) et traverse la D 24 pour arriver aux alentours de Kervery (en Saint-Péver).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Kerpert », sur la commune de Kerpert, mise en service en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Péver est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,7 %), forêts (39,7 %), terres arables (11,8 %), prairies (5,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Attestée sous la forme Saint Bezver en 1444.
A été assimilé à l'échanson Bediver, un des Chevaliers de la Table ronde, connu en gallois comme Bedwyr.
Le nom en breton de la commune est Sant-Pever.
Histoire
Le Moyen Âge
Sous l'Ancien Régime, Saint-Péver était une trève de la paroisse de Saint-Fiacre, succursale de celle de Plésidy. Saint-Péver appartenait à l'évêché de Tréguier et au comté du Goëlo. Le château d'Avaugour se dressait sur un éperon dominant le cours du Trieux à l'extrémité occidentale de l'actuelle commune de Saint-Péver.
La Révolution
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Péver-la-Lande.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Les guerres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Le monument aux morts porte les noms des 50 soldats morts pour la Patrie<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- 44 sont morts durant la Première Guerre mondiale ;
- 1 est mort durant la Seconde Guerre mondiale ;
- 3 sont morts durant la guerre d'Indochine ;
- 1 est mort hors conflit ;
- 1 est mort dans un cadre non déterminé.
Politique et administration
Liste des maires
Le tableau ci-dessous présente la liste chronologique des maires de Saint-Péver depuis 1800 :
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Compte tenu de la population, le Conseil Municipal de Saint-Péver est composé de 11 membres.
Composition des conseils municipaux successifs (depuis 1989) :
Modèle:Boîte déroulante/début Jean Jourden (Maire), Hélène Allainguillaume, Pascal Boulvard, Stéphane Jouan, Françoise Keryer, Josiane Le Guenniou, Pascale Le Yan, Pascal Martin, Gaëlle Menou, Guy Moisan, Guillaume ThoravalModèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:Boîte déroulante/début Jean Jourden (Maire), Pascal Boulvard, Muriel Gautier, Françoise Keryer, Frédéric Le Guen, Pascale Le Yan, Pascal Martin, Elise Moisan, Guy Moisan, Delphine Ollivier, Guillaume ThoravalModèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:Boîte déroulante/début Michel Begat (Maire) (D), Pascal Boulvard, Muriel Gautier, Françoise Keryer (Modèle:1er), Frédéric Le Guen, Pascale Le Yan, Pascal Martin, Elise Moisan, Guy Moisan, Delphine Ollivier, Pierre-Yves Thoraval (D)Modèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:Boîte déroulante/début Henri Le Guenniou (Maire), Patrick Gautier, Jean Lallier, Frédéric Le Guenn, Yannick Le Lay, Gilbert Lebleu (Modèle:1er), Jean-Paul Mélou (D), Maurice Moisan, Richard Sommier, Bernard Thoraval (D), Michel Thoraval (D)Modèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:Boîte déroulante/début Francis Le Négaret (Maire), Patrick Gautier, Gilbert Lebleu, Alain Le Cocq, Michel Le Flohic, Jean-François Le Guenniou, Yannick Le Lay, Jean-Yves Moisan, Maurice Moisan, Annick Raoult, Richard SommierModèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:Boîte déroulante/début Francis Philippe (Maire), Jean Sélébard, Maurice Moisan, Francis Le Lay, Jean-Baptiste Raoult, Jean-Paul Mélou, Alain Le Cocq, Daniel Tallec, Jean-Yves Moisan, Michel Le FlohicModèle:Boîte déroulante/finModèle:Boîte déroulante/fin
NB : (D) : a donné sa démission
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/introduction Le maximum de la population a été atteint en 1881 avec Modèle:Nobr.
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 32,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,93 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,3 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Lieux et monuments
La chapelle de Restudo
La chapelle de Restudo fut probablement construite par les Chevaliers de l'ordre de Saint-Jean qui y avaient une commanderie. La tradition rapporte que Charles de Blois donna du bois pour sa réédification<ref>Philippe Bonnet et Jean-Jacques Rioult, Bretagne : dictionnaire guide du patrimoine., Éditions du patrimoine, Paris, 2002, 531Modèle:Nb p. Modèle:ISBN, Modèle:P.453.</ref>. L’édifice, en granite, date de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et est classé monument historique depuis 1954. Son plan initial, en forme de croix latine, fut modifié en 1920 par la suppression de l’aile Nord, en mauvais état et jugée dangereuse. Modèle:Qui dit que les pierres furent récupérées pour l’édification d’une maison. D’après les arcades subsistant, on peut penser que cette aile Nord était légèrement antérieure à l’aile Sud.
À l'intérieur de la chapelle, on peut trouver plusieurs statues anciennes comme celle de Saint Eutrope, tenant ses intestins dans ses mains et qui était invoqué pour guérir les enfants de la colique. La fontaine située près de la chapelle était d'ailleurs réputée pour guérir les maux de ventre.
L'attrait principal de la chapelle, à la nef inclinée, réside dans ses fresques ocre brunes des {{#switch: XV
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}}, par la suite recouvertes, avant d’être restaurées en 1953. On peut y contempler sur un mur diaphragme :
- au sommet : le couronnement de la Vierge, entourée d'anges musiciens ;
- au-dessous, à gauche : la Cène, avec le Christ donnant la communion aux Apôtres, dont Judas tenant un poisson. Une servante apporte pain et eau ; sa collègue l’épie par une petite fenêtre ;
- à droite : le Christ prie à Gethsémani, alors que les apôtres dorment.
Sur l'autre face de l’arc diaphragme, subsistent des femmes, des pages, des papes, des évêques et des chevaliers en costumes du Modèle:S mini-. Certains sont décapités. Au-delà de leur fonction ornementale, ces fresques remplissent, à l’origine, un rôle de formation religieuse pour les paysans alors illettrés.
On remarque également la présence de fers à cheval suspendus en ex-voto. Ils marquent le culte de Saint Éloi, patron des forgerons et des chevaux. D'ailleurs, chaque année depuis 1888 est célébré le pardon de Restudo à la fin du mois de juin. On peut alors assister à la traditionnelle baignade des chevaux dans le petit étang qui jouxte la chapelle.
La chapelle de Restudo a récemmentModèle:Quand bénéficié de travaux de restauration. À noter que les clefs de la chapelle sont disponibles à la Mairie.
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Calvaire et flanc sud.
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Le chevet et la costale nord.
La chapelle d'Avaugour
Classée monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Construite entre 1454 et 1504, c'est l'ancienne chapelle du château d'Avaugour<ref>http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=22322_1</ref>.
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Le chevet et la costale nord.
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Le flanc sud.
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La porte méridionale ornée d'une sagittation de saint Sébastien.
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La porte occidentale.
Le manoir de Toul-Borzou
Modèle:Section vide ou incomplète
L'église Saint-Pierre
L'église est sous l’invocation de saint Pierre. C'est une construction néo-gothique en forme de croix latine, construite entre 1861 et 1865 sur les plans d'Alphonse Guépin. Il s’agit d’un édifice relativement petit par rapport aux constructions semblables faites à la même époque, avec une nef très étroite et sans bas-côtés. C’est un édifice sans grand caractère architectural surmonté d’un tout petit campanile abritant trois cloches.
Le bâtiment contient un mobilier peu intéressant de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
On peut tout de même admirer cinq tableaux d'albâtre déplacés depuis la chapelle d’Avaugour. Ces panneaux, d’origine anglaise, sont encastrés dans le retable du maître-autel. Le panneau central représente une pitié du père et les quatre autres, l'Annonciation, l'adoration des mages, l'Assomption et le couronnement de la Vierge.
L'église abrite également quelques statues anciennes de bois polychrome dont une Vierge à l’enfant datant probablement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dédiée à Notre-Dame du Danouët. Cette statue proviendrait d’une chapelle du même nom, localisée au Danouët mais détruite. Les autres statues représentent notamment saint Anne Éducatrice et saint Péver.
On peut également observer une magnifique bannière de procession du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les orfrois brodés de cette bannière représentent des personnages nimbés que l’usure du temps empêche parfois d’identifier. Vingt-sept scènes sont figurées. On peut reconnaître les douze apôtres, la Vierge et des saints, qui portent chacun un livre et l’instrument de leur martyre.
Jusqu'aux années 1970 était célébré dans l'église Saint-Pierre un pardon en l'honneur de saint Maurice.
Les fontaines
Modèle:Section vide ou incomplète
Les croix
Il existe quatre croix dans la commune de Saint-Péver.
- La croix d'Avaugour, croix mérovingienne située en bordure de la vieille route Saint-Péver / Guingamp. À droite de la croix on trouve un bénitier ancien en granite monolithe de section rectangulaire et percé de quatre rigoles sur chaque face.
- La croix de Restudo, datant de 1819.
- La croix de Pont-Clet, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Le calvaire situé en plein bourg, près du monument aux morts et qui donne son nom à la Rue du Calvaire.
La forêt départementale d'Avaugour Bois-Meur
Durant l'année 2005, le Conseil général des Côtes-d'Armor a acquis la forêt d'Avaugour et le bois Meur, un ensemble de plus de 1 000 hectares s'étalant sur les communes de Saint-Péver, Saint-Fiacre, Boqueho et Lanrodec. Les objectifs du Conseil général sont « d'offrir au grand public une forêt exemplaire, tant en matière de gestion sylvicole que de protection de l'environnement ». La forêt départementale d'Avaugour Bois-Meur est ouverte au public qui peut découvrir sa faune et sa flore typique du pays de l'Argoat sur huit chemins balisés (de Modèle:Unité à Modèle:Unité) pour la randonnée pédestre, le VTT ou le cheval. Pour cela, il est préférable de se rendre au point accueil-info situé entre les deux massifs où le promeneur pourra se procurer une carte du massif éditée par le Conseil général et trouver le point de départ de tous les sentiers balisés. Ce point accueil-info est doté de tables de pique-nique, de toilettes sèches ainsi que d'un abri qui peut se révéler utile en cas de pluie.
Pour se rendre au point accueil-info, à partir du bourg, il faut prendre direction Plouagat puis suivre la signalisation mise en place par le Conseil général.