Guingamp

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Modèle:Infobox Commune de France

Fichier:Guingamp - Ile St Michel.jpg
Guingamp - Île Saint-Michel.
Fichier:Guingamp (22) Remparts 06.JPG
Remparts.

Guingamp Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en français standard retranscrite selon la norme API.</ref> <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Elle est homologuée « Petite cité de caractère »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Géographie

Localisation

Située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne, la ville se situe à Modèle:Unité à l'est de Brest et Modèle:Unité à l'ouest de Rennes. Saint-Brieuc, la préfecture, est à Modèle:Unité à l'est. Historiquement, Guingamp appartient au Tregor (Bro Dreger) et géographiquement à l'Argoat.

Guingamp est traversée par le Trieux.

Communes limitrophes

Géologie et relief

La région de Guingamp est marquée géologiquement par la chaîne cadomienne : au sud-ouest, le complexe de Belle-Isle-en-Terre (gabbros et péridotites) caractérise le bassin arrière-arc de cette chaîne. Guingamp est marquée par le métamorphisme intense de roches sédimentaires en migmatites et granitoïdes.

Transports

Fichier:Travaux avril 2015 Guingamp.JPG
Gare de Guingamp et son nouveau parvis.
  • Réseau terrestre

La route nationale 12 (2 × 2 voies) passe au sud de la commune.

  • Réseau ferroviaire

Modèle:Article détaillé La gare de Guingamp se situe sur la ligne Paris-Montparnasse - Brest, qui la relie à la capitale en 2h35.

Deux lignes de réseaux secondaires, la ligne de Guingamp à Carhaix et la ligne de Guingamp à Paimpol, permettent de joindre Carhaix et Paimpol.

  • Transport en commun

Modèle:Article détaillé Depuis 2011, Guingamp possède, avec son agglomération, un service de transports urbains : les Axéobus<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est reliée au reste de l'agglomération grâce aux 3 lignes régulières du réseau desservant Guingamp, Grâces, Pabu, Plouisy, Ploumagoar et Saint-Agathon. Le réseau est exploité pars le transporteur Jézéquel/Nicolas<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les couleurs du réseau seront modifiées en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plouisy », sur la commune de Plouisy, mise en service en 1971<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Guingamp est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle appartient à l'unité urbaine de Guingamp, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guingamp, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Depuis le Modèle:1er janvier 2017, Guingamp fait partie de la communauté d'agglomération Guingamp-Paimpol Armor-Argoat Agglomération, par arrêté préfectoral du 17 novembre 2016.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (94,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (86,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), forêts (2,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wingamp<ref name="KZGOI">Modèle:Lien web.</ref>, Guencamp en 1123<ref name="ZA0SKY">Modèle:Lien web.</ref>, Guengamp en 1145, Wengampus en 1151, Wengamp, Guengampus en 1165 et en 1169, Wingamp en 1165 et en 1171, Guengampus, Guingampus en 1235<ref name="KZGOI" />.

Le nom en breton de la ville est Gwengamp Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en breton KLT retranscrite selon la norme API.</ref>, sans doute issu de gwenn « blanc » ou « béni » au sens figuré, et kamp (latin campus) « champ »<ref>Regard sur le patrimoine architectural de la ville de Guingamp.</ref>.

Le sens étymologique serait donc « champ blanc », peut-être « champ ou domaine laissé en friche »<ref name="ZA0SKY" />.

Sigismond Ropartz privilégie le sens de Champ de vin (Guin-Camp). En 1151, Marguerite, duchesse de Bretagne, fait don à l'abbaye de Sainte Croix de plusieurs biens, dont quatre arpents de terre labourable situés entre « Ecclesiam vestran et Guingampum » pour y planter une vigne.

Bien que n'étant pas située dans l'aire traditionnelle de sa pratique linguistique, Guingamp se nomme Ghingan en gallo, prononcé [ɟɛ̃gɑ̃]<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ce nom est attesté à l'oral et à l'écrit dans plusieurs communes des Côtes-d'Armor et du Morbihan.

Histoire

Préhistoire et Antiquité gallo-romaine

De nombreux tumulus et dolmens paléolithiques, néolithiques et de l'Âge du bronze sont présents dans le pays guingampais (Trésor de Kérivoa<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>). La ville est toute proche de la voie romaine allant à Vorgium, passant notamment à Saint-Adrien et Plésidy.

Moyen Âge

Le Penthièvre fut un temps réduit à un petit comté dit « de Guingamp ».

Les trois châteaux successifs

Modèle:Article détaillé Les fouilles menées par Laurent Beuchet dans le château de Guingamp ont mis en évidence les trois châteaux construits successivement sur le même site.

Un premier château, construit vers 1030 sur une motte féodale circulaire, était entouré d'un fossé d'une profondeur de Modèle:Unité creusé dans le rocher. Les bâtiments étaient en bois, de même que la tour-porte rectangulaire reposant sur six poteaux qui en défendait l'entrée.

Un second château, construit en pierre, est édifié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Son mur d'enceinte est polygonal ; les angles en sont renforcés de contreforts, selon un modèle alors très courant dans les domaines des Plantagenêt.

Un troisième château est construit au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, de plan carré avec d'imposantes tours circulaires aux quatre angles, adaptées à l'artillerie de l'époque. Ce troisième château est resté inachevé : les tensions existant alors entre le duché de Bretagne et le royaume de France obligent le duc François II de Bretagne à privilégier les châteaux situés à l'est aux marges de son duché, comme Dinan, Fougères ou Nantes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Époque moderne

Guingamp est citée pour avoir participé à la Révolte des Bonnets rouges ou Révolte du papier timbré survenue en 1675. Trois émeutiers y furent pendus.

Les Sœurs Augustines de la miséricorde de Jésus arrivent à Guingamp en 1676, s'installant dans un monastère (actuel hôtel de ville) ; elles prodiguèrent des soins hospitaliers jusqu'en 1944 ; les 7 dernières religieuses de la communauté, âgées en moyenne de 90 ans, quittent Guingamp en 2020<ref>https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/ploumagoar/trop-agees-les-soeurs-quittent-guingamp-344-ans-apres-leur-arrivee-22-11-2020-12660252.php</ref>.

Révolution française

La ville de Guingamp prit activement part à la Révolution de 1789. Fin 1792, Pierre Boullon, notable, révolutionnaire montagnard, fut élu maire, en remplacement de Pierre Guyomar parti siéger à la Convention. À partir de Modèle:Date-, deux comités de surveillance se mettent en place en ville. Le fait que deux comités soient mis en place dans une ville aussi modeste atteste d'une opinion très favorable au pouvoir Jacobin et à la nouvelle République, mise en place en Modèle:Date-. Guingamp, est également chef-lieu de district depuis 1790. Présidé par Vistorte, ce district comportait 38 communes autour de la ville. Dans chacune fut mis en place un comité de surveillance, mais les archives départementales conservent les documents d'une vingtaine seulement.

Les personnages principaux de l'époque de la « Terreur » furent des modérés tels que Charles Hello, Yves-Marie Salpin avocat, membre du district et du comité dit « De la Délivrance », ainsi qu'un « Enragé », Olivier Rupérou. L'historien Hervé le Goff détaille ces faits avec précision dans son ouvrage « Les riches heures de Guingamp, des origines à nos jours ». Les archives sont consultables aux Archives Départementales de Saint-Brieuc, dans la section 100L.

À Guingamp, sous la Révolution, aucune exécution n'est à noter. Par contre, les récoltes sont catastrophiques et l'approvisionnement des marchés s'avère souvent maigre. Pas de guillotine, et aucune chouannerie. En revanche, les Guingampais participent activement aux guerres de Vendée, du côté républicain. Quelques troubles éclatent également en 1794, avec la menace de chouans venus de l'est du département.

Fichier:Guingamp la Grande Rue.jpg
La Grande Rue vers 1900 (lithographie d'Albert Robida).

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Première Guerre mondiale

Guingamp était alors une ville de garnison (le [[48e régiment d'infanterie|Modèle:48e d'infanterie]] y était basé).

Ce régiment participa notamment à la bataille d'Arsimont (Belgique) le Modèle:Date-, bataille au cours de laquelle son colonel (Louis de Flotte) fut tué.

Le Modèle:48e d'infanterie, basé à Guingamp, a compté Modèle:Nobr morts bretons pendant la Première Guerre mondiale ; son régiment de réserve, le [[248e régiment d'infanterie|Modèle:248e d'infanterie]], en a compté Modèle:Nobr<ref>Jean-Pascal Scadagne, "Les Bretons dans la guerre de 14-18", éditions Ouest-France, 2006, Modèle:ISBN.</ref>.

387 soldats originaires de Guingamp sont Morts pour la France. 16 ont été distingués de la Légion d'Honneur<ref name=genweb>Modèle:Lien web.</ref>.

La Seconde Guerre mondiale

Fichier:Guingamp - Bunker type R608.jpg
Bunker type R608, situé près de la gare.

Pour avoir hébergé et caché des aviateurs anglais, Georges Le Bonnie, de Lanvollon, fut arrêté le Modèle:Date- à Guingamp ; il fut décapité à Cologne le Modèle:Date-<ref name=rondel>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Né à Guingamp en 1923, Jean Tallec rejoint le maquis de Pont-Melvez au début de l'année 1944. Alors que son groupe venait d'exécuter des sabotages sur les lignes téléphoniques, il fut arrêté sur dénonciation, en même temps que ses camarades, le 27 juin 1944. Incarcéré à la maison d'arrêt de Guingamp, il eut à subir d'horribles tortures. Jugé et condamné à la peine de mort pour attentats et attaques à main armée contre l'occupant, il fut fusillé le 3 juillet 1944 au camp de Servel. Il avait 21 ans<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Membre du maquis de Pont-Melvez, René Forestier né à Guingamp, fut arrêté le 27 juin 1944 sur dénonciation, en même temps que quatre autres résistants. Accusés de sabotage de lignes téléphoniques, ils furent torturés pendant plusieurs jours. René Forestier fut amputé d'une jambe la veille de son exécution<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Il avait 20 ans.

Georges Herviou, né à Guingamp en 1925, rejoint le maquis de Pont-Melvez au début de 1944. Alors que son groupe venait d'exécuter des sabotages sur les lignes téléphoniques, il fut arrêté, en même temps que ses camarades, sur dénonciation le 27 juin 1944. Incarcéré à la maison d'arrêt de Guingamp, il subit d'affreuses tortures. Jugé et condamné à la peine de mort pour attentats et attaques à main armée contre l'occupant, il fut fusillé le 3 juillet 1944 au camp de Servel. Il avait 19 ans.

Un groupe de 18 résistants, lesquels tenaient une réunion dans la sacristie de l'église de Guingamp, fut arrêté par les Allemands, emprisonnés à Saint-Brieuc et, après avoir été torturés, 17 d'entre eux furent tués et leurs corps jetés pêle-mêle dans une fosse commune dans le bois de Malaunay en Ploumagoar le Modèle:Date-<ref name=rondel/> ; le Modèle:18e, Eugène Moulin, a été exécuté d'une balle dans la tête à Plélo la veille<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Guingamp est libérée le Modèle:Date par les maquisards de Plésidy-Saint-Connan.

97 soldats guingampais sont morts pour la France<ref name=genweb/>.

Modèle:Article détaillé

Le monument aux Morts

Le monument aux Morts porte les noms de 501 soldats morts pour la Patrie<ref name=genweb/>:

  • 387 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 97 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.
  • 8 sont morts durant la guerre d'Algérie.
  • 7 sont morts durant la guerre d'Indochine.
  • 1 est mort durant le conflit du Levant.
  • 1 est mort dans les troupes françaises d'occupation en Allemagne.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Administration municipale

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu puis Président de la Fédération Française de Football de 2011 à 2023 Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Frise chronologique de la succession des maires de Guingamp. <timeline> DateFormat = yyyy ImageSize = width:1200 height:200 PlotArea = left:40 right:30 top:10 bottom:20 TimeAxis = orientation:horizontal format:yyyy AlignBars = justify Colors =

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Politique de développement durable

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Guingamp, consultée le 26 octobre 2017</ref>.

Jumelages

Population et société

Démographie

L'unité urbaine de Guingamp regroupe six communes qui totalisent Modèle:Nombre<ref>site de la ville de Guingamp</ref>, Guingamp, Plouisy, Ploumagoar, Grâces, Pabu et Saint-Agathon pour près de 27000 dans l'aire urbaine<ref>Valeurs extrapolées de celles antérieures figurant sur Wikipédia et de celles du site municipal qui procède d'une confusion entre unité et aire urbaines</ref>.

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Établissements éducatifs

Guingamp relève de l'académie de Rennes. Voici ci-dessous la liste des principaux établissements scolaires de la commune : Guingamp a la chance de pouvoir compter de nombreuses écoles, collèges et lycées publics et également privés. Sa population en saisons scolaires est ainsi très jeune.

Modèle:Boîte déroulante/début Écoles primaires (maternelles et élémentaires)

  • Écoles primaires publiques :
    • École François-Leizour
    • École La Chesnaye
    • École La Madeleine
    • École à Saint Sauveur
    • École de Castel pic
  • Écoles primaires privées :
    • École Saint-Dominique (maternelle)
    • École Saint-Léonard (élémentaire)
  • Ecoles associatives
    • Ecole Diwan (maternelle et élémentaire)

Collèges

  • Collèges publics :
    • Collège Jacques-Prévert
    • Collège Albert Camus
  • Collèges privés :
    • Collège Saint-Dominique

Lycées

  • Lycées publics :
    • Lycée Auguste-Pavie
  • Lycées privés :
    • Lycée Notre-Dame
  • Enseignement professionnel privé :
    • Lycée Montbareil
    • Lycée du Restmeur
  • Enseignement professionnel public :

Formations post bac :

Langue bretonne

L'adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le Modèle:Date-.

À la rentrée 2018, 190 élèves étaient scolarisés à Diwan et dans les classes bilingues (soit 16,6 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)<ref>http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm</ref>.

Manifestations culturelles et festivités

Festival de la Saint-Loup

Le Festival de la Saint-Loup - Concours national de la danse bretonne et Festival international se tient tous les ans vers la mi-août. Il se termine toujours par la traditionnelle danse : la Dérobée de Guingamp.

Les principaux invités sont l’Écosse, l’Irlande, la Galice, les Asturies, le Pays de Galles, et autres artistes du monde entier. Guingamp est la capitale de la danse bretonne.

La danse est très présente dans les activités culturelles de la ville et l’office culturel organise une semaine de la danse créative contemporaine.

La ville du camelia

La ville est en outre connue pour la promotion de la culture du camelia à l'initiative de Fanch Ar Moal, grand spécialiste breton et international du camelia qui est maintenant soutenu par une nouvelle association dévouée à cette cause.

Santé

La ville dispose d'un hôpital.

Sports

En avant Guingamp

La ville abrite le club de football professionnel En avant Guingamp. Ce club ayant joué en Ligue 1 entre 1995 et 1998 puis de 2000 à 2004 et de 2013 à 2019. Il est souvent lié à des investissements très importants, par rapport à la petite population de la ville. Le stade du Roudourou compte ainsi Modèle:Nombre places pour une population de Guingamp sous les Modèle:Nombre habitants. C'est l'une des plus petites agglomérations à être à ce niveau dans le monde<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Parmi les clubs de supporters, on compte : le Kop rouge, les Red boys.

Le stade du Roudourou a accueilli la rencontre France-Îles Féroé, comptant pour les éliminatoires de la coupe du monde de football de 2010 (groupe 7), qui a eu lieu le Modèle:Date-.

Début Modèle:Date-, l'équipe de France féminine a joué à Guingamp contre l'Irlande ; match gagné 4 à 0, par les bleues, tout juste revenues des jeux olympiques de Londres, où elles avaient fini quatrièmes. Match qualificatif de l'Euro 2013.

En avant Guingamp a remporté la coupe de France de football 2008-2009 en battant le Stade Rennais 2-1, devenant ainsi le deuxième club de deuxième division à remporter la compétition.

Le Modèle:Date-, à l'issue de la Modèle:37e journée du championnat de Ligue 2, grâce à sa victoire sur le GFC Ajaccio (1-0), En avant Guingamp rejoint de nouveau la Ligue 1 qu'il avait dû quitter 9 ans auparavant.

En avant se qualifie pour un remake de la finale remportée en 2009, à l'issue d'une victoire contre l'AS Monaco aux prolongations 3 - 1 grâce à un doublé de Yatabaré et un but d'Atik sur des passes de Giresse et de Langil contre un but de Berbatov pour Monaco.

Le Modèle:Date-, En avant Guingamp retrouve donc le Stade Rennais FC pour cette finale de la coupe de France. Une nouvelle fois, EAG s'impose au Stade de France, 2 à 0, et ramène un second trophée dans les Côtes-d'Armor. Le club est ainsi qualifié pour la ligue Europa.

Le Modèle:Date-, En avant Guingamp se qualifie pour les Modèle:16es de finale de la ligue Europa après avoir terminé Modèle:2e de sa poule derrière la Fiorentina.

Roller

Guingamp Roller Skating est une association sportive principalement axée sur la course.

Handball

La ville compte un club: Guingamp Handball (GGHB). Les seniors ont réussi à atteindre à plusieurs le reprises le niveau Nationale 3. Les jeunes ont été plusieurs fois champions de Bretagne, comme lors de la saison 2021/2022.

Canoë-Kayak

Les Guingampais disposent d'un club, situé au moulin de la ville. La navigation se fait sur le Trieux.

Judo

Le Dojo Pays Guingamp/Dojo du Trieux est un club de judo, jujitsu, taïso et cross-training.

L'association est située au dojo de l'espace de la madeleine et intervient également dans les communes de Plouagat et Minihy-Tréguier.

Médias

L'hebdomadaire du pays de Guingamp est L'Écho de l'Armor et de l'Argoat.

Économie

Emploi

À l'identique de la population totale de la ville, la population active décroit entre 1999 et 2007.

En 1999, la population des 15 à 64 ans est de Modèle:Nombre, contre Modèle:Nombre en 2007.

Les actifs (Modèle:Nombre hab.) représentent 60,2 % de la population, et le nombre de chômeurs (530) fait ressortir un taux de chômage de 17,7 %.

Revenus de la population et fiscalité

En 2007, le revenu net imposable moyen par foyer fiscal est de 15 712 €.

38,5 % des foyers fiscaux sont imposés.

Entreprises de l'agglomération

  • Dolmen SA : entreprise de confection textile

Commerce

La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie des Côtes-d'Armor et fait partie de la technopole Anticipa gérée par l'Agence de développement industriel du Trégor.

Culture locale et patrimoine

Édifices religieux

Lieux et monuments

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}} classées ou inscrites MH.

Vie militaire

Unité militaire ayant été en garnison à Guingamp :

  • [[48e régiment d'infanterie|Modèle:48e régiment d'infanterie de ligne]].

Lieux culturels

La ville possède :

  • une médiathèque moderne, située en plein centre-ville à l'emplacement des anciens remparts de la vieille ville ;
  • un Centre culturel de culture bretonne et celtique ;
  • un théâtre municipal où l'Office culturel organise de nombreux spectacles issus des scènes nationales françaises ;
  • une salle consacrée aux expositions de photographies et d'art contemporain dans l'ancienne chapelle de la mairie ;
  • un Centre social et un Foyer de jeunes travailleurs qui ont une activité culturelle soutenue qui se poursuit dans quelques bars dynamiques de la ville dans lesquels se produisent des orchestres de différents courants musicaux ;
  • un espace de création, d'échange et de formation destiné à la danse : Le Lieu.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article connexe

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

Modèle:Références

Voir aussi

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Bibliographie

  • Abbé François Dobet Le Collège de Guingamp et L'Institution Notre-Dame 1516 - 1948, Les Presses Bretonnes, Saint-Brieuc, 1950, 238 p.
  • Le Boulanger (J.-M.), En avant de Guingamp, 1912-1995 : l'aventure, Éd. A. Bargain, Quimper, 1995, 223 p.
  • Rebille (A.), Guingamp et l'Argoat, Éd. Ouest-France, Rennes, 1989, 32 p.
  • Soulabaille (A.), Guingamp sous l'Ancien Régime, Presses universitaires de Rennes, Rennes, 1999, 331 p.
  • Toulet (S.), Vivre à Guingamp au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Association des Amis du Pays de Guingamp, Les Presses bretonnes, Saint-Brieuc, 1991, 318 p.
  • Le Bulletin des Amis du Pays de Guingamp, devenu aujourd'hui Les Amis du patrimoine de Guingamp (de nombreux articles, réalisés notamment par Simonne Toulet) et Le Pays d'Argoat

Articles connexes

Liens externes

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