Saint-Prex

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Modèle:Infobox Commune de Suisse

Fichier:Le château de Saint-Prex.jpg
Le château de Saint-Prex.

Saint-Prex est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district de Morges, sur les bords du Léman.

Géographie

Fichier:ETH-BIB-St-Prex-LBS H1-022157.tif
Photo aérienne (1959).

Modèle:Section à sourcer

Saint-Prex, dont le petit bourg médiéval s'étale sur une presqu'île du Léman, se situe à une altitude moyenne de Modèle:Unité, à Modèle:Unité au sud-ouest de Morges, chef-lieu du district éponyme.

La superficie de la commune d'environ Modèle:Unité (549 hectares) se situe sur une portion de la rive nord du lac, sur le plateau suisse. De là, le territoire communal s'étend en direction du Jura dans une plaine jouxtant le lac, jusqu'à une proéminence se situant quelque Modèle:Unité plus haut que la moyenne. La frontière nord est constituée par la vallée boisée du ruisseau Le Boiron de Morges. Vers le lieu-dit Bois-Billens, l'on atteint le point le plus élevé de la commune (Modèle:Unité). À l'est, la frontière suit le cours du ruisseau des Chenaux et à l'ouest, c'est Le Boiron de Morges qui fait office de limite, et ce jusqu'à son embouchure dans le Léman. La rivière a formé à cet endroit une petite plage alluvionnaire qui est restée à l'état naturel. Au nord de la commune se trouve encore le ruisseau de Bézières.

En 1997, d'après les données statistiques, la zone constructible s'étant à 37 % du territoire communal. Les forêts ou espaces boisés en occupent 7 % et les terres agricoles 55 %. Un peu moins de 1 % du terrain est impropre à la culture.

Saint-Prex a 5,5 kilomètres de côtes.

La commune de Saint-Prex compte également les hameaux de Beaufort (Modèle:Unité), non loin du point le plus élevé de la commune, et Les Iles (Modèle:Unité) au sud du Boiron, de même que quelques fermes isolées. Les communes voisines de Saint-Prex sont Buchillon, Étoy, Villars-sous-Yens, Lussy-sur-Morges, Lully et Tolochenaz<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Communes limitrophes

Population

Les habitants de la commune se nomment les Saint-Preyards<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name=":02">Modèle:Ouvrage</ref>.

Démographie

Modèle:Section à sourcer Avec Modèle:Nombre habitants (Modèle:Date-), dont 2 136 étrangers<ref>La Balise, Journal officiel de Saint-Prex, mars 2018, no 14, p.4. </ref>, Saint-Prex se classe dans les communes de taille moyenne du canton de Vaud. 82,5 % des résidents parlent le français, 5 % l'allemand et 3,3 % l'italien (Statistiques 2000). La population de Saint-Prex s'élevait en 1753 à 316 habitants, 528 habitants en 1850 et 882 en 1900. Depuis 1900, elle a augmenté régulièrement, notamment depuis l'installation de la verrerie en 1911. En 1950, la population se monte à Modèle:Unité, franchit définitivement les Modèle:Nombre habitants en 1983, Modèle:Nombre en 1999 et Modèle:Nombre en 2009. <timeline> Colors=

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Histoire

Le nom du village, provenant de la déformation populaire de Sanctus Prothasius<ref>Prodais > Proais > Proès > Près</ref>, est attesté depuis le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Modèle:Ref nec.

L'endroit fut occupé dès le Néolithique par deux villages lacustres au lieu-dit "en Fraid'Aigue", puis par les Helvètes et plus tard par les romains<ref>P. Severius Lucanus est le seul nom d'un romain attesté sur le socle d'une statuette retrouvée à Saint-Prex (Cf. Modèle:Harvsp)</ref> : Modèle:Ref nec.

Fichier:Détail vitrail temple St-Prex.jpg
Saint-Prex au Moyen Âge.

La vaste basilique funéraire de Basuges (652), dédiée primitivement à la Sainte-Vierge Marie, et son domaine semblent avoir appartenu très tôt à l'église cathédrale Notre-Dame Marie de Lausanne (dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle)<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, puis furent un temps confisqués par quelque roi carolingien qui les remit à une lignée de seigneurs du lieu, en échange de leurs loyaux services. Le dernier d'entre eux, un certain Réginold, finit par les rendre à l'église cathédrale de Lausanne le Modèle:Date pour s'assurer de son repos éternel et des prières du clergé lausannois. En 968, le domaine s'agrandit du domaine de Marcy, légué par le diacre Amico, et en 972, d'un moulin et d'une vigne entre les rivières Aubonne et Venoge<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le domaine de Saint-Prex, parmi d'autres propriétés, échoit au chapitre de Lausanne : un groupe de trente chanoines exerce désormais ses droits seigneuriaux sur la région. Il remet ainsi à quatre « colons » des terrains (« colonges ») qui doivent être mis en valeur et cultivés. Vers 1200, nous apprend le Cartulaire de Lausanne rédigé par Conon d'Estavayer (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), le domaine comporte également deux « lunages », soit deux terres de dimensions telles qu'il faut un mois lunaire pour les labourer et vingt-quatre « cheseaux », c'est-à-dire vingt-quatre parcelles contenant une maison (casa) et un jardin ou une place, donc en tout cas, vingt-quatre familles<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Modèle:Ref nec.

Fichier:St-Prex-Kirche.jpg
Église réformée Notre-Dame de Saint-Prex.

En 1234, le Chapitre de Lausanne décide du transfert des trois hameaux (proches de la gare actuelle) en un seul village au bord du lac sur la presqu'île, puis de le fortifier à l'aide "de pieux côté lac (chafaz), amenés du Jorat et de Vernand, et d'un fossé côté terre. On prévoit en outre, selon Béatrice Dufour, un espace au bord du lac pour y construire une tour, une chapelle, un corps de bâtiment, une cour, une écurie et un four pour le Chapitre. Ce sera le château de Saint-Prex"<ref>Modèle:Harvsp.</ref> dont la construction sera assurée par l'architecte Jean Cotereel, maître d'oeuvre de la cathédrale de lausanne et futur châtelain<ref>Le 23 juillet 1234, le Chapitre inféode à Cotereel une terre à Saint-Prex.</ref>, aidé de deux chanoines, Jean de Cossonay et Nicolas de Chavornay. Ce transfert et la construction d'un château étaient prévus depuis quelque temps. En effet, la pression croissante, tant politique que militaire, de la Maison de Savoie, qui faisait régner l'insécurité dans les campagnes dépendant de l'Église de Lausanne, obligea le Chapitre à revoir son système de défense. À son arrivée à Saint-Prex, l'évêque Boniface prononça l'interdit et la privation de la sépulture ecclésiastique contre quiconque "par audace téméraire et suggestion diabolique, oserait encore molester le bourg de Saint-Prex."<ref>Modèle:Harvsp.</ref> Modèle:Ref nec.

En avril 1358 néanmoins, Saint-Prex passa sous l'autorité du duc de Savoie. Les chanoines de Lausanne, excommuniés de 1384 à 1387, trouvèrent refuge au château. Au siècle suivant, Amédée VIII de Savoie, le futur Pape Félix V, l'habita avec sa cour pendant quatre mois (1427). Cette même année, dans un acte écrit, les comtes de Savoie furent finalement déclarés privés de leur droit sur ce lieu. Les Pettigny en furent longtemps ensuite propriétaires ; un membre de cette famille fut condamné à mort, puis gracié, pour avoir, de connivence avec sa mère et son frère, assassiné le notaire Pilantin de Saint-Prex en 1406<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Modèle:Ref nec.

Modèle:Ref nec.

Modèle:Ref nec

Monuments

Fichier:Tour de l'horloge de Saint-Prex.jpg
Porte de Saint-Prex ou Tour de l'horloge (installée en 1726).
  • Cité médiévale : château médiéval ({{#switch: XIII
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}}) et restes des remparts. Ces derniers étaient encore intacts en 1737, car un procès-verbal du Modèle:Date- signale que plusieurs personnes furent frappées d'amendes pour y avoir percé des fenêtres et qu'il leur était accordé jusqu'à la Saint-Martin pour « barrauder ces trous »Modèle:Référence nécessaire. Le Modèle:Date- néanmoins, le Conseil décida de vendre l'emplacement des fossés aux propriétaires bordiers pour les transformer en jardins, à condition de tenir bien propre la rue Couvaloup (Cum Vallum = auprès du rempart)Modèle:Référence nécessaire.

  • La porte à mâchicoulis de l'horloge : l'horloge fut installée en 1726 sur la porte médiévale de l'enceinte fortifiée, qui comportait autrefois huit mâchicoulis. M. de Beausobre, qui venait d'acheter la bourgeoisie de Saint-Prex, offrit de la payer. Les frais s'élevèrent en 1727 à 660 florins<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.
  • L'église romane Notre-Dame de Saint-Prex : construite sur un mausolée gallo-romain appartenant à une vaste villa, l'église, qui daterait de 652, se situe sur une éminence en dehors du bourg historique. Elle fut dédiée à la Sainte-Vierge, puis à Saint-Prothais. Elle fut transformée en temple protestant à la Réforme et est inscrite comme bien culturel suisse d'importance nationale<ref name=kgs/>.
  • Manoir de la Pointe : ce château, sauf la tour médiévale (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), fut remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La célèbre famille Forel y a résidé pendant de nombreuses années, avant de le vendre en 1983 à la famille von Overbeck<ref>Modèle:Article</ref>.
  • Fraidaigue (Route de Morges 21). Maison de campagne en forme de chapelle néogothique construite en 1831 pour le général d'origine hollandaise Hendryk van Oyen, précédemment propriétaire de La Gordanne près de Perroy. Cet édifice a été remplacé en 1904 par une villa cossue due aux architectes Alphonse Laverrière et Eugène Monod<ref name=Néogothique>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name=GAS>Modèle:Ouvrage</ref>.

Plages

Saint-Prex bénéficie de plusieurs plages : la plage du Coulet, la place d'Armes, le Bain des Dames, la plage de Chauchy (Bain des Hommes)<ref>Saint-Prex. Plages, Commune de Saint-Prex</ref> avec son plongeoir dans le lac. Ce plongeoir, qui culmine à sept mètres, est en réalité un morceau de grue qui appartenait à la scierie Monet. Devenue inutile, monsieur Monet avec son ami Roger Desseaux décident, à la nage, de l'emplacement et grâce à un système de tonneaux qui servent d'abord de flotteurs, puis sont remplis, la plantent à l'emplacement actuel à la fin des années 50<ref>Le papa du plongeoir est parti, La Côte, 7 mai 2015. Archives Scriptorium de la BCU</ref>. En 2010, une pétition munie de Modèle:Nombre signatures est déposée pour éviter que le plongeoir soit démoli, car il ne répondait pas aux normes selon sa vétusté et la profondeur du lac<ref>Saint-Prex. Pétition déposée pour sauver le plongeoir, La Côte, 27 août 2010</ref>,<ref>Saint-Prex. Une grue fait office de plongeoir depuis la fin des années 50, La Côte, 14 août 2012</ref>. En 2021, le conseil communal et la municipalité décident finalement de sauver ce plongeoir moyennant des travaux pour un montant de Modèle:Nombre francs<ref>Saint-Prex. La commission du conseil sauve «son» plongeoir du naufrage, 24 Heures, 18 mai 2021</ref>.

Source de Saint-Prex

L'eau de Saint-Prex trouve son origine dans les glaciers du massif du Mont-Blanc, et non pas dans les eaux du Léman. Cette eau s'infiltrerait dans les sols et passerait sous le lac pour enfin remonter par phénomène de siphon près de la surface, à la hauteur de Saint-Prex. Elle est récoltée dans un puits filtrant situé à environ 20 mètres sous la surface, au niveau du terrain de football du Vieux-Moulin. Des tests réguliers indiquent des résultats excellents qui rendent tout traitement superflu. Cette eau de source est ensuite pompée pour être conduite dans le réservoir de l'Épine, situé sur les hauts de la commune à environ 3 km, pour une différence d'altitude de 87 mètres<ref>La Balise, journal officiel de la commune, mars 2016, no 6, p.2.</ref>.

Le Servagnin

En épousant Amédée VIII, futur duc de Savoie, Marie de Bourgogne devient la duchesse des Vaudois en 1393. En 1420, enceinte de son huitième enfant, et effrayée par la peste, elle s'installe temporairement à Saint-Prex où, selon la tradition, pour remercier les habitants de leur accueil, elle leur aurait fait cadeau de plants de Servagnin, son cépage préféré, provenant du château de Ripaille. Depuis, ce clone de Pinot Noir bourguignon était cultivé dans la région de Morges, région qui verrait ainsi la plus ancienne culture du Pinot noir de Suisse<ref>Journal de Morges, vendredi 21 décembre 2018, p.5</ref>. Ce cépage pourtant fut peu à peu remplacé par des cépages à plus grands rendements, les attaques du phylloxéra (vers 1888) précipitant encore sa disparition. Au début des années soixante, il était considéré comme perdu dans la région.

Cependant, en 1963, le vigneron Pierre-Alain Tardy put retrouver un plant qui avait subsisté contre le poulailler d'un habitant de Saint-Prex, Werner Kaiser. Il décida alors de reconstituer une petite vigne d'une centaine de pieds obtenus par greffage. Après des débuts décevants, dès 1990, plusieurs parchets sur différents terroirs furent alors replantés conduisant à une renaissance du Servagnin de Saint-Prex et de la région de Morges. Finalement, en l'an 2000, les premières bouteilles de Servagnin purent enfin être mises sur le marché.

Seules les vignes ne contenant que des plants de pinot noir clonés à partir des plants de ces premiers parchets, situées sur l'aire d'appellation Morges, obtiennent le droit à l'appellation Servagnin. La production en est limitée à 50 hectolitres à l'hectare et à 82 degrés Oechsle minimum. Vinifié obligatoirement en barrique de chêne, son élevage doit durer au moins seize mois.

Pierre de Coulet

La pierre de Coulet, bien conservée dans ses éléments, est actuellement fracturée en trois morceaux visibles et en quatre morceaux reposant au fond du lac à une vingtaine de mètres de la rive. En effet, elle fut dynamitée autrefois par un vandale dont le bateau avait heurté le bloc lors d'une manœuvre maladroite<ref>P. Delacrétaz, Pierres mystérieuses, Cabédita, 1994, p. 33-35.</ref>. Elle n'est pas visible depuis la rive, des propriétés privées empêchant l'accès au lac à cet endroit.

Politique

La commune est dirigée par un Conseil communal (législatif) de 65 membres<ref>Modèle:Lien web</ref> et une Municipalité (exécutif) de cinq membres<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Aux élections de 2016, le Conseil communal, élu jusque-là au système majoritaire, passe à la proportionnelle. La nouvelle loi vaudoise sur les communes impose en effet une élection à la proportionnelle pour les communes de plus de Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Partis politiques

Entente Saint-Preyarde

Fondée en 2014Modèle:Référence nécessaire, l'entente Saint-Preyarde, également appelée « Entente Communale » ou simplement « Entente »<ref>Modèle:Lien web</ref>, se définit comme apolitique et comme un parti ayant pour but Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Elle possède 47 des 65 sièges du Conseil communal et 4 sièges sur 5 à la MunicipalitéModèle:Référence nécessaire.

Parti libéral-radical

Le PLR est le seul parti traditionnel national représenté dans la commune avec l'APSP (PS et Verts). Il est le deuxième parti le mieux représenté au conseil et le seul autre parti à avoir un représentant à la Municipalité<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

Le parti possède 13 des 65 sièges du Conseil communal et 1 siège sur 5 à la MunicipalitéModèle:Référence nécessaire.

Alternative pour Saint-Prex

L'APSP est un des deux seuls partis traditionnels représentés dans la commune (avec le PLR)Modèle:Référence nécessaire. Créée en 2021, elle regroupe les élus Verts et PS de la communeModèle:Référence nécessaire.

Élections communales 2021

Le syndic de la commune est Stéphane Porzi, élu tacitement le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le conseil communal, élu pour Modèle:Nb, est présidéModèle:Depuis quand par Pierre Enderlin (Entente)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La dernière élection du conseil communal a eu lieu le 7 mars 2021, dans le cadre des élections communales vaudoises du 7 mars 2021.

Fichier:Composition du Conseil Communal de Saint-Prex.svg
Composition du Conseil communal par groupe politique Modèle:Legend Modèle:Legend Modèle:Legend
Législature du Conseil communal (2021-2026)<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>
 Parti  Nombres de membres
PLR 13
Entente 47
Modèle:Abréviation (PS et Verts) 5

Le premier tour de l'élection de la municipalité a lieu le 7 mars, où quatre municipaux sur 5 sont élus. Au second tour, le Modèle:Date-, deux candidats obtiennent le même nombre de voix (228) : le premier tirage au sort, annulé par la préfecture en raison de l'absence des deux intéressés, désigne Pierre Enderlin comme candidat élu ; le second tirage au sort désigne Jan Von Overbeck, ancien médecin cantonal bernois<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Membres de la Municipalité de Saint-Prex (législature 2021-2026)<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Nom  Parti Dicastère
Stéphane Porzi Entente Syndic et Administration générale, de la piscine et des sociétés locales
Véronique Savioz PLR Aménagement du territoire, de la police des constructions et des infrastructures
Anthony Hennard Entente Vice-syndic et Service administratif, des finances, des écoles et du social
Anouk Gäumann Entente Domaines, de l'environnement et des espaces publics
Jan von Overbeck Entente Bâtiments et infrastructures sportives

Distinctions

Transports

Saint-Prex comporte une gare qui est desservie par plusieurs lignes du réseau express régional vaudois exploité par les CFFModèle:Référence nécessaire ainsi que la ligne de bus 724 du MBC de Morges à Allaman.

Sur le territoire de la commune se trouve la seule balise VOR immergée de guidage pour avions de Suisse. Construite de 1968 à 1971, elle se présente sous la forme d'une boule de 13  mètres de diamètre située à  2,8 mètres au-dessus du lac. La compagnie Swiss a décidé de nommer l'un de ses Airbus A320 St-Prex en l'honneur de cette balise<ref>Modèle:Article</ref>.

Éducation

La commune de Saint-Prex fait partie du groupe scolaire EPS Saint-Prex et environs. Elle compte trois écoles : le collège du Cherrat (Modèle:7e à Modèle:11e), l'école du Chauchy (Modèle:1re à Modèle:4e) et l'école de Sous-Allens (Modèle:1re-Modèle:6e)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Personnalités

Industries

Fichier:Ferring St-Prex.jpg
Ferring Pharmaceuticals, siège principal à Saint-Prex.
  • Verrerie (1911) et Musée du verrier : la verrerie de Saint-Prex, fondée en 1911, a repris l'année suivante le matériel et le personnel de la verrerie dite de Semsales, qui cesse alors sa production<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le nouvel établissement industriel avait initialement pour but de produire des bouteilles. Il a ensuite élargi sa production en fabriquant, surtout entre 1928 et 1964, des articles de table et toute une gamme d'objets artistiques et de décoration, notamment de petits chevaux en verre noir (vers 1939)<ref>Modèle:Article.</ref>. Le musée, qui se trouve sur le site même de l'usine actuelle, expose un grand choix de ces créations.
  • Siège de Ferring Pharmaceuticals, appartenant à Frederik Paulsen.
  • Siège administratif de Vale.

Notes et références

<references> <ref name=kgs>Modèle:Pdf L'inventaire édité par la confédération suisse, canton de Vaud</ref> </references>

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Méta palette de navigation Modèle:Portail