Saint-Sauveur-en-Puisaye

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Sauveur-en-Puisaye est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle est localisée au cœur de la région naturelle de la Puisaye et constitue une place réputée pour la poterie.

La ville est particulièrement connue pour être la ville natale de la romancière Colette. Elle accueille le musée Colette depuis 1995 et sa maison natale est ouverte au public en 2016. Le collège de la ville porte également le nom de Colette.

Saint-Sauveur-en-Puisaye fait partie des Cités de caractère de Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

La commune appartient à la région historique et naturelle de la Puisaye.

Le bourg de Saint-Sauveur est dans le sud de la commune, touchant presque la commune mitoyenne de Moutiers-en-Puisaye<ref name="geoportlStSauveurHydro">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".</ref>.

Transports

Auxerre et Toucy sont respectivement à 41 km et 17 km au nord-est. Bonny-sur-Loire est à 31 km à l'est par la Modèle:Nobr puis la Modèle:Nobr, avec sur la même Modèle:Nobr l'autoroute A77 à 28 km. Nevers est à environ 90 km au sud, Bourges à 95 km au sud-est. Paris est à environ 180 km au nord par l'autoroute A6 à Sépeaux (échangeur Modèle:N°18, 43 km au nord) près de Joigny. Les autres points d'accès les plus proches pour la A6 sont Auxerre-nord / Migennes (échangeur Modèle:N°19, 45 km par la Modèle:Nobr puis la Modèle:Nobr), Auxerre-sud (échangeur Modèle:N°20, 50 km) à l'est de la ville, et Nitry (échangeur Modèle:N°21, 62 km) au sud-est d'Auxerre<ref name="googlemaps">Saint-Sauveur-en-Puisaye sur la carte de google.fr. Les distances routières entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral à gauche (voir l'onglet en haut à gauche de la carte - cliquer sur "itinéraires").</ref>.

L'aérodrome d'Auxerre-Branches est à 40 km au nord-ouest<ref name="googlemaps"/>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 89368.png
Carte de la commune de Saint-Sauveur-en-Puisaye et des proches communes.

Hydrographie

La rivière le Loing marque la limite entre les deux communes sur presque Modèle:Unité. La source du Loing se trouve à un peu moins de 9 km au sud-est sur la commune de Sainte-Colombe-sur-Loing<ref name="geoportlStSauveurHydro"/>. Le Branlin marque la limite Est et nord-est de la commune sur environ 8 km, la séparant de Saints-en-Puisaye (où il prend source) et de Fontaines. Plusieurs petits affluents de rive gauche coulent sur la commune, dont l'Ingéron et la rivière Rouge. Cette dernière collecte les eaux de sept étangs dont l'étang des Barres (environ 21,8 ha) et l'étang de Gaudry (environ 15,6 ha)<ref name="geoportlStSauveurHydro"/>.

Selon le SIGES (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines), cinq masses d'eau souterraines se trouvent sous le territoire de la commune :

Géologie

Selon le SIGES Seine-Normandie, les couches géologiques se succèdent dans le sens nord-ouest / sud-est. Une petite surface à l'extrême pointe ouest de la commune (vers Ronchères) est faite de "formations résiduelles à silex de Bourgogne"<ref name="sigesGeol">Fiche hydrogéologique de Saint-Sauveur-en-Puisaye sur sigessn.brgm.fr.</ref> (selon la carte géologique de Géoportail, cette couche s'arrête juste avant la limite de commune de Ronchères<ref name="geoportlStSvrGeolg">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques » et « Géologie » activées.</ref>).

À l'ouest-nord-ouest se trouvent des marnes et de la craie marneuse, sableuse et glauconieuse du Cénomanien du Bassin Parisien<ref name="sigesGeol"/> (LPS sur la carte géologique de Géoportail, couvrant en gros la zone boisée appelée "les Landes" et en bordure Est des Landes le bois des Rameaux et le bois des Chaumes<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>), faisant partie du bassin versant du Loing<ref name="sigesGeol"/>. Cette couche s'étend en gros sur la zone boisée appelée "les Landes", incluant le bois des Rameaux et le bois des Chaumes situés en bordure Est des Landes<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>.

Contrairement à la cartographie du SIGES qui reste muette sur le point qui suit, la carte de géoportail montre, longeant le côté est-sud-est de cette zone marneuse, une bande assez étroite (seulement 150 m à 300 m de large environ) en vert pâle labellisée C1-2<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>, soit des argiles de Myennes de l'Albien moyen<ref name="Raymond">C. Raymond, Étude documentaire des matériaux argileux de Bourgogne, BRGM, février 1978, Modèle:P..</ref>. Cette bande de sol, assez étroite, est cependant importante du point de vue de la géographie humaine : c'est là que se placent les Griffons, les Vrines, la Folie (avec son château), les Petits Moyeux, les grands Moyeux, la Potinerie et les Rochers ; tous ces hameaux sont situés sur une ligne à peu près rectiligne orientée sud-ouest/nord-est, et la majorité d'entre eux est plus précisément sur la ligne de partage entre la zone C1-2 et la zone n7b qui suit. Il n'y a pas d'autre hameau dans la zone LPS précédemment décrite. C'est aussi le long de cette ligne que commencent les premières trouées dans le couvert forestier jusque là uniforme<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>. Selon C. Raymond du BRGM, la couche C1 (Albien) contient du grès ferrugineux en plus du sable<ref name="Raymond"/> ; de même le grès ferrugineux est présent dans les couches n4b (Barrémien supérieur) et n7b (Albien supérieur)<ref>M. Gigout, J.-P. Michaud, C. Monciardini, Notice explicative de la feuille Saint-Fargeau à 1/50000, BRGM, 1982, Modèle:P. et 20.</ref>.

Ensuite viennent des sables de la Puisaye, de Frécambault et des Drillons de l'Albien moyen du sud-est du Bassin Parisien<ref name="sigesGeol"/> (n7b, en vert foncé sur la carte de géoportail). Ils sont répartis en deux zones. L'une de ces zones n7b forme une bande qui poursuit l'avancée vers le sud-est des zones précédentes, jusqu'à l'étang des Barres et la vallée de la rivière Rouge au nord de la commune, et rejoignant vers le sud la pointe nord-est de l'étang de Moutiers ; l'autre zone n7b forme une tache séparée qui va des Michauts et la Bâtisse à l'ouest (sur Moutiers), jusqu'au Tureau à l'est du bourg de Saint-Sauveur ; elle couvre aussi la moitié ouest du bourg de Saint-Sauveur, mais une faille orientée sud-ouest/nord-est la traverse qui passe au niveau du bourg. Un petit étang d'environ 11 ares se trouve jouxtant le côté ouest de cette faille à ~300 m au nord de la ferme des Venots, à un endroit où affleure la couche C1 sur environ 3,2 ha<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>.

Une zone dite n7a<ref name="geoportlStSvrGeolg"/> continue l'avancée des diverses zones vers le sud-est, entourant complètement la zone n7b isolée. Elle est composée d'argiles de Myennes et de l'Armance de l'Albien inférieur du sud-est du Bassin Parisien. Sa limite côté Est s'arrondit pour englober la station ferroviaire au sud-est des Janets et de Saint-Sauveur, puis remonte vers les Pulains, le Bois Clair et les Roudons, s'arrondit de nouveau pour inclure les Péreux et les Viés, et se prolonge côté rive droite de la vallée du Branlin<ref name="sigesGeol"/>,<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>.

Plus à l'est se trouve une zone n4b, des sables argileux du Barrémien supérieur<ref name="charteBRGM">Charte BRGM de l'échelle des temps géologiques, sur sigespoc.brgm.fr.</ref> du bassin Parisien<ref name="sigesGeol"/>.

Les fonds de vallées de la rivière Rouge et ceux de ses affluents qui alimentent l'étang des Barres, sont recouverts d'alluvions et colluvions (FC) que l'on retrouve dans la petite vallée sèche du bois Bâtard et celle du ruisseau dans le bois Fleury, ces deux derniers affluents de rive gauche du Branlin. Selon la carte de Géoportail, la vallée du Branlin est recouverte d'alluvions, d'amont en aval FZ puis FY - le passage de l'un à l'autre s'opérant aux environs de la N455, près du ruisseau du bois Fleury<ref name="geoportlStSvrGeolg"/>. Toutefois la cartographie du SIGES indique des argiles de l'Aptien-Barrémien du Bassin Parisien dans la partie aval du Branlin et dans la vallée de l'Ingeron<ref name="sigesGeol"/>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Sauveur-en-Puisaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), prairies (41,5 %), terres arables (4,8 %), zones urbanisées (2,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

Moyen Âge

Hermenold d'Auxerre<ref name=272bruzen5>Modèle:Ouvrage.</ref> ou Ermenold<ref name="170Lebeuf1743vol1">Modèle:Harvsp.</ref>, premier comte d'Auxerre, fonde un monastère à Saint-Sauveur<ref name=272bruzen5/>. L'évêque Maurin (772-800) en fait une dépendance de la cathédrale Saint-Étienne d'Auxerre<ref name=272bruzen5/>. L'établissement tombe ensuite dans les mains des seigneurs locaux jusqu'à ce que le comte d'Auxerre Landry le donne vers 1020 à Achard, abbé de Saint-Germain<ref name=272bruzen5/>. Il y a sous le prieuré une crypte datant à peu près de la fondation originelle<ref name=272bruzen5/>.

Époque moderne

Au cours de la Révolution française, la commune, qui portait le nom de Saint-Sauveur, fut provisoirement renommée Montagne-sur-Loing et Sauveur-sur-Loing<ref name=Cass>Modèle:Cassini-Ehess</ref>. C'est en 1961 que fut adopté le nom de Saint-Sauveur-en-Puisaye<ref name=Cass/>.

Fichier:Saint Sauveur Rue Colette.jpg
Rue Colette, anciennement rue de l'Hospice.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Charles Guillaumaux Curé
Louis Paultre des Epinettes Ancien constituant
Jean-Baptiste Pietresson
1794 - 1801 Louis Paultre-Lamotte
1801 - 1815 Jean-Louis Paultre-la-Vernée
1815 - 1830 Jacques Joseph de Vathaire de Guerchy
1830 - 1835 Jean-Louis Paultre-la-Vernée
3 mars 1835 - 3 juin 1835 Henry Morel
1835 - 1836 Claude Barrey
1836 - 1837 Sébastien Jarry
1837 - 1840 Jean-Louis Paultre-la-Vernée
1840 - 1846 Claude Barrey
1846 - 1848 Claude Roset
1848 - 1852 Claude Barrey
1852 - 1867 Pierre Morisset
Par intérim Jean Labbe
1867 - 1870 Georges Jarry
1870 - 1876 Jean Labbe
1876 - 1884 Jean Habert
1885 - 1904 Pierre Merlou Radical Conseiller général
1904 - 1912 Auguste Gautrot
1912 - 1920 Aimé Barrey
1920 - 1929 Paul Bossu
1929 - 1940 Jean-Louis Doreau
1940 - 1943 Jean-Baptiste Sagette
1944 - 1947 Théophile Breuille
1947 - 1950 Gaston Delorme
1950 - 1953 Théophile Breuille
1953 - 1966 André Merat
1967 - 1971 Gilbert Regnier
1971 - 1995 Daniel George
1995 - 2008 Guy Cormerois
2008 - 2014 Jean-Jacques Révillon
2014 - 2018 Dominique Vérien UDI Ingénieur en aménagement du territoire

Conseillère régionale (2012 - 2018)

Sénatrice de l'Yonne (depuis décembre 2017)

2018 - en cours Yohann Corde SE Enseignant dans le numérique

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

Saint-Sauveur-en-Puisaye est jumelée depuis 2018 avec Penna in Teverina, commune d'Italie.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Enseignement

Une école maternelle et primaire ainsi qu'un collège sont présents sur la commune.

Manifestations culturelles et festivités

  • Festival International des écrits de femmes organisé dans les salles communales par La Maison de Colette<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • Festival Les Nuits de Saint-Sauveur (anciennement Musicogite) : Festival de musiques contemporaines organisé chaque été parc du Château<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • Festival Comme ça me chante : Festival de musique et mélodie française, organisé dans les salles communales par La Maison de Colette
  • Foire des Potiers : rassemblement de potiers chaque été, organisé parc du Château
  • Foire du 30 de janvier : foire artisanale et commerciale organisée chaque année, autour du 30 janvier
  • Fête de l'art : Festival rassemblant concerts, expositions et performances d'artistes au village d'artistes de la Poèterie

Santé

Une Maison de santé est présente à Saint-Sauveur-en-Puisaye. Elle rassemble médecins, infirmières et spécialistes (dentiste, kinésithérapeute, diététicien, ostéopathe...).

Au second plan la maison de santé de Saint-Sauveur-en-Puisaye. Un long bâtiment d'un seul niveau avec de nombreuses fenêtres. Au premier plan un parking vide.
La Maison de santé de Saint-Sauveur-en-Puisaye.

Sports

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Médias

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Cultes

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Économie

Revenus de la population et fiscalité

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Emploi

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Entreprises et commerces

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Maison natale de Colette en avril 2013.jpg
La maison natale de Colette.
Fichier:Tour Sarrazine ou donjon de Saint Sauveur.jpg
Tour Sarrazine ou donjon de Saint-Sauveur.

Église paroissiale

L'église Saint-Jean-Baptiste a été construite en 1020, puis reconstruite en 1107 et 1120 avec des blocs de pierre en grès ferrugineux. L'édifice, qui ne possède pas de clocher, est situé à l'extérieur des murs d'enceinte du village médiéval. Dans le village se trouvait un monastère dont la petite chapelle ne pouvait accueillir tous les paroissiens. Ceux-ci ont exigé la construction d'une église plus vaste, mais les moines ont imposé que celle-ci soit bâtie les hors murs afin que les habitants puissent continuer assister aux offices au monastère<ref group="Note">La photo sur visorando montre clairement, sur le côté sud de l'église Saint-Jean-Baptiste, les blocs rouge sombre de grès ferrugineux qui servent de soubassement à ce bâtiment. Les murs montrent aussi sous l'enduit quelques-uns de ces mêmes blocs, ce qui laisse supposer que l'église a entièrement été construite de ce matériau - chose courante pour les vieux bâtiments de la région, dont la tour Sarrazine de Saint-Sauveur, le château de Diges et de nombreux autres. Comme de plus il se trouve une source en dessous de l'église, l'ensemble tend à attirer la foudre.

L'église n'est pas construite sur un éperon mais simplement sur un simple coteau ; elle est toutefois construite en bordure de la couche géologique n4b (Barrémien supérieur), qui contient entre autres du grès ferrugineux (voir la section "Géologie" de cet article).</ref>,<ref>Site lyonne.fr, article "l'église sans clocher dévoile ses mysteres, consulté le 25 mars 2020.</ref>.

Autres lieux et bâtiments

Patrimoine naturel

La commune est concernée par plusieurs zones naturelles protégées, dont :

Personnalités liées à la commune

Annexes

Modèle:Catégorie détaillée

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Lien externe

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Modèle:Palette Modèle:Portail