Sanilhac-Sagriès
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Sanilhac-Sagriès est une commune française située dans l'est du département du Gard dans le Languedoc-Roussillon, région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Sanigriésois.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le Les Seynes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« le Gardon et ses gorges » et les « gorges du Gardon »), trois espaces protégés (les « gorges du Gardon »la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon et le « Rnr gorges du Gardon ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Sanilhac-Sagriès est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes.
Géographie
Localisation
Le village se trouve entre Nîmes (Modèle:Unité au sud) et Uzès (Modèle:Unité au nord)<ref name="googlemaps">Modèle:Lien web.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".</ref>, sur la rive gauche du Gardon<ref name="geoportl">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.</ref>.
Sanilhac-Sagriès est limitrophe avec sept communes. Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
Le Gardon a creusé dans les massifs calcaires les gorges du Gardon, magnifique canyon tourmenté de nombreux méandres. Les falaises ont des dénivellations de Modèle:Nb à Modèle:Unité<ref name="geoportl"/>. Le Gardon possède des résurgences importantes au lieu-dit la Baume<ref name="1989joyon"/>.
Ces plateaux d'une altitude de Modèle:Unité sont calcaires<ref name="geoportl_geologie">Modèle:Géoportail.</ref>.
On trouve de nombreuses cavités naturelles dans les falaises dominant le Gardon. Pendant des millénaires cette rivière
La commune constitue la limite nord du camp des Garrigues (limitrophe avec Poulx), sans avoir de terrains dans ce domaine militaire<ref name="1989joyon"/>.
La réserve naturelle régionale des gorges du Gardon couvre Modèle:Unité de la commune, dont Modèle:Unité en rive droite au sud de la rivière<ref name="geoportl"/>.
En rive droite du Gardon, la partie sud du territoire communal englobe sur quelques centaines de mètres de largeur les plateaux surplombant la rivière<ref name="geoportl"/>, avec les lieudits la Canelle<ref name="1989joyon">Modèle:Ouvrage.</ref>, la Baume et la Signore<ref name="geoportl"/>.
Le long de la rive gauche se trouve la grotte de la baume Saint-Vérédème (site archéologique du Moustérien et du Néolithique) et la chapelle du même nom<ref name="geoportl"/>.
Hydrographie
Modèle:Article connexe Le territoire de la commune est situé dans le Bassin Rhône-Méditerranée-Corse.
Le Gardon (ou Gard), qui coule d'ouest en est, forme la limite sud de la commune avec Sainte-Anastasie sur Modèle:Unité, puis avec Poulx sur environ Modèle:Unité, avant d'entrer sur le territoire communal de Sanilhac-Sagriès pour le traverser sur environ Modèle:Unité et enfin le quitter pour rejoindre Collias. Sur tout ce trajet, il forme les très touristiques gorges du Gardon. Sa vallée encaissée offre des dénivellations avoisinant les Modèle:Unité, avec la rivière à Modèle:Unité près de sa sortie de la commune (à l'est) et les hauteurs de ses flancs de vallée à environ Modèle:Unité en rive gauche (côté nord) et Modèle:Unité en rive droite (au sud)<ref name="geoportl"/>,<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La commune est également drainée par cinq autres cours d'eau :
- Les Seynes, d'une longueur de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de Seynes et se jette dans le L'Alzon (ou Gard) au niveau de la commune d'Uzès<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- L'Alzon, d'une longueur de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de La Capelle-et-Masmolène et se jette dans le Gardon (ou Gard) au niveau de la commune de Collias<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- le Ruisseau de la Signore, d'une longueur de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de Poulx et se jette dans le Gardon (ou Gard) au niveau de la commune<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- Le Rial, d'une longueur de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Gardon (ou Gard) au niveau de la commune de Sainte-Anastasie<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- le Valat de Droume, d'une longueur de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune et se jette dans L'Alzon au niveau de la commune de Saint-Maximin<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
La végétation est constituée de garrigues basses de pins et de yeuses.
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Trois autres espaces protégés sont présents sur la commune :
- les « gorges du Gardon », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon, classée en 2007 puis reclassée en 2009 et d'une superficie de Modèle:Unité, qui a, grâce à la rareté de l’eau sur le plateau karstique, l’absence de route longeant le Gardon et la proximité du camp militaire des Garrigues qui a limité les aménagements, conservé un patrimoine exceptionnel, concentré pour l’essentiel dans les gorges mêmes<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « Rnr gorges du Gardon », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :
- « le Gardon et ses gorges », d'une superficie de Modèle:Unité, présentant une importante diversité des habitats et des espèces. Les nombreuses grottes permettent d'accueillir une bonne diversité de Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)<ref>Modèle:Lien web.</ref>
et un au titre de la directive oiseaux<ref name= Natura/> :
- les « gorges du Gardon », d'une superficie de Modèle:Unité, abritant trois espèces de rapaces remarquables, l'Aigle de Bonelli, le Circaète Jean-le-Blanc et le Vautour percnoptère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « gorges du Gardon » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « plateau Saint-Nicolas » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Sanilhac-Sagriès.
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Sanilhac-Sagriès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,1 %), cultures permanentes (21,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (3,4 %), terres arables (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques naturels et technologiques
Le territoire de la commune de Sanilhac-Sagriès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard et Les Seynes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1990, 1995, 1998, 2002, 2005, 2010, 2011 et 2014<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 292 sont en aléa moyen ou fort, soit 64 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe AModèle:Note doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Voies de communication et transports
Toponymie
Attestations anciennes
Sanilhac
Le nom de la localité est attesté sous les formes Castrum de Sennilhach en 1156 ; Castrum de Senillaco en 1311 ; Senilhacum en 1381 ; Locus de Sanilhaco en 1461 ; Sanilhac en 1549 ; Le prieuré Sainct-Laurent-de-Sanilhac en 1620 ; Senilhac en 1694 ; Sanilhac en 1735<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Sanilhac depuis 1793 et 1801<ref name="Cassini" />.
Sagriès
Villa Segrerii en 1096 ; Villa de Sacrario en 1156 ; La paroisse de Sagriès en 1535 ; Prioratus de Sancto-Sylvestro, alias Sagries en 1654 ; Sagriers en 1744<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Sagriers en 1793 ; Sagriers et Sagriès depuis 1801<ref name="Cassini" />.
Sanilhac-Sagriès
En 1814, la commune de Sanilhac absorbe celle de Sagriès et s'appelle depuis Sanilhac-Sagriès<ref name="Cassini" />.
Histoire
Préhistoire
La grotte de la baume Saint-Vérédème a livré du matériel du Moustérien et du Néolithique<ref name="1961jully">Modèle:Article.</ref>.
Moyen-Âge
Bâti au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle autour d’un château et entouré de remparts, Sanilhac était protégé par trois tours. De ces constructions il ne reste qu’une tour de défense la « Tourasse », ainsi que le donjon du château. Sagriès distant de Modèle:Unité au nord fut rattaché à Sanilhac en 1814.
Révolution et Empire
En 1814, les communes de Sanilhac et de Sagriès fusionnait pour former la commune actuelle<ref name="ReferenceA">cassini.ehess.fr/fr/html/fiche.php?select_resultat=30166</ref>.
Politique et administration
Découpage territorial
Modèle:Article connexe La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement de Nîmes du département du Gard, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement d'Uzès<ref name="Cassini" />.
Commune et intercommunalités
Modèle:Article connexe La commune est membre de la communauté de communes Pays d'Uzès.
Circonscriptions administratives
Modèle:Article connexe La commune est rattachée au canton d'Uzès, depuis 1801<ref name="Cassini" />.
Circonscriptions électorales
Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Gard.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Montpellier et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone C.
Elle administre l'école primaire « Les Mugues »<ref name="EG">Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe Les habitants sont appelés les Sanigriésois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section Avant la fusion en 1814 de Sanilhac et de Sagriès, la population de Sagriès était: 239 en 1793; 212 en 1800; 225 en 1806<ref name="ReferenceA"/>.
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le monument aux morts.
- L'église Saint-Laurent de Sagriès.
- L'église Saint-Sylvestre de Sanilhac.
- La chapelle Saint-Vérédème de Sanilhac-Sagriès. L'ermitage de la Baume Saint-Vérédème. Il semblerait que ce saint ait logé dans la grotte. Il y aurait été rejoint par saint Gilles.
- La chapelle de la route d'Uzès à Sanilhac-Sagriès.
- Une ancienne chapelle se situe à l'entrée de cavité en rive gauche du Gardon.
- Le temple protestant de Sanilhac-Sagriès.
- Les moulins de la Baume.
- L'ancien barrage.
- Le château de Sanilhac.
-
Le monument aux morts.
-
L'église de Sanilhac.
-
L'ermitage.
Patrimoine culturel
La commune possède une médiathèque. Modèle:Saut
-
La médiathèque.
La commune dans les arts
- 1928 : La Roche d'Amour, film réalisé par Max Carton avec Tony d'Algy et Colette Darfeuil<ref name="L2TC">Modèle:Lien web.</ref>.
- 1953 : Le Salaire de la peur, film réalisé par Henri-Georges Clouzot avec Charles Vanel et Yves Montand. Scènes tournées plage de la rive gauche du Gardon ; sur un ponton, route de la Baume (D 127) ; en bord de route de la Baume (D 127) pour la scène finale du camion<ref name="L2TC" />.
Personnalités liées à la commune
- Albert Roux (d) (1871-1935), poète félibre, né à Sanilhac .
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, Modèle:Lire en ligne
- Modèle:Géoportail
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes