Gardon (rivière)

Modèle:Coord Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox/Début Modèle:Infobox/Titre Modèle:Infobox/Image {{#if:Gardon (rivière).png

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Hydronymie

L'étymologie du mot Gardon — ou Gard — [à compléter...]

De plus, le mot Gardon désigne différents cours d'eau relevant du même bassin versant : certains d'entre eux en sont de simples sections (par exemple, le Gardon d'Anduze), tandis que d'autres constituent de véritables affluents (par exemple, le Gardon d'Alès).

Géographie

Cours de la rivière

Le terme « Gardon » associé au nom d'une ville ou village est utilisé de façon générique pour la plupart des affluents de ce cours d'eau. Il est donc difficile d'établir quelle rivière est l'affluent de l'autre puisque presque toutes sont appelées « Gardon ». Au fur et à mesure qu'on remonte le cours d'eau, chaque embranchement (si les deux rivières sont d'importance égale) génère deux gardons, ainsi de suite.

Néanmoins, pour les besoins de sa classification, le service d’administration nationale des données et référentiels sur l’eau (SANDRE) considère que la rivière principale est le Gardon qui prend sa source à Saint-Martin-de-Lansuscle, près du Prat Reboubalès (Modèle:Unité), à Modèle:Unité<ref name="geoportailsrcgardon" group="G">Modèle:Géoportail.</ref>.

Dans l'acception locale courante, le Gardon au sens strict débute au confluent des deux affluents principaux : le Gardon d'Alès et le Gardon d'Anduze. Le point de confluence de ces deux cours d'eau se situe en amont de la commune de Ners, entre les deux communes de Cassagnoles et Vézénobres, à Modèle:Unité<ref name="srcgard" group="G">Modèle:Géoportail</ref> où elle prend enfin le nom de Gard.

Modèle:Refnec Il est franchi par le pont du Gard, pont-aqueduc romain du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="pontGard" group="G">Modèle:Géoportail. </ref>.

La rivière conflue en rive droite du Rhône à Modèle:Unité, sur la commune de Vallabrègues<ref name="conflugard" group="G">Modèle:Géoportail.</ref>.

Communes et cantons traversés

Dans les deux départements de Lozère et du Gard, le Gardon « officiel » traverse ou borde trente-huit (38) communes (d'après la carte de Géoportail<ref name="geoportailsrcgardon" group="G"/>)<ref group="n">Modèle:Refnec rajoute quatre communes : Nîmes (erreur, le Gardon n'est jamais à moins de Modèle:Unité de la limite nord de la commune de Nîmes ; voir le Gardon et le nord de la commune de Nîmes, sur Géoportail), Cassagnas (erreur du côté de la source, voir la partie sud de la commune de Cassagnas, sur Géoportail), Moissac-Vallée-Française et Sainte-Croix-Vallée-Française (pour ces deux dernières communes, confusion avec le Gardon de Saint-Croix, affluent du Gardon).
Par ailleurs, la fiche du SANDRE liée en référence (Modèle:Sandre) n'inclut pas Castillon-du-Gard, qui pourtant touche la rivière par son coin sud-ouest (voir Castillon-du-Gard, sur Géoportail).</ref> et douze cantons. D'amont en aval : Modèle:Colonnes À l'exception des trois premières situées en Lozère, toutes ces communes se trouvent dans le Gard.

Noter que Sernhac n’est pas directement touchée par le Gardon, mais la commune inclut un étang de Modèle:Unité attenant au Gardon auquel il est relié par un goulet d'à peine Modèle:Unité de long pour Modèle:Unité de largeur.

Les Modèle:Unité traversées par le Gardon couvrent une superficie de plus de Modèle:Unité à Modèle:Unité, incluant Modèle:Unité avec une densité de Modèle:Unité.

En termes de cantons, le Gardon prend source dans le canton de Saint-Germain-de-Calberte, traverse les canton de Saint-Jean-du-Gard, canton de Lasalle, canton d'Anduze, canton de Lédignan, canton de Vézénobres, canton de Saint-Chaptes, canton de Marguerittes, canton d'Uzès, canton de Remoulins, canton d'Aramon, et conflue sur le canton de Beaucaire.

Bassin versant

Fichier:En premier plan le Gardon et en arrière plan le Rhône près de Comps.JPG

Confluence du Gard (au premier plan) et du Rhône (en arrière-plan) près de Comps.

Le Gardon fait partie du bassin du « Rhône et cours d'eau côtiers méditerranéens ». Le Gardon et ses affluents forment dix zones hydrographiques, couvrant une surface totale de Modèle:Unité<ref name="sandre" group="S"/>. D'amont en aval :

• le Gard de sa source au Gardon de Sainte-Croix (V710)<ref name="V710" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gardon de Sainte-Croix (affluent coulant depuis l'E-N-E, zone V711 au sud de la précédente)<ref name="V711" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gard du Gardon de Sainte-Croix au Gardon de Saint-Jean (V712)<ref name="V712" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gardon de Saint-Jean (affluent en rive gauche, zone V713 au sud de la précédente)<ref name="V713" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gard du Gardon de Saint-Jean au Gardon d'Alès (V714)<ref name="V714" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gardon d'Alès (V715)<ref name="V715" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gard du Gardon d'Alès à la Droude incluse (V716)<ref name="V716" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gard de la Droude au Bourdic inclus (V717)<ref name="V717" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gard du Bourdic à l'Alzon inclus (V718)<ref name="V718" group="zh">Modèle:Lien web.</ref> ;
• le Gard de l'Alzon au Rhône (V719)<ref name="V719" group="zh">Modèle:Lien web.</ref>.

Affluents

Le Gardon a soixante-trois (63) affluents référencés<ref name="sandre_affl" group="S">Modèle:Sandre, onglet « Affluents » (sous la carte).</ref>. Les principaux - de plus de Modèle:Unité de longueur - sont, d'amont en aval (RD : rive droite ; RG : rive gauche) : Modèle:Début de colonnes

• le Gardon de Saint-Germain (Modèle:Unité, RG, conflue à Modèle:Unité en amont de Saint-Étienne-Vallée-Française, dans la section du Gardon appelée « Gardon de Saint-Martin »)<ref name="sandre_germain" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• le Gardon de Sainte-Croix (Modèle:Unité, RD, conflue à Modèle:Unité au sud de Saint-Étienne-Vallée-Française)<ref name="sandre_Croix" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• le Gardon de Saint-Jean (Modèle:Unité, RD, conflue à l'est de Corbès)<ref name="sandre_stjean" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • ruisseau de Borgne (Modèle:Unité, RD)<ref name="sandre_borgne" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • la Salindrenque (Modèle:Unité, RD)<ref name="sandre_salindrenque" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• l'Amous (Modèle:Unité, RG, conflue juste avant Anduze)<ref name="sandre-amous" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• ruisseau de l'Ourne (Modèle:Unité, RD, conflue au nord d'Attuech)<ref name="sandre-ourne" group="S">Modèle:Sandre.</ref><ref name="geoportail_ourne" group="G">Modèle:Géoportail</ref>
• le Gardon d'Alès (Modèle:Unité, RG, conflue au sud de Vézénobres)<ref name="sandre_ales" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • le Dourdon (Modèle:Unité, RG, conflue avec le Gardon d'Alès au Collet-de-Dèze)<ref name="sandre_dourdon" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • le Galeizon (Modèle:Unité, RD, conflue avec le Gardon d'Alès à Modèle:Unité au nord d'Alès)<ref name="sandre-galeizon" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
    • la Salindre (Modèle:Unité, RD)<ref name="sandre_salindre" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • l'Alzon (Modèle:Unité, RD, conflue à Saint-Christol-lez-Alès)<ref name="sandre_alzon" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • l'Avène (Modèle:Unité, RG, conflue dans le Gardon d'Alès au sud-ouest de Saint-Hilaire-de-Brethmas)<ref name="sandre-avene" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
    • l'Arias (Modèle:Unité, RD, conflue avec l'Avène à Modèle:Unité au N-E de Saint-Privat-des-Vieux)<ref name="sandre_arias" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • ruisseau de Carriol (Modèle:Unité, RD, conflue avec le Gardon d'Alès à Modèle:Unité en amont de la confluence de ce dernier avec le Gardon)<ref name="sandre_carriol" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• la Droude (Modèle:Unité, RG, conflue à Moussac)<ref name="sandre-droude" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• ruisseau de l'Auriol (Modèle:Unité, RD, conflue au sud de Saint-Chaptes)<ref name="sandre-auriol" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• ruisseau de Braune (Modèle:Unité, RD, conflue en bordure N-E de Dions)<ref name="sandre-braune" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • ruisseau de Teulon (Modèle:Unité, RG, conflue avec le ruisseau de Braune en bordure nord de Gajan)<ref name="sandre-teulon" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • ruisseau de la Tourancelle (Modèle:Unité, RD, conflue avec le ruisseau de Braune à Modèle:Unité au nord de Gajan)<ref name="sandre-tourancelle" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • le Pierrau (Modèle:Unité, RD, conflue avec le ruisseau de Braune à Modèle:Unité au N-O de La Calmette)<ref name="sandre-pierrau" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • l'Esquielle (Modèle:Unité, RG, conflue avec le ruisseau de Braune à Modèle:Unité au nord de La Calmette<ref name="sandre-esquielle" group="S">Modèle:Sandre.</ref> ; mais une branche rejoint aussi directement la rive gauche du Gardon, ce qui fait également de l'Esquielle un affluent direct du Gardon<ref name="geoportail_esquielle" group="G">Modèle:Géoportail</ref>)
• le Bourdic (Modèle:Unité, RG, conflue à l'ouest de Sainte-Anastasie)<ref name="sandre_bourdic" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • le Valat de Gouloubert (Modèle:Unité, RG, conflue avec le Bourdic à Modèle:Unité en amont de la confluence de ce dernier avec le Gardon)<ref name="sandre_gouloubert" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• l'Alzon (Modèle:Unité, RG, conflue à Collias)<ref name="sandre_alzon 2" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
  • les Seynes (Modèle:Unité, RD, conflue avec l'Alzon à Modèle:Unité au sud-est d'Uzès)<ref name="sandre_seynes" group="S">Modèle:Sandre.</ref>
• la Valliguière (Modèle:Unité, RG, conflue à Modèle:Unité au S-E de Remoulins)<ref name="sandre-valliguiere" group="S">Modèle:Sandre.</ref>

Sections

Le Gardon « officiel » — celui qui prend sa source à Saint-Martin-de-Lansuscle et qui se jette dans le Rhône, à Vallabrègues — est habituellement divisé en cinq sections. Ces sections (qui ne doivent pas être confondues aves les affluents) reçoivent les désignations suivantes (d'amont en aval) :

• La première section est appelée Gardon de Saint-Martin<ref group="n">Le Gardon de Saint-Martin n’est pas référencé comme cours d'eau par le SANDRE.</ref>. Elle commence à la source (Saint-Martin-de-Lansuscle<ref name="geoportail_martin" group="G">Modèle:Géoportail</ref>) et se prolonge jusqu'à Saint-Étienne-Vallée-Française. Le Gardon de Saint-Martin reçoit le Gardon de Saint-Germain<ref name="sandre_germain" group="S"/>, qui conflue à Modèle:Unité au nord de Saint-Étienne-Vallée-Française<ref name="geoportail_martin" group="G"/>.
• La deuxième section est appelée Gardon de Saint-Étienne. Elle commence à Saint-Étienne-Vallée-Française et se prolonge jusqu'à Mialet.
• La troisième section est appelée Gardon de Mialet<ref group="n">Le Gardon de Mialet n’est pas référencé comme cours d'eau par le SANDRE.</ref>. Elle commence à Mialet et se prolonge jusqu'à Anduze<ref name="geoportail_mialet" group="G">Modèle:Géoportail</ref>. Le Gardon de Mialet reçoit le Valat du Théronnel<ref name="sandre_theronel" group="S">Modèle:Sandre.</ref> à Modèle:Unité en aval de la confluence du Gardon de Sainte-Croix<ref name="geoportail_theronnel" group="G">Modèle:Géoportail</ref>.
• La quatrième section est appelée Gardon d'Anduze<ref group="n">Le Gardon d'Anduze n’est pas référencé comme cours d'eau par le SANDRE.</ref>. Elle commence en aval d'Anduze<ref name="geoportail_anduze" group="G">Modèle:Géoportail</ref> et se prolonge jusqu'au confluent du Gardon d'Alès, en amont de Ners.
• La cinquième section est simplment appelée Gardon (sans plus de précision). Elle commence à Ners et se prolonge jusqu'au confluent avec le Rhône, à Vallabrègues. C'est cette dernière section qui est franchie par le célèbre pont du Gard.

Hydrologie

Le Gardon à Sanilhac-Sagriès

Le débit moyen interannuel du Gardon a été mesuré sur une période de Modèle:Unité à Sanilhac-Sagriès. Il se monte à Modèle:Unité pour une surface de bassin de Modèle:Unité<ref name="hydro">Modèle:Hydro.</ref>, soit près de 72 % de son bassin versant (Modèle:Référence nécessaire<ref name="sandre" group="S"/>).

La rivière présente des fluctuations saisonnières de débit typiques du régime cévenol, avec des hautes eaux d'automne et d'hiver à double sommet. Le premier sommet, en octobre, résulte des pluies d'automne et affiche un débit mensuel moyen de Modèle:Unité. Il est suivi d'une chute légère à Modèle:Unité en novembre-décembre, puis d'un nouveau sommet allant de 62 à Modèle:Unité en janvier-février (avec un maximum en janvier). Il s'ensuit une baisse progressive des débits, se terminant en une période d'étiage parfois sévère en juillet-août, avec une baisse du débit moyen mensuel jusqu'au niveau de Modèle:Unité au mois de juillet.

Étiage ou basses eaux

Le VCN3 du Gardon peut chuter jusque Modèle:Unité, en cas de période quinquennale sèche. Comme la plupart des cours d'eau d'Europe occidentale et notamment sur le pourtour méditerranéen, le Gardon a été très affecté par la sécheresse consécutive à la canicule de l'été 2003.

Crues

Fichier:Bambouseraie de Prafrance 20150720 15.jpg

Plaques sur le mur de la bambouseraie en Cévennes, indiquant le niveau des crues du Gardon d'Anduze.

Les crues peuvent être extrêmement importantes, comme celles de 1958 et de septembre 2002. Elles sont connues localement sous le nom de gardonnades et se produisent généralement à la suite des orages cévenols, à l'instar de l'Ardèche et du Vidourle voisins.

Les valeurs du débit instantané maximal ou QIX sont les suivantes :

• QIX 2 : Modèle:Unité
• QIX 5 : Modèle:Unité
• QIX 10 : Modèle:Unité
• QIX 20 : Modèle:Unité
• QIX 50 : non disponible, mais plus élevé que le QIX 20

Le débit maximal instantané enregistré à Sanilhac-Sagriès est de Modèle:Unité (autant que le débit moyen du Rhin aux Pays-Bas), tandis que le débit maximal journalier observé à la station vaut Modèle:Unité. Toutes ces valeurs doivent être augmentées, du fait que les observations ne concernent que 72 % du bassin versant total du Gardon.

Pour la crue majeure du 9 septembre 2002, la fourchette du débit estimée à Remoulins serait de 5 000 à Modèle:Unité.

Lame d'eau et débit spécifique

La lame d'eau écoulée dans le bassin versant de la rivière est de Modèle:Unité, ce qui est très élevé, mais un peu moindre que celle de l'Ardèche, ce qui résulte du fait que la partie cévenole très arrosée du bassin de l'Ardèche est nettement plus vaste que celle du Gardon. Le débit spécifique (ou Qsp) atteint Modèle:Unité de bassin.

Aménagements

Vers la fin des années 1960 la population locale s'est fermement opposée au projet de construction d'un barrage écrêteur de crues près de Saint-Jean-du-Gard. Ce projet aurait noyé la « vallée des Camisards », où coule le Gardon de Saint-Jean, à Modèle:Unité en amont de la ville<ref>Modèle:Article.</ref> mais a finalement été abandonné<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.

Écologie

Fichier:Pistachier térébinthe (Pistacia terebinthus L.).jpg

Pistachier térébinthe sur les garrigues calcaires des gorges du Gardon.

De sa source au hameau « le Cros » (environ Modèle:Unité), le Gardon coule dans le parc national des Cévennes<ref name="geoportailsrcgardon_parc" group="G">Modèle:Géoportail.</ref>. Il coule ensuite dans l'aire d'adhésion du même parc jusqu'à sa sortie de la commune de Saint-Germain-de-Calberte (environ Modèle:Unité), qui coïncide avec son entrée sur celle de Saint-Étienne-Vallée-Française et avec la confluence en rive droite du Valat d'Andajac à Modèle:Unité au sud de Saint-Germain-de-Calberte. Le Gardon porte ici le nom de « Gardon de Saint-Martin-de-Lansuscle »<ref name="geoportailsrcgardon_parc_zonetampon" group="G">« Le Gardon, ou « Gardon de Saint-Martin-de-Lansuscle », à son entrée sur Saint-Étienne-Vallée-Française », avec la carte de la réserve de biosphère rattachée au parc, sur Géoportail.</ref>. Il retrouve l'aire d'adhésion du parc sur la commune de Saint-Jean-du-Gard (au sortir de Saint-Étienne-Vallée-Française), portant alors le nom de « Gardon de Mialet », et quitte définitivement l'aire d'adhésion du parc à sa sortie de la commune d'Anduze.
Cette aire d'adhésion est aussi une réserve de biosphère.

Sur les terrains calcaires de garrigues que traversent les gorges du Gardon, on trouve notamment des chênes verts, chênes kermès, arbousiers, cistes cotonneux, genévrier cade, filaires ainsi que des pistachiers térébinthe.

Sites touristiques

• Le train à vapeur des Cévennes qui passe par divers viaducs au-dessus du Gardon.
• La bambouseraie en Cévennes à Générargues près d'Anduze est en bordure de la rivière (Gardon d'Anduze). La proximité de la nappe phréatique du Gardon est l'un des éléments qui ont permis aux bambous de prospérer dans ce lieu.
• Les gorges du Gardon sont un lieu de baignade, d'escalade et de pratique du canoë-kayak apprécié<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
• Le pont du Gard est un pont-aqueduc romain à trois niveaux, situé près de Remoulins dans la commune de Vers-Pont-du-Gard, sur le parcours gardois du Gardon. Il permet à l'aqueduc romain qui conduisait l’eau de l'Alzon à Nîmes de franchir l'obstacle de la vallée du Gardon. Le pont du Gard est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis décembre 1985<ref name="unesco">Modèle:Lien web.</ref><ref>Patrimoine mondial, monuments et sites français, Revue des Monuments historiques, Modèle:N°, juillet-août 1992, Modèle:P..</ref>. C'est le plus haut pont-aqueduc connu du monde romain et l'un des plus célèbres monuments romains de France.

Galerie

• Le Gardon de Saint-Jean et le pont Vieux, à Saint-Jean-du-Gard.
  Le Gardon de Saint-Jean et le pont Vieux, à Saint-Jean-du-Gard.
• Le viaduc métallique du train à vapeur des Cévennes à Anduze.
  Le viaduc métallique du train à vapeur des Cévennes à Anduze.
• Les gorges du Gardon près de Sanilhac-Sagriès.
  Les gorges du Gardon près de Sanilhac-Sagriès.
• Le Gardon, vue vers l'amont à Modèle:Unité en aval de Collias.
  Le Gardon, vue vers l'amont à Modèle:Unité en aval de Collias.
• Le Gardon à l'ermitage Saint-Vérédème, Collias.
  Le Gardon à l'ermitage Saint-Vérédème, Collias.

Voir aussi

Liens externes

• Modèle:Lien web.
• Modèle:Lien web.
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• Modèle:Autorité
• Modèle:Bases
• Modèle:Dictionnaires

Notes et références

Références

Références fiches SANDRE

Références des zones hydrographiques

Références Géoportail