Mialet (Gard)

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Mialet est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, l'Amous et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée du Gardon de Mialet » et la « vallée du Galeizon ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Mialet est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Mialetains ou Mialetaines.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le pont des Camisards, classé en 1974.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Mialet est une commune située dans le nord-ouest du département du Gard, limitrophe de la Lozère. Elle se trouve à quelques kilomètres d'Alès, de Saint-Jean-du-Gard et d'Anduze.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hameaux et lieux-dits

Elle est composée de sept hameaux : Luziers, les Puechs, le Mas Soubeyran, Paussan, le Village, les Aigladines, Brugairolles et Pegairolles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

C'est sur cette commune que se trouve le Mas Soubeyran, hameau cévenol typique qui abrite le Musée du Désert, haut lieu de la résistance des protestants durant les {{#switch: e

 | e | er | = 
   {{#switch: e
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXVIII

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 16,2 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Générargues », sur la commune de Générargues, mise en service en 1949<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes<ref group=Note>La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.</ref>. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de Modèle:Unité reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec Modèle:Unité animales, Modèle:Unité de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Fichier:30168-Mialet-Natura2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :

et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : les « Hautes vallées des Gardons » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Mialet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,1 %), prairies (5,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Mialet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 1998, 2002, 2008, 2014 et 2020<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:30168-Mialet-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mialet.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 23,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 390 sont en aléa moyen ou fort, soit 74 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Mialet est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Provençal Mialet, du roman Melet, Mellet, du latin Meletum<ref name="LouTrésor"/>.

Ses habitants se nomment les Mialétains et les Mialétaines.

Histoire

Préhistoire

  • Enceinte préhistorique sur les collines environnantes (Sauque Ronde, 451 m).

Antiquité

Modèle:…

Moyen Âge

  • Poste fortifié en bordure d'une bretelle de chemin de Regordane reliant Nîmes à Gergovie (route des Arvernes),
  • Dans une charte de Philippe le Bel est cité le Sieur « Hugue de Melete ».
  • Hugues de Melet, chevalier, rend hommage aux descendants de Bernard Pelet, seigneur d'Alais, en 1253<ref name="HistLang"/>.

Époque moderne

Deux compoix des années 1598 et 1647 donnent des informations sur la vie de la cité à cette époque.

Mialet adopte la religion réformée. En 1560, premier synode provincial aux Aigladines, et en 1613, levée d'impôts pour agrandir le temple. Malgré la paix d'Alais en 1629, la tension monte entre le pouvoir central et les protestants. Louis XIV révoque l'Édit de Nantes (1685). Mialet entre dans une période difficile. Les mesures draconiennes prises par le pouvoir pour ramener les protestants dans le giron de l'Église catholique, font que ceux-ci se soulèvent et prennent les armes. Ils deviennent les Camisards, et avec une troupe d'un millier de combattants, paysans et artisans, tiennent tête à une armée de 30 000 hommes. C'est une guerre sans pitié. En Modèle:Date-, 670 habitants de Mialet, dont 180 enfants, sont déportés en Roussillon. La démolition des maisons n'étant pas assez rapide, le roi autorise le brûlement des Cévennes. En 1704, cessation de combats après négociation entre chefs camisards et représentants du roi. La religion reste sous haute surveillance, mais fidèle à la religion réformée.

En 1709, hiver d'une extrême rigueur : tous les oliviers sont détruits.

Révolution française et Empire

L'Édit de tolérance en 1787, accorde un état civil aux protestants. Ils retrouvent leurs droits civiques en Modèle:Date-, et leur temple, en 1837. Entre-temps ils célèbrent leur culte dans l'église Saint-André.

Époque contemporaine

Deux filatures et une fabrique de lacets sont installées en bordure du Gardon pour filer et utiliser de la soie. Elles cessent leurs activités entre 1900 et 1930.

L'élevage du ver à soie s'arrête dans les années cinquante. Les charbonnières, nombreuses pendant la dernière guerre, ne fument plus lorsque les gazogènes sont abandonnés. Le moulin de la Bonté et celui de Trabuc s'arrêtent dans les mêmes années. Les châtaigneraies séculaires sont décimées par une maladie dans les années soixante.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Jumelages

Modèle:…

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:…

Santé

Modèle:…

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:…

Cultes

Modèle:…

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 69,2 % d'actifs (55,5 % ayant un emploi et 13,7 % de chômeurs) et 30,8 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 85 en 2013 et 79 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 202, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,7 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 202 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 82,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 6,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

48 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Mialet au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 48
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
4 8,3 % (7,9 %)
Construction 8 16,7 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
13 27,1 % (30 %)
Information et communication 2 4,2 % (2,2 %)
Activités immobilières 4 8,3 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
8 16,7 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
2 4,2 % (13,5 %)
Autres activités de services 7 14,6 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,1 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 48 entreprises implantées à Mialet), contre 30 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (17 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Édifices civils

Modèle:Article détaillé

Édifices religieux

Patrimoine culturel

Modèle:Article détaillé

Patrimoine environnemental

Modèle:Article détaillé

Personnalités liées à la commune

  • Pierre Laporte dit Rolland. Né au Mas Soubeyran le Modèle:Date- et décédé au château de Castelnau Valence le Modèle:Date-. Chef des révoltés camisards en Cévennes, il était aussi surnommé le « Général des enfants de Dieu ».
  • Georges Vaucher (1900-1982), spéléologue suisse, y est décédé.
  • Henri Lindegaard (1925-1996), pasteur et artiste, a longtemps vécu au Mas Soubeyran, où il exposait ses œuvres et organisait des stages d'aquarelle deux fois par an pendant près de 30 ans.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Bibliographie

  • Les amis de la vallée du Gardon de Mialet, Circuits de promenade.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Parc national des Cévennes Modèle:Portail