Taulignan

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Modèle:Infobox Commune de France Taulignan est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

La commune de Taulignan est située dans la Drôme provençale, à Modèle:Unité à l'est de Pierrelatte et à Modèle:Unité au sud-est de Montélimar.

Relief et géologie

La commune se situe à l'altitude moyenne de Modèle:Unité. La mairie se situe à l'altitude de Modèle:Unité, au pied de la butte du village historique.

Sites particuliers<ref name=":0">https://www.geoportail.gouv.fr/</ref> : Modèle:Colonnes

Géologie

La roche dominante aux alentours de Taulignan est le safre, appellation locale d'un grès calcaréo-marneux friable du Miocène. Ces sédiments du tertiaire, notamment du Burdigalien et du Langhien, se retrouvent dans toute la région<ref>J. Debelmas et al., Notice explicative de la feuille Valréas à 1/Modèle:Nombre, Éditions du BRGM, 2004</ref>. Des dalles calcaires en molasse burdigalienne ont été découpées et érigées au bord des champsModèle:Sfn.

Hydrographie

Fichier:Lez-Taulignan.JPG
Le Lez.

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants<ref name=":0" /> : Modèle:Colonnes

En 1891, le ruisseau Aiguebelle est attesté. C'est un affluent de la Berre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Climat

Modèle:Article connexe La commune est située dans la zone d'influence du climat méditerranéen en raison de sa situation au sud de la Drôme.

Elle est soumise, comme sa voisine Valréas au nord du Vaucluse, à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été ; deux saisons pluvieuses, en automne (avec des pluies abondantes voire torrentielles) et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d'épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux, mais le mistral (vent du nord) augmente la sensation de froid ressenti.

Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Taulignan est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine, afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,8 %), zones agricoles hétérogènes (27,2 %), cultures permanentes (21,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), zones urbanisées (1,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

Modèle:...

Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN)<ref name=":0" /> : Modèle:Colonnes

Logement

Modèle:...

Projets d'aménagement

Modèle:...

Voies de communication et transports

La commune est desservie par les routes départementales D 14, D 24, D 167 et D 809<ref name=":0" />.

La gare TGV la plus proche est celle de Montélimar, accessible par la ligne de bus Modèle:N° de la STRADDA raccordant Montélimar à Nyons.

Les deux aéroports les plus importants sont ceux de Lyon et Avignon.

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

Modèle:Article connexe Modèle:...

Autres risques

Modèle:...

Toponymie

Attestations

Le premier témoignage écrit du toponyme date d'une charte par laquelle Ismidon, évêque de Die, donne à l'église Saint-Ruf et à son abbé Letbert les églises de Taulignan et leurs appartenances.
Cette charte date nécessairement d'avant la mort de Letbert en 1110. Le Th de Thauliniaco peut autant provenir d'un tau gallicum que d'une graphie pseudo-savante<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> :

« ego Ismido, gratia Dei Diensis episcopus, dono ecclesie Sancti Ruphi et Letberto abbati, et clericis sibi commissis et successoribus suis ecclesias de Thauliniaco, cum omnibus ad eas pertinentibus, ut ordinent eas sicut eis visum fuerit, ad honorem Dei »
« moi Ismidon, évêque par la grâce de Dieu, donne à l'abbé Letbert et à ses successeurs l'église Saint-Ruf, les églises et le clergé de Thauliniaco confiés à leurs soins, ainsi que tout ce qui en revient, afin que les prêtres les arrangent à leur gré, pour la gloire de Dieu. »

Dictionnaire topographique du département de la Drôme<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref> :

  • 1119 : mention du prieuré : ecclesia de Taulinhano (cartulaire de Die, 45).
  • 1128 : mention du prieuré : ecclesia de Tauliniaco (J. Chevalier, Hist. de Die, I, 460).
  • 1276 : Taulinanum (Bibl. nat., mss. fonds lat., 9239, n° 7).
  • 1283 : Taulinhacum (Pilot de Thorey, Inventaire des sceaux relatifs au Dauphiné).
  • 1284 : castrum de Thaulinhano (Valbonnais, II, 118).
  • 1291 : castrum de Teulinhano (cartulaire de Montélimar, 32).
  • 1294 : castrum de Toloniano (inventaire des dauphins, 243).
  • 1295 : castrum de Teolignano (inventaire des dauphins, 241).
  • 1295 : Toulignone (Pilot de Thorey, Inventaire des sceaux relatifs au Dauphiné).
  • 1324 : castrum de Theulinhans (Duchesne, Comtes de Valentinois, 29).
  • 1343 : castrum de Tauligniaco (cartulaire de Montélimar, 54).
  • Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : mention du prieuré : prioratus de Tholinhans (pouillé de Die).
  • 1352 : de Toulinhano (Long, notaire à Grignan).
  • 1355 : Tolinhan (Gall. christ., XVI, 594).
  • 1383 : Tolinian (archives de la Drôme, E 5876).
  • 1424 : Tolignan et Tholignen (Duchesne, Comtes de Valentinois, 57).
  • 1442 : castrum Toulignani (choix de documents, 279).
  • 1449 : mention du prieuré : prioratus de Thionlinhan (pouillé hist.).
  • 1455 : mention du prieuré : prioratus de Theolinhano (rôle de décimes).
  • 1488 : Taulinhacum (archives de la Drôme, E 5955).
  • 1509 : mention de l'église Saint-Vincent : ecclesia Sancti Vincentii Theolinhani (visites épiscopales).
  • 1519 : mention du prieuré : prioratus de Taulignano (rôle de décimes).
  • 1560 : Teulinhanum (archives de la Drôme, E 5956).
  • 1587 : Tolignan (inventaire de Bologne).
  • 1697 : Theolignan (archives de la Drôme, E 6844).
  • 1891 : Taulignan, commune du canton de Grignan.

Étymologie

  • Hypothèse 1 : Le suffixe toponymique en -gnan provient d'un suffixe latin en -anum qui indique la propriété (villa) de telle ou telle personne. Taulignan pourrait donc être à l'origine la villa d'un propriétaire gallo-romain nommé Taulinus.
Ce nom est attesté dans l'anthroponymie gallo-romaine grâce à une inscription latine trouvée à Vaison-la-Romaine au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref group=Note>Le texte cryptique (Modèle:Petites capitales) pourrait dater l'inscription entre 253 et 260 s'il s'agit bien de l'empereur Valérien. Le Tetricus mentionné n'est pas l'empereur gaulois puisqu'il n'était alors que sénateur en Gaule aquitaine, mais un homonyme rappelant le C. Lucconius, lui aussi flamen augusti, d'une pierre tombale trouvée à Nyon en Suisse.</ref>, mais la transcription a été mise en doute<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et on en a perdu la trace.

Histoire

Modèle:Article connexe

Antiquité : les Gallo-romains

Les restes d'un temple romain ont été retrouvés sur le site de la chapelle Saint-Marcel et témoignent d'une présence sédentaire à l'époque gallo-romaine<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Du Moyen Âge à la Révolution

La seigneurie<ref name=":1" /> :

  • Au point de vue féodal, Taulignan était une terre (ou seigneurie) qui dépendait pour moitié de la baronnie de Montauban et pour moitié du comté de Valentinois.
  • La part des Montauban appartient à une famille de son nom.
  • Début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : les comtes de Valentinois hommagent leur part aux dauphins.
  • 1284 : les comtes donnent une charte de libertés municipales aux habitants.
  • 1295 : ils acquièrent l'autre moitié et unissent la seigneurie.
  • Ils l'apanagent successivement à plusieurs de leurs cadets.
  • 1373 : la terre passe (par mariage) aux Bressieux.
  • 1401 : elle passe (par héritage) aux Monteynard.
  • 1408 : elle passe (par mariage) aux Alleman.
  • La terre fait retour aux Monteynard (en 1594Modèle:Sfn).
  • 1613 : elle passe (par mariage) aux Grolée-Viriville (ou 1626Modèle:Sfn).
  • 1711 : passe (par mariage) aux Olivier de Sénozan.
  • 1779 : passe (par héritage) aux Talleyrand-Périgord, derniers seigneurs.

Vers 1110, la famille de Taulignan est attestée avec Bertrand, neveu de Raimond de Montauban, quatrième co-seigneur de Valréas, seigneur de Grillon et de Taulignan en paréage avec les Montauban<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1295, les Taulignan vendent la seigneurie à Aymar IV de Poitiers mais en garde le titre jusqu'en 1666, repris par Joseph-François de Blégiers par son alliance avec Françoise de Taulignan<ref>La Famille Taulignan.</ref>.

En 1395, la résistance qu'opposa le bourg de Taulignan aux compagnies bretonnes est l'un des plus brillants faits d’armes qui se soient produits, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dans le bas Dauphiné. Hommes, femmes et enfants firent bonne garde, pendant quatre mois, du haut de leurs remparts. Leur vigilance ne prit fin que lorsqu'ils eurent forcé l'ennemi à évacuer la contréeModèle:Refnec.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le service paroissial se faisait dans une église dédiée à saint Pierre (voir ce nom)<ref name=":1" />.

Démographie<ref name=":1" /> :

  • 1698 : 400 chefs de famille taillables (payant l'impôt).
  • 1708 : 1700 habitants.

Avant 1790, Taulignan était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Vincent, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin (congrégation de Saint-Ruf) qui fut uni au séminaire de Die en 1777 et dont le titulaire avait les dîmes de cette paroisse. Il y avait aussi, à Taulignan, un couvent d'augustins réformés, fondé en 1628 par les Grolée-Viriville, seigneurs du lieu<ref name=":1" />.

Saint-Marcel

La chapelle, réparée en 1693, avait fait partie d'un domaine que les consuls de Taulignan vendirent aux Alleman de Champ, seigneurs du lieu en 1586, et que ces derniers cédèrent aux Vesc, six ans après.
En 1586, le lieu est attesté sous le nom de la grange de Sainct-Marcel (archives de la Drôme, E 6021). En 1891, c'est une chapelle et un quartier de la commune de Taulignan<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Saint-Martin

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (dépendance de l'abbaye de Cruas). Il fut supprimé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle mais il en resta une chapelle, interdite en 1693 et 1737<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> :

  • 1301 : prioratus de Ulmatis (inventaire Morin-Pons, 140).
  • 1323 : domus de Ulmitis (défin. de Cluny, LXXV).
  • Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : prioratus Sancti Martini de Ulmis (pouillé de Die).
  • 1471 : Sainct Martin des Ulmes (archives de la Drôme, E 5948).
  • 1516 : ecclesia Beati Martini de Ulmis (archives de la Drôme, E 5985).
  • 1671 : Saint-Martin des Houlmes (archives de la Drôme, E 6048).
  • 1740 : Saint-Martin des Hormes (archives de la Drôme, E 6013).
  • 1745 : Saint-Martin des Ormeaux (archives de la Drôme).
  • 1891 : Saint-Martin, ancienne chapelle et ferme de la commune de Taulignan.

En 2011, ont été fouillés les vestiges, intégrés à une ferme, d'une chapelle réputée sépulture de Saint Martin des Ormeaux, évêque de Saint-Paul-Trois-Châteaux au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ces fouilles ont révélé un sarcophage daté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Saint-Pierre

Ancienne église paroissiale de Taulignan. Elle fut ruinée pendant les guerres de Religion et remplacée par l'église du prieuré dédiée à saint Vincent.
En 1891, le lieu-dit se compose d'une ruine et d'un cimetière<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

De la Révolution à nos jours

En 1790, Taulignan devient le chef-lieu d'un canton du district de Montélimar, comprenant les municipalités de Montbrison, la Roche-Saint-Secret, Salles, Taulignan et Teyssières.
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) retranche de ce canton la commune de la Roche-Saint-Secret et y ajoute celles de Chamaret, Chantemerle, Colonzelle, Gérignan, Réauville, Roussas, Rousset, Saint-Pantaléon et Valaurie.
Le 9 frimaire an X (Modèle:Date-), le chef-lieu fut transféré à Grignan<ref name=":1" />.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Taulignan devient un important centre industriel du moulinage de la soie. Plusieurs usines emploient une nombreuse main d'œuvre locale. De dix fabriques en 1825, ne comprenant en général qu'un ou deux moulins, on passe à vingt en 1862, employant 56 hommes, 362 femmes et 289 enfants. Beaucoup de ces derniers sont alors considérés comme faisant partie d'« orphelinats industriels ».
Quelques familles possèdent la plupart des usines : Faujas, Dailhe et surtout Armandy ainsi que leurs cousins Cayranne et Peyrol. Il ne reste que huit usines en 1883 et Victor Peyrol domine le marché jusqu'aux années 1930Modèle:Sfn.

De 1906 à 1928, une ligne ferroviaire à voie métrique, le Chemin de fer Taulignan-Grignan-Chamaret, dessert la ville . Ce « tramway », comme on l'appelle alors<ref>Retour dans le passé en « tramway », recueil de cartes postales d'époque, 1983.</ref>, est constitué d'une petite locomotive à vapeur tractant une unique voitureModèle:Refnec.

Le Modèle:Date-, Taulignan subit l'assaut d'une colonne allemande qui laissa dix-huit victimes derrière elle, avant de poursuivre vers Valréas<ref>Taulignan 39-45</ref>.

Politique et administration

Fichier:Taulignan - Mairie.jpg
Mairie de Taulignan.

Tendances politiques et résultats

Modèle:...

Administration municipale

Le nombre d'habitants étant de Modèle:Dernière population commune de France en Modèle:Population de France/dernière année Infobox, le nombre de membres du conseil municipal est de 19. Celui formé est composé de cinq adjoints et de treize conseillers municipaux.

Liste des maires

Modèle:Section à sourcer Modèle:Article connexe Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées : de la Révolution au Second Empire Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées : depuis la fin du Second Empire Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Rattachements administratifs et électoraux

Modèle:...

Politique environnementale

La commune dispose d'une station de traitement des eaux<ref name=":0" />.

Finances locales

Modèle:...

Jumelages

Modèle:...

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Services et équipements

Modèle:...

Enseignement

La commune de Taulignan dépend de l'académie de Grenoble<ref>école à Taulignan, académie de Grenoble.</ref>.

Les élèves débutent leurs études sur place, à l'école du Pradou, comportant six classes, pour 58 enfants en maternelle et 76 en primaire<ref>école primaire de Taulignan.</ref>.

Les collégiens et lycéens se rendent à Nyons<ref>collège de Nyons.</ref>.

Santé

La commune a construit une maison médicale avec médecins, psychologues, diététiciennesModèle:Refnec.

Manifestations culturelles et festivités

  • Moto-cross et auto-cross : le premier dimanche de mai<ref name=":2">Modèle:Ouvrage.</ref>.
  • Fête patronale : le dimanche après le Modèle:Date-<ref name=":2" />.

Loisirs

  • Pêche<ref name=":2" />.
  • Randonnées : GR 429, GRP Tour du Pays de Dieulefit<ref name=":0" />.

Sports

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Médias

Modèle:...

Cultes

Économie

Agriculture

En 1992 : chênes-truffiers et truffes, apiculture (miel), vignes (vins AOC Côtes-du-Rhône)<ref name=":2" />.

  • Marché : le vendredi<ref name=":2" />.
  • Marché aux truffes : le dimanche du Modèle:Date- au Modèle:Date-<ref name=":2" />.
  • Foire : le premier vendredi du mois<ref name=":2" />.

Tourisme

L'hébergement touristique à Taulignan est assuré par des chambres d'hôtes, des gîtes ruraux et des locations d'appartements. La commune n'a pas d'hôtel<ref>hébergement touristique.</ref>.

Revenus de la population et fiscalité

Modèle:...

Emploi

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

La chapelle Saint-Marcel a été construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur le site d'un temple romain et sa voûte comme ses arcs-boutants datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Site du patrimoine de Rhône-Alpes, chapelle Saint-Vincent.</ref>.
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}}), remaniée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=":2" />.

Sous les comtes de Valentinois, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village fut entouré de remparts percés de plusieurs portes fortifiées. La principale était celle d'Enguille, actuellement l'un des ouvrages de guerre médiévaux les mieux conservés de la région. On l'appelle communément la porte du Nord. Ses deux tours rondes sont reliées par une galerie que surmontent des mâchicoulis. À son premier étage, du côté du bourg, était placé le corps de garde. Il reste en tout onze tours de cette enceinteModèle:Refnec.
  • Village ancien : architecture concentrique, rues étroites, fontaines<ref name=":2" />.
Les ruelles comportent de nombreuses maisons des Modèle:S mini-, {{#switch: XVII
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}}Modèle:Refnec.

  • Temple protestant en rotonde<ref name=":2" />.
Il fut construit en 1870 par l'architecte Nicolas Fontanille sur l'emplacement d'un premier temple de 1601<ref>Site du patrimoine de Rhône-Alpes, temple de Taulignan.</ref>. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
  • L'ancienne usine du pont est l'une de celles qui travaillaient au moulinage de la soie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Taulignan était alors l'un des centres de cette industrie, ce qui assura la prospérité d'une commune dont la population atteignit Modèle:Nombre. Le musée de la soie, situé sur la place de la mairie, témoigne de cette époque.
  • Le monastère de la Clarté Notre-Dame, fondé en 1956, accueille une communauté de moniales dominicaines affiliée à la Fédération Notre-Dame des PrêcheursModèle:Refnec.

Patrimoine culturel

Modèle:...

Patrimoine naturel

  • le Trou Barjassou<ref name=":0" />.

Personnalités liées à la commune

  • Saint Martin des Ormeaux : évêque de Saint-Paul-Trois-Châteaux au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il se retira à Taulignan en ermite jusqu'à sa mort.
  • Jean Patricot (1865-1928) : graveur et peintre, premier Grand Prix de Rome, section gravure, en 1886. Ses parents s'étaient mariés le Modèle:Date- à Taulignan.
  • Victorin Garaix (1890 à Taulignan-1914), dit « Victor » : aviateur détenteur de nombreux records d'aviation avant-guerre (41 sur 110 que possédait la France), notamment avec passagers. Ayant cumulé les fonctions de chef d'atelier et de directeur de l'usine de Saint-Dié des Ateliers Vosgiens d'Industrie Aéronautique à l'âge de 18 ans, il conçoit ensuite un monoplan métallique avec Charles Roux en 1911. Mort pour la France avec le lieutenant de Saizieux lors d'une reconnaissance au-dessus des lignes ennemies à Tucquenieux (54)Modèle:Sfn.
  • Georges-Henri Pingusson (1894-1978) : architecte, héraut de la modernité. Il est enterré à Taulignan.

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Notes et références

Notes et cartes

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Portail