Viverols
Modèle:Infobox Commune de France Viverols est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
Communes limitrophes
- À Modèle:Unité : Églisolles, Modèle:Unité : Sauvessanges, Modèle:Unité : Craponne-sur-Arzon (43), Modèle:Unité : Saillant, Modèle:Unité : Saint-Anthème, Modèle:Unité : Ambert.
Lieux-dits et écarts
- Hameaux des Mas, Coussanges, Coussangettes, Plagnols, Pupanin-Haut, Pupanin-Bas, Etruchat, le Moulinet, Gorce, Bouteyras, la Gaillarderie, Maisonneuve, le Moulin des Comtes, Gratarelle.
Urbanisme
Typologie
Viverols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,5 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (17,3 %), zones urbanisées (2,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Modèle:Source principale de section
La terre de Viverols, qui était une des quatre châtellenies du Livradois, avait pour vassaux : le Grand Prieur d’Auvergne, les seigneurs de Montravel, de Vertamy, de Fraissonnet, de Croz, de Montcelard, du Cluzet et du Chassaing.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Viverols appartenait aux De Baffie, vieille famille d’Auvergne, probablement originaire du Velay. Marcellin Boudet faisait descendre cette famille des SEMUR en Brionnais. Dalmas de Baffie possédait cette seigneurie en 1070.
Éléonore de Baffie (1244-1285 ou après), dame du Livradois et d'Ambert, Riols et Marsac, Usson, Beauzac..., fille de Guillaume II le Vieux sire de Baffie et d’Eléonore du Forez, resta seule héritière de cette puissante maison à la mort de son frère Guillaume III de Baffie (vers 1273 ?) et de leur sœur Béatrix († 1249 ou avant). L’abbé Louis-Jean-Joseph Grivel, dans ses Chroniques du Livradois, nous parle longuement de cette aimable personne et nous la présente comme une sainte. Éléonore épousa Robert V, comte d’Auvergne. Elle eut beaucoup à souffrir du caractère inégal de son mari, celui-ci fut excommunié pour avoir fait emprisonner Imbert de La Tour, chanoine de Paris.
À la mort d’Éléonore (1285), la terre de Viverols entra dans le domaine des comtes d’Auvergne et y resta un siècle. Jean II, comte d’Auvergne au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle vendit Viverols à Morinot de Tourzel, seigneur d’Allègre, chambellan du roi. Morinot eut pour fils Yves {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} et pour petit-fils Jacques d’Allègre.
Yves II, fils de Jacques, qui fut lieutenant-général des armées de Charles VIII et de Louis XII, mourut glorieusement à Ravenne en 1512 ; il était seigneur de Viverols en 1510. Le troisième fils d’Yves II, Christophe, qui épousa en 1530 Madeleine Le Loup de Beauvoir, devint ensuite possesseur de Viverols. Il eut pour fils Gaspard, chevalier de l’Ordre du roi, marié à Charlotte de Beaucaire, la sœur de Marie.
La terre de Viverols resta dans la maison d'Allègre jusqu’au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. En 1665, Claude d'Allègre, marquis de Beauvoir, fit un échange avec François d’Aurelle, marquis de Colombine. Claude prit la moitié du domaine de Crest et François d’Aurelle devint seigneur de Viverols. Jeanne Henriette d’Aurelle, héritière de cette maison, épousa au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Joseph de Montagut, comte de Bouzols, inspecteur général de la cavalerie.
Les Montagut (d'origine vivaraise, à St-Marcel) gardèrent leur terre jusqu’à la Révolution. Cette famille possédait le beau château de Bouzols dans la vallée de la Loire, à quelques kilomètres du Puy, et les châteaux de Plauzat et de Montravel en Auvergne ou d'Alba en Vivarais. Les Montagut séjournaient peu à Viverols, ils habitaient surtout à Plauzat, cependant ils ne délaissèrent pas tout à fait leur vieux manoir du Livradois, puisqu’ils y firent d’importantes réparations en 1740.
Vers le milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la famille de Montagut s’allia par mariage à la famille de La Salle ; de cette union naquit Joachim de Montagut, dernier seigneur de Viverols. En 1783, il épousa Anne-Pauline de Noailles, fille du duc d’Ayen et arrière-petite-fille, par sa mère, du chancelier d’Aguesseau.
Il ne reste plus du château de Viverols que des ruines, mais ces ruines ont encore belle allure et donnent à ce petit coin d’Auvergne beaucoup de caractère. L’emplacement de cette forteresse avait été judicieusement choisi. La butte de Viverols se trouve en effet placée à un point stratégique important au débouché de la vallée de l’Ance, à proximité de la route allant d’Ambert à Craponne-sur-Arzon et à Usson-en-Forez.
Il est difficile de préciser la date à laquelle on commença à construire le château. Il est probable qu’avant l’édification de la forteresse, dont on voit aujourd’hui les ruines, il y eut au sommet de la colline une tour à motte comme il en existait aux Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles. D’après certains renseignements, dont on ne peut garantir l’authenticité, une première forteresse aurait été élevée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par un certain Jacob de Viverols. Elle aurait été détruite sur ordre de Louis VII au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le baron d’Urfé, puis reconstruite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par les Baffie.
Le plan général du château est pentagonal. De profonds fossés entouraient jadis les bâtiments seigneuriaux, les écuries, les communs ; ces fossés sont malheureusement comblés. Au sud et à l’ouest, la forteresse profitait d’une défense naturelle, la colline est de ce côté-là très abrupte et il est difficile de l’aborder. Au contraire, à l’est et au nord, le terrain s’en va en pente douce et l’accès au château est aisé, aussi de ce côté-là éleva-t-on de fortes murailles flanquées de trois tours rondes.
La chapelle du château se trouvait sur le prolongement des bâtiments seigneuriaux, elle était dédiée à sainte Anne. C’était une petite construction de forme carrée, elle a entièrement disparu, c’est à peine si l’on en aperçoit les fondations.
Au sud, deux terre-pleins, disposés en gradins, marquent les emplacements des enceintes primitives, une curieuse poterne malheureusement obstruée permettait de passer de l’enceinte supérieure dans celle inférieure. On appelle cet endroit les Murettes.
Les tours sont du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Celle qui fait face au nord-est a perdu son couronnement, elle peut avoir encore 10 ou 12 mètres de haut, les murs qui ont deux mètres d’épaisseur sont construits en appareil irrégulier. On pénètre à l’intérieur par une petite porte basse dont le tympan semi-circulaire repose sur deux consoles moulurées. Au rez-de-chaussée se trouve une salle voûtée en coupole, une ouverture pratiquée dans le sol, donne accès à une salle souterraine. Naturellement on « décore » ce réduit du nom d’ «oubliettes », il s’agit en réalité d’une réserve à vivres…
La tour suivante qui fait face au nord présente un dispositif analogue à celui de la tour nord-est, même porte basse, même salle voûtée, même réduit souterrain. Un étroit escalier permet d’arriver au sommet. Cette tour fait une quinzaine de mètres de hauteur. On remarque, percées dans l’épaisseur du mur, de belles archères et près du sommet, les trous carrés marquant l’emplacement des hourds.
Il ne reste plus rien de ces merveilles, les bâtiments seigneuriaux sont en ruines à présent. La partie du château la moins en ruine se trouve à l’ouest. Il existe encore un bâtiment de 35 mètres de long et de 6 à 8 mètres de large dans lequel on remarque cinq salles voûtées, ces salles sont en bon état mais elles n’ont aucune décoration. C’est là que logeait la garnison de la forteresse.
En face de cette construction, on peut voir un beau puits du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il était jadis profond, mais les gamins du village à force d’y lancer des pierres l’ont peu à peu comblé. Ce puits est orné de blasons, on distingue celui des Tourzel et de Le Loup.
La troisième tour, celle du nord-ouest, est démolie, elle renfermait des salles voûtées et un escalier à vis. La porte d’entrée du château fait face à l’est, elle était défendue par une herse. On voit encore les rainures des chaînes du pont-levis, et au sommet, des restes de mâchicoulis et une sorte de gargouille représentant un animal. À gauche se trouve le bâtiment du corps de garde qui est fort délabré, à l’angle sud, il y avait une élégante échauguette, il en subsiste une partie. L’ensemble de cette partie ne paraît pas antérieur au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
La porte une fois franchie, on pénètre dans la cour, celle-ci est divisée en deux par un édifice de plan polygonal datant de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, c’est là qu’étaient les écuries ; quarante chevaux pouvaient sans peine y être logés. Autrefois ce bâtiment n’était pas isolé, il était rattaché aux constructions du sud et un passage voûté donnait accès à la seconde cour. On voit encore très distinctement l’amorce de la voûte et le pavement du passage.
La « Maison du Maître » était au sud, défendue extérieurement par une tour semi-cylindrique qui subsiste. Cette partie du château fut remaniée aux {{#switch: e
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| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècle
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}}, les fenêtres étroites furent remplacées par de jolies ouvertures Renaissance à meneaux, les salles furent décorées avec goût. Il existait, paraît-il, à Viverols de forts beaux plafonds à caissons dorés qui faisaient l’admiration des visiteurs.
Les seigneurs de Viverols
- de Baffie
1. Guillaume {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Baffie,
2. Dalmas {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}
3. Dalmas II
4. Dalmas III
5. Guillaume II
6. Dalmas IV
7. Guillaume III dit le Vieux (ca 1180-1250) époux d'Eléonore de FOREZ, première mention du château de Viverols en 1219.
8. Guillaume IV dit le Jeune époux d'Eléonore de MONTBOISSIER
En 1260, les châtellenies du Livradois deviennent possessions de la Maison d'Auvergne.
- comtes d'Auvergne
9. Robert V, comte d'Auvergne (1247-1277) époux d'Eléonore de BAFFIE (1210-1285), sœur de Guillaume IV mort sans postérité.
10. Guillaume XI, comte d'Auvergne (1277-1280)
11. Robert VI, comte d'Auvergne (1280-1314)
12. Robert VII, comte d'Auvergne (1314-1325)
13. Guillaume XII, comte d'Auvergne (1325-1332
14. Jeanne, comtesse d'Auvergne (1332-1360) et de Boulogne, dame de Viverols épouse de Jean II, Roi de France dit Jean le Bon (1319-1364)
15. [[Jean Ier d'Auvergne|Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], comte d'Auvergne (1361-1386)
16. Jean II, comte d'Auvergne (1386-1404) dit le mauvais Ménagier qui aliéna les châtellenies du Livradois à Morinot de Tourzel.
- Tourzel d'Allègre
17. Morinot de Tourzel chevalier, baron d'Allègre. Il épouse en 1387 Smaragde de Vichy dame de Puysagut et de Busset.
18. Yves {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Tourzel baron d'Allègre. Reçoit Charles VII à Allègre en Modèle:Date-. Il épouse le Modèle:Date- de Marguerite d'Apchier.
19. Jacques {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Tourzel d'Allègre, baron d'Allègre fils aîné d'Yves {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}. 1442, mort avant 1493. Il épouse Gabrielle de Lastic le Modèle:Date- (morte avant 1472).
20. Yves II dit Yves le Grand , baron d'Allègre. Né vers 1452, mort à Ravenne Modèle:Date-. Époux en 1474 de Jeanne de Chabannes (sœur de Jacques de Chabannes sgr de la Palisse, maréchal de France mort à Pavie en 1525).
21. Christophe II d'Allègre sgr de Viverols, épouse en Modèle:Date- de Madeleine Le Loup dame de Beauvoir, fille de Blain Le Loup sgr de Beauvoir, et de Paule du Puy.
22. Gaspard d'Allègre sgr de Viverols, Beauvoir, Baffie, Saint-Marcel-en-Forez, chevalier des Ordres du Roi, sénéchal du Poitou, mort avant 1610. Époux en Modèle:Date- de Charlotte de Beaucaire.
23. François d'Allègre sgr de Viverols et de Beauvoir. Il est époux le Modèle:Date- de Madeleine d'Allègre fille de Christophe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Tourzel et d'Antoinette du Prat, petite-fille du cardinal-chancelier Duprat.
24. Gaspard II d'Allègre, sénéchal d'Auvergne. Il épouse le Modèle:Date- Marie d'Estaing, fille de Jean vicomte d'Estaing et de Catherine de La Rochefoucaud-Barbezieux, sgr de Ravel.
25. Claude d'Allègre, est titré marquis de Beauvoir, comte de la Creste, Martigny, comte de Saint-Marcel-en-Forez, baron de Viverols, sénéchal d'Auvergne.
En 1665, Claude d'Allègre échange sa terre de Viverols avec François d’Aurelle, marquis de Colombine.
- d’Aurelle de Colombine
26. François d’Aurelle, marquis de Colombine, baron de Viverols époux de Catherine d’Aurelle.
27. Jean III d’Aurelle né le Modèle:Date-. Il épouse en 1676 Charlotte de la Tour Saint Vidal de Rochefort d'Ally
- de Montagu
28. Jeanne Henriette d’Aurelle épouse vers 1700 Joseph de Montagu de Beaune né en 1667 et mort en 1740.
29. Timoléon-Joachim-Louis de Montagu né en 1713, marquis de Bouzols, maréchal de camp, lieutenant général au gouvernement de la Basse-Auvergne et pays de Combrailles époux de Laure de Fitz-James, dame du palais de la Reine, petite-fille de Jacques II Stuart, roi d'Angleterre.
30. Joachim-Charles de Montagu de Bouzols époux de Marie Hélène de Callebot de La Salle, lieutenant général des armées du roi et de la Basse-Auvergne, gouverneur d’Usson. Cet arrière-petit-fils du roi Jacques II Stuart — et par là descendant d'Henri IV dont Jacques II était le petit-fils maternel — sera le dernier seigneur de Viverols…
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château fort de Viverols dans le village.
- le Mausolée Granet sur la route d'Eglisolles, derrière le cimetière.
- La Maison du Bailli, avec ses ruelles et la venelle des chèvres.
Manifestations culturelles et festivités
- Modèle:Date- : Fête de la musique
- 13 ou Modèle:Date- : Feu d'artifice sur la place du village
- Modèle:Date- : Brocante
- Modèle:Date- : Fête des vieux métiers
- Premier week-end d'août : Fête patronale
- Modèle:Date- : Course de côte
- En décembre/ début janvier : La ronde des crèches lancée en 2008 par l'initiative conjointe de Madeleine Salanon, Raymonde Faveyrial et Marie Viallard. Il s'agit d'une exposition d'environ 200 crèches, fabriquées par les habitants, commerçants et artisans de Viverols. Les visiteurs peuvent admirer la diversité des crèches (en paille, en bois, en métal, en osier, en papier ou en dentelle) dans tout le village et à la salle des fêtes<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Patrimoine naturel
- La commune de Viverols est adhérente du parc naturel régional Livradois-Forez.
Faits divers
Dans la nuit du 24 au 25 décembre 2017, le petit Jésus de la crèche principale de la ronde des crèches est remplacé par une endive accompagné d'un message politique. La mauvaise blague est largement reprise par les médias régionaux et nationaux<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Armand, famille de notaires, marchands de Viverols<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Bessaghon, famille de notaires, marchands de Viverols<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Père Benoît-Marius Bonnefoux (1861 Viverols - 1904 Angola). Missionnaire de la congrégation du Saint Esprit en Angola. Modèle:Référence nécessaire<ref>Nécrologie extraites des archives des spiritains http://spiritains.forums.free.fr/defunts/bonnefouxm.htm</ref>
- Chamborne, famille de notaires, d'officiers royaux et seigneuriaux. Pierre Chamborne notaire en 1432 à Viverols<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name=":2">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Mathieu Colombier, consul d'Ambert en 1544, notaire royal, et châtelain de Viverols<ref name=":1" />.
- Delagarde André : Imprimeur-libraire, originaire du bourg de Viverols, fils de marchand ; cousin germain du libraire de Lyon Jérôme Delagarde. Établi au Puy à la suite d'un accord passé le Modèle:Date- avec le libraire local Philippe Guinand (ou : Guynand), dont il épouse la nièce le même jour. Teste le 29 janv. 1680 en faveur de son frère Pierre. Décédé au Puy en fév. 1680. Travaille en association avec Philippe Guinand entre 1644 et 1650, puis avec son frère cadet Pierre Delagarde entre 1661 et 1679 en qualité d'imprimeurs de l'évêque et de la ville.
- de Gageyron ou Gageron, famille noble de Viverols dont on trouve aussi une branche à Craponne (cette branche aura pour descendant Adam de Craponne, ingénieur). Jean Gargeron notaire en 1403. François de Gageyron, capitaine du château de Viverols en 1597 et Jacques, capitaine du château de Viverols en 1606.
- Hector Granet et son fils Jean Granet <ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>
- Joseph Girard (1881-1962) originaire de Viverols, historien, archiviste paléographe, conservateur de la bibliothèque et du musée Calvet à Avignon, puis du palais des papes et des antiquités de Vaucluse. Il est le père de l'académicien René Girard.
- Guitard ou Guittard, famille de notaires, marchands dont Pons Guitard, notaire en 1587<ref name=":0" />.
- Imbert Benoit, jésuite né à Viverols en 1630, auteur de nombreux vers en latin.
- Louis Terrasse [1860-1938]: enfant du pays, Louis Terrasse depuis ses neuf ans a construit des chefs-d’œuvre de minutie : monuments miniatures fabriqués avec des milliers de pièces de bois de différentes essences, tableaux de marqueterie réalisés à base de marbre et de nacre et ivoire et ce loin des influences des écoles artistiques. Son chef-d’œuvre, la cathédrale de Moulins compte 4523 pièces de noisetier d’Amérique et d’ébène. Six ans de travail. La reconstitution du château de Viverols a été taillée au canif dans le noyer du pays.
- Mosnier, célèbre famille de fondeurs, saintiers de Viverols<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Olivier dit Calard, famille noble de Viverols dont Mondain ou Mondon Calard, seigneur de Freyssonnet et du Mas père de Jean (x Philiberte de Boulier dit l'Hermite de la Faye, dame de la Faye à Olmet) lui-même père de Christophe époux d'Anne de Montmorin<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Peloux (Benoît Jean Baptiste) né à Viverols le Modèle:Date-, ancien élève de l'école de notariat de Bordeaux, notaire à Viverols de 1876 à 1884, maire de ce chef-lieu de canton de 1877 à 1884, juge de paix successivement à Saint-Bonnet-le-Château, à Perreux, à Roanne et enfin à Saint-Etienne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Pellisson famille de juristes, notaires de Viverols connue depuis la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Pierre Pellisson mort en 1416) dont Pons Pellisson, notaire royal à la cour du Livradois vers 1500<ref name=":0" />,<ref name=":1" />,<ref name=":2" />.
- Martin Richard de Laprade, (1744- 1797) né à Viverols, docteur en médecine de la faculté de Montpellier, conseiller-médecin ordinaire du roi, inspecteur des eaux minérales du Forez, membres de l'Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Lyon. Son père Claude Richard de Laprade était régisseur de la seigneurie de Viverols avant d'acheter la seigneurie de Pontempeyrat puis celle de Laprade à Usson en Forez. Martin Richard de Laprade est le grand-père de Pierre Marin Victor de Laprade membre de l'Académie française.
- Robert Jean-Baptiste né en 1892 à Viverols. Son père est marchand de bois et maire de ce chef-lieu de canton. Formé à l’École normale supérieure de Saint-Cloud, est nommé à sa sortie professeur de français à l’École primaire supérieure de Saint-Étienne. Il y reste jusqu'en 1939. Il a 48 ans quand il est nommé à la tête de l'E.P.S. de La Souterraine où il exercera jusqu'à sa retraite en 1952. Déclaré Juste parmi les nations le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Divers
- Témoignage d'une enfance passée à Viverols dans les années 50<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site internet sur Viverols
- Office de tourisme
- Viverols sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Viverols sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes