Jean Bouin

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Modèle:En-tête label Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Athlète Alexandre François Étienne Jean Bouin le Modèle:Date de naissance à Marseille et mort pour la France le Modèle:Date de décès à Xivray dans la Meuse, est un athlète français spécialiste de la course de fond. Outre une médaille d'argent aux Jeux olympiques d'été de 1912 sur [[5 000 mètres|Modèle:Unité]], il a gagné trois fois de suite le Cross des nations, considéré alors comme le championnat du monde de la discipline. Il a également été le détenteur de sept records du monde sur différentes distances et durées. De nombreuses enceintes sportives portent son nom en France.

Il est d'abord inhumé au château de Bouconville-sur-Madt ; ses cendres sont rapatriées à Marseille en 1922, et reposent depuis au cimetière Saint-Pierre.

Biographie

Jeunes années

Jean Bouin naît rue Coutellerie à MarseilleModèle:Sfn.

Il a une sœur, Antonie Louise surnommée Nini (1885-1962)Modèle:Sfn.

Ses parents divorcent (le 28 juin 1894), et sa mère Berthe Pioch (1859-1922) se remarie avec un dénommé Galdani quelque temps aprèsModèle:Sfn.

Il habite au Modèle:Nobr Consolat à Saint-Charles et est scolarisé à l'école des Chartreux dans le quartier des Cinq Avenues où Jean Bouin a comme instituteur Joseph Pagnol, le père de Marcel Pagnol, popularisé par La Gloire de mon père, premier tome de Souvenirs d'enfanceModèle:Sfn. C'est à cette époque qu'il rencontre un camarade, son futur grand ami Joseph Granier, puis sa sœur, Rose Granier (1886-1987) qui devient bien plus tard sa compagneModèle:Sfn.

Adolescent, Jean Bouin pratique de façon assez intensive plusieurs sports dont l'escrime et la gymnastiqueModèle:Sfn. En Modèle:Date-, il se rend au parc Borély assister à l'entraînement de coureurs de marathonModèle:Sfn, dont le localement célèbre Louis Pautex<ref group=N>Le Modèle:Date-, Louis Pautex remporte le marathon de Marseille.</ref>. À la suite de cette rencontre avec Louis Pautex, qui devient plus tard son mentor, Jean Bouin commence la pratique de l'athlétismeModèle:Sfn et participe à la création du « Club athlétique de l'école de l'industrieModèle:Sfn,Modèle:Sfn ». L'athlète britannique Alfred Shrubb est alors son idole et motivera plus tard ses différentes tentatives de records du mondeModèle:Sfn.

Le Modèle:Date-, il remporte la première course à laquelle il participe, un cross-country de Modèle:Unité avec handicapModèle:Sfn,<ref group=N name="handicap">Un cross-country Modèle:Incise « avec handicap » est une course dont le parcours est ponctué de barrières ou d'obstacles artificiels qu'il y a évidemment lieu de franchir.</ref>. Il est remarqué : un banquier de la Société générale de La Canebière lui offre un emploi de coursier et il quitte le petit club qu'il a créé pour entrer au « Phocée Club de MarseilleModèle:Sfn ». Avec son nouveau club, il remporte à nouveau un cross le Modèle:NobrModèle:Sfn. Le Modèle:Date-, il remporte un Modèle:UnitéModèle:Sfn. Sur la saison 1904, il remporte quatorze des dix-sept courses auxquelles il participeModèle:Sfn. Le Modèle:Date-, il participe à sa première épreuve en dehors de Marseille, à Lyon sur le challenge Ayçaguer (un cross de Modèle:Nobr) sur lequel il termine neuvièmeModèle:Sfn. En Modèle:Date-, son beau-père Galdini parvient à le convaincre de participer à une course à Gênes en ItalieModèle:Sfn : Jean Bouin s'y rend, remporte la course et s'aperçoit que Galdini a déjà encaissé le prix de la victoireModèle:Sfn : cet événement marque la rupture définitive des relations Modèle:Incise entre Galdini et Jean BouinModèle:Sfn. Il quitte le domicile de Galdini et de sa mère, et s'en va d'abord habiter quelque temps chez les parents de son ami Joseph Granier et de sa compagne Rose, rue de RomeModèle:Sfn. Le Modèle:Date-, il remporte un 5 000 mètresModèle:Sfn en Modèle:Heure, puis en septembre, il remporte le Critérium de ProvenceModèle:Sfn.

1906 à 1908, années charnières

Arthur Gibassier, dit « La Gibasse », chroniqueur sportif au Petit Provençal, s'improvise entraîneur particulierModèle:Sfn. Jean Bouin est alors l'un des précurseurs de la méthode dite naturelle d'entraînement à travers les forêts : il couvre une vingtaine de kilomètres par jour en terrain variéModèle:Sfn. En outre, il s'intéresse à tous les aspects de la course à pied : l'entraînement, l'alimentation et l'hygiène de vie ; il évoquera dans son livre Comment on devient champion de course à pied, paru en 1912, les trois axes de sa méthode d'entraînement : spécificité, progressivité et diversitéModèle:Sfn.

En 1906, les résultats suivent : second du challenge Ayçaguer, il remporte le championnat du littoral (cross) et termine quatrième du national de cross-country à MeudonModèle:Sfn. Sur 5 000 mètres et en 1906 toujours, il améliore sensiblement sa meilleure performance : Modèle:HeureModèle:Sfn. En 1907 il est, cette fois-ci, troisième du national de cross-country Modèle:Nobr derrière le vainqueur Jacques KeyserModèle:Sfn. Cette année-là et pour la première fois, la France participe au Cross des nations : il termine treizième et second français de la course qui se tient à GlasgowModèle:Sfn. Enfin, il remporte pour la première fois Nice-Monaco, sur une distance de Modèle:NobrModèle:Sfn. Durant la période hivernale, il apprend qu'il doit faire partie de l'équipe française pour le 3 miles par équipes aux Jeux olympiques d'été de 1908Modèle:Sfn. À ces Jeux, Jean Bouin participe également aux séries du 1 500 mètres<ref name=sref> Modèle:Lien web.</ref>. En raison d'une sortie nocturne, la fédération française le sanctionne en le privant de finale du 3 miles, où la France termine troisième par équipesModèle:Sfn,<ref name=sref />. Se pose donc la question de l'obtention de la médaille de bronze ou non par Jean Bouin : précisons que d'une part il participe aux séries battant d'ailleurs le record de France Modèle:Incise de la distanceModèle:Sfn et que d'autre part la médaille de bronze lui est attribuée dans certaines sources<ref name=sref />.

Modèle:Article connexe

1909 à 1913, les grands succès

Photographie noir et blanc de trois coureurs de fond.
Jean Bouin, le Modèle:Date-, lors de sa tentative réussie de record de France de l'heure.

Le Modèle:Nobr à Amiens et pour la première fois, Jean Bouin devient champion de France de cross-countryModèle:Sfn, avec Modèle:Heure d'avance sur le deuxième<ref name="Bouillé"> Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Nobr, sur le Cross des nations, le championnat du monde de la discipline, il termine second derrière Edward WoodModèle:Sfn. Sur piste, le Modèle:Nobr à Colombes, il parvient à battre plusieurs records de France au cours d'une même et seule tentative de record de l'heure : Modèle:Nobr, Modèle:Unité, demi-heure, Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Nobr et celui de l'heureModèle:Sfn. Il reçoit cette année-là, des mains d'admirateurs marseillais, un chronomètre en or gravé de ses initialesModèle:Sfn « J. B. ».

En 1910, il est appelé au service militaire et incorpore la Modèle:15e du [[141e régiment d'infanterie|Modèle:141e d'infanterie]] au fort de la Revère près de NiceModèle:Sfn. Il change également de club et passe au « Club athlétique de la Société générale de MarseilleModèle:Sfn » avec lequel il prépare le national de cross-country qui se court « à domicile » au parc BorélyModèle:Sfn : il en est vainqueur et remporte ainsi son second titre consécutifModèle:Sfn. Sur le Cross des nations, le Modèle:Nobr à Belfast, il est contraint à l'abandon à la suite d'une chute dès le premier kilomètreModèle:Sfn, après avoir été la semaine précédente champion de France militaire sur Modèle:Unité<ref>La Vie au grand air, 26 mars 1910, Modèle:P..</ref>.

En 1911, il est à nouveau champion de France de cross-country et devient champion du monde de la discipline en remportant le Cross des nations le Modèle:Nobr à Newport-CaerleonModèle:Sfn. C'est le premier de ses trois succès consécutifs dans l'épreuve entre 1911 et 1913Modèle:Sfn. Modèle:Nobr, l'union des sociétés françaises de sports athlétiques s'interroge sur la réalité du statut d'amateur de Jean Bouin : en effet, la fédération anglaise souhaite le voir disqualifié d'une course de l'heure qu'il a disputée contre le professionnel Louis BouchardModèle:Sfn. Arthur Gibassier se charge de clarifier sa situation en se rendant à Paris pour rencontrer les instances de cette fédérationModèle:Sfn. Le Modèle:Date, il établit à Colombes le premier record du monde du 10 000 mètres, qui ne sera battu que dix ans plus tard par Paavo NurmiModèle:Sfn.

Photographie noir et blanc d'une arrivée de course de fond.
L'arrivée du 5 000 mètres olympique en 1912 : Jean Bouin est second derrière Hannes Kolehmainen.
Photographie noir et blanc d'un homme assis entouré de trois hommes debout.
Le masseur « Pastaïre » (assis) entouré de (debout, de gauche à droite) Jean Bouin, François Faber et Georges Carpentier.
Photographie noir et blanc d'un homme en train de courir.
Jean Bouin lors du Cross des nations 1913 à Juvisy, qu'il remporte.

Le grand objectif de la saison 1912 est pour Jean Bouin l'épreuve individuelle de cross-country aux Jeux olympiques d'été d'autant qu'il est le champion en titre du Cross des nationsModèle:Sfn. La fédération française lui octroie un régime de faveur lui permettant d'arriver en Suède trois semaines avant le reste de la délégation et d'être installé à part dans un hôtel du centre-ville de Stockholm en compagnie de son soigneur YvelinModèle:Sfn. Toutefois, il ne termine pas la course de cross-country<ref> Modèle:Lien web.</ref> ; en revanche, il réussit beaucoup mieux sur Modèle:Nobr : il bat le record de France en série (Modèle:Heure) le Modèle:NobrModèle:Sfn puis le lendemain, il remporte la médaille d'argent finissant un mètre derrière le Finlandais Hannes Kolehmainen qui établit à cette occasion le premier [[record du monde du 5 000 mètres|record du monde du Modèle:Unité]]Modèle:Sfn,<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Article connexe

En 1913, la Société générale qui l'emploie lui permet d'aller s'installer à Paris en lui proposant un nouveau poste. Il intègre donc le « Club athlétique de la Société générale de ParisModèle:Sfn ». Jean Bouin quitte Marseille en compagnie de Rose Granier : ils s'installent rue Guersant puis rue de VarenneModèle:Sfn. Dans la capitale, il se lie rapidement d'amitié avec Jérôme Peyre originaire de Marseille, boulanger reconverti en masseurModèle:Sfn. Ce dernier, surnommé « Pastaïre », a une clientèle de sportifs de haut niveau, dont Roland Garros, Louis Darragon, François Faber ou encore Georges Carpentier avec qui il va aussi se lier d'amitiéModèle:Sfn. « Pastaïre » va également lui présenter Maurice Chevalier et Mistinguett avec lesquels il devient aussi amiModèle:Sfn. Le Modèle:Date, il fait sensation en battant le record du monde de l'heure à Stockholm (battant au passage ceux du Modèle:Unité et du Modèle:NobrModèle:Sfn) : il parcourt Modèle:Unité et devient ainsi le premier à dépasser les Modèle:Nobr en une heure. Devenu collaborateur de La Vie au grand air<ref group=N>Le reportage de Jean Bouin paraît dans La Vie au grand air, le Modèle:Nobr.</ref>, il rédige un grand reportage sur son voyage et record suédoisModèle:Sfn. Son retour gare du Nord est triomphal Modèle:Incise. Modèle:Nobr est également celle de son troisième succès dans le Cross des nations, organisé à Juvisy en France.

Photographie noir et blanc de deux hommes debout en toge.
Georges Hébert (à gauche) et Jean Bouin en toge lors du tournage du film au Parc Pommery de Reims.

Peu après, Georges Hébert invite Jean Bouin à se rendre au Collège d'athlètes de Reims, fondé par le marquis de PolignacModèle:Sfn. Il y est sollicité pour être l'acteur unique d'une petite production cinématographique de Modèle:UnitéModèle:Sfn. L'original du film est conservé à la Cinémathèque françaiseModèle:Sfn.

1914 et la Première Guerre mondiale

En 1914, Jean Bouin court trois coursesModèle:Sfn : un Modèle:Unité avec handicap<ref group=N name="handicap"/> à Marseille (il termine second), le [[800 mètres (athlétisme)|Modèle:Nobr]] des championnats de France d'athlétisme (il est second derrière René Dantigny) et enfin le Modèle:Nobr à Bruxelles lors d'une compétition France-Belgique au cours de laquelle il remporte le Modèle:NobrModèle:Sfn.

Le Modèle:Date, Jean Bouin est mobilisé : il est incorporé comme soldat de Modèle:2e (avec fonction d’instructeur de sport des armées) au [[163e régiment d'infanterie|Modèle:163e d'infanterie]] à NiceModèle:Sfn. Il lui est fait une proposition pour « rester à l'arrière » Modèle:Incise qu'il refuseModèle:Sfn. Une soi-disant hypertrophie cardiaque aurait pu lui permettre d’être affecté dans une unité auxiliaire, mais il insiste et exige d'être incorporé dans une unité combattanteModèle:Sfn. Jean Bouin prend le train pour le front le 13 septembreModèle:Sfn ; il croise sur le quai son cousin Louis Bouin (de Carpentras) à qui il remet le chronomètre en or reçu de ses admirateurs marseillais en 1909Modèle:Sfn.

Le Modèle:163e se positionne à proximité de Saint-MihielModèle:Sfn, près de la frontière allemande d’avant la Première Guerre mondiale. Il est messager, chargé de la transmission de courriers entre les différentes lignes de frontModèle:Sfn. Il est tué à l'ennemi le Modèle:Date à XivrayModèle:Sfn,<ref>[https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239daf823295/5242bc79d9110 Alexandre François Etienne Jean Bouin, Mort pour la France le 29-09-1914 (Xivray-et-Marvoisin, 55 - Meuse) Né(e) le/en 24-12-1888 à Marseille (13 - Bouches-du-Rhône, France)]</ref>, lors de l'attaque du « Mont Sec » à l'issue de la première bataille de la Marne<ref group=N>En effet, la bataille de la Marne proprement dite est terminée depuis le Modèle:Nobr, la percée allemande vers Paris a été stoppée ; et le régiment de Jean Bouin fait partie du dispositif oriental de défense français dans la Meuse, comme le montre la carte des positions située dans l'article sur la bataille où Saint-Mihiel est visible au nord de Commercy ; Jean Bouin est en fait tué au début d’une des multiples guerres de position qui s'ensuivent tout le long de la ligne de front, entre les Vosges et bientôt la mer du Nord.</ref>, atteint par plusieurs éclats d'obus, consécutivement à une très probable erreur de tir de l'artillerie françaiseModèle:Sfn,<ref name=celeb2014 />. Rose Granier se rend à proximité du front pour identifier les restes de Jean BouinModèle:Sfn. Il est enterré au château de Bouconville-sur-Madt sous le feu ennemi. Quelques jours plus tard, le château brûle.

À son retour à Marseille, Rose Granier est confrontée à des problèmes liés à l'héritage de Jean Bouin : si ce dernier a légué l'ensemble de ses avoirs à Rose Granier, Galdini son beau-père conteste cette transmissionModèle:Sfn. Une procédure judiciaire assez longue débute Modèle:Incise qui se termine par un jugement prononcé en 1918Modèle:Sfn : Rose Granier a finalement gain de cause, probablement grâce aux témoignages favorables d'Arthur Gibassier, Georges Carpentier, Maurice Chevalier et MistinguettModèle:Sfn.

Le corps de Jean Bouin est rapatrié à l'issue du conflit, le Modèle:Date, avec trente-neuf autres militaires ; il est inhumé au cimetière Saint-Pierre de Marseille (Modèle:Nobr, tombe Modèle:N°). Sa tombe est ornée d'un buste sculpté par Constant Roux et d'une plaque apposée par la villeModèle:Sfn.

Hommages

Plusieurs enceintes sportives sont baptisées du nom de « Modèle:Page h » ainsi que de nombreuses voies et bâtiments en France<ref> Modèle:Lien web.</ref>. À Barcelone, depuis 1920, se tient la course populaire La Jean Bouin, internationale depuis 1946 et organisée par le quotidien Mundo Deportivo<ref>Modèle:Article.</ref>.

La sculpture Jean Bouin de Constant Roux était située sur le parvis du stade Vélodrome de Marseille<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Constant Roux a également réalisé le buste de sa tombe. Dans les Modèle:Nobr, une stèle réalisée par Villevielle et Camotto et financée par la Société générale, est érigée à Bouconville-sur-Madt inaugurée en présence d'Alain Mimoun<ref name=celeb2014> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=meuse> Modèle:Lien web.</ref> près de la zone où Jean Bouin fut tué au combat.

En 1960, à l'occasion des Jeux olympiques d'été, un timbre à Modèle:Monnaie à l’effigie de Jean Bouin est édité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Jean Bouin est reconnu Gloire du sport<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Il reçoit à titre posthume la médaille militaire<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le club du « Petit Jean Bouin » situé à proximité du complexe de Roland-Garros est rebaptisé ainsi en 1916 en son honneur.

Palmarès

Les principaux éléments de son palmarès sont listés ci-dessousModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn.

International

Fichier:Jean Bouin vers 1912.jpg
Jean Bouin vers 1912.
Palmarès international
Date Compétition Lieu Résultat Discipline
1908 Jeux olympiques Londres Modèle:3e 3 miles par équipe
1909 Cross des nations Derby Modèle:2e Cross-country
1911 Cross des nations Caerleon Modèle:1re Cross-country
1912 Cross des nations Édimbourg Modèle:1re Cross-country
1912 Jeux olympiques Stockholm Modèle:2e 5 000 mètres
1913 Cross des nations Juvisy Modèle:1re Cross-country

National

photographie noir et blanc d'un coureur à pied.
Jean Bouin remportant le championnat de France militaire 1911 de cross-country.

Autres courses

photographie noir et blanc d'un coureur à pied.
Jean Bouin remportant Nice-Monaco 1910.

Records

Records du monde

Jean Bouin a battu sept records du monde au cours de sa carrièreModèle:Sfn. Modèle:Article connexe

Records personnels
Distance Temps Date Lieu
6 miles Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
Modèle:Unité Demi-heure Modèle:Date Colombes
Modèle:Unité Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
3 miles Modèle:Heure Modèle:Date Stockholm
Modèle:Unité Modèle:Heure Modèle:Date Stockholm
11 miles Modèle:Heure Modèle:Date Stockholm
Modèle:Unité 1 heure Modèle:Date Stockholm

Records de France

Jean Bouin a battu trente-huit records de France au cours de sa carrièreModèle:Sfn en particulier sur le Modèle:Unité, le Modèle:Unité, le [[Record de France du 5 000 mètres|Modèle:Nobr]] et le [[Record de France du 10 000 mètres|Modèle:Nobr]]Modèle:Sfn. Il a également battu plusieurs fois celui de la demi-heureModèle:Sfn. Son record de France de l'heure Modèle:Incise (Modèle:Unité en 1913) ne sera battu qu'en 1955 par Alain Mimoun avec Modèle:Unité<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Celui du Modèle:Unité est égalé en Modèle:Date- par Roger Rochard, et battu en 1948 par Jacques Vernier.

Modèle:Article connexe

Records personnels

Les meilleures performances de Jean Bouin sont listées ci-dessousModèle:Sfn.

Records personnels
Distance Temps Date Lieu
400 mètres Modèle:Heure Modèle:Date Salon
400 mètres haies Modèle:Heure Modèle:Date Salon
800 mètres Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
Modèle:Unité Modèle:Heure Modèle:Date Romans
1 500 mètres Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
1 mile Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
Modèle:Unité Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
Modèle:Unité Modèle:Heure Modèle:Date Stockholm
2 miles Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
3 miles Modèle:Heure Modèle:Date Stockholm
5 000 mètres Modèle:Heure Modèle:Date Stockholm
4 miles Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
8 kilomètres Modèle:Heure Modèle:Date Marseille
5 miles Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
6 miles Modèle:Heure Modèle:Date Colombes
10 000 mètres Modèle:Heure Modèle:Date Colombes

Œuvres

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Articles connexes

Modèle:Catégorie détaillée

Liens externes

Modèle:Autres projets

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