Agneaux
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Agneaux (prononcé Modèle:MSAPI) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>. Modèle:Sommaire
Géographie
Agneaux est une commune résidentielle dont la partie urbaine constitue l'ouest de l'agglomération saint-loise, composée d'un habitat essentiellement pavillonnaire, le long de la route Saint-Lô-Coutances, au centre du pays saint-lois. Son bourg est à Modèle:Unité à l'ouest du centre-ville de Saint-Lô, à Modèle:Unité au nord-est de Canisy et à Modèle:Unité à l'est de Marigny<ref>Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.</ref>.
Le territoire est traversé par la route nationale 174 dont un échangeur est dans la commune. S'y raccordent la route départementale no 972 (ancienne route nationale 172) reliant Saint-Lô à l'est à Coutances à l'ouest, et la Modèle:Nobr, annexe de la Modèle:Nobr qui permet de rejoindre Hébécrevon au nord-ouest. De cette Modèle:Nobr part la Modèle:Nobr qui rejoint La Chapelle-en-Juger à l'ouest. L'accès à l'A84 est à Guilberville (Modèle:Nobr) à Modèle:Unité au sud-est.
Agneaux est dans le bassin de la Vire qui délimite le territoire au nord et au sud-est. Trois courts affluents parcourent le territoire communal dont l'un marque la limite nord-est et un autre la limite sud.
Le point culminant (Modèle:Unité) se situe en limite ouest, près du lieu-dit le Compart. Le point le plus bas (Modèle:Unité) correspond à la sortie de la Vire du territoire, au nord-ouest. La commune est urbaine sur une grande partie est et bocagère pour le reste du territoire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Agneaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lô, une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,4 %), zones urbanisées (34,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,3 %), forêts (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), terres arables (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Attestations anciennes
- Agnels 1056/1066 <ref>Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, Modèle:P., § 214.</ref>.
- Herbertus de Agnes 1056/1066 <ref>ibid., Modèle:P., § 214.</ref>.
- Agnels ~1135 <ref name = NCM>François de Beaurepaire, Les Noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, Modèle:P..</ref>.
- de Agnellis Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle s., ~1180<ref name = NCM/>.
- de Agneax Modèle:C.1210<ref name = NCM/>.
- Philippus de Agnellis 1218<ref>Léopold Delisle, Recueil de jugements de l’Échiquier de Normandie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Paris, 1864, p. 62, § 242.</ref>.
- ecclesi[a] Sancti Johannis de Agnellis ; dominus de Agnellis 1332<ref>Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 353B, 353C</ref>.
- Sanctus Johannes de Agnellis 1351/1352 <ref>Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 369B</ref>.
- Aigneaux 1612/1636 <ref>Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620]</ref>, 1677<ref>Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].</ref>, 1713<ref>Dénombrement des généralités de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].</ref>.
- Agneaux 1753/1785 <ref>Carte de Cassini.</ref>, 1854<ref>V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.</ref>, 1903<ref>Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903</ref>.
Étymologie
Toponyme médiéval issu de l'ancien français agnel « agneau », et évoquant probablement un élevage de moutons. L'absence d'article suggère une fixation précoce (avant l'an mil). Les attestations ne sont pas suffisamment anciennes pour pouvoir affirmer que ce nom date de la période gallo-romaine (il reposerait alors sur le gallo-roman AGNELLOS), hypothèse que l'on ne peut cependant pas exclure a priori<ref>Un toponyme normand de formation identique est Aigneaux dans le Calvados, nom de plusieurs localités dont la plus importante est un hameau situé au Désert.</ref>.
Remarque sur les graphies anciennes
- Dans la graphie Agneax (~1210), le -x final correspond à un ancien signe abréviatif utilisé dans les manuscrits médiévaux pour noter la terminaison latine -us. Il faut donc lire °Agneaus, première trace écrite pour ce nom de la vocalisation de [l] devant consonne (évolution Agnels > °Agneaus), qui se manifeste en ancien français à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- La graphie Aigneaux, que l'on rencontre aux {{#switch: XVIII
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}}, correspond à une ancienne notation de n mouillé [n'], que nous écrivons aujourd'hui -gn- et prononçons [ɲ]. Ce son, initialement articulé comme le début du mot anglais new, a été longtemps transcrit -ign- (parfois même -igni-), d'où les anciennes graphies campaigne "campagne", Mortaigne "Mortagne", montaigne "montagne", etc. Tombées peu à peu en désuétude, elles ont été parfois mal lues, et engendré des prononciations fautives, telles que celles du nom de Michel de Montaigne, ou du mot araignée, maintenant passées dans l'usage. Tout ceci pour expliquer que l'ancienne graphie Aigneaux doit être lue a-igneaux [an'o] ou [aɲo], et non ai-gneaux.
Gentilé
Le gentilé est Agnelais.
Histoire
À l'occasion de la construction de la déviation de Saint-Lô, de nombreuses fouilles archéologiques préventives ont eu lieu. Elles ont bien mis en évidence la longue histoire d'Agneaux depuis la Préhistoire<ref>Dominique Cliquet D., François Fichet de Clairfontaine et Cyril Marcigny (dir.), 2000 – 5000 ans d’histoire aux portes de Saint-Lô, Archéologie préventive et aménagement du territoire, catalogue de l’exposition de Saint-Lô (Manche), Archives départementales de la Manche, Conseil général de la Manche, Saint-Lô, 64 p.</ref>.
Les vestiges les plus importants concernent l'âge du bronze, avec l'installation d'une vaste nécropole et avec la découverte de plusieurs dépôts d'objets en bronze<ref>Cyril Marcigny et Antoine Verney, 2005 – « La nécropole d’Agneaux et ses dépôts (Manche) », in. La Normandie à l’aube de l’histoire, les découvertes archéologiques de l’âge du Bronze 2300-800 Modèle:Av JC, Cyril Marcigny et al. (dir.), Somogy éditions d’art, Paris, 2005, Modèle:P..</ref>, puis l'époque médiévale<ref>Vincent Carpentier, Emmanuel Ghesquière et Cyril Marcigny, 2003 – « L’établissement rural du Haut Moyen Âge d’Agneaux « Bellevue » (Manche) », Revue archéologique de l’Ouest, Modèle:N°, Modèle:P..</ref>.
Un Modèle:Souverain- d'Aigneaux aurait été l'un des compagnons de Guillaume le Conquérant (liste de Falaise). Un Foulque d'Aigneaux accompagna le duc de Normandie Robert Courteheuse à la première croisade (1095-1099)Modèle:Sfn.
Julienne ou Jeanne Couillard (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), née à Agneaux, défendit en 1574, avec d'autres femmes, l'entrée de Saint-Lô aux troupes catholiques de Matignon qui tua Modèle:Nobr, mais laissa la vie sauve à Julienne CouillardModèle:Sfn.
Comme Saint-Lô, la ville fut détruite en Modèle:Date-Modèle:Sfn.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Administration municipale
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et six adjoints<ref name=ʺof-municipales-2020ʺ />.
Démographie
Modèle:Population de France/introduction Agneaux a compté jusqu'à Modèle:Unité habitants en 1999.
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Enseignement
Cycle | Établissement public | Établissement privé |
---|---|---|
Écoles | Groupe scolaire Marie-Ravenel | L'Institut |
Collèges | L'Institut | |
Lycée | L'Institut | |
Supérieur | L'institut Institut d'administration des entreprises. |
Économie
La commune dispose d'une antenne de la chambre de commerce et d'industrie de Centre et Sud-Manche.
- Entreprise Serrurerie et métallerie saint-loise (SMSL) : constructions métalliques et charpentes de 1945 à 2012. L'entreprise a déposé le bilan et fermé ses portes.
- Chaudronnerie A.C.D.N., aujourd'hui C.T.I. (76 p.)<ref>https://www.lesechos.fr/pme-regions/normandie/le-demantelement-de-manoir-industries-aiguise-lappetit-des-chaudronniers-1318419</ref> (groupe M ou Monteiro), depuis 2021.
Lieux et monuments
- Château de Sainte-Marie (Modèle:S mini-, {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles
}}). Aujourd'hui hôtel-restaurant, il est inscrit partiellement aux monuments historiques le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
- Chapelle Sainte-Marie du château ; restaurée. Son origine remonte au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn.
- Ferme du château (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), inscrite aux monuments historiques le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.
- Église Saint-Jean-Baptiste d'Agneaux des Modèle:S mini-, {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles
}}, dont le clocher est rasé en 1944. L'église modernisée après les bombardements de 1944, abrite notamment une chape rose du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn,<ref>Une chape rose visible à l'église d'Agneaux.</ref> classée au titre objet aux monuments historiques<ref>Modèle:Base POP Palissy.</ref>. La verrière du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est répertoriée à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
- Château et parc de la Pallière Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui est depuis 1983 le siège de la mairie.
- La falaise, site inscrit depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>.
- La place de la Palière, au centre de la commune.
La commune est également concernée par le périmètre de protection de plusieurs monuments saint-lois : les remparts de Saint-Lô (inscrit MH), le château de la Vaucelle (inscrit MH) et le manoir du Bosdel (inscrit MH).
Activité et manifestations
Sports
L'Agneaux football club fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en divisions de district<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Jumelages
- Modèle:Jumelage
- Modèle:Jumelage. Le conseil municipal à l'unanimité a voté, le 12 décembre 2019, la fin du jumelage avec Rapoltu Mare et un jumelage avec Fratault-Noi, ville située au nord-est de la Roumanie près de la frontière ukrainienne.
Personnalités liées à la commune
- Julien Le Paulmier de Grantemesnil (1520 à Agneaux - 1588), médecin.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes de la Manche
- Famille d'Aigneaux
- Famille Huillard d'Aignaux
- Famille de Sainte-Marie d'Agneaux
Liens externes
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)