Alessandro Scarlatti
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Alessandro Scarlatti (Modèle:Naissance&décès âge) est l'un des principaux compositeurs de musique baroque.
Surnommé par ses contemporains « l’Orphée italien », il partage sa carrière entre Naples et Rome, où il reçoit sa formation . Une part importante de sa production est destinée à ces lieux. Il est souvent considéré comme le fondateur de l'école napolitaine d'opéra, il en est au moins le plus illustre et plus fécond représentant : son apport, son originalité et son rayonnement, son influence sérieuse et durable, sont essentiels, tant en Italie qu'en Europe.
Particulièrement connu pour ses opéras (Modèle:Unité), il mène à terme la tradition dramatique italienne, commencée par la Camerata Bardi, puis illustrée par Monteverdi au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Cesti, Cavalli, Carissimi, Legrenzi ou encore Stradella, donnant la forme définitive de l’aria da capo, diffusée ainsi dans toute l'Europe. Il inaugure l'ouverture à l'italienne en trois mouvements, ancêtre lointain de la symphonie. Tous ces modèles deviennent des références pour le théâtre musical de son temps. Éclectique, Scarlatti touche en outre à tous les autres genres pratiqués à son époque, de la sonate au concerto, le motet, la messe, l'oratorio et la cantate de chambre, dont il est un maître incontesté, avec plus de Modèle:Unité attribués avec certitude. Il peut être considéré comme un précurseur direct de Mozart.
Alessandro est le père de Domenico Scarlatti et le frère de Francesco Scarlatti.
Biographie
Famille et origines
Alessandro Scarlatti naît en Sicile, à PalermeModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn, d'une famille de musiciens. Son père, le ténor Pietro Scarlata (la forme « Scarlatti » n'est utilisée qu'à partir de 1672), et sa mère, Eleonora d'Amato, pratiquent tous deux la musique à PalermeModèle:Sfn. L'hypothétique naissance à Trapani, à une centaine de kilomètres de Palerme, où est né son père est parfois évoquée. L'information proviendrait de Fétis<ref>{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k697249/f432.image%7C{{ #if: bpt6k697249/f432.image |{{ #if: « Alessandro Scarlatti », vol. 7 p. 427 sqq | « Alessandro Scarlatti », vol. 7 p. 427 sqq | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref> : un manuscrit d’Il Pompeo aurait porté la mention Modèle:CitationModèle:Sfn.
Deuxième de huit enfants, dont cinq deviennent musiciens, le jeune garçon semble avoir entamé ses études musicales auprès de son oncle maternel, Vincenzo d'Amato, maître de chapelle de la cathédrale et de Marc'Antonio Sportonio, castrat et compositeur originaire de BologneModèle:Sfn, élève de Carissimi<ref>Modèle:Chapitre</ref>. Il avait chanté dans L'Orfeo de Luigi Rossi à Paris en 1647Modèle:Sfn.
Son frère Francesco (1666–Modèle:Circa1741) est également compositeur et violoniste<ref>Modèle:Ouvrage</ref> ; ses frère et sœurs Anna Maria (1661–1703), Melchiorra (1663–1736) — mariée à un musicien, Nicolo Pagano — et Tommaso (Modèle:Circa 1672–1760) sont tous les trois chanteurs. Anna Maria est surnommée La ScarlattiModèle:Sfn. Seul Tommaso poursuivra la filiation directement avec sa fille Rosa (née en 1716) qui fait sa carrière à Venise et le fils de Rosa, Giuseppe (1723–1777). Avec Domenico, ce n’est qu'un arrière petit fils, Dionisio Scarlatti y Adalma (1812–1880), qui contribue à la fondation de l'opéra de MadridModèle:Sfn.
Rome
En Modèle:Date-, sans doute après la mort du père, la famille quitte Palerme avec ses sœurs Anna Maria et Melchiorra, en raison d'une famineModèle:Sfn, et s'installe à Rome puis Naples. La légende veut qu'il ait été à Rome un élève de Giacomo CarissimiModèle:Sfn, qui meurt en Modèle:Date-. Cependant, il semble aujourd'hui peu probable que le jeune Scarlatti — à peine âgé de douze ans — ait pu être accueilli par le musicien romain le plus connu de son époque. L'hypothèse la plus vraisemblable est que Scarlatti aurait été l'élève d'un modeste compositeur, Antonio Foggia, fils du célèbre maître de chapelle de S. Maria Maggiore, Francesco Foggia. En outre, il existe des raisons de penser qu'il avait des liens avec le nord de l'Italie, ses œuvres de jeunesse montrant l'influence de Stradella et Legrenzi. Les premières œuvres théâtrales montrent également une possible influence de l'enseignement de Bernardo PasquiniModèle:Sfn.
Le musicien épouse Antonia Maria Vittoria Anzaloni de Rome, le Modèle:Date- et le jeune couple loge dans un appartement du palais de Gian Lorenzo Bernini. Le Modèle:Date-, Filippo Bernini, fils de l'architecte, est le parrain du premier né des dix enfants, Pietro. La sœur d'Alessandro, Anna Maria, épouse un « clerc » et le scandale retombe sur le jeune musicien, avec l'hostilité de la curie romaineModèle:Sfn.
Parmi les dix enfants du couple, deux sont appelés à devenir compositeur de profession : Pietro († 1750)Modèle:Note et Domenico né en 1685, le plus connu. Mais deux filles sont également cantatrices, dont Flaminia (1685–Modèle:Circa1725). Le cinquième venu (1684) a pour marraine la reine Christine. Flaminia s'est vue peindre par Francesco Solimena, un proche napolitain de la famille Scarlatti, mais le portrait a disparuModèle:Sfn. Il semble qu'elle n'ait jamais chanté que dans le cercle privé, sans doute les cantates de chambre de son père, ou peut-être certaines des premières œuvres de son frère DomenicoModèle:Sfn.
Modèle:Encadré La représentation à Rome au teatro Capranica de son opéra, « Les équivoques dues à l’apparence », Gli equivoci nel sembiante (Modèle:Date-) lui amène la protection de la reine Christine de suède (exilée à Rome), qui protège déjà Stradella, Pasquini et Corelli. Chose rare à l'époque, l'opéra est rejoué dans plusieurs villesModèle:Sfn. Elle lui commande L'honestà negli amori (1680), son opéra suivant, et elle le fait maître de chapelleModèle:Sfn. Selon Geminiani, Scarlatti admirait Corelli en tant que violoniste et chef d'orchestre, plus que comme compositeurModèle:Sfn.
En Modèle:Date-, il quitte son poste de San Giacomo, pour être nommé maestro di cappella à San Girolamo della CaritàModèle:Sfn. Six opéras sont joués à Rome de 1679 à 1683, signe de son succès (notamment Il Pompeo). L'arrivée du pontife Innocent XI, qui interdit les spectacles sauf pendant le carnaval, confine ces représentations dans le cercle privé de la noblesse qui les commandite. Il est probable que c'est dans cette situation que le duc Maddaloni convainc le musicien de retourner à NaplesModèle:Sfn.
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S. Maria Maggiore, peinture de 1744 par Giovanni Pannini
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San Girolamo della Carità, chapelle Antamori
Naples
Modèle:Article détaillé Alors qu'une de ses sœurs chanteuse d'opéra est la maîtresse d'un noble napolitain influent, le secrétaire de justice du vice roi, elle intrigue pour faire nommer son frère maître de chapelle du vice-roi de Naples, en Modèle:Date-. Le poste revenant de droit au second maître de chapelle, le septuagénaire, Provenzale, celui-ci démissionne avec six autres musiciens, entraînant un scandale. Le secrétaire de justice est révoqué, mais Scarlatti conserve son posteModèle:Sfn. Les musiciens sont immédiatement remplacés par les musiciens romains qui ont suivi Scarlatti. Cependant, à peine dix ans plus tard, lorsque le compositeur est souvent éloigné pour superviser la création de ses opéras, c'est Provenzale qui le remplace comme vice-maître de chapelleModèle:Sfn.
À Naples, le musicien produit une grande série d'opéras pour le teatro San Bartolomeo et le théâtre du palais royal, remarquables par leur fluidité et leur expressivité — dont L'Eraclea qui inaugure l'ouverture à l'italienne en trois mouvements — ainsi que d'autres musiques pour des cérémonies officielles de l'État. Il compose avec une abondance et une facilité extrêmesModèle:Sfn. En 1701, Domenico, compose sa première pièce sacrée et est admis en tant qu'organiste surnuméraire. Alessandro tente d'obtenir un poste plus important auprès de Ferdinand de Médicis, en vain. Pas même un voyage en Toscane ne réussi à placer Modèle:Citation, selon une lettre d'Alessandro au souverain. En revanche cinq opéras sont montés au théâtre PratolinoModèle:Sfn.
À la mort de Modèle:Souverain2, la guerre de Succession d'Espagne amenuise les revenus de commandes du musicien. Il demande un congé de quatre mois et quitte Naples en Modèle:Date-. Il n'y retourne pas avant que la couronne autrichienne ne remplace celle de l'Espagne. Pendant cette période, il est sous le patronage de Ferdinand III de Médicis à Florence, pour le théâtre privé duquel il compose des opéras, puis sous celui du cardinal Ottoboni, qui le fait maître de chapelle, et lui procure un poste similaire à la basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome. En 1706, il est le troisième musicien — avec Pasquini et Corelli, — alors que les statuts à l'origine n'autorisent que les poètes et les nobles — à adhérer à l'Académie d'Arcadie, sous le nom de Terpandro PoliteioModèle:Sfn. En 1716, il est fait Cavaliere, titre de noblesse attribué par le pape Clément XIModèle:Sfn.
Après avoir visité Venise et Urbino en 1707, il reprend sa charge à Naples en 1708, et y reste jusqu'en 1717. À partir de ce moment-là, Naples semble se lasser de sa musique ; les Romains l'appréciaient mieux, et c'est au Teatro Capranica de Rome qu'il produisit ses meilleurs opéras (Telemaco, 1718 ; Marco Attilio Regoló, 1719 ; Griselda, 1721), quelques intermèdes pleins de verve comiqueModèle:Sfn, ainsi que de remarquables œuvres de musique religieuse, parmi lesquelles une messe pour chœur et orchestre, composée en l'honneur de sainte Cécile pour le cardinal Acquaviva en 1720. Sa dernière œuvre de grande envergure est une sérénade pour le mariage du prince de Stigliano, Erminia (1723). Au conservatoire, il forme Della Ciaja, Cotumacci, Geminiani, Mancini et Zipoli.
Il meurt à Naples et est inhumé dans une chapelle de l'église Santa Maria di Montesanto de Naples. Le Modèle:Date-, six jours après sa mort, la Gazzetta di Napoli publie une courte notice nécrologiqueModèle:Sfn.
Œuvre
Pour présenter d'une phrase l'œuvre du compositeur, il faut citer son premier biographe, le musicologue Edward Dent qui écrivait, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : Modèle:TraductionModèle:Sfn. Dent poursuit ainsi : Modèle:Citation
De son temps déjà, Sébastien de Brossard note dans le catalogue de sa collection de musique, en 1724Modèle:Sfn : cette œuvre Modèle:Citation.
Bien que les dictionnaires tombent d'accord pour faire l'éloge du musicien, la considération n'est pas à la mesureModèle:Sfn. L’éclectisme du compositeur est presque impossible à jauger, tant il est peu joué, peu enregistré et peu monté à la scène au regard de l'étendue de son œuvre (environ Modèle:Unité) et de son importance historique. Le compositeur laisse 70 opéras conservés sur 115 écrits, au moins 620 cantates de chambre, environ 25 serenate, 30 oratorios retrouvés sur 38, une centaine de motets, 10 messes, une quarantaine d'œuvres liturgiques… Des œuvres pour clavier (clavecin ou orgue) composées sur ses vieux jours, ainsi que des quatuors avec flûte, une douzaine de sinfonias avec flûte et six concerti grossi.
Opéras
Modèle:Article détaillé La musique de Scarlatti forme un lien très important entre la tentative de « musique nouvelle » du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et l'école classique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui culmine avec Mozart. Ses premiers opéras (Gli equivoci nel sembiante (1679) ; L'honestà negli amori (1680) ; Il Pompeo (1683), contenant les airs célèbres O cessate di piagarmi et Toglietemi la vita ancor, et d'autres jusqu'en 1685 environ) utilisent encore les cadences anciennes dans leur récitatifs et une très grande variété de formes très construites dans leurs charmantes petites arias, parfois accompagnées par un quatuor à cordes, traitées avec une élaboration soignée, parfois accompagnées du seul clavecin.
Depuis 1697 environ et avant La caduta de' Decemviri, peut-être sous l'influence du style de Giovanni Bononcini et probablement encore plus de celle du goût du vice-roi, ses opéras deviennent plus conventionnels et communs du point de vue du rythme, cependant que son écriture devient plus rude, non sans éclat cependant (Eracles, 1700). Les hautbois et les trompettes sont fréquemment utilisés, les violons jouent souvent à l'unisson. Les opéras composés pour Ferdinand de Médicis sont perdus. Peut-être auraient-ils donné une idée plus positive de son style : sa correspondance avec le prince montre qu'ils sont composés avec une sincère inspiration.
Il Mitridate Eupatore, considérée comme son œuvre maîtresse, composée à Venise en 1707, contient une musique très en avance par rapport à ce que Scarlatti avait écrit pour Naples, à la fois techniquement et intellectuellement. Les derniers opéras napolitains — L'Amor volubile e tiranno, 1700 ; La Principessa fedele, 1712 ; Tigrane, 1715Modèle:Etc. — sont plus ostentatoires et efficaces que d'une profonde émotion. L'instrumentation marque une grande avancée par rapport aux œuvres antérieures, la voix étant principalement accompagnée par le quatuor à cordes, le clavecin étant réservé exclusivement aux ritournelles instrumentales bruyantes. C'est dans l'opéra Teodora, dès 1697, qu'est initié l'emploi du ritornello par l'orchestre.
Son dernier groupe d'opéras, composés pour Rome, montre un sens poétique plus profond, un large et digne style de mélodie, un fort sens dramatique, particulièrement dans les récitatifs accompagnés, une technique qu'il est le premier à utiliser dès 1686 (Olimpia vendicata) et un style beaucoup plus moderne d'orchestration, les cors apparaissant pour la première fois et sont traités avec des effets saisissants. Il trionfo dell'onore (1718) son seul opéra comique et chef-d'œuvre du genre qui, les années suivantes, deviendrait prédilection des compositeurs de la nouvelle génération tels Leonardo Leo et Leonardo VinciModèle:Sfn et Griselda (1721), enjambent Modèle:CitationModèle:Sfn.
Oratorios et cantates
En plus des opéras, Scarlatti compose des oratorios : Agar et Ismaele esiliati (1684) ; Oratorio de Noël (Modèle:Circa 1705) ; San Filippo Neri (1714) parmi d'autres, et des serenate, qui montrent tous un style similaire. Il écrit près de huit-cent-vingt cantates de chambre pour voix soliste (dont 620 attribuées avec certitude — mais des centaines pourraient s'y ajouter en raison de nouvelles découvertes de sources inconnues qui s'ajoutent régulièrementModèle:Sfn), un des genres musicaux préférés de la noblesse de l’époque. Aucun compositeur de son temps n'en a produit autant. Elles représentent la musique de chambre la plus intellectuelle de cette période. On peut regretter qu'elles soient restées à ce jour à l'état de manuscrits, car une étude attentive de ces dernières est indispensable à qui veut se former une idée de l'évolution de Scarlatti.
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Abraham chasse Agar et Ismaël par Pieter Lastman (1612)
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Incipit de la cantate Clori mia, Clori bella
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Dernière page de la cantate Clori vezzosa e bella
Musique sacrée
Scarlatti est largement considéré de son temps comme un compositeur de musique sacrée et de cantatesModèle:Sfn. Ce Scarlatti-là n'est aujourd'hui pas encore réhabilité ni même considéré à mesure de l'importance du corpus : dix messes, 114 motets (dont six Dixit Dominus, cinq Salve Regina, l'un des trois Stabat Mater [I]), des Lamentazioni per la settimana santa, Il primo omicidioModèle:Etc. Le compositeur est un éclectique. Il est aussi à l'aise dans le style antico de la polyphonie traditionnelle que dans la rhétorique baroque des affetti. Ainsi différents styles opposés agissent en parallèle dans son œuvreModèle:Sfn.
La dizaine de messes retrouvées (l'idée qu'il en aurait composé deux cents est peu crédible) et la musique religieuse en général sont comparativement de moindre importance, à l'exception de la grande Messe de Sainte Cécile (1720), qui est l'une des premières tentatives dans le style, prophétisant HaydnModèle:Sfn et atteignant des sommets dans les grandes messes de Jean-Sébastien Bach et Ludwig van Beethoven.
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Première page d'une copie du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle du Salve Regina [II] (Munich, Bayerische Staatsbibliothek, Mus. Ms. 652)
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Colantonio, Deposizione, 1455-60, Musée de Capodimonte
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Bernardo Cavallino, Santa Cecilia in estasi, 1645, Musée de Capodimonte
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Jérémie se lamentant sur la destruction de Jérusalem, Rembrandt
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Abel et Caïn par Pierre Paul Rubens (vers 1609)
Musique instrumentale
Modèle:Article détaillé Modèle:Infobox Liste de fichiers L'intérêt et l'importance des œuvres instrumentales de Scarlatti sont proportionnels à leur nombreModèle:Sfn : Modèle:CitationModèle:Sfn.
Sa musique pour clavier comporte un recueil de 7 toccatas pour clavecin dans un but explicitement pédagogique — la première est entièrement doigtée par le compositeur, ce qui en fait un document précieux pour la technique du clavier baroqueModèle:Sfn. On connaît aussi une longue Toccata nel primo tono (v. 1710) qui se termine par 29 variations sur La Follia.
Bien qu'intéressante, sa musique instrumentale semble d'une écriture très ancienne en comparaison de ses œuvres vocales de la même époque, mais Modèle:CitationModèle:Sfn. Il est pourtant l'un des premiers napolitains à développer le répertoire quasi inexistant avant luiModèle:Sfn. La valeur et la qualité de sa production de musique instrumentale réside dans l'architecture et l'intensité lyrique. Ses 12 Sinfonie di concerto grosso datées de 1715, sont écrites au sommet de sa carrière ; et d'un style corellien (opus 6), ses Six Concerti grossi, publiés à Londres en 1740, sont les plus connus.
Hommages
Le conservatoire de Palerme fondé en 1617 sous le nom d’orphelinat du bon pasteur (Buon Pastore) et anciennement Conservatoire Vincenzo Bellini depuis la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, a été renommé Conservatoire Alessandro Scarlatti, depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Discographie
Œuvres instrumentales
- Œuvres pour clavier
- Toccate per cembalo - Rinaldo Alessandrini, clavecin Franciscus Debbonis 1678 (8-Modèle:Date-, Arcana A 3 / A 323)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Sophie Roughol d'un « 8 » dans le magazine Répertoire Modèle:N° et de « ƒƒƒ » dans Télérama Modèle:N°, 13 mai 1992.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- L'Œuvre pour clavier, vol. 2 - Alexander Weimann, orgue Église Très Saint Rédempteur, Montréal (25-27 avril 2007, 2 CD Atma ACD2 2528) Modèle:OCLC
- Opera omnia per tastiera, volumes I à V : Œuvres pour orgue (vol. III et V) et clavecin - Francesco Tasini, orgue Antonio Sangalli 1854 de l'église San Paolo de Plaisance et clavecin anonyme du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de Ferrare (Modèle:Date-, Modèle:Date-, Modèle:Date-, Modèle:Date-, 5CD Tactus TC 661911/12/13/14/15) Modèle:OCLC
- Œuvres de chambre
- Sette Sonate (Concerti) per flauto, violini, viola e basso - Camerata Koln (22-Modèle:Date-, CPO 999 619-2)
- 3 sonates pour violoncelle (et Gabrielli) - Guadalupe López-Iñiguez, violoncelle (Modèle:Date-/Modèle:Date-, SACD Alba ABCD 412)
- Œuvres pour orchestre et concertos
- 12 Sinfonie di concerto grosso - Corina Marti, flûte à bec ; Ann Allen, flûte à bec II (1 et 5) et hautbois (4) ; Giuseppe Frau, trompette (2) ; Alexandra Nigito, clavecin ; Capella Tiberina, concertmaster Paolo Perrone (2014, 2CD Brilliant Classics 94658)<ref>Modèle:Lien web.</ref> Modèle:OCLC
- Concerti grossi et Sonates pour violoncelle - Accademia Bizantina, dir. Ottavio Dantone (Modèle:Date-, SACD Arts Music 47758-8)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un « 9 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°.</ref> Modèle:OCLC
- Concerti e sinfonie - Europa Galante, dir. Fabio Biondi (5-Modèle:Date-, Virgin 5 45495 2)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Denis Wolff d'un « 9 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°, juillet 2002, Modèle:P. ; et d'un Diapason d'or Modèle:N°, juin 2002.</ref> Modèle:OCLC — avec trois sinfonia de Domenico Scarlatti
- Ouvertures d'opéra [5] et Concertos grossos à sept parties Modèle:Numéros - Concerto de’ Cavalieri, dir. Marcello Di Lisa (Modèle:Date-, Deutsche Harmonia Mundi 88985370012)
Œuvres vocales
Œuvres sacrées
- Passio secundum Joannem (« Passion selon saint-Jean ») - René Jacobs, contreténor (Testo, évangéliste) ; Kurt Widmer, baryton (Christus) ; Graham Pushee, basse (Pilatus) ; Die Basler Madrigalisten (dir. Fritz Näf) ; cordes de la Scola cantorum Basiliensis (21-Modèle:Date-, DHM 757617-2) Modèle:OCLC, Modèle:OCLC
- Dixit Dominus [IV] - Nancy Argenta, soprano ; Cantherine Denley, contralto ; Ashley Stafford, alto ; Stenphen Varcoe, basse ; Chœur et The English Concert, dir. Trevor Pinnock (Modèle:Date-, Archiv 423 386-2) Modèle:OCLC — avec le Gloria RV. 589 de Vivaldi
- Stabat Mater [I], Salve Regina [V] - Véronique Diestchy, soprano ; Alain Zaepffel, contreténor ; Ensemble Gradiva (7-Modèle:Date-, Adda 581048 / Accord)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un « Choc » du magazine Le Monde de la musique et de « 4 clés » dans Diapason.</ref> Modèle:OCLC
- Lamentazioni per la settimana santa - Christina Miatello, soprano ; Ensemble Aurora, dir. Enrico Gatti (Modèle:Date-, 2CD Glossa)
- Lamentazioni per la settimana santa - Le parlement de musique, dir. Martin Gester (1-Modèle:Date-, Opus 111 OPS 30-66)
- Motets : Infirmata vulnerata, De tenebroso lacu, Salve Regina [V], Totus amore languens - Véronique Gens, soprano ; Gérard Lesne, alto ; Il Seminario Musicale (1993, Virgin 5 45103 2)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Michel Laizé d'un « 10 » dans le magazine Répertoire Modèle:N° ; Denis Morrier attribue un Diapason d'or Modèle:N°, janvier 1994, Modèle:P. et de « ƒƒƒƒ » dans Télérama Modèle:N°, janvier 1995.</ref> Modèle:OCLC
- Stabat Mater [I] - Gemma Bertagnolli, soprano ; Sara Mingardo, contralto ; Concerto Italiano, dir. Rinaldo Alessandrini (1998, Opus 111 30-160 / Naïve OP30441)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Laurent Campellone d'un « 10 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°, novembre 1998 Modèle:P..</ref> Modèle:OCLC — avec Pergolèse
- Dixit Dominus [II] ; Madrigali ; Magnificat - Concerto italiano : Anna Simboli & Elisabetta Tiso, sopranos ; Paolo Costa, alto ; Gianluca Ferrarini, ténor ; Sergio Foresti, basse ; Ignazio Schifani, orgue et clavecin ; Eduardo Eguez, chitarrone ; dir. Rinaldo Alessandrini (Modèle:Date-, Naïve OP 30350) Modèle:OCLC
- Stabat Mater [I] ; Salve Regina [III] et Quæ est ista - Sandrine Piau, Gérard Lesne, Jean-François Novelli ; Il Seminario Musicale (1999, Virgin 5 45366 2)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un Diapason d'or Modèle:N°, avril 2000 ; et d'un « Recommandé » dans Classica.</ref> Modèle:OCLC
- Magnificat ; Dixit Dominus [II] et Madrigali (Sdegno la fiamma estinse ; Mori, mi dici ; O selce, o tigre, o ninfa ; O morte ; Arsi un tempo) - Concerto Italiano, dir. Rinaldo Alessandrini (Modèle:Date-, Naïve) Modèle:OCLC
- Missa breve, e concertata a cinque voci ; motets : Ad Dominum dum tribularer ; Justitiae Domini ; Exsurge Domine ; Exaltabo te Domine ; Domine in auxilium meum ; Exultate Deo - The Choir of Christ's College, Cambridge, dir. David Rowland (16-17 mars 2008, Regent REGCD283)
- Missa Defunctorum ; Magnificat [II] ; Miserere ; Salve Regina [II] - Ensemble Odhecaton, dir. Paolo Da Col (5-Modèle:Date-, Arcana)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un « Choc » dans le magazine Classica.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:OCLC
- Passio secundum Joannem (« Passion selon saint-Jean ») - Giuseppina Bridelli, mezzo-soprano (Testo) ; Salvo Vitale, basse (Christus) ; Guillaume Houcke, contreténor (Pilatus) ; Millenium orchestra et Chœur de chambre de Namur, dir. Leonardo García Alarcón (Modèle:Date-, Ricercar RIC378)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Sophie Roughol de « 5 clés » dans le magazine Diapason Modèle:N°, mai 2017 ; par Jérémie Bigorie d'un « choc » dans Classica Modèle:N°, mai 2017.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Répons du samedi saint [Florence, 1708] ; Toccata et fugue en ré mineur - Carlo Steno Rossi, orgue ; La Stagione armonica, dir. Sergio Balestracci (26-Modèle:Date- et Modèle:Date-, DHM G010003825634X) Modèle:OCLC
Oratorios
- L'Assunzione della Beata Vergine (oratorio per l'assunzione della Beatissima Vergine) - Aurora Pena (Sposa), Béatrice Gobin (Sposo), Mélodie Ruvio (L'Amore), Matthieu Peyrègne (L'Eternità), Ensemble Baroque de Monaco dir. Matthieu Peyrègne (Modèle:Date-, Paraty) 5 Diapasons.
- La Colpa, Il Pentimento, la Grazia (oratorio per la Passione di Nostro Signore Gesù Cristo) - Mechthild Bach (la Colpa), Petra Geitner (la Grazia) ; La Stagione, dir. Michael Schneider (18-Modèle:Date-, 2CD Capriccio 10 411/12) Modèle:OCLC
- La Maddalena - Ensemble Europa Galante (1993, Opus 111 OPS 30–96)
- Humanità e Lucifero - Rossana Bertini, soprano ; Massimo Crispi, ténor ; Ensemble Europa Galante, dir./violon Fabio Biondi (Modèle:Date-, Opus 111 OPS 30–129 / Naïve) Modèle:OCLC Modèle:Lire en ligneModèle:Pdf
- La Giuditta (3 voix) - Rosita Frisani (Giuditta) ; Mario Nuvoli (Oloferne), Marco Lazzara (Nutrice) ; Alessandro Stradella Consort, dir. Estevan Velardi (1995, Bongiovanni GB2197-2) Modèle:OCLC
- Il primo omicidio - Dorothea Röschmann, Graciela Oddone, Richard Croft, René Jacobs, Bernarda Fink, Antonio Abete ; Akademie für alte Musik Berlin, dir. René Jacobs (1998, Harmonia Mundi HMC 901 649.50)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un Diapason d'or Modèle:N°, octobre 1998.</ref>
- Il Sedecia, re di Gerusalemme - Gérard Lesne (Sedecia) ; Virginie Pochon (Anna) ; Philippe Jaroussky (Ismaele) ; Peter Harvey (Nabucco) ; Mark Padmore (Nadabbe) ; Il Seminario Musicale (2-Modèle:Date-, 2CD Virgin 5 45452 2 / Warner)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un « 10 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°.</ref> Modèle:OCLC
- Il martirio di santa Cecilia - Nancy Argenta, Marinella Pennicchi, Bernhard Landauer, Marco Beasley ; I Barocchisti, dir. Diego Fasolis (Modèle:Date-, CPO 777258-2) Modèle:OCLC
- Oratorio per la Santissima Trinità - Roberta Invernizzi, Véronique Gens, sopranos ; Vivica Genaux, mezzo-soprano ; Paul Agnew, ténor ; Roberto Abbondanza, basse ; Europa Galante, dir. Fabio Biondi (14-Modèle:Date-, Virgin Classics 5 45666 2 / 628647 2 / Warner/Erato)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Sophie Roughol d'un « 8 » dans le magazine Classica-Répertoire Modèle:N°, juillet 2004, Modèle:P..</ref>
- La Giuditta (5 voix) - Céline Ricci, Adriana Fernandez, Martin Oro Mario Cecchetti, Bruno Rostand ; Le parlement de musique, dir. Martin Gester (Modèle:Date-, Ambronay AMY004)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Olivier Rouvière de « 5 clés » dans le magazine Diapason Modèle:N°, mars 2006, Modèle:P..</ref>
- Il martirio di Santa Teodosia - Emmanuelle de Negri, soprano (Teodosia) ; Emiliano Gonzalez Toro, ténor (Arsenio) ; Renato Dolcini, basse (Urbano) ; Anthéa Pichanick, contralto (Decio) ; Les Accents, dir. Thibault Noally (9-12 septembre 2019, Aparté). Diapason d'or
Cantates
- Cantates de chambre : Cantata pastorale per la natività di Nostro Signore Gesù Cristo ; Là dove a Mergellina H.356 ; Quella pace gradita H.610 ; Hor che di Febo H.511 - Nancy Argenta, Chandos Baroque Players (Modèle:Date-, EMI 7 541176 2)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Annette Lauth d'un « 9 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°.</ref> Modèle:OCLC
- Cantate e duetti : Ammore, brutto figlio de pottana ; Sovente Amor mi chiama ; Son pur care le catene ; Clori mia, Clori bella ; Dimmi crudele, e quando - Cristina Miatello, soprano ; Claudio Cavina, alto ; Giampaolo Fagotto, rénor ; Concerto Italiano, dir. Rinaldo Alessandrini (8-Modèle:Date-, Tactus 661901 / dans « Cantates » 3CD Brilliant Classics) Modèle:OCLC
- Cantates : Marc’Antonio e Cleopatra (H.121) ; E pur vuole il cielo e amore (H.233) ; Filli che esprime la sua fede a Fileno (H.263) ; Clori e Mirtillo (H.419) ; Ero e Leandro (H.379) ; Questo silenzio ombroso (H.616) - Gérard Lesne ; Sandrine Piau ; Il Seminario Musicale (18-Modèle:Date-, Virgin 5 45126 2)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Sophie Roughol d'un « 8 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°.</ref>
- Abramo, il tuo sembiante, cantate per la notte di Natale - Concerto italiano, dir. Rinaldo Alessandrini (Modèle:Date-, Opus 111 OPS30-156)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Sylvain Gasser d'un « 10 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°.</ref> Modèle:OCLC — avec un concerto grosso de Corelli « per il la notte di Natale ».
- Inferno : cantate drammatiche. Già lusingato appieno ; Notte ch'in carro d'ombre (H.480) ; Il Nerone (H.343) ; L'Orfeo (H.173) - Elisabeth Scholl, soprano ; Ensemble Modo Antiquo, dir. Federico Maria Sardelli (16-Modèle:Date-, CPO 777 141-2) Modèle:OCLC
- Cantates et concertos pour flûte à bec : Bella dama di nome santa (H.743), Ardo è ver per te d'amore (H.62), Quella pace gradita (H.610) - Roberta Invernizzi, soprano ; Collegium Pro Musica (12-Modèle:Date-, Brilliant Classics) — avec les concertos pour flûte Modèle:Numéros
Serenate
- Il giardino d'amore - Clemencic Consort, dir. René Clemencic (13-Modèle:Date-, Accord 465 943-2)<ref>Lors de sa sortie et de sa réédition, ce disque a été distingué d'un « 9 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°.</ref>
- Il giardino di rose, sinfonie et concertos pour clavecin - Accademia Bizantina, dir./clavecin Ottavio Dantone (2003, SACD Decca 470 650-2)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Sophie Roughol d'un « 7 » dans le magazine Classica-Répertoire Modèle:N°, avril 2004, Modèle:P. et par Jacques Amblard de « 4 étoiles » dans Le Monde de la musique Modèle:N°, avril 2004, Modèle:P..</ref> Modèle:OCLC
- Venere, Amore e Ragione - Veronica Lima (Venere), Gabriella Costa (Amore), Elena Biscuola (Ragione) ; Orchestre baroque les Élements, dir. Piero Cartosio (27-Modèle:Date-, La Bottega Discantica 209) Modèle:OCLC
- Serenata à Filli* et Le Muse Urania e Clio Lodano le bellezze di Filli° - Emanuela Galli, soprano (Fileno* et Sole°) ; Yetzabel Arias Fernández, soprano (Niso* et Urania°) ; Martín Oro, alto (Doralbo* et Clio°) ; La Risonanza, Fabio Bonizzoni, clavecin et direction (Modèle:Date-, Glossa) Modèle:OCLC
- La gloria di primavera - Diana Moore, Suzana Ograjensek, Nicholas Phan, Clint van der Linde, Douglas Williams ; Philharmonia Baroque Orchestra, dir. Nicholas McGegan (concert, Berkeley, 4-6 et Modèle:Date-, 2CD Philharmonia Baroque Productions PBP09) Modèle:OCLC
Opéras
- Griselda - Dorothea Röschmann, Lawrence Zazzo, Verónica Cangemi, Bernarda Fink, Silvia Tro Santafe, Kobie van Rensburg ; Akademie für alte Musik Berlin, dir. René Jacobs (2007, 3CD Harmonia Mundi HMC 901805.07)<ref>Lors de sa sortie ce disque a été distingué d'un « 10 » dans le magazine Répertoire Modèle:N°, Modèle:P. et par Emmanuel Dupuis d'un Diapason d'or, Modèle:N°, octobre 2003, Modèle:P..</ref> Modèle:OCLC
- Carlo re d'Allemagna - Romina Basso, Lotario ; Roberta Invernizzi, Giuditta ; Marina de Liso, Gildippe ; Marianne Beate Kielland, Adalgiso ; Carlo Allemano, Berardo ; Josè Maria Lo Monaco, Asprando ; Damiana Pinti, Armilla ; Roberto Abbodanza, Bleso ; Orchestre symphonique de Stavanger, dir. Fabio Biondi (Modèle:Date--Modèle:Date-, 3 CD Agogique AGO015)<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:OCLC
Récital d'arias
- Opera probita, arias d'Oratorios : Modèle:Citation étrangère et Modèle:Citation étrangère et Modèle:Citation étrangère et Modèle:Citation étrangère - Cecilia Bartoli, Les Musiciens du Louvre, dir. Marc Minkowski (2005, Decca 475 6924)<ref>Modèle:Lien web.</ref> — avec d'autres arias de Haendel et Caldara des premières années du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Arie et sinfonie, ext. de Marco Attilio Regolo, Telemaco, Griselda, Tigrane, Carlo re d'Allemagna, Il Cambise - Daniela Barcellona, contralto. Concerto de’ Cavalieri, dir. Marcello Di Lisa (23 au Modèle:Date-, Deutsche Harmonia Mundi 88697842162)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Con eco d'amore, arias extraites de cantates et d'opéras : Griselda, Mitridate Eupatore, Tigrane, La Statira, Scipione nelle Spagne - Elizabeth Watts, soprano ; The English Concert, dir. Laurence Cummings (Modèle:Date-, SACD Harmonia Mundi HMU 807574) Modèle:OCLC
Notes et références
Notes
Références
Bibliographie
Correspondance et écrits pédagogiques
- Modèle:OuvrageModèle:Plume
- Recole per principianti (vers 1715) dans les manuscrits des toccatas
- Discorso di musica sopra un caso particolare in arte (manuscrit, Naples 1717)
Biographie
- Modèle:OuvrageModèle:Plume
- Modèle:Ouvrage — biographie : Pagano ; Catalogue : Rostirolla [lettre « R » ou Ros].
- Modèle:OuvrageModèle:Plume
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article
Articles et chapitres
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Encyclopédie Treccani Modèle:Plume
- Roland Mancini, « Scarlatti (Alessandro) », dans Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Chapitre Modèle:Plume
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
- Modèle:Chapitre.
- Modèle:GroveOnline
- Modèle:Article Modèle:Plume
Études de l'œuvre
- Modèle:Ouvrage — Catalogue analytique des cantates, dans l'ordre alphabétique des titres, noté avec la lettre « H »Modèle:Plume
- Modèle:Article
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
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- Modèle:OuvrageModèle:Plume
- Modèle:Article
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- Modèle:OuvrageModèle:Plume
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![Première page d'une copie du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle du Salve Regina [II] (Munich, Bayerische Staatsbibliothek, Mus. Ms. 652)](/index.php/Fichier:Save_Regina_(II)_R.528.10_-_Alessandro_Scarlatti_(Munich,_Ms._652).png){kind=link}
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