Angelo Mariani (pharmacien)
Modèle:Homon Modèle:Infobox Scientifique Ange François Mariani, dit « Angelo Mariani », né le Modèle:Date à Pero-Casevecchie (Corse) et mort le Modèle:Date à Saint-Raphaël (Var), est un préparateur en pharmacie, industriel, bibliophile, mécène et philanthrope français, inventeur du vin Mariani à la coca du Pérou popularisé par l'album Mariani.
Biographie
Ange-François Mariani naît le Modèle:Date pendant la monarchie de Juillet dans le village de Pero-Casevecchie situé dans l'ancien canton du même nom issu depuis 1833 de la piève de la Tavagna. Aîné d'une fratrie de sept enfants, il est le fils de François-Xavier Mariani (1810-1875) et de Sophie Sébastiani (1821-1804)Modèle:Sfn dont la famille est apparentée à la famille ConneauModèle:Sfn. Son père, apothicaire du bourg, ouvre, en 1847 à Bastia, une pharmacie dans laquelle le jeune homme fait ses premières armesModèle:Sfn.
Au début des années 1860, il quitte la Corse pour faire ses études de pharmacie à ParisModèle:Sfn. Il est tout d'abord préparateur chez Chantrel, rue de Clichy puis dans une officine du boulevard Saint-Germain, en face de la Faculté, la pharmacie Mondet rue de Grenelle. Il est notamment responsable des toniques à base de quinquinaModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Il s'installe à Bois-Colombes, à proximité de la rue de Clichy, puis emménage dans un petit appartement de la rue Vaneau, plus proche de Saint-GermainModèle:Sfn. Il épouse, en 1870<ref>Les bans sont publiés le 24 juillet 1870 : Modèle:Lien web.</ref>, Marie Anne Philiberte Paulmier (1847-1878) avec laquelle il a quatre enfants, André (1871-1878), Andrée (1874-1894) et Jacques (1875-1939). Il reste veuf jusqu'à la fin de ses joursModèle:Sfn. Il achète, en 1873, sa pharmacie du boulevard Haussmann, s'installe 11 rue Scribe et acquiert des terrains à Neuilly-sur-Seine où il crée son usine, ses laboratoires, ses caves et ses serres. Il fait construire, en 1880, la « villa Andréa » dans la station de villégiature de Valescure à Saint-Raphaël sur la Côte d'Azur<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,Modèle:Sfn.
Il est parent de Xavier Paoli, un policier influent, qui l'aide par ses relations dans l'administration mais aussi pour ses contacts professionnels auprès de personnalités haut placées pour des appréciations favorables insérées dans l'Album Mariani.
Angelo Mariani meurt le Modèle:Date de décès pendant la Troisième République dans sa villa de ValescureModèle:Sfn. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise<ref>Modèle:Appl.</ref>.
Invention du vin Mariani
Mise au point du « vin de coca »
Passionné par les études de Paolo Mantegazza sur les effets de la plante de coca et celles d’Albert Niemann qui isole à partir de cette plante la forme cristalline de la cocaïne, Angelo Mariani met au point avec le docteur Pierre Fauvel (un des premiers médecins à utiliser la cocaïne pour ses propriétés anesthésiques), un « vin de coca »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'idée d'ajouter de la coca à du vin n'est pas nouvelle, bien que Mariani s'attribue par la suite un rôle de pionnierModèle:Sfn. En 1863, une cantatrice de l'Opéra, enrouée, vient à la pharmacie de la part de son laryngologue, le docteur Fauvel qui désire du « vin de coca », mais le jeune préparateur n'en a pas. Il va recueillir quelques gouttes de sa plus récente préparation, une infusion de trois variétés de feuilles de coca dans du vin de Bordeaux. La diva, après avoir goûté ce faible échantillon de « boisson tonique », prononce : Modèle:Citation.
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indicationDeLangue}} Portraits from Album Mariani, New York, Mariani and Company, 1893, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
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indicationDeLangue}} Portraits from Album Mariani, New York, Mariani and Company, 1893 (lire en ligne).</ref>.
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indicationDeLangue}} Portraits from Album Mariani, New York, Mariani and Company, 1893, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Production à l'échelle industrielle et internationale
Soucieux d'inventer sa propre spécialité afin d'assurer sa fortune<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, le jeune homme fait breveter la préparation qu’il baptise « Vin tonique Mariani à la coca du Pérou », bientôt connue sous le nom commercial de « vin Mariani ». La boisson est un énorme succès et lui vaut la célébrité dans toute l'Europe : prescrit avec succès pour combattre la grippe, le vin se targue de soigner les affections nerveuses, l'anémie, l'impuissance<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les ventes sont telles que Mariani ouvre sa propre pharmacie au 41, boulevard Haussmann puis fait élever dans les années 1880 au 10-12, rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine, une usine vouée à la transformation de la coca<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, le vin étant commercialisé dans une bouteille de Modèle:Unité : Modèle:Unité de feuilles de coca sont macérées dans de l'alcool (probablement du cognac), puis dans du vin de Bordeaux où est ajouté 6 % de sucre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Il se trouve rapidement à la tête d'une firme prospère dont l'empire commercial s'étend jusqu'à Londres et New YorkModèle:Sfn. Il expérimente dans ses serres de nouvelles techniques d'amélioration et d'acclimatation de la plante et fait bénéficier de ses découvertes les jardins botaniques du monde entier auxquels il adresse ses spécimensModèle:Sfn.
Le docteur William Golden Mortimer, fellow de l'Académie de médecine de New York, membre de la Société médicale du comté de New York, de l'Académie des sciences de New York, du musée américain d'histoire naturelle, ancien chirurgien assistant à l'Modèle:Lien, lui dédie le livre qu'il publie en 1901, Peru, history of coca, the divine plant of the Incas, car il partage la même passion de l'étude de la coca et il considère son confrère français comme un Modèle:Citation rompant l'énigme scientifique pour livrer à tous les qualités de la cocaModèle:Sfn. Mortimer décrit Mariani comme un homme de goût dont le bureau est décoré de tapisseries et de sculptures dont les motifs sont empruntés à la feuille et à la fleur de coca. La coca n'est pas simplement pour lui une source, immense, de richesse, il y puise aussi un art de vivreModèle:Sfn.
Publicité de son invention
Dans la presse
Modèle:Citation bloc Comme ses nombreux confrères, Mariani commence modestement, au début des années 1870Modèle:Sfn, par vanter les bienfaits de son tonique au moyen d'entrefilets de deux ou trois lignes dans les colonnes des quotidiens<ref>Modèle:Article {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k275081k/f3%7C{{ #if: bpt6k275081k/f3 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>, des revues mondaines et des magazines culturels<ref>Modèle:Article {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k12561200/f684%7C{{ #if: bpt6k12561200/f684 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>. La « réclame » se fait plus détaillée, cautionnée par le succès rencontré par le docteur Fauvel, dans les pages des publications médicales<ref>Modèle:Article {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9740797b/f427%7C{{ #if: bpt6k9740797b/f427 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>. Tout bascule lorsque Mariani fait appel en 1877 à Albert Robida, dessinateur à La Vie parisienneModèle:Sfn. Pendant plus de dix ans les bienfaits du vin Mariani sont annoncés sur des pages entières dans la presse.
- Le vin Mariani dans la presse
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L'Album Mariani
Le pape Léon XIII, qui a toujours une fiole avec lui en cas de nécessité, lui décerne une médaille « spéciale » en signe de son approbation officielle<ref>Michel Rosenzweig, Les Drogues dans l'histoire : entre remède et poison, De Boeck, 1998, Modèle:P..</ref>. C'est du moins ce que la publicité affirme. Mariani apparait en effet comme un précurseur de la vente sur catalogue, sur publicité identifiée ou rédactionnelle dont il systématise l'emploi, éditant entre 1894 et 1925 les témoignages enthousiastes de plus de 1 000 personnes illustres qui remplissent quatorze volumes de l'Album Mariani<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Drogue légale vendue aussi bien dans les pharmacies comme médicament que dans les bars comme apéritif, son vin contient entre 6 et Modèle:Unité de cocaïne dans chaque bouteille qui titre déjà 14 à 17° d'alcool. En France, la version cocaïnisée du vin Mariani est inscrite pour la première fois au Codex pharmaceutique en 1884 et reste autorisée jusqu'en 1910<ref name="Reymond">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Réclame pour le vin Mariani
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Affiche publicitaire pour la commercialisation du vin Mariani à l'étranger, lithographie de Jules Chéret, 1894.
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Page de réclame pour le vin Mariani, parue dans Paris-Noël 1901-1902, bibliothèque municipale de Bordeaux.
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Revue annuelle Paris-Noël 1901-1902, bibliothèque municipale de Bordeaux.
Témoignages publicitaires
Nombre de célébrités, plus d'un millier, politiques, médicales, littéraires, artistiques, vanteront le vin Mariani à la suite de leur biographie publiée dans les Figures contemporaines tirées de l'Album Mariani :
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Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc Modèle:Citation blocModèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc
Postérité
Son succès inspire la concurrence : différents produits similaires voient le jour, comme « la Coca des Incas » et le « Vin des Incas », par exemple. Il gagne une grande notoriété aux États-Unis lorsqu'il est donné en 1884 au président américain Ulysses S. Grant atteint d'un cancer de la gorge en phase terminale. L'administration par voie topique (locale) d'une solution de cocaïne ou l'ingestion du vin Mariani soulage ses souffrances et lui permet d'achever la rédaction de ses Mémoires. En 1885, le pharmacien John Pemberton à Atlanta aux États-Unis, s'inspire du vin Mariani et y ajoute des noix de kola, créant le Modèle:Langue<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, ancêtre du Coca-Cola qu'on connaît aujourd'hui sans alcool (à cause de la prohibition de 1886 dans l'État de Géorgie) et sans cocaïne (depuis 1906).
Ses héritiers arrêtent la production du vin dans les années 1950. Ils créent une nouvelle boisson appelée « Tonique Mariani » qui reste en vente dans les pharmacies jusqu'en 1963<ref name="Reymond"/>.
Critiques
Le premier cas moderne de dopage avéré remonte à 1865 : des nageurs à Amsterdam. À la même époque, le vin Mariani est conseillé aux sportifs et « aromatisé » avec des feuilles de coca.
Iconographie
Le musée Carnavalet conserve une statuette de Mariani réalisée par le sculpteur Théodore Rivière (S 1738) ainsi que plusieurs médailles d'Oscar Roty et de Louis-Eugène Mouchon portant l'effigie de Mariani ou vantant les propriétés du vin Mariani. Ces médailles font partie d'une collection rassemblée par Mariani et donnée par lui au musée en 1910.
Le département des Monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France possède plusieurs plaquettes illustrant le vin Mariani : Veni, bibi, vici. Vin Mariani à la coca<ref>Veni, bibi, vici. Vin Mariani à la coca - BnF.</ref>, L'Amour trempe ses flèches dans le vin Mariani<ref>L'Amour trempe ses flèches dans le vin Mariani - BnF.</ref>, Angelo Mariani, vulgarisateur de la coca<ref>Angelo Mariani, vulgarisateur de la coca - BnF.</ref>, La nymphe et l'Amour souffrant, allégorie du pouvoir régénérateur du Vin Mariani<ref>La nymphe et l'Amour souffrant, allégorie du pouvoir régénérateur du vin Mariani - BnF.</ref>.
Par ailleurs, de 1894 à 1925, les Figures contemporaines, tirées de L'Album Mariani sont éditées sous la direction de Joseph Uzanne en plusieurs volumes d'abord chez Flammarion puis chez Henri Floury, comprenant sur beau papier le portrait de Mariani, des publicités pour son vin, le tout associé aux personnalités du moment (avec pour chacune portrait gravé par un artiste, témoignage et autographe)<ref>Figures contemporaines, tirées de l'Album Mariani. - Volume 1 et suivant, Flammarion, sur Gallica.</ref>.
- Plaques et médailles
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Modèle:Citation, plaque de bronze de Louis-Eugène Mouchon (1905).
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Revers de la plaque : jeune femme péruvienne servant du vin Mariani à un vieil homme.
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Portrait d'Angelo Mariani, médaille d'Oscar Roty.
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La Nymphe et l'Amour souffrant, plaque d'Oscar Roty
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Modèle:Citation, plaque d'Oscar Roty pour le vin Mariani à la coca.
- Portraits photographiques et gravures
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Modèle:Citation, quatorzième volume des Figures contemporaines tirées de l'Album Mariani<ref>Angelo Mariani - Augustin Chiodetti, blog Corse images et histoires, 12 octobre 2017.</ref>
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indicationDeLangue}} Portraits from Album Mariani, New York, Mariani and Company, 1893. Ouvrage en anglais précédant la publication à partir de 1894 des quatorze volumes de l'Album en français, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
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lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.
Publications
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.Modèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage<ref>Modèle:Ouvrage.
- Premier volume (Paris, Flammarion, 1894, 240 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k206023v/f1%7C{{ #if: bpt6k206023v/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Deuxième volume (Paris, Floury, 1896, 241 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k206027c/f1%7C{{ #if: bpt6k206027c/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Troisième volume (ibid., 1897, 245 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k299357b/f1%7C{{ #if: bpt6k299357b/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Quatrième volume (ibid., 1899, 242 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2060247/f1%7C{{ #if: bpt6k2060247/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Cinquième volume (ibid., 1900, 250 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k406114m%7C{{ #if: bpt6k406114m |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Sixième volume (ibid., 1901, 244 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2060260/f1%7C{{ #if: bpt6k2060260/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Extraits du septième volume (1902) publiés dans le supplément illustré du Journal des débats du 14 juin 1902 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k480850x/f1%7C{{ #if: bpt6k480850x/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Huitième volume (Paris, Floury, 1903, 293 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k206025m/f1%7C{{ #if: bpt6k206025m/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Neuvième volume (ibid., 1904, 273 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k205989q%7C{{ #if: bpt6k205989q |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Dixième volume (ibid., 1906, 319 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k205990n/f1%7C{{ #if: bpt6k205990n/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Onzième volume (ibid., 1908, 316 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2059911/f1%7C{{ #if: bpt6k2059911/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Douzième volume (ibid., 1911, 330 p.) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k205992d%7C{{ #if: bpt6k205992d |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Extraits des treizième et quatorzième volumes (1913) publiés dans le supplément illustré du Temps du 13 janvier 1913 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k241100x/f1%7C{{ #if: bpt6k241100x/f1 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- Modèle:Chapitre.
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