Rue de Grenelle
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Voie de Paris La rue de Grenelle est située à Paris dans les 6e et 7e arrondissements.
Situation et accès
D'une longueur de Modèle:Unité, elle traverse les quartiers suivants : quartier Saint-Germain-des-Prés, Modèle:Numéros1-7 et 2-10 ; quartier Saint-Thomas-d'Aquin, Modèle:Numéros9-91 et 12-106 ; quartier des Invalides, Modèle:Numéros95-127 et 108-152 ; quartier du Gros-Caillou, Modèle:Numéros135-201 et 158-218. En sens unique, elle débute au carrefour de la Croix-Rouge et s'achève dans l'avenue de La Bourdonnais (quelques mètres avant le Champ-de-Mars auquel elle donne accès de fait puisque l'avenue n'est pas bâtie sur le carrefour).
Origine du nom
Elle porte ce nom car elle reliait Paris à l'ancien village de Grenelle, qui, lui-même, tenait son nom d'une garenne (garanella), appartenant à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, dont on a fait successivement « Garnelle », « Guarnelle », « Guernelles » et enfin « Grenelle ».
Historique
Dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle la rue existe en tant que chemin, appelé le « chemin Neuf », et est indiquée sur l'arpentage de 1529.
Elle est aussi mentionnée avec les noms de « chemin aux Vaches », « chemin de la Justice », « chemin du Gibet » ou « petit chemin du Port ».
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle prend de l'importance et les noms de « grand chemin des Vaches » ou « grand chemin de Garnelle ».
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle est dénommée « chemin de la Forest » ou « petit chemin de Grenelle ». Enfin, on l'a plus tard désignée sous les noms de « rue Garanella », « chemin de Guarnelles » ou « rue de Guernelles ».
Elle est citée sous le nom de « rue de Grenelle » dans un manuscrit de 1636.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, une partie de la rue est appelée « rue de Grenelle-Saint-Germain » et l'autre partie « rue de Grenelle-Gros-Caillou ». Chacune a un numérotage particulier.
En vertu d'un arrêté préfectoral du Modèle:Date-, ces deux parties sont réunies sous la seule et même dénomination de « rue de Grenelle-Saint-Germain », avec un nouveau numérotage.
Le 11 mars 1918, durant la Première Guerre mondiale, le no 18 de la rue de Grenelle est touché lors d'un raid effectué par des avions allemands<ref>Exelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute.</ref>.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- Modèle:Numéro avec majuscule : emplacement de la première boutique de Sonia Rykiel ouverte en mai 1968<ref>Philippe Dufay, « Que faisaient-elles en Mai 68 ? », Madame Figaro, 12 avril 2008.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : dernier domicile et lieu de décès du sculpteur français César (1921-1998) ; une plaque lui rend hommage.
- Modèle:Numéro avec majuscule : domicile de Charles Merveilleux du Vignaux durant ses études supérieures<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule11 : emplacement des Éditions Fasquelle, fondées en 1896.
- Modèle:Numéro avec majuscule15 : hôtel de Bérulle, construit en 1775-1776 par Claude-Pierre Convers pour Amable-Pierre-Thomas de Bérulle. Louis Aragon y a tenu le Bureau de recherches surréalistes entre 1924 et 1925.
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Plaque au no 9.
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Modèle:Numéro avec majuscule15 : l'hôtel de Bérulle.
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Modèle:Numéro avec majuscule36 : À la petite chaise (1890), dessin de Jules-Adolphe Chauvet.
- Modèle:Numéro avec majuscule36 : façade À la petite chaise, restaurant ouvert depuis 1700, bâtiment classé ; dans la cour, siège de la Conférence Olivaint, doyenne des associations étudiantes de France, local légué par Robert Schuman.
- Modèle:Numéro avec majuscule38 : boutique du chausseur Christian Louboutin.
- Modèle:Numéro avec majuscule42 : Centre Saint-Guillaume.
- Modèle:Numéro avec majuscule44 : lycée Saint-Thomas-d'Aquin.
- Modèle:Numéro avec majuscule45 : lieu de naissance du compositeur Vincent d'Indy le Modèle:Date-<ref>Vincent d'Indy</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule : immeuble construit par Denis Honegger dans lequel se trouve une des entrées de l'allée du Beau-Passage<ref>Modèle:Article</ref>.
- Entre les Modèle:Numéros57 et 59 : la Fontaine des Quatre-Saisons construite en 1739-1745 par le sculpteur Edmé Bouchardon, dans le style néo-palladien.
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La Fontaine des Quatre-Saisons, dessin de 1789.
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La Fontaine des Quatre-Saisons, dessin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
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La Fontaine des Quatre-Saisons en 2012.
- Modèle:Numéro avec majuscule59 : Alfred de Musset passe presque toute sa vie d'écrivain dans cet hôtel, jusqu'en 1839, date à laquelle il entreprend, avec George Sand, son voyage à Venise<ref>Paris. Guide bleu, Hachette livre, 1988.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule59-61 : le musée Maillol, ouvert par la fondation Dina Vierny et consacré à Aristide Maillol, dans lequel se déroule régulièrement des expositions d'autres artistes.
- Modèle:Numéro avec majuscule73 : hôtel de Galliffet, construit en cœur d'îlot à partir de 1784 par Étienne-François Le Grand pour Simon de Galliffet (aujourd'hui Institut culturel italien<ref>Présentation de l'hôtel de Galliffet sur le site de l'Institut culturel italien, www.iicparigi.esteri.it.</ref>).
- Modèle:Numéro avec majuscule75 : hôtel de Furstenberg, construit en 1687-1693 par Pierre Delisle-Mansart.
- Modèle:Numéro avec majuscule77 : hôtel construit par l'architecte du Roi Pierre Lemaistre, acquis en 1708 par Charles de La Mothe-Houdancourt et son épouse Élisabeth de la Vergne du Cressan. Leur fils Louis Charles en hérite. Des travaux ont lieu entre 1773 et 1775. L'hôtel est vendu au duc de l'Infantado en 1778 puis à la gouvernante des enfants du comte d'Artois, Adélaïde-Luce-Madeleine de Galard de Béarn, veuve du comte de Mussidan Bertrand de Caumont. En 1808, Henriette-Louise d’Argouges, veuve d'Antoine-Philippe de La Trémoille, l'acquiert. En 1883, il passe à la société immobilière de Grenelle et devient un établissement secondaire privé catholique : l'école de filles Saint-Nicolas puis l'école mixte Sainte-Clotilde<ref>« Historique », ecole-sainte-clotilde.org, consulté le 17 août 2023.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule79 : hôtel d'Estrées, construit en 1711-1713 par Robert de Cotte (1656-1735), architecte du roi pour Madeleine-Diane de Bautru de Vaubrun, veuve du duc d'Estrées, anciennement ambassade de Russie en France (aujourd'hui résidence de l'ambassadeur de Russie)<ref>Le 79, rue de Grenelle par le photographe Eugène Atget sur bibliotheque-numerique.inha.fr.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule81 : Didier Faure-Beaulieu, directeur de cabinet du directeur général du SDECE (ancienne DGSE), a vécu dans cet hôtel particulier<ref name=notin>Modèle:Ouvrage.</ref>. La légende veut qu'il ait autorisé les équipes du SDECE à percer le mur mitoyen pour écouter les diplomates de l'ambassade de Russie en France, auparavant sise au no 79<ref name=notin/>. Pierre Daru, comte d'Empire et ministre chargé de l'administration de la guerre, en a été propriétaire.
- Modèle:Numéro avec majuscule83 : hôtel de Monceaux, dit aussi de Bonneval, construit en 1672 par l'architecte Jean Marot.
- Modèle:Numéro avec majuscule84 : siège de la Société nationale d'horticulture de France et du Nouveau Centre<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule85 et 87 : les hôtels d'Avaray et de Beauffremont (ou d'Orrouer) disposent de cadrans solaires notables. Le premier, construit en 1720 par Jean-Baptiste Leroux (aujourd'hui résidence de l'ambassadeur des Pays-Bas<ref>Histoire de l'hôtel d'Avaray sur le site de l'ambassade des Pays-Bas, www.amb-pays-bas.fr.</ref>). Le couturier Hubert de Givenchy vivait dans le second<ref>Modèle:Article.</ref>, racheté par la suite par Xavier Niel<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Modèle:Numéros avec majuscule86 et 88 : l'hôtel du président Hénault et l'hôtel de Noaillac, construits par Pierre Delisle-Mansart.
- Modèle:Numéro avec majuscule90 : immeuble réalisé par l'architecte Henri Deglane en 1906<ref>« Henri Deglane », pss-archi.eu, consulté le 29 janvier 2021.</ref> et primé en 1908 au Concours de façades de la ville de Paris<ref>« Échos et nouvelles », Le Matin, Modèle:Date-, sur RetroNews.</ref>.
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Modèle:Numéro avec majuscule87, l'hôtel de Beauffremont.
- Modèle:Numéros avec majuscule97-99 : Conseil supérieur du gaz et de l'électricité. Siège du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes.
- Modèle:Numéro avec majuscule101 : hôtel de Rothelin-Charolais, construit vers 1703, peut-être par Pierre Cailleteau dit Lassurance pour le marquis de Rothelin. L'hôtel appartient en 1735 à Louise-Anne de Bourbon-Condé (1695-1758), la scandaleuse Modèle:Mlle de Charolais, qui lui donne son nom et le lègue en 1758 au comte de La Marche (prince de Conti en 1776), qui en fait sa résidence parisienne. Appartenant à l'État, l'hôtel abrite jusqu'en 2010 le ministère de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, puis le ministère de la Fonction publique. Depuis mai 2017, il est occupé par le secrétariat d'État aux relations avec le Parlement, le porte-parolat du Gouvernement, l'Observatoire de la laïcité et plusieurs services du Premier ministre.
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Façade du no 101.
- Modèle:Numéro avec majuscule102 : hôtel de Maillebois, construit en 1660 par Antoine Le Pautre et reconstruit partiellement par Denis Antoine vers 1771. Le duc de Saint-Simon y vécut.
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Modèle:Numéro avec majuscule102, l'hôtel de Maillebois.
- Modèle:Numéro avec majuscule103 : immeuble construit en 1841 et surmonté de la tour du télégraphe (tour Chappe). Le bâtiment abrite le ministère des Postes et Télégraphes jusqu'en 1960 puis devient le siège d'une des directions de France Télécom jusqu'en 2007. La tour du télégraphe possède un rôle symbolique fort, pour avoir été pendant des années le centre des communications de la France. Comme le rappelle une plaque commémorative apposée sur la façade du bâtiment, c'est à partir de cet endroit que sont diffusés les premiers programmes réguliers de la télévision française en novembre 1935, Georges Mandel étant ministre des PTT et René Barthélémy le responsable technique.
De nos jours, le bâtiment abrite l'ambassade de Nouvelle-Zélande en France et l'Autorité européenne des marchés financiers.
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Tour Chappe au no 103.
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Plaque commémorative.
- Modèle:Numéros avec majuscule104-106 : ancienne abbaye de Penthemont, qui relevait de l'ordre de Citeaux (dite abbaye des Bernardines de Penthémont) et s'installa en 1671 rue de Grenelle. C'était à la fois une maison de retraite et une maison d'éducation pour les jeunes filles de la noblesse. Les anciens bâtiments conventuels qui s'alignent rue de Bellechasse sont occupés jusqu'en 2014 par le secrétariat d'État aux anciens combattants.
- Modèle:Numéro avec majuscule107 : hôtel de Martignac, ancien hôtel de Jean-Baptiste Sylvère Gay, vicomte de Martignac.
- Modèle:Numéro avec majuscule110 : hôtel de Rochechouart, construit en 1776 par Mathurin Cherpitel, remanié à partir de 1839 par Alphonse de Gisors pour le ministère de l'Éducation nationale<ref>Visite virtuelle de l'hôtel de Rochechouart sur le site du ministère, front.education.gouv.fr.</ref>, actuel occupant des lieux.
- Modèle:Numéro avec majuscule115 : hôtel de Sommery, à l'entrée duquel on trouve une plaque à la mémoire de l'actrice Adrienne Lecouvreur (1692-1730). Cette plaque, gravée par d'Argental, amant et légataire universel de l'actrice, fut retrouvée dans les combles de l'hôtel.
- Modèle:Numéro avec majuscule116 : mairie du [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e]]<ref>Site officiel de la mairie du Modèle:7e, www.mairie7.paris.fr.</ref>, abritant la bibliothèque Saint-Simon depuis 1983 qui offre plus de Modèle:Unité. Ayant subi de nombreux aménagements à travers le temps, notamment par Joseph Uchard au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il ne reste d'éléments d'origine de l'hôtel de Villars (ou grand hôtel de Villars) qu'un portail en forme d’arc de triomphe attribué à Germain Boffrand.
- Modèle:Numéros avec majuscule118-120 : petit hôtel de Villars, ancienne dépendance de l'hôtel du duc et maréchal de France Claude Louis Hector de Villars, situé au no 116. Un temps propriété de la famille Cahen d'Anvers et, à partir des années 1880, résidence du compositeur Albert Cahen, il accueille aujourd'hui les élèves de collège de l'établissement scolaire Paul Claudel-d'Hulst.
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Porte du petit hôtel de Villars (no 118).
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Vue globale.
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Plaque indiquant la présence de l'établissement Paul Claudel.
- Modèle:Numéro avec majuscule122 : emplacement d'un couvent de carmélites qui fut transformé en caserne à la Révolution. La caserne de Grenelle abritera à partir de 1800 la Garde consulaire. C'est à cette adresse que l'architecte décorateur et artiste peintre Louis Süe (1875-1968) s'installe avec son neveu Gilbert Olivier Süe, devenu son associé de 1952 à 1968.
- Modèle:Numéro avec majuscule123 : domicile de Pierre Brossolette de 1932 à 1944.
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Plaque au no 123.
- Modèle:Numéro avec majuscule125 : hôtel de Damas d'Antigny, ambassade de Corée du Sud<ref>Site officiel de l'ambassade de Corée du Sud.</ref>, construit par Mathurin Cherpitel<ref>Modèle:Lien brisé, www.paristoric.com, consulté le 9 octobre 2013.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule127 : hôtel du Châtelet, construit de 1770 à 1776 par Mathurin Cherpitel, aujourd'hui ministère du Travail<ref>« Visite et histoire de l'hôtel du Châtelet » sur le site du ministère, www.travail-solidarite.gouv.fr.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule129 : hôtel des Invalides abritant le musée de l'Armée.
- Modèle:Numéro avec majuscule134 : (angle de la rue de Bourgogne) immeuble de rapport construit en 1903 par l'architecte Jules Lavirotte pour l'entrepreneur Jules Pinardon<ref>Y. Lavirotte et O. Barancy, Jules Lavirotte : L'audace d'un architecte de l'Art nouveau, Paris JLA éd., 2017, p. 74.</ref>. Il y a habité.
- Modèle:Numéro avec majuscule136 bis : ancien siègeModèle:Quand de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule138 : Hôtel de Noirmoutier, construit en 1720-1723 par Jean Courtonne pour Antoine François de La Trémoille, duc de Noirmoutier. Le duc était aveugle et Modèle:Citation, écrit Saint-Simon, Modèle:Citation. Initialement, le premier étage ne couvrait que les sept travées centrales du rez-de-chaussée. L'hôtel fut attribué comme logement au maréchal Foch en 1919. Il y résida jusqu'à sa mort en 1929. Il est aujourd'hui la résidence du préfet de la région d'Île-de-France, préfet de Paris.
- Modèle:Numéro avec majuscule138 bis : maison de l'Entrepreneuriat, fondée par Raise France.
- Modèle:Numéro avec majuscule142 : hôtel Chanac de Pompadour, dit aussi hôtel de Besenval, construit en 1704 par Pierre-Alexis Delamair et remanié par Alexandre-Théodore Brongniart en 1767 pour Pierre Victor de Besenval de Brünstatt, qui l'achète à la maréchale de Luxembourg (aujourd'hui ambassade de Suisse<ref>Site officiel de l'ambassade de Suisse, www.amb-suisse.fr.</ref>).
- Modèle:Numéro avec majuscule147 : église protestante luthérienne Saint-Jean, fondée en 1910 et membre de l'Église protestante unie de France.
- Modèle:Numéro avec majuscule149 : anciennement le siège de l'Institut national de la recherche agronomique.
- Modèle:Numéro avec majuscule151 : immeuble de style Art nouveau de l'architecte Jules Lavirotte (1898)<ref>Deux photographies du no 151 sur cambridge2000.com : 1, 2.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule164 : bibliothèque Amélie ouverte en 1981 et disposant d'environ Modèle:Unité.
- Modèle:Numéro avec majuscule174 : adresse de l'atelier du peintre Henri Goetz en 1959.
- Modèle:Numéro avec majuscule188 : domicile de Jules Rimet durant sa jeunesse, fondateur de la Coupe du monde de football<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule : l'homme politique Maurice Viollette y a résidé.
- Modèle:Numéro avec majuscule : immeuble construit en 1898 par Louis-Pierre Marquet, primé au Concours de façades de la ville de Paris<ref>La Construction moderne, 1er avril 1899.</ref>.
- Modèle:Numéro avec majuscule210 : siège du Gros-Caillou Sportif, club omnisports.
- Modèle:Numéro avec majuscule 321 : Charles-Joseph Panckoucke (1736-1798), écrivain, éditeur, libraire français résidait ici vers 1762.
Autres
- La rue a laissé son nom aux accords de Grenelle, négociés au ministère du Travail (sis au no 127) en pleine crise de mai 1968.
- Dans plusieurs romans de La Comédie humaine, Honoré de Balzac situe des hôtels particuliers de l'aristocratie la plus raffinée. Notamment dans Béatrix : Modèle:Citation Ainsi que dans Le Père Goriot où habite la vicomtesse de Beauséant : Modèle:Citation
- Au début de Meurtre sur le Léviathan du romancier Boris Akounine, le lieu du crime est un hôtel particulier de la rue de Grenelle.
- Maupassant situe l'action de sa nouvelle, Apparition, dans un hôtel particulier situé dans la rue de Grenelle.
- Dans L'Élégance du hérisson de Muriel Barbery, un hôtel particulier fictif, cadre du roman, est situé au no 7.
- L'artiste américain James Abbott McNeill Whistler a réalisé en 1894 une lithographie intitulée La Fruitière de la rue de GrenelleModèle:Refnec.
- L'artiste peintre Jim Dine a réalisé en 1981 un tableau intitulé A Heart on the Rue de Grenelle (Un cœur sur la rue de Grenelle)Modèle:Refnec.
Notes et références
Bibliographie
- Adolphe Berty et Lazare-Maurice Tisserand, avec la collaboration de Théodore Vacquer, Topographie historique du vieux Paris, tome 3 : Région du Bourg Saint-Germain, 1876 (en ligne sur Gallica).
- Adolphe Berty et Lazare-Maurice Tisserand, avec la collaboration de Théodore Vacquer, Topographie historique du vieux Paris, tome 4 : Région du Faubourg Saint-Germain, 1882 (en ligne sur Gallica).
- Collectif, Exposition. Le faubourg Saint-Germain, la rue de Grenelle, Action artistique de la Ville de Paris, 1985, Modèle:P..
- Jacques Silvestre de Sacy, Philippe Siguret et Yvan Christ, Le Faubourg Saint-Germain, de l'abbaye à l'École militaire, Paris, Éditions des Deux-Mondes, 1966, Modèle:Nb p., Modèle:P..