Auguste Jean-Gabriel de Caulaincourt
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité militaire
Auguste Jean-Gabriel de Caulaincourt, né le Modèle:Date- à Caulaincourt en Picardie et mort le Modèle:Date- à la bataille de la Moskova, est un général français de la Révolution et de l’Empire.
Frère d'Armand de Caulaincourt, il entre dans la carrière des armes en 1792 et gravit tous les échelons jusqu'à celui de colonel du [[19e régiment de dragons|Modèle:19e régiment de dragons]] en 1801. En cette qualité, il participe à la bataille d'Austerlitz en 1805 avant de servir un temps auprès de Louis Bonaparte, devenu roi de Hollande.
De retour dans l'armée française en 1808, il est affecté dans la péninsule Ibérique à la tête d'une brigade de dragons et se signale notamment au combat d'Arzobispo. Il prend part à la campagne de Russie de 1812 et perd la vie au cours d'une charge dirigée contre les positions russes lors de la bataille de la Moskova, alors qu'il venait de remplacer le général Montbrun à la tête d'un corps de cuirassiers.
Biographie
Origines
Il est né dans une famille noble originaire du Vermandois, en Picardie, dans l'actuel département de l'Aisne. Il est le fils de Gabriel Louis de Caulaincourt, Modèle:4e marquis de Caulaincourt et d'Anne Joséphine de Barandier de La Chaussée d'Eu.
Il est le frère cadet d'Armand Augustin Louis de Caulaincourt, Modèle:5e marquis de Caulaincourt et Modèle:1er duc de Vicence, grand écuyer de l'empereur [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]].
Carrière sous la Révolution française
D'après son biographe Charles Thoumas, Caulaincourt se serait engagé au Modèle:8e régiment de cavalerie (ex-cuirassiers du Roi) le Modèle:Date-Modèle:Sfn, ce qui est en contradiction avec Georges Six qui indique qu'il aurait rejoint cette unité en tant que volontaire dès le Modèle:Date- de cette même annéeModèle:Sfn. Il est envoyé sur le front mais est rayé des contrôles pour congé dès Modèle:Date-. Il réapparaît deux ans plus tard en étant promu sous-lieutenant et aide de camp auprès du général Aubert-Dubayet le Modèle:Date-. Le Modèle:Date- suivant, il passe avec son grade dans le [[12e régiment de dragons|Modèle:12e dragons]] avant d'être nommé lieutenant au [[1er régiment de carabiniers|Modèle:1er de carabiniers]] le Modèle:Date-, capitaine au [[21e régiment de dragons|Modèle:21e de dragons]] le Modèle:Date- et enfin capitaine au [[1er régiment de dragons|Modèle:1er dragons]] le Modèle:Date-Modèle:Sfn.
C'est en cette qualité que Caulaincourt participe, dans les rangs de l'armée du Danube, à la bataille d'Ostrach le Modèle:Date-Modèle:Sfn, au cours de laquelle il enfonce deux escadrons de hussards autrichiens et leur inflige une vingtaine de pertesModèle:Sfn, et à celle de Stockach qui a lieu quatre jours plus tard. Après avoir servi un temps comme aide de camp du général Klein, il est transféré à l'armée d'Helvétie et est élevé au grade de chef d'escadron à titre provisoire le Modèle:Date-Modèle:Sfn. Il intègre alors la division Lecourbe pour y commander les deux escadrons du [[12e régiment de chasseurs à cheval|Modèle:12e chasseurs]] qui sont attachés aux forces de ce généralModèle:Sfn. Il occupe Schwytz au mois d'août et se distingue le Modèle:Date- au combat de Muotathal où il reçoit un coup de lanceModèle:Sfn.
Caulaincourt retourne ensuite au Modèle:1er dragons qu'il conduit à la bataille de Marengo en Modèle:Date-. Au cours de l'affrontement, alors que ses cavaliers protègent un mouvement de repli des fantassins de VictorModèle:Sfn, il est blessé d'un coup de feu à la tête. Il est confirmé dans ses fonctions de chef d'escadron par arrêté des consuls le Modèle:Date-Modèle:Sfn. Il se signale encore en Italie au début de l'année 1801 en s'emparant avec 40 dragons du village de Vedelago et de sa garnison autrichienne de 400 hommesModèle:Sfn. Promu chef de brigade du [[19e régiment de dragons|Modèle:19e régiment de dragons]] le Modèle:Date- suivant, il rentre en France après la paix et tient garnison dans la Modèle:16e militaireModèle:Sfn.
Les débuts de l'Empire
Créé membre de la Légion d'honneur le Modèle:Date- puis officier de l'ordre le Modèle:Date-Modèle:Sfn, il est nommé aide de camp de Louis Bonaparte le Modèle:Date-, tout en conservant le commandement de son régimentModèle:Sfn.
Il est toujours à la tête du Modèle:19e dragons lorsqu'éclate la campagne d'Allemagne de 1805. Lui et ses hommes sont affectés à la Modèle:4e de dragons du général Bourcier, appartenant à la réserve de cavalerie de la Grande Armée. Au moment de franchir le Rhin pour aller combattre les armées austro-russes, le Modèle:19e dragons aligne 458 cavaliers répartis en trois escadronsModèle:Sfn. Le Modèle:Date-, Caulaincourt participe avec son régiment à la bataille d'Elchingen, où son unité, conjointement avec le Modèle:18e dragons, forme une brigade sous le général LaplancheModèle:Sfn. Quelque temps plus tard, le Modèle:Date-, a lieu la bataille d'Austerlitz au cours de laquelle le Modèle:19e dragons de Caulaincourt, fort à ce moment de 412 hommesModèle:Sfn, est engagé dans la lutte pour la possession du village de Sokolnitz, à la droite du dispositif françaisModèle:Sfn.
En récompense de ses services, Caulaincourt reçoit la croix de commandant de la Légion d'honneur le Modèle:Date-. Lorsque Louis Bonaparte est proclamé roi de Hollande en Modèle:Date-, il le suit en qualité d'aide de camp et grand écuyer (Modèle:Date-) et est nommé général-major de l'armée hollandaise le Modèle:Date- suivant. Après avoir exercé un court laps de temps les fonctions de ministre plénipotentiaire de Hollande à Naples, de Modèle:Date- à Modèle:Date-, il réintègre l'armée française avec le grade de général de brigade un mois plus tardModèle:Sfn.
Employé à la division de cavalerie réunie à Poitiers le Modèle:Date-, il se voit gratifier d'une rente de Modèle:Unité sur la Westphalie le Modèle:Date- ; le titre de baron de l'Empire lui est également décerné, soit le Modèle:Date-Modèle:Sfn soit au mois de mai<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Toujours en 1808, il achète le château de la Brûlerie situé à Douchy dans le département du Loiret<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Dans la péninsule Ibérique
Premières opérations
Au début de l'année 1808 est organisé le corps d'observation des Pyrénées occidentales, qui ne tarde pas à se mettre en route pour l'Espagne où Napoléon cherche à évincer les Bourbons du trône. Les deux brigades de cavalerie de ce corps, constituées à partir de régiments ou d'escadrons de marche, sont commandées respectivement par les généraux Lagrange et CaulaincourtModèle:Sfn. Ce dernier entre en Espagne le Modèle:Date-Modèle:Sfn. Vers la fin avril, ses Modèle:Nombre cavaliers sont cantonnés dans la région de Burgos et de ValladolidModèle:Sfn. La brigade Caulaincourt est cependant dissoute peu après le déclenchement de l'insurrection espagnole et les hommes renvoyés à leurs unités d'origineModèle:Sfn.
Caulaincourt se contente alors de servir à l'état-major de l'armée d'Espagne, et ce jusqu'à la fin de l'annéeModèle:Sfn. Durant l'été, il est envoyé avec une colonne de différentes armes pour réprimer l'insurrection qui s'est déclarée dans la province de Cuenca et pour y punir l'attentat commis sur un officier et sur quelques soldats français massacrés par la population. Parti de Tarazona, il arrive le Modèle:Date- devant Cuenca, où il trouve Modèle:Nombre Espagnols disposés à défendre cette position avec des pièces de canon. Il met en fuite ces derniers avec une perte de Modèle:Unité/2 tandis que le reste se réfugie dans les montagnesModèle:Sfn. Il soumet ensuite la ville à un pillage en règle au cours duquel plusieurs habitants sont assassinés par les soldats français. Caulaincourt lui-même, cherchant à canaliser les excès de ses troupes, ordonne le sac de la cathédrale afin d'en redistribuer les richesses à ses officiers<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Après la capitulation française de Bailén, il parvient à ramener ses troupes à Madrid malgré la précarité de ses lignes de communicationModèle:Sfn. Le trafic des biens spoliés de Cuenca, auquel se livrent ses soldats à leur retour dans la capitale, suscite l'indignation du roi Joseph Bonaparte qui écrit à Napoléon : Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le Modèle:Date-, Caulaincourt est placé à la tête de la Modèle:2e brigade de la Modèle:4e division de dragons, menée par le général La Houssaye, à la suite du renvoi pour insubordination du général de brigade Rioult-DavenayModèle:Sfn. Le nouveau commandant a sous ses ordres les Modèle:18e et Modèle:19e dragons. D'abord stationnée avec le reste de la division en Galice à la mi-Modèle:Date-, la brigade prend part à la deuxième invasion napoléonienne du Portugal au mois de marsModèle:Sfn. Dans les premiers jours de la campagne, les cavaliers de Caulaincourt contribuent à la prise de Chaves, où ils s'emparent d'un canon, et à la victoire de Braga en repoussant Modèle:Nombre Portugais et en prenant un autre canon. Ses dragons enlèvent ensuite deux drapeaux à la bataille d'Oporto puis un autre à Penafiel au cours d'une charge qui cause de lourdes pertes dans les rangs espagnolsModèle:Sfn. Non loin d'Amarante, alors qu'il commande l'avant-garde des généraux Delaborde et Loison, il bat, avec un bataillon du Modèle:17e d'infanterie légère et le Modèle:19e de dragons, un corps portugais et occupe Amarante. Le Modèle:Date-, lorsque Loison juge à propos d'évacuer cette ville, Caulaincourt est affecté au commandement de son arrière-garde, composée de trois bataillons d'infanterie et du Modèle:19e dragons, et s'acquitte de sa mission avec succèsModèle:Sfn.
Combat d'Arzobispo
Au Modèle:Date-, sa brigade est en garnison à BenaventeModèle:Sfn. Quelques semaines plus tard, le maréchal Soult, commandant les Modèle:2e, Modèle:5e et Modèle:6e réunis, se met en marche vers le sud afin d'accrocher les armées anglo-espagnoles des généraux Wellesley et Cuesta, aventurées non loin de Madrid. Le Modèle:Date-, les troupes impériales arrivent à Puente del Arzobispo, sur les bords du Tage. Les forces espagnoles, de leur côté, ont achevé de se replier sur la rive sud du fleuve et seul un contingent d'arrière-garde aux ordres du duc d'Alburquerque demeure sur place afin de barrer la route aux Français. Alors que le pont qui commande le passage du fleuve est aux mains de ses adversaires, Soult est informé de l'existence, plus en aval, d'un gué relativement peu profond dans lequel les chevaux peuvent s'engagerModèle:Sfn.
Dès le lendemain, en début d'après-midi, les Modèle:18e et Modèle:19e dragons de la brigade Caulaincourt, marchant en tête de la division La Houssaye, se jettent dans les eaux du Tage à l'emplacement indiqué et prennent pied sur l'autre rive. La cavalerie espagnole déployée à proximité est mise en déroute tandis qu'un bataillon d'infanterie qui cherchait à former le carré est rompu par les dragons. Soudain, Modèle:Nombre cavaliers espagnols conduits par Alburquerque débouchent sur le terrain et chargent de manière décousue leurs homologues français. Les hommes de Caulaincourt, bientôt soutenus par le reste de la cavalerie impériale, font cependant bonne contenance et, à l'issue d'une mêlée vigoureuse, enfoncent les Espagnols qu'ils poursuivent sur une certaine distance. Dans le même temps, l'infanterie française s'empare du pont d'Arzobispo. Les pertes françaises sont d'à peine Modèle:Nombre tués ou blessés tandis que les vaincus déplorent Modèle:Nombre tués, blessés ou prisonniers et 16 canons perdusModèle:Sfn.
Cette victoire permet à l'armée française de prendre pied sur la rive sud du Tage même si Soult, sur ordre du roi Joseph, doit interrompre son offensive peu après<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Dans son rapport à Napoléon, le maréchal écrit que ce combat Modèle:CitationModèle:Sfn. Pour sa conduite à Arzobispo, l'Empereur nomme Caulaincourt général de division le Modèle:Date- et lui donne, le Modèle:Date- suivant, le commandement des cinq brigades de dragons provisoires composant la cavalerie du Modèle:8e de l'armée d'EspagneModèle:Sfn,Modèle:Sfn.
Mort en Russie
Mis en congé pour raisons de santé le Modèle:Date-, Caulaincourt rentre en France. Il est alors successivement nommé gouverneur des pages et, en Modèle:Date-, grand-croix de l'ordre de la Réunion. Appelé à faire partie de la campagne de Russie, il est nommé commandant du grand quartier général impérial le Modèle:Date-Modèle:Sfn. Dans ses Mémoires, son frère, le grand écuyer Armand de Caulaincourt, écrit :
Le 7 septembre suivant, il est présent à la bataille de la Moskova qui oppose la Grande Armée de Napoléon aux forces russes du général Koutouzov. Dans les premières heures de l'après-midi, l'Empereur, qui vient d'apprendre la prise de Semionovskoïe par ses troupes, décide de lancer une attaque massive sur le centre russe et en particulier contre la « grande redoute » dont le feu cause de lourdes pertes aux Français. Le général Montbrun ayant été tué par un éclat d'obus peu de temps auparavant, Napoléon le remplace dans le commandement du Modèle:2e de cavalerie par le général CaulaincourtModèle:Sfn, à qui il lance : Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Caulaincourt se rend aussitôt à son poste pour prendre la tête des divisions de grosse cavalerie Wathier et Defrance ainsi que de la division de cavalerie légère PajolModèle:Sfn. Un peu avant Modèle:Heure, la charge s'ébranle, soutenue à gauche par l'infanterie d'Eugène de Beauharnais et à droite par le [[4e corps de cavalerie (Grande Armée)|Modèle:4e corps de cavalerie]] de Latour-Maubourg. Caulaincourt chevauche en tête de ses escadrons, avec derrière lui les Modèle:5e et Modèle:8e régiments de cuirassiers, suivis par les carabiniers de DefranceModèle:Sfn. Sous le poids de l'impact, la cavalerie russe lancée en contre-attaque est rejetée. Le commandant français opère alors une conversion à gauche et surgit avec ses cavaliers dans le dos de la grande redoute. Les artilleurs russes, pris à revers, sont annihilés et la position enlevéeModèle:Sfn malgré les tentatives faites par la cavalerie russe pour la reprendreModèle:Sfn.
Le général Caulaincourt est tué dès son arrivée dans la redoute adverse par un boulet de canon. Il est l'un des treize généraux français tués ou mortellement blessés à la Moskova<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref group="note">Le Modèle:18e de la Grande Armée relate ainsi cet épisode : « Le général de division comte de Caulaincourt, commandant le Modèle:2e corps de cavalerie, se porta à la tête du Modèle:5e régiment de cuirassiers, culbuta tout, entra dans la redoute de gauche par la gorge. Dès ce moment la bataille fut gagnée. Le comte de Caulaincourt, qui venait de se distinguer par cette belle charge, avait terminé ses destinées : il tomba frappé par un boulet. Mort glorieuse et digne d'envie ! ».</ref>. À l'annonce de sa mort, Napoléon déclare à l'intention du grand écuyer et frère du défunt, présent à ses côtés : Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. La dépouille de Caulaincourt est inhumée dans la grande redoute en compagnie d'autres victimes<ref name="Pigeard1996p267">Modèle:Ouvrage.</ref>. Son nom figure sur l'arc de triomphe de l'Étoile à Paris, côté EstModèle:Sfn.
Les papiers personnels de la famille de Caulaincourt sont conservés aux Archives nationales, dans la sous-série 95 AP <ref>Archives nationales.</ref>.
Vie privée
Auguste Jean Gabriel de Caulaincourt a une liaison avec Louise-Amélie Dubois de Courval (1777-1858, épouse puis veuve en 1810 de l'officier de cavalerie Jules de Poilloüe, marquis de Saint Mars) qui lui donne un fils illégitime, Auguste Fromet de Rosnay (Paris, 5 décembre 1806 - 1885), reconnu par le magistrat Alexis Fromet de Rosnay (1742-1829) lorsque celui-ci épouse Louise-Amélie en décembre 1814.
Auguste Jean Gabriel de Caulaincourt épouse le 12 juillet 1812 Henriette Blanche d'Aubusson de La Feuillade (1795-1835), fille de Pierre Raymond Hector d'Aubusson de La Feuillade, chambellan de l'impératrice Joséphine, ministre plénipotentiaire, puis ambassadeur de l'empereur Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}, pair de France pendant les Cent-Jours et la monarchie de Juillet, et d'Agathe Renée de La Barberie de Reffuveille. Comme son époux, elle appartient à une famille de l'ancienne noblesse ralliée à l'Empire. Veuve sans postérité après trois mois de mariage, elle ne se remarie pas en souvenir de son époux.
Considérations
Dans ses Souvenirs, le maréchal Boniface de Castellane parle de Caulaincourt comme d'un Modèle:Citation. Un autre mémorialiste, Eugène Labaume, dit de lui : Modèle:Citation<ref name="Pigeard1996p267"/>. Le pillage de Cuenca par ses troupes en 1808 jette cependant une ombre sur sa carrière<ref>Modèle:Article.</ref>. Au sujet de ses talents militaires, l'historienne Marie-Pierre Rey reconnaît en lui un Modèle:Citation mais moins charismatique que son homologue Montbrun dont il relève le commandement au pied levé à la Moskova<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le général Thoumas écrit :
Armoiries
Figure | Blasonnement |
Blason d'Auguste Jean Gabriel de Caulaincourt | Armes du baron de Caulaincourt et de l'Empire (décret du 19 mars 1808, lettres patentes de juin 1808 (Bayonne))
De sable coupé d'or, le coupé d'or chargé d'un sauvage de gueules appuyé sur une massue de sable et portant sur le poing dextre un coq de sable, franc quartier de baron sorti de l'armée.<ref name="PLEADE">PLEADE (C.H.A.N. : Centre historique des Archives nationales (France)).</ref>,<ref name="pouliquen">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="heraldique-europeenne">Modèle:Lien web.</ref> Livrées : bleu, noir, jaune, et rouge<ref name="PLEADE"/>. |
Notes et références
Notes
Références
Annexes
Bibliographie
- Modèle:Mullié
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Articles connexes
Liens externes
- Service historique de l'Armée de terre – Fort de Vincennes – Dossier S.H.A.T. Côte : 7 Yd 501.
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