Belvézet

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France

Belvézet est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Les Seynes et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Belvézet est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1861. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès. Ses habitants sont appelés les Belvézetiens ou Belvézetiennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la castellas de Belvézet, inscrite en 1998, et l'église Saint-André, inscrite en 2000.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Le village de Belvézet est situé au cœur du Gard, à 10 km au nord-ouest d'Uzès et à une trentaine de kilomètres au nord de Nîmes. Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie et relief

La commune est traversée par les Seynes, une rivière qui prend sa source sur la commune éponyme de Seynes et se jette dans l'Alzon (affluent du Gardon) entre les communes d'Uzès et Saint-Maximin.

Le village est situé dans un paysage de garrigues et de collines à la végétation sèche.Modèle:…

Voies de communication et transports

Modèle:…

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 15 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cavillargues », sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:30035-Belvézet-ZNIEFF2.png
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Belvézet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,7 %), cultures permanentes (18 %), terres arables (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Belvézet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment Les Seynes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1997, 1998 et 2002<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:30035-Belvézet-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belvézet.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 64,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 216 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1983<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Modèle:... Belvézet vient de l’occitan bèl et vezer, signifiant « bel aspect » ou « belle vue », indiquant un lieu élevé. C’est la même étymologie que pour les communes nommées Beauvezer et Belvèze. Le village porta différents noms au cours de son histoire : Locus de Bellovisu en 1272, Belvèze en 1622 ou encore Belveset en 1715<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Histoire

Préhistoire

Modèle:Section à sourcer

Le Paléolithique

Un site potentiellement paléolithique a été identifié à Belvézet, et il y a de nombreux sites aux alentours : Allègre, la Bastide d'Engras, Castillon, Collias, Fontarèches, Saint-Anastasie, Serviers et Saint-Quentin. Il est très probable qu'il y ait eu des humains dès le Paléolithique à Belvézet, mais les indices de leur présence restent à confirmer.

Le Mésolithique

Un outil du Mésolithique a été découvert à Belvézet. Il s'agit d'un outil de silex trouvé à la Combe des Grèzes (probablement dans la grotte des Grèzes) et qui date d'environ 9 000 ans.

Le Néolithique

Localement, le Néolithique débute il y a environ 7000 ans, âge probable de l'enceinte du Roc del Jas. Pendant le Néolithique et les périodes suivantes, les plateaux du Gard sont parmi les lieux les plus importants en Europe pour les peuples préhistoriques avec une densité de peuplement très forte.

Le Chalcolithique

Au cours du Chalcolithique (5000 à 4500 ans BP), beaucoup des mégalithes sont érigés dont sans doute le menhir de Belvézet. C'est la période des pasteurs des plateaux. Avec la découverte de nouvelles matières pour réaliser les outils, les anciennes matières ne sont pas abandonnées pour autant : le silex continue à être employé pendant très longtemps.

Les études préhistoriques à Belvézet

Les études préhistoriques à Belvézet datent surtout du Modèle:S mini- et du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, époque à laquelle des curieux et érudits locaux ont commencé à s'intéresser aux éléments près de chez eux. Ce sont eux qui ont fourni le plus de détails sur la préhistoire de Belvézet. Depuis, les recherches ont été rares.

Le problème avec cette exploration assez précoce de Belvézet est que les premiers curieux n'étaient pas toujours bien équipés pour tirer tout le potentiel de leurs explorations. Parfois, ils souhaitaient surtout ramener le plus d'outils ou de morceaux de céramique possible, et ce faisant détruisaient les informations stratigraphiques.

Les plus connus et les plus sérieux des chercheurs de cette époque sont les suivants :

  • Ulysse Dumas était un archéologue à Baron. Il a fait plusieurs fouilles à Belvézet au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;
  • Louis Capitan était un célèbre médecin et archéologue et collaborait fréquemment avec Ulysse Dumas. Il était Chargé de conférences d'anthropologie pathologique à l'École d'anthropologie ;
  • Paul Raymond était un médecin et archéologue. Comme Dumas, il a fait des fouilles à Belvézet. Il fut l'un des fondateurs la Société préhistorique française en 1904 et de la Revue préhistorique. Annales de Paléontologie en 1906. Le musée municipal de Pont-Saint-Esprit est nommé musée Paul-Raymond en son honneur.

Sites

La zone comptant apparemment le plus de sites préhistoriques est la bordure sud du plateau. Les grottes sont fréquentes et les positions défensives aussi. Le silex y est relativement abondant ainsi que les pierres pour les mégalithes et enceintes. Les points d'eau issus du drainage souterrain du plateau au nord sont nombreux. Il est important de souligner que cette zone critique pour le patrimoine préhistorique (et aussi naturel) de Belvézet est largement la propriété de la commune qui peut ainsi en assurer la protection et l'accessibilité pour les futures générations.

Menhir

Le menhir de Belvézet est situé au quartier de Peiro Fico (« pierre fichée » en occitan). Ce mégalithe mesure Modèle:Unité de haut par 1,20 m de large (celui de Lussan, le plus grand du Gard, mesure Modèle:Unité de hauteur). Il date sans doute de 5000 à 4000 ans avant le présent. Selon certains, il en existerait un autre, basculé et brisé, pas très loin.

Tumulus

La commune de Belvézet compte un certain nombre de tumulus. Selon la Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC), il en existe trois au bord sud du bois de la Vièle. Ce nombre semble très en dessous de la réalité. Les tumulus étaient plus faciles à identifier il y a cinquante ans ou plus, quand la végétation dans la garrigue était moins dense par suite du pâturage, de la coupe de bois plus intensive, et des feux fréquents. Une présentation d'Ulysse Dumas dans le Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques de 1905 indique : « M. Ulysse Dumas résume l'ensemble des recherches qu'il a fait dans plus de onze cents tumulus des environs de Belvézet (Gard). Ces tumulus sont d'époques très différentes. Les premiers recouvrent des dolmens avec beau mobilier néolithique et quelques traces de métal. Les seconds sont de l'époque du bronze. Enfin les derniers se rapportent à l'époque hallstattienne et même gauloise, et ont fourni de belles séries de bracelets de bronze, d'armes de fer et de très belles poteries avec ornements symétriques profondément incisés. L'auteur insiste sur la très grande variété de construction de ces monuments : tantôt dolmens, tantôt caissons, tantôt simples urnes ou encore amas d'os brûlés sur place. » Dumas évoque 1100 tumulus dans les environs de Belvézet, mais il faut souligner qu'il considérait même un petit tombeau comme un tumulus.

La plupart des tumulus semblent être situés au bord du plateau. C'est sans doute dans un de ces tumuli du bord de plateau que Paul Raymond a fait la découverte d'un superbe bracelet de bronze au siècle dernier. Sa découverte est décrite en détail dans son article « Tumulus de l'époque moeringienne ou launacienne (transition du bronze au fer) ». Ce bracelet fut le seul objet de ce type trouvé après l'exploration de 15 tumulus n'ayant livré que quelques tessons de céramique. Dans tous ces monuments, il n'a jamais trouvé d'ossements importants.

L'un des tumulus se trouve sur la colline du Mas Martin. Ulysse Dumas en décrit la découverte dans son article « Des temps intermédiaires entre la pierre polie et l'époque romaine ». Vers 1900, il fut appelé à venir voir la découverte d'un habitant qui avait ouvert une butte près de son mas pour en prendre la terre. Il découvrit un cercle de grosses pierres avec des débris de métal et de céramique au milieu. Ces tessons furent identifiés par Dumas comme étant de type dit « Ligure ». En cherchant au sein des déblais de la butte, il découvrit des restes de céramiques gauloises plus récentes. Au nord des Martines, il dit avoir trouvé des fragments de haches polies.

Enceintes

Il existe une enceinte préhistorique répertoriée par la DRAC au Roc del Jas<ref>Le nom correct est probablement Roc del Jas ou Roc dau Jas (rocher de la bergerie) mais certaines cartes indiquent Roc d'Orgias. Dans le compois de 1635, conservé en Mairie jusque dans les années 1970 mais maintenant disparu, on lisait nettement Le Rauc d’Orgias.</ref>, dans la partie ouest du bord sud du plateau. En fait il y a deux enceintes concentriques partielles qui protègent les côtés nord et est. Les côtés sud et ouest sont protégés naturellement par des parois à pic. Les murs étaient à l'origine très épais et il reste des parties où l'on peut encore voir les pierres posées. Une grotte accessible depuis le sommet était probablement aussi employée. Il s'agit du plus grand site préhistorique facilement visible à Belvézet. L'absence de traces de tuiles romaines suggère une occupation du site antérieure à la présence romaine.

Il y a plusieurs autres enceintes à Belvézet, de nouveau surtout sur la bordure sud du plateau. Beaucoup sont sans doute préhistoriques, mais il est souvent difficile de déterminer l'âge d'une enceinte ou d'un mur. Les techniques de construction en pierre sèche n'ont guère évolué. Parmi celles qui sont considérées comme préhistoriques, Ulysse Dumas cite celle du Roc de Vendème (Vendôme), associée avec une grotte. Il en dit que le mur d'enceinte est recouvert de terre. F. Mazauric dressa en 1907 une liste des enceintes préhistoriques du Languedoc et ajoute celle de La Mouliere à Belvézet, mais sa localisation n'est pas claire (corruption de Molières ?).

Antiquité

Modèle:…

Moyen Âge

Modèle:…

Époque moderne

Modèle:…

Révolution française et Empire

Modèle:…

Époque contemporaine

Politique et administration

Rattachements administratifs

Modèle:…

Rattachements électoraux

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Gard. Modèle:Article détaillé

Tendances politiques et résultats

Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu| Modèle:Élu| Modèle:Élu| Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:…

Santé

Modèle:…

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:…

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (67,7 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Uzès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 37 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 95, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 95 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 84 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % les transports en commun, 3,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

38 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Belvézet au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 38
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
9 23,7 % (7,9 %)
Construction 6 15,8 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
4 10,5 % (30 %)
Activités immobilières 4 10,5 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 23,7 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
2 5,3 % (13,5 %)
Autres activités de services 4 10,5 % (8,8 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,7 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 38 entreprises implantées à Belvézet), contre 14,9 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Installation d'une centrale photovoltaïque d'une puissance de 31,2 MWc, la puissance installée de l'ensemble du parc solaire et une production d'électricité renouvelable est équivalente à la consommation annuelle de Modèle:Nb<ref>Installation d'une centrale photovoltaïque</ref>.

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Édifices civils

  • Mairie : ancienne école des garçons, puis mairie.
  • Ancienne école (actuellement salle polyvalente) : la cour a été aménagée pour la création de l'Arbousier.
  • Four à pain : l'ancienne municipalité a souhaité l'acquérir en 2008. Ce petit bâtiment ayant perdu toute sa valeur ancienne (il ne reste plus que 4 murs) le nouveau conseil municipal, après réflexion, a décidé de le remettre en vente.
  • Le Castellas : construit entre 1144 et 1207, sa tour domine depuis le village et fait partie de son histoire. Selon les Monuments Historiques, quelques travaux seraient nécessaires, nettoyage des parcelles entourant le site, coupe des arbres qui en masquent la vue, arasement du haut de la tour en retirant les pierres branlantes du sommet, etc. (IMH 3/08/1998).
Fichier:Ancienne église Saint-André, Belvézet (07).jpg
Ancienne église Saint-André

Édifices religieux

  • Vieille église : Ancienne Église Saint-André de Belvézet, d'origine romane, son intérêt a été remarqué par les Monuments Historiques : profondeur du cœur, transept, corniches ; la façade reconstruite en 1660, présente un rare exemple de portail monumental avec colonnes et arc plein cintre pour un édifice rural du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le beau clocher carré et les décors intérieurs des {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}, demandent selon l'avis des Monuments Historiques, un sauvetage d'urgence tout comme l'encadrement de la porte d'entrée qui menace tout simplement de s'effondrer. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2000<ref>Modèle:Lien web</ref>.

  • Nouvelle église : Église Saint-André de Belvézet, construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (1879) dans le style en vogue « romano-gothique » en remplacement de l'ancienne jugée trop petite et abîmée. Elle présente aujourd'hui un état assez critique du point de vue de la toiture et des voûtes.
  • Ancien presbytère du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : le rez-de-chaussée est en location à l'année. Une étude va être réalisée par la municipalité pour l'aménagement de l'étage.

Patrimoine culturel

Musées

Des vestiges archéologiques provenant de Belvézet sont conservés au Muséum d'histoire naturelle de Nîmes, au Musée Paul-Raymond de Pont-Saint-Esprit (fouilles de Paul Raymond) et au Musée d'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye.

Patrimoine environnemental

Modèle:…

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail