Berry-au-Bac

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Berry-au-Bac (prononcé Modèle:MSAPI) est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte Berry-au-Bac est située dans la région Hauts-de-France, à l'est du département de l'Aisne. L'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) attribue les coordonnées géographiques Modèle:Nobr et Modèle:Nobr au point central du territoire communal<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

À vol d'oiseau, la commune est située à Modèle:Nobr au nord-est de Paris-Notre-Dame<ref> Modèle:Lien web.</ref>, point zéro des routes de France, à Modèle:Nobr au sud-est de la préfecture Laon<ref> Modèle:Lien web.</ref> et à Modèle:Nobr au nord-ouest de Reims<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Relief et géologie

Modèle:...

Hydrographie

La rivière l'Aisne traverse le territoire de la commune d'est en ouest, et la Loivre, un affluent gauche de l'Aisne y a sa confluence. De même, le canal latéral à l'Aisne, qui longe l'Aisne, et le canal de l'Aisne à la Marne, qui longe La LoIvre, se rencontrent à Berry-au-Bac. Un port est installé en cet endroit.

L'écluse no 1 du canal de l'Aisne à la Marne et l'écluse no 3 du canal latéral à l'Aisne se situent à Berry-au-Bac.

Voies de communication et transports

Voies routières

Deux routes départementales traversent le territoire de la commune :

En outre, la commune est accessible par l'autoroute A26 (sortie Modèle:N°, Guignicourt), à Modèle:Unité à l'est de la commune par la D 925.

Transport en commun

La ligne R510 du réseau de bus de la Régie départementale des transports de l’Aisne<ref> Modèle:Lien web.</ref>, reliant Laon à Reims, a un arrêt à Berry-au-Bac<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

La gare la plus proche est celle de Guignicourt, située à Modèle:Unité à l'est par la D 925. Elle permet de relier Laon ou Reims en Modèle:Unité environ.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 4,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 4,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Martigny-Courpierre », sur la commune de Martigny-Courpierre, mise en service en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Berry-au-Bac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,1 %), zones agricoles hétérogènes (37,8 %), forêts (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), zones urbanisées (3,4 %), prairies (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:...

Histoire

Préhistoire

Des photographies aériennes ont permis de localiser un important site d'occupation néolithique, dit du « chemin de la Pêcherie » dans la commune sur lequel des fouilles furent effectuée en 1978 et 1979<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. D'autres fouilles eurent lieu à la Renardière en 1986 ; elles mettent ainsi à jour une présence importante des populations du Rubané dans la vallée de l'Aisne ainsi qu’À la Croix Maigret. Comme le reste de la vallée de l'Aisne, la commune a de nombreuses traces d'habitats préhistoriques.

Antiquité

Avec des habitats de La Tène, l'occupation humaine semble continue jusqu'aux fouilles menées en 1861 et 1862, et confirmées depuis par la photographie aérienne, ont identifié à Mauchamp, sur le territoire de la commune, le camp de Jules César lors de la bataille qui eut lieu en 57 av. J.-C. contre les Belges<ref>M. Reddé et alii, L'Architecture de la Gaule romaine : Les fortifications militaires, DAF 100, Paris, 2006, Modèle:P..</ref>. Modèle:Article détaillé

Moyen Âge

Modèle:... Une nécropole mérovingienne a été mise au jour près du camp de César, en 1906. Parmi le mobilier, il faut noter deux sarcophages sculptés<ref>H. Gardez, 1907.</ref>.

Époque moderne

Modèle:...

Époque contemporaine

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Modèle:Article détaillé Le Modèle:Date, lors de la Campagne de France (1814) sous les ordres de Pac<ref>Modèle:Harvsp</ref> et du chef d'escadron Skarzynski<ref name="Officiers polonais">Modèle:Harvsp, Modèle:Google Livres.</ref>,<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, les lanciers polonais de la Garde impériale, après avoir brisé, avec seulement 600 hommes, les Modèle:Unité de Wizingerode, chargent à la tête des cavaliers de Nansouty et d'Exelmans<ref>Modèle:Harvsp.</ref> sur le pont de Berry-au-Bac, refoulent une nouvelle fois l'ennemi, faisant prisonniers 200 Cosaques et capturant deux canons<ref>Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Modèle:Harvsp</ref>.

Berry-au-Bac était desservie par la ligne Soissons - Rethel d'une compagnie de chemin de fer secondaire à voie métrique, les Chemins de fer de la Banlieue de Reims (CBR).

Première Guerre mondiale

Modèle:Article détaillé

Pendant la Première Guerre mondiale la "côte 108" fut sur la ligne de combat de 1914 à 1917, et connue en particulier des combats de sape et des explosions de mines.

En 1917, c'est à Berry-au-Bac qu'eut lieu la première offensive blindée de l'histoire militaire française (la première attaque de chars de l'Histoire eut lieu lors de la Somme le 15 septembre 1916, avec des chars d'assaut britanniques Mark I<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.)

132 chars Schneider CA1 furent amenés pour la grande offensive du Chemin des Dames le 16 avril 1917<ref>http://www.herodote.net/16_avril_1917-evenement-19170416.php</ref>. Leur utilisation ne fut pas très profitable, les unités d'infanterie n'ayant pu suivre leur avance<ref>Le combat pour Berry Au Bac, Juvincourt et la côte 108 - 16 avril–début mai 1917</ref>.

Sur les 132 chars engagés, 57 ont été détruits par les Allemands, 56 ramenés du combat (44 en panne dans les lignes françaises).

Pertes françaises : 16 officiers tués, 17 blessés ; 12 sous-officiers tués, 16 blessés ; 43 brigadiers et canonniers tués, 76 blessés. Louis Bossut, commandant du Modèle:1er Groupement d'Artillerie d'Assaut (AS4), fait partie des morts.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Berry-au-Bac est membre de la communauté de communes de la Champagne Picarde, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villeneuve-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta"/>, et de la première circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Administration municipale

Administration locale

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Liste des maires

Fichier:Berry-au-Bac (Aisne) Mairie.JPG
L’hôtel de ville de Berry-au-Bac.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Berry-au-bac possède une école primaire : maternelle et élémentaire.

Manifestations culturelles et festivités

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Sports

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Médias

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Lieux de cultes

Le territoire de la commune de Berry-au-Bac fait partie de la paroisse catholique « Saint Pierre Saint Paul des Trois Rivières » dans le secteur paroissial de « Laon Nord et Est » du diocèse de Soissons - Laon - Saint-Quentin<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Le lieu de culte est l'église Saint-Hilaire de Berry-au-Bac.

Économie

La sucrerie de Berry-au-Bac a été détruite pendant les combats.[1][2]

Culture locale et patrimoine

Patrimoine architectural

Lieux et monuments

Monument des chars d'assaut

Fichier:Monument de Berry au Bac.jpg
Le monument des chars d'assaut.

Le monument des chars d'assaut, mémorial national, propriété de la commune de Berry-au-Bac, rend hommage à tous les équipages de chars d'assaut tombés au cours de la Première Guerre mondiale. Il est situé au lieu-dit la ferme du Choléra d'où partirent, le Modèle:Date-, les premiers chars d’assaut français en direction de Juvincourt.

Le monument, œuvre de l'architecte Villiers et du sculpteur Maxime Real del Sarte, a été érigé par le groupement des anciens combattants de l'artillerie d'assaut et inauguré le Modèle:Date- en présence des maréchaux Foch et Pétain, des généraux Mangin et Weygand et du général Estienne, « inventeur» des chars ».

Deux chars y sont exposés à titre permanent : depuis 2017, la réplique d'un char Schneider de la Première Guerre mondiale et, depuis Modèle:Date-, un AMX 30<ref>Char portant le nom du commandant Bossut, en hommage à cet officier mort le Modèle:Date- à la tête de ses hommes (groupement Bossut), lors de la première grande offensive de chars de combat Schneider (lancée entre le carrefour du Choléra et Guignicourt).</ref>, char de combat ayant équipé l'armée française à partir de 1967.

Le calvaire de la ferme du Choléra, situé en face du mémorial des chars d'assaut, est implanté à l'endroit où se situait la ferme du Choléra d'où partit la première bataille de chars français.

Nécropole nationale de Berry-au-Bac

Sur une superficie de Modèle:Unité, la nécropole nationale de Berry-au-Bac rassemble Modèle:Unité dont 2 014 en tombes individuelles et 1 958 en ossuaires<ref>http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf//jopdf/1990/134/JO199013402.PDF</ref>.

Située en bordure de la Modèle:Nobr, à la sortie du village en direction Gernicourt, cette nécropole était autrefois appelée le « cimetière militaire de Moscou » parce qu'elle était située dans le hameau de Moscou. Elle fut aménagée de 1919 à 1925. S'y trouve également les tombes de six Russes et d'un Belge.

Un carré contient Modèle:Nobr de soldats britanniques, dont Modèle:Nobr, tombés entre le Modèle:Date- et le Modèle:Date-, lors de l'offensive allemande sur le Chemin des Dames et inhumés ici après l'armistice du Modèle:Date-. Deux soldats britanniques, non-identifiés, tombés lors de la Seconde Guerre mondiale reposent également dans ce cimetière.

Cote 108

Modèle:Article détaillé

Un monument dédié aux sapeurs de la compagnie 19/3, du [[2e régiment du génie|Modèle:2e régiment du génie]], morts à la Cote 108 en 1916 et 1917, a été érigé dans la nécropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les terrains autour de la cote 108, avec leurs vestiges de la Grande Guerre, dont des tranchées et des entonnoirs de mines, sont classés au titre des monuments historiques depuis 1937<ref>Modèle:Base POP Mérimée.</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Jean-Louis Deligny (né en 1791 à Arrancy, mort le Modèle:Date à Berry-au-Bac) a été maire de Berry-au-Bac. Soldat à Waterloo et gravement blessé à la main, il reçut la médaille de Sainte-Hélène en 1857<ref>Les médaillés de Sainte-Hélène</ref> et fut nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1868<ref>Le Moniteur universel du 31 décembre 1868</ref>,<ref>La vie rémoise</ref>.
  • Charles Heyring, fabricant de sucre à Berry-au-Bac, y est mort en 1890.
  • Louis Conneau, général français, a pris part aux batailles de Berry-au-Bac pendant la Première Guerre mondiale.
  • Étienne Fargeau Choderlos de Laclos<ref>Louis de Chauvigny" Les carnets de marche du commandant Choderlos de Laclos" (An XIV - 1814 ) Éditions Payot Lausanne 1912</ref>, commandant, mort sur le champ de bataille de Berry-au-Bac en mars 1814.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Le char Berry-au-Bac

Fichier:ShermanArromanches.jpg
Le char Berry-au-Bac à Arromanches.

À Arromanches (en Normandie, dans le département du Calvados), sur un terre-plein surplombant la ville, est exposé un char américain Sherman M4 portant le nom de Berry-au-Bac.

Ce type de char a servi pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment lors du débarquement de Normandie. Il s'agit ici d'un char de la [[2e division blindée (France)|Modèle:2e DB]] du général Leclerc. Une plaque avec le nom des cinq membres d’équipage est fixée dessus.

En Modèle:Date-, à Arromanches, fut construit un port artificiel, pour permettre le débarquement de matériels de guerre dont les chars Sherman.

Notes et références

Notes et cartes

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

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