Blida

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Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune d'Algérie

Blida (prononcé Modèle:MSAPI), en arabe : البليدة, en tamazight de l'Atlas blidéen : Leblida, tifinagh : ⵍⴻⴱⵍⵉⴷⴰ, surnommée « La Ville des Roses »<ref>El Watan, édition du 09 décembre 2010</ref>, est une commune de la wilaya de Blida, dont elle est le chef-lieu, en Algérie.

Située au contact de l'Atlas blidéen et de la Mitidja, Blida est fondée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour accueillir des immigrés andalous. Étant la capitale de la région de Mitidja, elle est la Modèle:5e par la taille, son unité urbaine compte Modèle:Unité en 2008.

Géographie

Localisation

La commune de Blida est située au centre de la wilaya de Blida. La ville est située à Modèle:Unité au sud-ouest d'Alger, et à Modèle:Unité au nord-est de Médéa, sur la bordure Sud de la plaine de la Mitidja à Modèle:Unité de la mer. L'unité urbaine s'étend en outre de la commune de Blida sur les communes suivantes : Ouled Yaïch, Soumaa, Bouarfa, Beni Mered et Guerouaou<ref name="ONS42">Armature urbaine (RGPH 2008)..., op.cité, Modèle:P..</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Relief et hydrologie

La ville de Blida est située au pied du versant nord de l'Atlas blidéen et au Sud de la plaine de la Mitidja, à une altitude de Modèle:Unité. Elle est localisée sur un cône de déjection construit par l’oued Roumman-El Kebir<ref name="Cote"/>.

Climat

L'Atlas tellien protège la ville des vents secs du sud en provenance des Hauts Plateaux. Cette protection permet à la région de bénéficier d'un climat méditerranéen propice à l'agriculture<ref name="Babo">Modèle:Ouvrage</ref>. La classification de Köppen est de type Csa. La température moyenne est de Modèle:Unité et la moyenne des précipitations annuelles avoisine les Modèle:Unité<ref name="climate">Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Relevé météo

Transports

La ville est desservie par :

Localités de la commune

Fichier:Blidar.JPG
La ville de Blida vue du piémont de Chréa

Lors du découpage administratif de 1984, la commune de Blida est constituée à partir des localités suivantes<ref>Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret Modèle:N°, fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes. Wilaya de Blida, page 1490.</ref> : Modèle:Début de colonnes

  • Blida
  • Sidi El Kebir
  • Tafraout
  • Nader Ourou
  • Hannous (partie basse)
  • Taberkachent
  • Timizert
  • Dardara
  • El Kennar
  • Sidi Fergani
  • Aïn Soltane
  • Imma Mghita
  • Cheikh Benaïssa
  • Hamalite
  • Kamariz
  • Agba El Hamra
  • Ben Boulaïd
  • Zabana
  • Sidi Abdelkader
  • Ben Achour
  • Maramane
  • Beni Sbiha I
  • Kessasma
  • Oued Abarar

Modèle:Fin de colonnes

Toponymie

Le mot Blida vient de l'arabe classique boulayda qui signifie petite ville ou petite contrée, qui est le diminutif de Bilad (pays, contrée)<ref name="tri">Blida, la ville des roses, en quête de son lustre d'antan, La Tribune du 18/11/2008</ref>, il devient en arabe dialectal Blida, ce terme est employé durant la colonisation française. La ville est également surnommée Ourida (petite rose)<ref name="bli3">Mon beau paysBlida (III), Info Soir du 22/03/2006</ref>.

Histoire

Aucun centre antique n’a précédé la ville. On l’a identifiée avec la ville de Mitidja connue au Moyen Âge et qui était ruinée lors des campagnes des Beni Ghania<ref name="EI">Yver, G. and Marçais, G., “Bulayda”, Encyclopédie de l’Islam. Première publication en ligne: 2010 </ref>.

Période ottomane

Fichier:Ecole coranique مدرسة تعليم القرآن - panoramio.jpg
Vieille école coranique.

La ville de Blida est fondée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le marabout: Sidi Ahmed el Kabir avec la participation de musulmans andalous<ref name="Babo31">Daniel Babo, Modèle:Op. cit., Modèle:P.</ref> qui s'installent à Ourida (premier nom de Blida) et transforment alors les terres incultivables en vergers grâce aux plantations d'orangers et l'art de l’irrigation. Ils apportent également à la région, l'art de la broderie sur cuir<ref name="stora">Benjamin Stora, Histoire de l'Algérie coloniale (1830-1954) Collection Repères 2004, p-53 Modèle:ISBN</ref>,<ref name="GB-Algérie">Modèle:Ouvrage</ref>.

La légende locale attribue à Sid Ahmed Ben Youcef surnommé el Kebir des origines andalouses, mais il est originaire du Sahara occidental<ref name="elw">Il était une fois Blida, Sid Ahmed El Kebir, providentiel, El Watan du 08/09/2010.</ref>. À la demande de Barberousse qui a fourni les finances nécessaires des caisses de la régence d'Alger, il créa le noyau de la ville de Blida pour accueillir des réfugiés andalous<ref name="elw" />. Selon la tradition orale, il s'écria en contemplant la ville : « On t'appelle El-Blida (petite ville), je t'appelle El-Ourida (« la petite rose ») ».

Sous la domination ottomane, Blida faisait partie du Dar Es-Soltane, et était gouverné par un ḥākim<ref name="EI"/>. La ville s'agrandit, elle devient un lieu de repos et de prédilection des souverains turcs d'Alger<ref name="bli2">Mon beau pays: Blida (II), Info Soir du 21/03/2006</ref>. Les Ottomans bâtissent des portes monumentales (Bab) à chacune des entrées, Bab el Dzair, Bab el Rahba, Bab el Sebt, Bab el Zaouia, Bab el Kseb, Bab el Kebor et Bab el Kouikha, ces portes n'existent plus de nos jours<ref name="tri" />. Sa population étaient composée des descendants des Andalous, de Maures, de Juifs et de Mozabites<ref name="EI"/>.

Ville de plaisir, et de beauté ; la ville était également menacée, car soumise à d'incessants tremblements de terre<ref name="Cote">Marc Côte, « Blida », in Encyclopédie berbère, 10 | Beni Isguen – Bouzeis, En ligne, mis en ligne le 01 mai 2013, consulté le 22 octobre 2013.</ref>. En 1817, une épidémie de peste a fait 70 à Modèle:Nombre par jour durant un an. En mars 1825, un tremblement de terre détruit la ville<ref name="stora" /> causant un grand nombre de victimes<ref name="bli2" />.

Période de la colonisation française

Fichier:AFR V2 D343 General view of Blida.jpg
Vue de la ville de Blida au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Après l’occupation d’Alger, Blida resta quelque temps indépendante sous l’administration de ses hakims<ref name="EI" />. Les troupes françaises contrôlèrent Blida en 1839<ref name="Babo31" />, neuf ans après le début de la conquête de l'Algérie en 1830 et après de nombreuses tentatives d'occupation. Ils bâtissent de grandes casernes militaires, Blida devenant ainsi une ville garnison de l’armée française pendant toute la durée de la colonisation française<ref name="bli3" />.

Détruite par le séisme de 1825, Blida est reconstruite par les Français selon un plan d'urbanisation hippodamien moderne (rues à angle droit et maisons basses)<ref name="Babo31" />. Aux portes de la ville, trois villages de colonisation sont créés : Joinville et Montpensier en 1843 et Dalmatie en 1844<ref name="Cote" />. En 1848, elle est érigée en municipalité. Sa population est de 61 600 en 1950<ref name="stora" />. C'était la seconde ville du département d'Alger.

L’indépendance

Fichier:Blida centre.jpg
Kiosque de la place du Modèle:1er novembre, au centre de Blida

Après l'indépendance de l'Algérie , Blida, ancienne sous-préfecture du département d'Alger, devient chef-lieu de wilaya en 1974. Elle devient en quelque sorte la capitale de la Mitidja<ref name="tri" />. Toutefois, en raison de sa proximité avec l’agglomération algéroise, Blida sert d’un doublet à Alger ; elle accueille des fonctions et équipements qui ne trouvent plus place dans la capitale. Elle abrite une université, un centre national de maintenance de la Sonatrach, des zones d’habitat nouvelles destinées à absorber la population attirée par la capitale. L’intense trafic quotidien entre les deux villes traduit ce rôle de doublet<ref name="Cote" />.

La ville connut un exode rural important. Elle passe de la Modèle:9e ville du pays par la taille en 1954, au Modèle:5e en 1977, Modèle:6e en 1987<ref name="Cote" /> et Modèle:5e en 2008<ref name="ONS100">Modèle:Ouvrage</ref>. Cette progression démographique s'est accompagnée par des problèmes de logement, malgré les programmes de grands ensembles réalisés par l'État. La poussée urbaine a provoqué l'intégration dans le tissu urbain des vieux noyaux anciens villages coloniaux et le développement incontrôlé de constructions illicites<ref name="Cote" />.

Démographie

Évolutions

Population de la ville et de la commune de Blida de 1884 à 1902
Ville seule 1884 1892 1897 1902
12 939 12 711 15 792 18 024
Commune 1884 1892 1897 1902
20 702 22 911 25 283 29 057
Population 1884<ref>Tableau général des communes de l'Algérie au 30 septembre 1884, Modèle:P.; accès en ligne.</ref> ; population 1892<ref>Tableau général des communes d'Algérie au Modèle:1er janvier 1892, Modèle:P.; accès en ligne.</ref> ; population 1897<ref>Tableau général des communes de l'Algérie au Modèle:1er janvier 1897, Modèle:P. ; accès en ligne.</ref>; population 1902<ref>Tableau général des communes de l'Algérie au Modèle:1er novembre 1902, Modèle:P. ; accès en ligne.</ref>


Selon le recensement général de la population et de l'habitat de 2008, la population de l'unité urbaine de Blida est évaluée à Modèle:Nombre<ref name="ONS100"/>, alors que celle de la commune de Blida est de Modèle:Nombre contre 116 949 en 1977 :

{{#invoke:Démographie|demographie}}

Pyramide des âges

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

Modèle:Pyramide des âges 2

Économie

Tourisme

Fichier:Atlas Mountain Blida Algeria.jpg
L'Atlas blidéen qui domine la ville.

La station de ski de Chréa est proche de Blida.

La cité possède un parc d'attraction dans la zone militaire de Blida à la sortie Ouest, lieu de repos familial, où les familles peuvent admirer les montagnes verdoyantes qui surplombent la ville. Ce dernier est à l'abandon depuis fort longtemps.

Administration et politique

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin

Enseignement

Fichier:Université Saad Dahleb جامعة سعد دحلب - panoramio (1).jpg
Université Saad Dahleb.

La wilaya de Blida dispose de deux universités, et de plusieurs instituts de formation professionnelle. Le 08 septembre 1981, le Centre Universitaire de Blida C.U.B. ouvre ses portes<ref>http://www.joradp.dz/jo6283/1977/051/FP647.pdf</ref>. Au titre de cette rentrée historique, le nombre des étudiants inscrits s’élevait à 526, pour un effectif enseignant de 57 dont Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le C.U.B. devient en août 1989 l'Université de Blida <ref>http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/1989/F1989028.pdf</ref>.

Baptisée: l'Université Saâd Dahlab de Blida (USDB), c'est une université nationale à caractère public, elle est située dans le quartier de Ouled Yaïch sur la route de Soumâa. Récemment, un autre nouveau pôle de l'université a été construit au niveau de la ville d'El Affroun, disposant de plusieurs facultés et de cités universitaires.

En 2013, l'Université Blida 1 a été scindée en deux campus: 1 et 2<ref>http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2013/F2013023.pdf</ref>. L'Université de Blida 1 a hérité de l'ancienne Université de Blida; son site situé sur la route du Soumâa et a gardé le nom de Saâd Dahlab ainsi que la moitié des facultés. L'Université de Blida 2 baptisée Lounici Ali, est située au niveau du site d'El Affroun et a hérité de la moitié des autres facultés de l'ancien campus.

Vie quotidienne

Culture

Fichier:Musiciennes en costume traditionnel, Blida, Algérie.jpg
Musiciennes en costume traditionnel

Ville d'art et de traditions, Blida accueille la musique arabo-andalouse, et se rattache à la sanâa d'Alger, mais revendique une « autonomie » relative<ref name="Bestandji">Modèle:Ouvrage</ref>. Un festival de la musique aroubi est organisé dans la ville<ref name="lesoirdalgerie">Modèle:Lien web</ref>, ainsi que des journées du hawzi, chaque année<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Blida a préservé plusieurs métiers traditionnels à l'instar de la distillation de l'eau de rose, la broderie sur tissu et le travail du cuivre<ref name="APS">Les gâteaux traditionnels : Carte de visite de la ville des roses, Algérie Presse Service du 30/07/2011.</ref>.

La ville est également connue pour la confection des gâteaux algériens. La culture ottomane a marqué de son empreinte la population locale. Parmi, les spécialités héritées des Turcs : Tcharak, Baklawa et Ktaif. Les gâteaux de Blida se distinguent également par leur forme artistique, la ville a connu ces derniers temps , une multiplication des commerces de pâtisserie traditionnelle<ref name="APS"/>.

Sports

Titres nationaux remportés (masculins et féminins) par les clubs omnisports de Blida
Club Installations Fondation Football Handball Volley-ball Basket-ball
Union sportive de la médina de Blida Stade de Brakni 1932 1 ? 12 0
Association Sportive Mitidja de Blida Salle de Hocine Chalane 2006 0 0 0 1

Arrivées du Tour d'Algérie

Patrimoine

Le premier noyau urbain de la ville était structuré autour d’une mosquée implantée sur l’actuelle place du Modèle:1er novembre. Cet édifice religieux a été successivement transformé en caserne militaire, puis en hôpital, pour être reconvertie en église par la suite avant de finir comme école primaire. elle fut rasée par la suite pour aménager une place publique: La Place d’Armes. Deux autres établissements, un four et un hammam ont été bâties par une main d’œuvre recrutée auprès des réfugiés d’Andalousie venus d’Oliva<ref name="elw" />.

Le tombeau de Sidi Ahmed El Kebir, situé dans le cimetière proche de la vallée de l'oued El Kébir à Modèle:Unité au sud de la ville, dans lequel sont enterrés le saint patron de Blida ainsi que ses deux fils<ref>Le guide bleu - Hachette, Modèle:Op. cit., Modèle:P..</ref>.

Parmi les quatre mosquées dont disposait la ville avant la colonisation française, l’une est convertie au culte catholique, l'autre est transformée en caserne, les deux restantes laissées aux Musulmans<ref name="Cote"/>. Les mosquées Ben Sâadoun (achevée à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) et Torki Hanafi (érigée en 1750), construites par les Turcs<ref name="Babo-p31">Daniel Babo, Modèle:Op. cit., Modèle:P..</ref>. La mosquée de Baba Mohamed qui se trouvait à l’entrée de Bab Dzair, fut transformée en une caserne militaire pour abriter les encadrons de l'armée coloniale.

Le quartier El Djoun ou douirette, est le plus vieux quartier de Blida, la plupart de ses demeures sont construites dans un style mauresque. Le quartier s'est sensiblement dégradé<ref name="tri" />.


Personnalités liées à la commune

Fichier:Orchestre-El-Widadia-1970-300x293.jpg
Orchestre-El-Widadia de Blida, Mohamed Benguergoura, et Dahmane Ben Achour

Personnalités sportives

  • Henri Salvano (1901-1964), footballeur international français, natif de Blida
  • Armand Libérati (né en 1923), footballeur international français, natif de Blida
  • Ahmed Bernou (né en 1925), footballeur algérien, natif de Blida
  • Braham Brakni (né en 1931), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Abdelkader Mazouz (né en 1932), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Abdelaziz Chekaïmi, est le premier arbitre international algérien, footballeur algérien, natif de Blida
  • El Hadi Benturki (né en 1948), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Mustapha Sellami (né en 1950), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Nasreddine Akli (né en 1953), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Réda Zouani (né en 1968), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Billal Zouani (né en 1969), footballeur international algérien, natif de Blida
  • Abdelkader Bedrane (né en 1992), footballeur international algérien, natif de Blida

Personnalités littéraires, culturelles et artistiques

  • Victor Margueritte (1866-1942), romancier et auteur dramatique français, natif de Blida
  • Elissa Rhaïs (1876-1940), auteur de romans et de nouvelles orientalistes, native de Blida
  • Keltoum (1916-2010), actrice
  • Abderrahmane Aziz (1920-1992), chanteur algérien connue par Yakabaa Ya bit Rabi, enterré à Blida
  • Jean Daniel (1920-2020), écrivain et journaliste français, natif de Blida
  • Baya (1931-1996), peintre, a vécu et est morte à Blida
  • Henri Atlan (né en 1931), médecin biologiste, philosophe et écrivain français, natif de Blida
  • Georges Laffly (1932-2008), journaliste, critique littéraire et essayiste français, natif de Blida
  • Rabah Driassa (né en 1934), chanteur algérien de musique populaire, natif de Blida
  • Mohamed Mazouni (né en 1940), chanteur algérien, natif de Blida
  • Valérie Boisgel (né en 1946), actrice et auteure française, native de Blida
  • Shmuel Trigano (né en 1948), sociologue, philosophe et professeur des universités français, natif de Blida
  • Frédéric Pieretti (né en 1954), réalisateur, producteur, acteur, éditeur et traducteur français, natif de Blida
  • Farid Khodja (né en 1964), artiste-interprète algérien de musique andalouse, natif de Blida
  • Amar Meriech (né en 1964), poète et journaliste algérien, natif de Blida
  • Nassima Terfaya (née en 1965), écrivaine algérienne
  • Souhila Bel Bahar (1934-2023), peintre algérienne
  • Yasser Ameur, l'homme jaune, artiste peintre du mouvement pop art, natif de Blida<ref>Modèle:Article.</ref>

Personnalités politiques

Autres personnalités

Blida dans les arts et la culture

  • Théophile Gautier séjourna dans plusieurs villes algériennes, parmi elles, Blida. Il évoque cela dans plusieurs de ses écrits : Loin de Paris et Voyage pittoresque en Algérie (1845).
  • Serge Lama évoque la ville dans sa chanson L'Algérie : « Du désert à Blida, c'est là qu'on est partis jouer les p'tits soldats ».

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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