Blieux
Modèle:Infobox Commune de France
Blieux est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Blieuxiens<ref name="tresor"/>.
Géographie
Le village est situé à Modèle:Unité d’altitude<ref name="La Torre"/>, dans la vallée de l’Asse de Blieux, dans le massif du Montdenier.
Blieux est une des 46 communes adhérentes du parc naturel régional du Verdon.
Les communes limitrophes de Blieux sont :
Barrême, Senez, Castellane, Rougon, La Palud-sur-Verdon, Majastres et Senez à nouveau avec son enclave du Poil<ref name="CG"/>,<ref name="A3V"/>.
Géologie
Le périmètre de protection de la réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Blieux.
Environnement
La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit seulement 12 % de sa superficie<ref name="tresor"/>.
Hameaux
- le Bas-Chaudoul
- la Tuilière
- Thon
- la Castelle
Relief
- Mont Chiran (Modèle:Unité) ;
- le Grand Mourre (Modèle:Unité) ;
- crête de Montmuye (culmine à Modèle:Unité) ;
- le Mourre de Chanier (Modèle:Unité).
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :
- rivière l'Asse,
- ravins de Reibert, de Chaudanne, du Riou d'Ourgeas, du Champ, de la Font des Bruscs, du Collet, de Chanier, de la Clue, de la Clape, de la Colle, du Riu, du Rayet, de la radasse, des Roumégière, de Longuet, des Lèches, de la Bourbonne, de la Castelle, de la Plâtrière, de la Charbonnière, de la Quille, des Combes, de Malamort, du Chast, du Pas d'Escale, de l'Enfantasse, du Roi, de la Gipière Blanche,
- vallon Nègre,
- torrent de Praux.
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Blieux est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>. La commune de Blieux est également exposée à trois autres risques naturels<ref name="prim"/> :
- feu de forêt ;
- inondation ;
- mouvement de terrain : la commune est concernée par un aléa moyen à fort dans toute la vallée de l’Asse<ref name="ddrm37"/>.
La commune de Blieux n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture<ref name="ppr"/>.
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune<ref name="ppr"/> et le Dicrim existe depuis 2011<ref name="dicrim"/>.
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle, en 1994 (hiver et automne) et en 2011, pour des inondations, des glissements de terrain et des coulées de boue<ref name="prim"/>. Les tremblements de terre qui ont été le plus fortement ressenti à Blieux sont ceux des 30 novembre 1951, avec une intensité de 6,5 (épicentre à Chasteuil, actuellement rattaché à Castellane) et 17 février 1947, d’intensité 3 dans la commune (avec un épicentre dans le Piémont)<ref name="brgm"/>.
Urbanisme
Typologie
Blieux est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (61,5 %), forêts (19,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), prairies (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Selon Ernest Nègre, le nom de la commune (Bleus en 1110, Vleus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle selon l’Atlas historique de la Provence<ref name="AHP"/>) vient de l’occitan bleusse, qui signifie « sec », probablement en référence au sol sec<ref name="TGF"/>. Selon Charles Rostaing, il se forme sur la racine oronymique (désignant une montagne en forme d’éperon) *BL<ref name="Rostaing"/>, toponyme qui est probablement préceltique<ref name="AHP-c11"/>. Les Fénié sont du même avis que Rostaing<ref name="Fénié-80"/>.
Le lieu-dit la Melle (castri de Mela, vers 1200), a un nom tiré du celtique mello, désignant un lieu situé en hauteur<ref name="Rostaing206"/>,<ref name="Fénié-23"/>.
Histoire
Dans l'Antiquité, le peuple installé à l'arrivée des Romains est celui des Sentii<ref name="AHP-c12">Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire</ref>.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1110, comme appartenant à Raimundus de Bleus<ref name="archeo-provence"/>. Le fief appartient au chapitre épiscopal de Senez, puis passe aux Castellane au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, aux Pontevès au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, aux Engelfred au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="AHP"/>. Les églises des paroisses de Blieux (à Blieux et à Melle), et les revenus qui y sont attachés, passent successivement à l'abbaye Saint-Victor de Marseille, à l’évêque de Senez, puis à l’abbaye de Lérins<ref name="archeo-provence"/>.
En 1342, la communauté de Blieux est rattachée à la viguerie de Castellane par le comte de Provence<ref name="histo_sous-pref"/>,<ref name="archeo-provence"/>.
Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire{{#if:| }}, la communauté de Roquemartine adhère à l'Union d'Aix (1382-1387), soutenant Charles de Duras contre [[Louis Ier d'Anjou|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} d'Anjou]]. Elle fait même partie des plus fidèles et maintient son soutien même après la reddition d'Aix. Ce n’est que fin 1387 qu’elle se soumet<ref>Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, Modèle:N°162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes Modèle:P.417-418 et Modèle:P.419, et 408.</ref>.
À la fin des guerres de Religion, les habitants de Blieux détruisent leur église pour éviter que leurs ennemis s’en emparent<ref name="archeo-provence"/>.
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792<ref name="club"/>.
La Révolution et l’Empire apportent nombre d'améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités. Dès 1811, le cadastre dit napoléonien de Blieux est achevé<ref>Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XXI|-| – | XXI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. Modèle:ISBN, Modèle:P.10.</ref>.
Comme de nombreuses communes du département, Blieux se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en compte deux qui dispensent une instruction primaire aux garçons, situées au chef-lieu et au hameau de la Melle<ref name="labadie9"/>. Les filles bénéficient elles aussi de cette instruction, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de Modèle:Nobr<ref name="labadie16"/>,<ref name="labadie18"/>.
Héraldique
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Intercommunalité
Blieux fait partie :
- jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Moyen Verdon ;
- à partir du Modèle:Date, de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le Modèle:Date avec effet le Modèle:Date, regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)<ref>Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon</ref>.
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 8,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,50 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 53,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 17,16 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Démographie
En Modèle:Population de France/dernière année, Blieux comptait Modèle:Population de France/dernière pop habitants. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements réels des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Blieux). Les autres « recensements » sont des estimations.
La commune est, parmi celles des Alpes-de-Haute-Provence qui ont subsisté sans être totalement abandonnées, celle qui a connu le plus grand recul démographique entre le milieu du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:| }} }} (et même la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) et le milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
{{#invoke:Démographie|demographie}}
L’histoire démographique de Blieux, après la grande saignée du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et la lente croissance allant de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle aux années 1830, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période, courte dure de 1831 à 1841. Elle est suivie d’un mouvement de diminution assez rapide. En 1896, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population de 1836<ref>Christiane Vidal, « [Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.] », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.287.</ref>. Le mouvement de baisse s’est poursuivi jusqu’aux années 1960. Depuis un demi-siècle, la population est stable, entre 50 et Modèle:Nobr, soit 5 à 6 % de la population du maximum de 1836.
Modèle:Population de France/graphique
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à Modèle:Nobr, dont sept chômeurs<ref name="insee-dossier-local5"/>. Ces travailleurs sont majoritairement non-salariés (neuf sur dix-sept)<ref name="insee-dossier-local7"/> et travaillent majoritairement dans la commune (même proportion)<ref name="insee-dossier-local7"/>. L’essentiel des établissements de la commune se trouvent dans l’agriculture (13 sur 21 en 2010)<ref name="insee-dossier-local15"/>.
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait Modèle:Nobr actifs au sens de l’Insee et aucun emploi salarié<ref name="insee-dossier-local15"/>.
Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en forte baisse dans les années 2000, passant de 10 à 6, essentiellement des élevages ovinsModèle:Référence incomplète. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de Modèle:Nombre à Modèle:Nombre, alors que le nombre d’exploitations baissait (de 12 à 10)<ref name="exploitations-insee"/>. Ce mouvement s’est poursuivi, la SAU s’établissant à Modèle:Nombre en 2010<ref name="otex"/>.
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait un seul établissement artisanal, employant un salarié<ref name="insee-dossier-local15"/>.
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait cinq établissements (sans aucun emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif, sanitaire et social<ref name="insee-dossier-local15"/>.
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant<ref name="atlas-hébergement6"/>. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :
- plusieurs meublés<ref name="atlas-hébergement32"/> ;
- un gîte est le seul hébergement collectif<ref name="atlas-hébergement30"/>.
Les résidences secondaires apportent un appoint important à la capacité d’accueil<ref name="atlas-hébergement44"/> : plus de la moitié des logements (soit 52) sont des résidences secondaires, dont 10 avec deux logements ou plus<ref name="insee-dossier-local17"/>,<ref name="insee-tourisme"/>.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux :
- Église Sainte-Elizabeth-de-Portugal à la Melle<ref name="La Torre"/> (douteuse, il semble que ce soit à sainte Élisabeth (mère de Jean le Baptiste) et non à sainte Élisabeth de Portugal qu’il faille attribuer la titulature<ref name="archeo-provence"/>). Elle est construite à plus de Modèle:Unité d’altitude au-dessus de la Melle<ref name="archeo-provence"/> ;
- Chapelle du Bas-Chaudoul ; chapelle de la Tuilière, en ruines ;
- Chapelle Saint-Pons, au hameau du Thor (ou du Thon, ou du Toun<ref name="archeo-provence"/>), en ruines, peut avoir la partie antérieure qui remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Collier135"/>. Elle est déjà signalée en 1122<ref name="archeo-provence"/>.
- L’église Saint-Symphorien (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) est de caractère très archaïque, avec un décor fruste ; les chapelles latérales sont formées de renfoncements voûtés pratiqués dans les murs<ref name="Collier224"/>. La statue de la Vierge à l'Enfant, un marbre du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est classée au titre objet<ref name="Palissy"/>. Elle est ornée d’un tableau (Modèle:Unité sur 128), représentant la Visite de saint Antoine à saint Paul ermite. Il représente la scène de la Légende dorée où un corbeau envoyé par Dieu apporte un pain à l’ermite. Datée entre 1850 et 1875, elle est de la main de Fidèle Maria Patritti<ref name="des oiseaux"/>. C’est cette église que les habitants détruisent en 1595, reconstruisent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="archeo-provence"/>.
- Monuments commémoratifs :
- Plaque commémorative dans l'église Saint-Symphorien<ref>Modèle:Base Palissy plaque commémorative</ref>,
- Plaque commémorative chapelle de La Melle,
- Plaque commémorative Chapelle Sainte Elizabeth<ref>Plaques commémoratives</ref>.
Autres patrimoines :
- Château au sommet du village, en ruines ({{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:| }} }} ou Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles<ref name="Collier315"/>)
- Quatre ponts de Blieux sont assez anciens :
- le pont de l’Asse, à la Rouvière : situé sur la route allant à la Tuilière (RD 21), ancienne route de Castellane par le col des Lèques, il adopte une forme classique, en dos d'âne, à une arche. Il date approximativement des {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles
}}<ref name="Barruol59"/> ;
- toujours sur l’Asse, le pont en dessous de l’ancien village<ref name="Barruol59-2"/> ;
- le pont sur un affluent de l’Asse : il a la particularité d’avoir un tablier en pente, proche deux précédents<ref name="Barruol60"/> ;
- le pont de la Melle : situé sur le chemin muletier Senez-Melle, il permet le franchissement du ravin du Chast. Sa voûte est en partie taillée dans le tuf et est aux deux-tiers appareillée dans du tuf, qui a pu être extrait sur place. Il peut dater du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Barruol60-2"/> ;
- Observatoire astronomique au Chiran.
- Canaux d'irrigation<ref>restauration et l’entretien des canaux d’irrigation gravitaire : le soutien de la Fondation du patrimoine</ref>.
-
Chapelle de la Basse-Melle.
-
Plaque monument aux morts des hameaux de la Haute et de la Basse-Melle.
-
Pont muletier de La Melle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
- Benoît Gréan, PSB 24 (Petite suite blieuxoise en Modèle:Nobr, alidades, 2010 Modèle:ISBN
- Modèle:Collier-Haute-Provence
- Modèle:Atlas historique de la Provence
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Blieux, vallée de l'Asse, sur le site Dignois
- Cadrans solaires du Pays du Haut-Verdon : Blieux
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
- Blieux sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes