Rougon
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Rougon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Rougonnais<ref name="tresor"/>.
Géographie
Localisation
Rougon est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.
Les communes limitrophes de Rougon sont Blieux, Castellane, Trigance (dans le département du Var) et La Palud-sur-Verdon.
Géologie et relief
Le village est perché à Modèle:Unité d’altitude<ref name="La Torre"/>, sur un éperon qui sert également de col, à proximité des gorges du Verdon.
Le belvédère du Point Sublime (site inscrit) est sur le territoire de la commune<ref name="diren"/>. L’éperon sur lequel est situé le château est un site classé<ref name="diren"/>. Le point culminant est le Mourre de Chanier (Modèle:Unité), dans le massif du Montdenier.
On trouve des fossiles tithoniques sur la commune. L'essentiel du substrat est cependant composé des calcaires jurassiques, qui ont donné lieu à de nombreuses formations karstiques<ref name="diren"/>.
La commune est située dans le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :
- rivière le Verdon ;
- rivière le Jabron ;
- rivière l'Artuby ;
- rivière le Bau ;
- ravins du Riu, de Passerin, de Patarasse, de Cabroulet, de Saint-joseph, de Réquiran, des Conhets ;
- torrent de Praux ;
- vallon le grand.
Climat
Modèle:… Modèle:Article détaillé
Voies de communication et transports
Voies routières
La commune de Rougon est desservie par la route départementale Modèle:Nobr (ancienne route nationale 552), qui relie Castellane à Gréoux-les-Bains en empruntant la vallée du Verdon et le plateau de Valensole<ref name="IGN"/>.
Services autocars
Lignes régionales, réseau Zou !
- Rougon est desservie par 1 ligne de PROXIMITÉ :
Ligne | Tracé |
---|---|
Modèle:Bus Zou/correspondance | Castellane ↔ Rougon ↔ Moustiers-Sainte-Marie ↔ Riez |
Végétation
La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit 27 % de sa superficie<ref name="tresor"/>.
Risques naturels et technologiques
La commune de Rougon est également exposée à trois risques naturels<ref name="prim"/> : les feux de forêt, les inondations et les mouvements de terrain.
La commune de Rougon est de plus exposée à deux risques d’origine technologique<ref name="ppr"/> :
- celui de transport de matières dangereuses par route : la départementale Modèle:Nobr peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses<ref name="ddrm80"/> ;
- celui de rupture de barrage. Rougon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon<ref name="ddrm88"/>,<ref name="ppi14"/>. Si cette rupture advenait, l’onde de submersion passerait en crête au-dessus de celui de Chaudanne<ref name="dreal"/>, et atteindrait la clue de Chasteuil en Modèle:Nobr (où elle entre dans la commune de Rougon)<ref name="ppi19"/>, progressant à une vitesse moyenne de Modèle:Unité. Ensuite, elle ralentirait pour arriver à hauteur du village au bout de Modèle:Nobr, ne dépassant pas toutefois la cote des Modèle:Unité (soit une hausse du cours du Verdon de plus de Modèle:Unité)<ref name="ppi20"/>.
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune<ref name="ppr"/> mais le Dicrim existe depuis 2011<ref name="dicrim"/>.
La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue en 1994 et 2011<ref name="prim"/>. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le Modèle:Date-. Il a été ressenti avec une intensité macro-sismique de VI et demi sur l’échelle MSK<ref name="brgm"/>,<ref name="brgm40099"/>. Celui du Modèle:Date- avait son épicentre dans la commune, et une intensité de 4<ref name="brgm40193"/>.
Sismicité
Aucune des Modèle:Nobr du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Rougon est en Modèle:Nobr (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en Modèle:Nobr (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>.
Toponymie
Le nom de la commune est ancien : outre villa Rovagonis 814, on connaît les formes Rovagonus (1056), de castro Rogone (1096), oppidi Ragonis (1114) et de Roagono (1200). Il fait l’objet de différentes interprétations :
- selon Charles Rostaing, il est construit sur la racine *Rub-, désignant un rocher<ref>Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (Modèle:1re 1950), p 237</ref>, et antérieure aux Gaulois<ref name="AHP-c11">Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, Modèle:Opcit, carte 11 et commentaire</ref> ;
- selon Ernest Nègre, il est construit sur un nom propre préceltique, à l’origine et au sens incertains<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 1176, p 56</ref>. La commune se nomme Rogon en provençal selon la norme classique et Rougoun selon la norme mistralienne.
Histoire
Sur la barre de Catalan (1333 m d’altitude), une enceinte, peut-être protohistorique a été repérée par prospection aérienne : elle était défendue par deux murs concentriques, épais d’environ Modèle:Unité<ref>Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, Modèle:P.397.</ref>,<ref>Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur », Gallia, Tome 43, Modèle:N°2, 1985. Modèle:P.534.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 814, avec la mention de villa Rovagonis dans le polyptyque de Wadalde. Cette villa est le siège d’une vaste exploitation appartenant à l’abbaye Saint-Victor de Marseille. Elle a aussi de nombreuses fermes sous sa dépendance à Rougon et La Palud<ref name="archeo-provence"/>,<ref>Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.</ref>. Un château fut construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. La paroisse relevait de l’évêque de Riez, qui, à partir de 1096, partagea les dîmes avec l’abbaye de Montmajour<ref name="archeo-provence"/>.
Les Templiers possédaient un bien à Rougon<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Il s’agit du Prieuré Saint-Maxime, en limite de la commune de Trigance<ref name="archeo-provence"/>,<ref name="durbec"/>. Comme tout bien des Templiers, il était exempté de redevance envers l’évêque de Riez, et donc toutes les dîmes et redevances allaient intégralement aux Templiers. Le prieuré est passé à l’ordre des Hospitaliers au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="archeo-provence"/>.
La seigneurie, d’abord aux Castellane (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), passe aux Glandevez (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), puis aux Brun-Castellane ({{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}) et est enfin achetée par l’abbaye de Lérins en 1732<ref name="AHP">Modèle:Atlas historique de la Provence, Modèle:P.193.</ref>,<ref name="archeo-provence"/>. Cette seigneurie comportait le château, les droits de justice et divers autres, le moulin banal, plusieurs bâtiments dont deux bastides, des terres, prés.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur de Rougon, Guyard de La Garde, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier<ref>Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, Modèle:N°162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, Modèle:P.412 (note 55).</ref>.
Durant la Révolution, la commune de Rougon compte une société patriotique, créée après la fin de 1792<ref name="club">Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, Modèle:N°307, Modèle:1er 1989, Modèle:108e, Modèle:P.296-298.</ref>.
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du Modèle:Date- précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1835 que le cadastre dit napoléonien de Rougon est achevé<ref>Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, {{#switch: -
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XXI|-| – | XXI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
}}, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. Modèle:ISBN, Modèle:P.10.</ref>.
Comme de nombreuses communes du département, Rougon se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà son école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants<ref name="labadie16"/>, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Rougon<ref name="labadie18"/>. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.
Héraldique
Modèle:Article détaillé Modèle:Blason commune
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Intercommunalité
Rougon fait partie:
- jusqu'en 2016 de la Communauté de communes du Moyen Verdon ;
- à partir du Modèle:Date, de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
Typologie
Rougon est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le Modèle:Date avec effet le Modèle:Date, regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)<ref>Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (59,2 %), forêts (30,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 9,75 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,84 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,88 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 16,52 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
{{#invoke:Démographie|demographie}}
En 1906, la population comprend Modèle:Nobr présents temporairement pour la construction d'une conduite maçonnée devant amener l'eau du Verdon de Castellane à l'usine hydro-électrique du Galetas, qui ne fut jamais achevée<ref>Allain Collomp, La découverte des gorges du Verdon : histoire du tourisme et des travaux hydrauliques, Édisud, 2002, Modèle:ISBN, Modèle:P.</ref>.
Modèle:Population de France/graphique
Enseignement
Santé
Cultes
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Tourisme
Commerces
Le café La Terrasse, qui porte le label Bistrot de Pays<ref name="charte">La charte Bistrot de Pays</ref>, adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village »<ref>L'implantation des Bistrots de pays en France métropolitaine en 2010</ref>.
Lieux et monuments
Le patrimoine naturel, la faune et la flore
- Le site des gorges du Verdon traverse la commune, il est classé depuis 1990 et figure dans tous les guides touristiques consacrés à la région<ref name="diren"/>.
- L'inventaire des espèces et infra-espèces sur la commune a permis de recenser Modèle:Unité terminaux<ref>Inventaire national du patrimoine naturel de la commune</ref>
Le patrimoine civil
- Le village est dominé par les ruines du château fort, perché sur une arête vertigineuse dominant l'entrée des gorges du Verdon<ref>Un nid d’aigle à Rougon</ref>. Le site du château est lui aussi classé<ref name="diren"/>). Une arche construite au-dessus d’une faille permettait d’agrandir la surface du château, accessible par un sentier malaisé. D’autres vestiges de fortifications sont visibles à la barre des Catelans<ref>Raymond Collier, Modèle:Opcit, p 273</ref>. Ce château défendait la route d’accès à Castellane<ref>Raymond Collier, op. cit., p 316</ref>.
- La commune compte deux ponts anciens :
- le pont du Tusset<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> qui franchit le Verdon, au pied du village. Situé à l’aplomb du Point Sublime, il est construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sur une draille de transhumance entre Chasteuil et le plan de Canjuers. Son arche en dos-d'âne supporte un tablier de 24 m long et de 3 m de large. Sa chaussée est caladée<ref>Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 107</ref> ;
- le pont de Carajuan<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, également sur le Verdon : situé dans la clue de Carajuan, ses deux arches surbaissées supportent une voie de 3 m de large. La pile centrale est protégée par un avant-bec. Construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il remplace un pont qui existait en 1655<ref>Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 106</ref>.
- Les fontaines<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, lavoirs<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Le lavoir du jardinier</ref>,<ref>La fontaine de Rougon</ref>, abreuvoirs<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>La gourgette des moutons</ref> et puits<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Le patrimoine religieux
- L’église paroissiale Notre-Dame-de-la-Roche-et-Saint-Romain<ref name="AHP"/>, patronnée par saint Christophe<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref name="archeo-provence"/>, est de style roman.
- La chapelle romane Saint-Christophe<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>La chapelle des voyageurs</ref>, située au cimetière<ref name="archeo-provence"/>, précédée d’un porche, possède une nef de trois travées voûtées d’arêtes qui débouche dans une chœur à chevet plat en berceau. Elle est construite à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ou au début du suivant<ref>Raymond Collier, Modèle:Opcit, Modèle:P.</ref>. Les peintures à motifs végétaux des arcs-doubleaux datent de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Raymond Collier, Modèle:Opcit, Modèle:P.</ref>. Enfin, son sol est recouvert d’un carrelage émaillé jaune<ref>Raymond Collier, Modèle:Opcit, Modèle:P.</ref>. Dans son mobilier se trouve un buste-reliquaire des environs de 1600, classé monument historique au titre objet<ref>Arrêté du 8 janvier 1975, notice de la Base Palissy, consultée le 7 décembre 2008</ref>.
- L’ancienne chapelle templièreModèle:Note puis hospitalièreModèle:Note Saint-Mayme (anciennement Saint-Maxime) et les bâtiments du prieuré, parfois décrits comme une bastide<ref name="durbec"/>, sont occupés par une ferme<ref name="archeo-provence"/>.
- Les oratoires<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Six oratoires au pays des vaubourg</ref>.
- Monument aux morts<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Monument aux morts : Historique</ref>,<ref>Edmond Audibert</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Le prêtre ouvrier Guy Gilbert (né en 1935) y possède une ferme dont il a fait un centre de rééducation, appelé La bergerie de Faucon.
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Collier-Haute-Provence
- Modèle:Atlas historique de la Provence
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Cavités souterraines naturelles et ouvrage civil
- Forteresse de Rougon, par Paul Courbon
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
Articles connexes
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Rougon sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes