Championnat de France féminin de football

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox Compétition sportive Le championnat de France féminin de football, aussi appelé Division 1 ou D1 féminine et officiellement D1 Arkema pour des raisons de parrainage, est le championnat féminin français de football de plus haut niveau. Créé pour la première fois en 1919 par la Fédération des sociétés féminines sportives de France (FSFSF) puis disparu en 1932, il renaît en 1974 sous l'égide de la Fédération française de football (FFF).

Après deux décennies de championnat composées de groupes régionaux et d'une phase finale, c'est en 1992 qu'apparait le premier championnat féminin composé d'un seul groupe national. Si le format des divisions inférieures a souvent été chamboulé, le format de première division n'a plus changé depuis les années 1990.

L'Olympique lyonnais est le club qui a remporté le plus de titres de première division (16), il détient également le record du nombre de victoires consécutives (14). Il est le tenant du titre de la compétition (2023).

Modèle:Sommaire

Histoire

Les prémices du football féminin

Modèle:Article détaillé Le premier championnat féminin de football a lieu en 1919, à l'initiative de la FSFSF, dans un contexte où les femmes ont non seulement remplacé dans les usines et dans les champs les hommes partis à la guerre, mais où elles ont aussi investi le domaine du sport, dont le football.

Le tout premier match du championnat de France féminin s'est déroulé le matin du 23 mars 1919 au stade Brancion de Paris entre Fémina Sport et l'En Avant. Fémina Sport l'aurait emporté par 2-0<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>, le score de 3-1 étant aussi évoqué<ref>Modèle:Article</ref>.

Les deux premières éditions du championnat ne concernent que des équipes parisiennes. En avril 1933, le football est officiellement radié des sports organisés par la Modèle:Abréviation discrète, en raison de la désaffection croissante des femmes pour ce sport, dont la pratique est soumise à de fortes critiques. La Ligue de Paris de Football féminin, créée en 1933, prend la relève et le 26 novembre 1933 organise un championnat de Paris féminin à dix clubs qui dure jusqu'en 1937.

La création d'un championnat sous l'égide de la FFF

Modèle:...

Après une renaissance du football féminin en France au milieu des années 1960, ce n'est qu'en mars 1970 que la FFF reconnait officiellement sa pratique et quatre autres années suivent avant la création d'un championnat de France officiel. Pour leurs premières phases finales (1974-1975), huit équipes féminines régionales se sont qualifiées : FC Bergerac, Caluire Saint-Clair SC, ARC Cavaillon, FC Metz, Arago sport orléanais, Stade de Reims, FC Rouen et FC Vendenheim. Le titre est remporté lors de cette première saison par le club de Reims<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le Stade de Reims, qui s'est qualifié pour les huit finales suivantes jusqu'en 1982 et en a remporté cinq, ainsi que l'AS Étrœungt (trois fois champion en quatre finales) ont dominé ces premières années du championnat. Ces deux clubs sont d'ailleurs les seuls champions nationaux à n'avoir jamais connu la première division masculine, jusqu'à la saison 2015-2016 incluse. À noter également, qu'aucune équipe de la région de la capitale n'a pour le moment un rôle dans ce jeune championnat. Mais cela change avec le début de la domination de la VGA Saint-Maur et ses six titres de champion entre 1983 et 1990. La dernière apparition de Saint-Maur durant ses années-là (1991) est suivie par le début de la suprématie du FC Lyon et du Juvisy FCF, qui ont remporté presque tour à tour le titre de champion jusqu'en 1998. Elles gagneront d'ailleurs les deux dernières éditions en format matches de groupe et matchs à élimination directe, puisqu'en 1992 le championnat devient la National 1A et introduit le principe d'une ligue de Modèle:Nombre.

Après une double domination des joueuses de Lyon et de Juvisy pendant huit ans (quatre titres chacun), les joueuses de Toulouse deviennent quadruple championnes de France de 1998 à 2001 sous la bannière du TOAC puis en 2002 sous celle du TFC. Entre deux victoires de Juvisy, le Montpellier HSC remporte le championnat pour la première fois en 2004 et enchaîne en 2005. La saison 2006-2007 marque le début de la suprématie indiscutable des féminines de l'Olympique lyonnais sur le championnat de France féminin de football. S'ensuit une série de 14 titres consécutifs et un bilan titanesque : de leurs Modèle:Nombre à la fin de la saison 2018-2019, elles en ont remporté 263 pour seulement cinq défaites (deux contre Juvisy et le Paris Saint-Germain, une contre Hénin-Beaumont). Paris (sept fois), Montpellier et Juvisy (trois fois chacun) deviennent ainsi les inévitables deuxièmes. Mais depuis 2012 et l'arrivée des propriétaires qataris dans le club de la capitale, la section féminine du PSG ne cesse de réduire l'écart avec les championnes lyonnaises<ref name="lemonde" />. Les rencontres entre l'Olympique lyonnais et le Paris Saint-Germain deviennent ainsi un Modèle:Citation du championnat, ces matchs étant décisifs pour le titre, et une forte rivalité nait alors entre les deux clubs. Toutefois un gouffre se crée alors dans le championnat entre ces deux clubs au moyen financier important et les autres<ref name="lemonde">Modèle:Article</ref>.

La saison 2020-2021 est historique pour la D1, de par la pandémie de Covid-19 qui contraint les clubs à jouer les matchs à huis clos, mais surtout synonyme de premier sacre pour le Paris Saint-Germain, détrônant Lyon après 14 titres consécutifs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2023, la FFF engage un plan de développement du football féminin français. Des play-offs sont mis en place pour les 4 premiers avec des demi-finales suivies d'une petite et grande finale afin de déterminer le champion de France et les trois qualifiés pour la Ligue des champions. Des centres de formation féminins agréés sont créés, une licence club est instaurée afin d'augmenter les exigences de structuration des clubs et sur la qualité des stades<ref>Modèle:Lien web</ref>. Par ailleurs, une Ligue professionnelle féminine de football (LPFF) interne à la fédération est créée afin de professionnaliser la D1 et la D2 et développer les ressources du championnat. Elle est dotée la première année d'un budget de 7,3 millions d'euros<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Palmarès et statistiques

Palmarès

Palmarès des clubs champions de France
Rang Clubs 2022-2023 Titre(s) Année(s)
1 Olympique lyonnais Division 1 16 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2022, 2023
2 FCF Juvisy / Paris FC Division 1 6 1992, 1994, 1996, 1997, 2003, 2006
VGA Saint-Maur Régional 1 6 1983, 1985, 1986, 1987, 1988, 1990
4 Stade de Reims Division 1 5 1975, 1976, 1977, 1980, 1982
5 Toulouse OAC / Toulouse FC Division 2 4 1999, 2000, 2001, 2002
FC Lyon Régional 2 4 1991, 1993, 1995, 1998
7 AS Étrœungt Disparue 3 1978, 1979, 1981
8 Montpellier HSC Division 1 2 2004, 2005
9 Saint-Brieuc SC / EA Guingamp Division 1 1 1989
ASJ Soyaux Charente Division 1 1 1984
Paris Saint-Germain Division 1 1 2021

Bilan par édition

Édition Saison Champion Vice-champion Troisième Clubs Matchs Buts Meilleure buteuse Meilleure passeuse
Total Par match Joueuse Modèle:Abréviation Joueuse Modèle:Abréviation
Championnat de France féminin
Modèle:1re Modèle:Nobr Stade de Reims AS Orléans Pas de classement 16 37 Aucune donnée connue à ce jour,
votre aide est la bienvenue.
Modèle:2e 1975-1976 Stade de Reims (2) FC Rouen 18 38
Modèle:3e 1976-1977 Stade de Reims (3) Caluire SCSC 20 54
Modèle:4e 1977-1978 AS Étrœungt Stade de Reims 20 54
Modèle:5e 1978-1979 AS Étrœungt (2) Stade de Reims 20 54
Modèle:6e 1979-1980 Stade de Reims (4) ASJ Soyaux 48 175
Modèle:7e 1980-1981 AS Étrœungt (3) Stade de Reims 48 175
Modèle:8e 1981-1982 Stade de Reims (5) AS Étrœungt 48 175
Modèle:9e 1982-1983 VGA Saint-Maur FCF Hénin-Beaumont 48 245
Modèle:10e 1983-1984 ASJ Soyaux VGA Saint-Maur 48 250
Modèle:11e 1984-1985 VGA Saint-Maur (2) FC Lyon 48 250
Modèle:12e 1985-1986 VGA Saint-Maur (3) ASJ Soyaux 48 240
Modèle:13e 1986-1987 VGA Saint-Maur (4) ASJ Soyaux 48 329 1186 3,60 Aucune donnée connue à ce jour,
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Modèle:14e 1987-1988 VGA Saint-Maur (5) FCF Hénin-Beaumont 30 283 946 3,34
Modèle:15e 1988-1989 Saint-Brieuc SC ASJ Soyaux 30 283 962 3,39
Modèle:16e 1989-1990 VGA Saint-Maur (6) Poissy JSF 30 265 883 3,33
Modèle:17e 1990-1991 FC Lyon VGA Saint-Maur 30 283 914 3,22
Modèle:18e 1991-1992 FCF Juvisy Saint-Brieuc SC 30 283 1091 3,85
National 1A
Modèle:19e 1992-1993 FC Lyon (2) FCF Juvisy VGA Saint-Maur 12 132 423 3,20 Aucune donnée connue.
Modèle:20e 1993-1994 FCF Juvisy (2) FC Lyon ASPTT Strasbourg 12 132 458 3,46
Modèle:21e 1994-1995 FC Lyon (3) Toulouse OAC FCF Juvisy 12 132 485 3,67
Modèle:22e 1995-1996 FCF Juvisy (3) ASJ Soyaux Toulouse OAC 12 132 474 3,59
Modèle:23e 1996-1997 FCF Juvisy (4) Toulouse OAC Saint-Brieuc SC 12 132 491 3,71
Modèle:24e 1997-1998 FC Lyon (4) FCF Juvisy Toulouse OAC 12 132 505 3,82
Modèle:25e 1998-1999 Toulouse OAC ESOFV La Roche FCF Juvisy 12 132 492 3,72
Modèle:26e 1999-2000 Toulouse OAC (2) FCF Juvisy FC Lyon 12 138 582 4,21 Modèle:FRA-d Briche<ref>Modèle:Lien web</ref> 22 Aucune donnée connue.
Modèle:27e 2000-2001 Toulouse OAC (3) ESOFV La Roche FCF Juvisy 12 138 601 4,35 Modèle:FRA-d Pichon 31
Modèle:28e 2001-2002 Toulouse FC (4) FCF Juvisy FC Lyon 12 138 508 3,68 Modèle:FRA-d Pichon 22
Division 1
Modèle:29e 2002-2003 FCF Juvisy (5) FC Lyon Montpellier HSC 12 138 492 3,56 Modèle:FRA-d Brétigny 26 Aucune donnée connue à ce jour, votre aide est la bienvenue.
Modèle:30e 2003-2004 Montpellier HSC FC Lyon FCF Juvisy 12 138 419 3,03 Modèle:FRA-d Morel 18
Modèle:31e 2004-2005 Montpellier HSC (2) FCF Juvisy Olympique lyonnais 12 132 471 3,56 Modèle:FRA-d Pichon 38
Modèle:32e 2005-2006 FCF Juvisy (6) Montpellier HSC Olympique lyonnais 12 132 429 3,25 Modèle:FRA-d Pichon 36
Modèle:33e 2006-2007 Olympique lyonnais Montpellier HSC FCF Juvisy 12 132 510 3,86 Modèle:FRA-d Brétigny 42 Modèle:FRA-d Bompastor 19
Modèle:34e 2007-2008 Olympique lyonnais (2) FCF Juvisy Montpellier HSC 12 132 440 3,33 Modèle:FRA-d Tonazzi 27 Modèle:FRA-d Bompastor 20
Modèle:35e 2008-2009 Olympique lyonnais (3) Montpellier HSC FCF Juvisy 12 132 521 3,94 Modèle:BRA-d da Silva 27 Modèle:FRA-d Necib 12
Modèle:36e 2009-2010 Olympique lyonnais (4) FCF Juvisy Paris Saint-Germain 12 132 457 3,46 Modèle:FRA-d Le Sommer 19 Modèle:FRA-d Necib 11
Modèle:37e 2010-2011 Olympique lyonnais (5) Paris Saint-Germain Montpellier HSC 12 132 422 3,19 Modèle:FRA-d Tonazzi 20 Modèle:FRA-d Thomis 11
Modèle:38e 2011-2012 Olympique lyonnais (6) FCF Juvisy Montpellier HSC 12 132 519 3,93 Modèle:Nobr 22 Modèle:FRA-d Lattaf 19
Modèle:39e 2012-2013 Olympique lyonnais (7) Paris Saint-Germain FCF Juvisy 12 132 530 4,02 Modèle:SWE-d Schelin 24 Modèle:FRA-d Bompastor 14
Modèle:40e 2013-2014 Olympique lyonnais (8) Paris Saint-Germain FCF Juvisy 12 132 501 3,79 Modèle:FRA-d Thiney 25 Modèle:FRA-d Dali
Modèle:SUI-d Dickenmann
Modèle:FRA-d Necib
9
Modèle:41e 2014-2015 Olympique lyonnais (9) Paris Saint-Germain FCF Juvisy 12 132 550 4,20 Modèle:SWE-d Schelin 34 Modèle:Nobr
Modèle:FRA-d Thomis
14
Modèle:42e 2015-2016 Olympique lyonnais (10) Paris Saint-Germain Montpellier HSC 12 132 501 3,79 Modèle:NOR-d Hegerberg 33 Modèle:FRA-d Abily 13
Modèle:43e 2016-2017 Olympique lyonnais (11) Montpellier HSC Paris Saint-Germain 12 132 438 3,32 Modèle:NOR-d Hegerberg
Modèle:FRA-d Le Sommer
20 Modèle:GER-d Marozsán 15
Modèle:44e 2017-2018 Olympique lyonnais (12) Paris Saint-Germain Montpellier HSC 12 132 407 3,08 Modèle:NOR-d Hegerberg 31 Modèle:FRA-d Abily 12
Modèle:45e 2018-2019 Olympique lyonnais (13) Paris Saint-Germain Montpellier HSC 12 132 413 3,13 Modèle:FRA-d Katoto 22 Modèle:FRA-d Diani 12
Modèle:46e 2019-2020 Olympique lyonnais (14) Paris Saint-Germain Girondins de Bordeaux 12 96 318 3,31 Modèle:FRA-d Katoto 16 Modèle:GER-d Marozsán 13
Modèle:47e 2020-2021 Paris Saint-Germain Olympique lyonnais Girondins de Bordeaux 12 132 421 3,19 Modèle:JAM-d Shaw 22 Modèle:GER-d Marozsán 15
Modèle:48e 2021-2022 Olympique lyonnais (15) Paris Saint-Germain Paris FC 12 132 427 3,23 Modèle:FRA-d Katoto 18 Modèle:FRA-d Baltimore 13
Modèle:49e 2022-2023 Olympique lyonnais (16) Paris Saint-Germain Paris FC 12 132 404 3,06 Modèle:FRA-d Diani 17 Modèle:FRA-d Bacha 9

Distinctions individuelles

Il y a plusieurs distinctions individuelles attribuées au terme d'une saison du championnat de France. Si l'UNFP attribue des récompenses depuis 2001, la FFF ne lui fait concurrence que depuis 2010.

Trophées UNFP

Modèle:Article détaillé

Fichier:2019-05-17 Fußball, Frauen, UEFA Women's Champions League, Olympique Lyonnais - FC Barcelona StP 0641 LR10 by Stepro.jpg
Dzsenifer Marozsán, trois fois récompensée aux trophées UNFP.

Depuis la saison 2000-2001, un trophée est remis à la meilleure joueuse du championnat lors de la cérémonie de remise des trophées UNFP du football. Trois grandes récompenses concernent les actrices du championnat de France féminin de première division : la « meilleure joueuse de l'année » donc, la « meilleure espoir de l'année » depuis 2016 et « meilleure gardienne de l'année » depuis 2021.

Seule Dzsenifer Marozsán a remporté le trophée de meilleure joueuse à trois reprises (en 2017, 2018 et 2019). Marinette Pichon, Gaëtane Thiney et Eugénie Le Sommer l'ont quant à elles remporté à deux reprises, en 2002 et 2005 pour la première, en 2012 et 2014 pour la deuxième et en 2010 et 2015 pour la dernière.

L'Olympique lyonnais est l'équipe la mieux représentée au palmarès de la meilleure joueuse du championnat de France féminin (10 trophées).

Trophées FFF

Depuis la saison 2009-2010, le trophée de la meilleure joueuse de Division 1 est attribué par la FFF. De 2010 à 2015, c'est la lauréate du Challenge de la meilleure joueuse qui se voit attribuer la récompense en fin de saison. Le jury du Challenge était composé des douze entraîneurs de Division 1. À la fin de chaque rencontre, les entraîneurs de chaque équipe désignaient les deux meilleures joueuses de l'équipe adverse, trois points étant attribués à la première et un point à la seconde<ref name="challenge" />.

Depuis 2016, la FFF organise une cérémonie des trophées de la D1 féminine en fin de saison. Elle remet de nombreux prix : meilleure joueuse, meilleure espoir, meilleure gardienne, meilleur entraîneur, meilleure arbitre et le onze type de la saison<ref name="troph16">Modèle:Lien web</ref>.

En 2019, le nouveau diffuseur officiel du championnat Canal+ s'adjoint à l'organisation de la cérémonie et la diffuse en direct sur Canal+ Sport<ref name="troph19">Modèle:Lien web</ref>.

Meilleurs joueuse, espoir, gardienne et entraîneur de l'année
Année Meilleure joueuse Meilleure espoir Meilleure gardienne Meilleur entraîneur
2010<ref name="challenge">Modèle:Lien web</ref> Modèle:FRA-d Eugénie Le Sommer Stade briochin rowspan="6" colspan="6" Modèle:NC
2011<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:FRA-d Élise Bussaglia Paris SG
2012<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:FRA-d Julie Morel EA Guingamp (2)
2013<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:COS-d Shirley Cruz Traña Paris SG (2)
2014<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:FRA-d Gaëtane Thiney FCF Juvisy
2015<ref>Modèle:Lien web</ref> Modèle:SWE-d Sofia Jakobsson Montpellier HSC
2016<ref name="troph16" /> Modèle:NOR-d Ada Hegerberg O. lyonnais Modèle:FRA-d Marie-Charlotte Léger Montpellier HSC Modèle:POL-d Katarzyna Kiedrzynek Paris SG Modèle:FRA-d Gérard Prêcheur O. lyonnais
2017<ref name="troph17">Modèle:Lien web</ref> Modèle:FRA-d Eugénie Le Sommer O. lyonnais (2) Modèle:FRA-d Grace Geyoro Paris SG Modèle:POL-d Katarzyna Kiedrzynek (2) Paris SG (2) Modèle:FRA-d Christophe Parra O. Marseille
2018<ref name="troph18">Modèle:Lien web</ref> Modèle:GER-d Dzsenifer Marozsán O. lyonnais (3) Modèle:FRA-d Marie-Antoinette Katoto Paris SG (2) Modèle:USA-d Casey Murphy Montpellier HSC Modèle:FRA-d Jérôme Dauba G. Bordeaux
2019<ref name="troph19" /> Modèle:GER-d Dzsenifer Marozsán (2) O. lyonnais (4) Modèle:FRA-d Marie-Antoinette Katoto (2) Paris SG (3) Modèle:CHI-d Christiane Endler Paris SG (3) Modèle:FRA-d Jérôme Dauba (2) G. Bordeaux (2)
2020 colspan=8 align="center" Modèle:NC
2021 Modèle:FRA-d Kadidiatou Diani Paris SG (3) Modèle:FRA-d Sandy Baltimore Paris SG (4) Modèle:CHI-d Christiane Endler (2) Paris SG (4) Modèle:FRA-d Olivier Echouafni Paris SG
2022 Modèle:FRA-d Marie-Antoinette Katoto Paris SG (4) Modèle:CIV-d Rosemonde Kouassi FC Fleury 91 Modèle:CHI-d Christiane Endler (3) O. lyonnais Modèle:FRA-d Sandrine Soubeyrand Paris FC
2023 Modèle:FRA-d Kadidiatou Diani (2) Paris SG (5) Modèle:HAI-d Melchie Dumornay Stade de Reims Modèle:CHI-d Christiane Endler (4) O. lyonnais (2) Modèle:FRA-d Sonia Bompastor O. lyonnais (2)

Joueuses ayant le plus de matchs

Fichier:Gaetane Thiney.jpg
Gaëtane Thiney, première joueuse à atteindre les Modèle:Nombre en D1.

Gaëtane Thiney a joué le plus de matchs de D1 féminine à voie unique, elle est la première, et actuellement l'unique joueuse, à avoir atteint les Modèle:Nombre (le 17 octobre 2020 contre Fleury). Les données ne sont malheureusement pas tout à fait complètes dans les premières années, mais peuvent être complétées par d'autres bases de données. Néanmoins, aucun placement exact n'est donné ici.

Il semblerait que Corinne Diacre soit la première joueuse à avoir atteint les Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web</ref>, elle a en effet disputé 19 saisons de première division avec l'ASJ Soyaux de 1988 à 2007 mais faute de sources plus fiables et plus précises, il est impossible de l'inclure dans le classement.

Le tableau ci-dessous présente le classement des footballeuses ayant disputées plus de deux cent cinquante matchs en championnat de France. Comme seules 22 apparitions par saison sont possibles (hors séries), la marque de Modèle:Nombre pour une joueuse régulière correspond à une période de plus de Modèle:Nombre sans blessure. Les joueuses évoluant actuellement en D1 sont inscrits en caractères gras. Les statistiques sont exactes depuis la saison 2003-2004<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dernière mise à jour : Modèle:Date-

Nom Matchs Buts Période Saisons Clubs
1 Modèle:FRA-d Gaëtane Thiney 448 174 2000- 22 Saint-Memmie Olympique (126), US Compiègne CO (21), FCF Juvisy / Paris FC (301)
2 Modèle:FRA-d Julie Soyer 390 15 2002- 20 CNFE Clairefontaine (38), FCF Hénin-Beaumont (21), Montpellier HSC (68), Paris Saint-Germain (60), FCF Juvisy / Paris FC (203)
3 Modèle:FRA-d Camille Abily 354 176 Modèle:Nobr 18 Stade briochin (20), ESOFV La Roche (21), CNFE Clairefontaine (17), Montpellier HSC (68), Olympique lyonnais (215), Paris SG (13)
4 Modèle:FRA-d Sarah Bouhaddi Modèle:Gardien 333 2 2002- 21 CNFE Clairefontaine (51), Toulouse FC (22), FCF Juvisy (46), Olympique lyonnais (199), Paris SG (15)
5 Modèle:Nobr 311+ 47 1995-2014 18 Caluire SC (22+), FCF Juvisy (289+)
6 Modèle:FRA-d Élise Bussaglia 302 47 2000-2020 17 Saint-Memmie Olympique (1+), CNFE Clairefontaine (20+), FCF Juvisy (58), MHSC (41), PSG (58), Olympique lyonnais (47), Dijon FCO (24)
7 Modèle:FRA-d Eugénie Le Sommer 296 218 2007- 17 Stade briochin (65), Olympique lyonnais (230)
8 Modèle:FRA-d Sabrina Viguier 295+ 14 1999-2016 17 Toulouse FC (126+), Montpellier HSC (81), Olympique lyonnais (60), AS Saint-Étienne (28)
9 Modèle:FRA-d Kelly Gadea 290 32 2005- 17 MHSC (129), ASSE (42), OM (43), FC Fleury 91 (33), ASJ Soyaux (24), Le Havre AC (19)
10 Modèle:FRA-d Sabrina Delannoy 288+ 25 2002-2017 15 USO Bruay (3+), CNFE Clairefontaine (41), Paris Saint-Germain (244)
11 Modèle:FRA-d Wendie Renard 284 92 2007- 17 Olympique lyonnais (284)
12 Modèle:FRA-d Charlotte Bilbault 282 13 2006- 17 CNFE Clairefontaine (16), ASJ Soyaux (51), Nord-Allier (19), Montpellier HSC (83), FCF Juvisy / Paris FC (64), FCG Bordeaux (49)
13 Modèle:FRA-d Laëtitia Tonazzi 281+ 223 1995-2018 20 VGA Saint-Maur (0+), FCF Juvisy (199+), Olympique lyonnais (38), Montpellier HSC (44)
14 Modèle:FRA-d Marie-Laure Delie 280 191 2005-2019 14 CNFE Clairefontaine (37), Paris Saint-Germain (117), Montpellier HSC (104), FC Metz (22)
15 Modèle:FRA-d Amandine Henry 277 83 2004-2023 18 FCF Hénin-Beaumont (20), CNFE Clairefontaine (32), Olympique lyonnais (221), Paris Saint-Germain (4)
16 Modèle:FRA-d Sandrine Brétigny 276 213 2000-2018 16 FC Lyon (71), Olympique lyonnais (139), FCF Juvisy (39), Olympique de Marseille (27)
17 Modèle:FRA-d Nelly Guilbert 273+ 41 1998-2016 18 FCF Juvisy (273+)
18 Modèle:FRA-d Marion Torrent 273 7 2008- 15 Montpellier HSC (273)
19 Modèle:FRA-d Annaïg Butel 272 10 2008- 16 FCF Juvisy / Paris FC (272)
20 Modèle:FRA-d Hoda Lattaf 270+ 195 1997-2014 17 Olympique lyonnais (43+), ESOFV La Roche (3+), Montpellier HSC (224)
21 Modèle:FRA-d Corine Petit 261+ 68 2001-2018 17 ASJ Soyaux (125+), Olympique lyonnais (136)
22 Modèle:FRA-d Julie Debever 256 8 2005-2019 14 FCF Hénin-Beaumont (126), FCF Juvisy (3), AS Saint-Étienne (43), Guingamp (82)
23 Modèle:FRA-d Amélie Coquet 251 60 2003-2016 13 FCF Hénin-Beaumont (44), FCF Juvisy (207)
24 Modèle:FRA-d Flavie Lemaître 251 70 2004-2019 14 CNFE Clairefontaine (37), Toulouse FC (30), Rodez AF (184)
25 Modèle:FRA-d Anaïs Dumont 251 15 2005-2021 14 ASJ Soyaux (251)

Meilleures buteuses

Fichier:20130929 - PSG-Lyon 038 (cropped).jpg
Laëtitia Tonazzi, meilleure buteuse du championnat de France.

Laëtitia Tonazzi, avec Modèle:Nombre, est la meilleure buteuse du championnat de France depuis la saison 2001-2002 (données introuvables auparavant). Elle inscrit la majorité de ses buts avec Juvisy, de 2001 à 2012, et termine deux fois meilleure buteuse de la saison (2008 et 2011). Elle devance Eugénie Le Sommer, toujours en activité, avec 221 réalisations au compteur et Sandrine Brétigny, Modèle:Nombre en D1, qui a enchaîné les réalisations à Lyon complète le podium<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le tableau ci-dessous présente le classement des footballeuses ayant inscrits plus de cent buts en championnat de France. Les joueuses évoluant actuellement en D1 sont inscrits en caractères gras. Les statistiques sont exactes depuis la saison 2001-2002.

Marinette Pichon, première footballeuse star française<ref>Modèle:Article</ref>, a sans doute un nombre de buts plus élevé que celui affiché dans ce classement, alors que les données manquent pour quatre de ses saisons en première division<ref>Modèle:Footofeminin</ref>.

Dernière mise à jour : Modèle:Date-

Rang Joueuse Période Clubs successifs Matchs Ratio Buts
1. Modèle:FRA-d Laëtitia Tonazzi 1995-2018 VGA Saint-Maur (0+), FCF Juvisy (171), Olympique lyonnais (32), Montpellier HSC (20) 281 Modèle:Division 223+
2. Modèle:FRA-d Eugénie Le Sommer 2007- Stade briochin (33), Olympique lyonnais (188) 299 Modèle:Division 221
3. Modèle:FRA-d Sandrine Brétigny 2000-2018 FC Lyon (49), Olympique lyonnais (137), FCF Juvisy (21), Olympique de Marseille (6) 276 Modèle:Division 213
4. Modèle:FRA-d Hoda Lattaf 1997-2014 ESOFV La Roche (1+), Olympique lyonnais (41+), Montpellier HSC (153) 270 Modèle:Division 195+
5. Modèle:FRA-d Marie-Laure Delie 2005-2019 CNFE Clairefontaine (19), Montpellier HSC (76), Paris Saint-Germain (93), FC Metz (3) 280 Modèle:Division 191
6. Modèle:FRA-d Camille Abily 2000-2018 Stade briochin (4), ESOFV La Roche (3), CNFE Clairefontaine (5), Montpellier HSC (17), Paris Saint-Germain (12), Olympique lyonnais (135) 354 Modèle:Division 176
7. Modèle:FRA-d Gaëtane Thiney 2000- Saint-Memmie Olympique (22), US Compiègne CO (5), FCF Juvisy / Paris FC (147) 448 Modèle:Division 174
8. Modèle:NOR-d Ada Hegerberg 2014- Olympique lyonnais (158) 139 Modèle:Division 158
9. Modèle:FRA-d Marinette Pichon 1995-2007 Saint-Memmie Olympique (58+), FCF Juvisy (89) ? ? 147+
10. Modèle:SWE-d Lotta Schelin 2008-2016 Olympique lyonnais (143) 138 Modèle:Division 143
11. Modèle:FRA-d Élodie Ramos 2000-2016 Celtic Marseille (0+), SC Schiltigheim (13), Montpellier HSC (120), FF Nîmes (6) 226 Modèle:Division 139+
12. Modèle:FRA-d Élodie Thomis 2002-2018 CNFE Clairefontaine (32), Montpellier HSC (18), Olympique lyonnais (72) 249 Modèle:Division 122
13. Modèle:FRA-d Marie-Antoinette Katoto 2015- Paris Saint-Germain (108) 112 Modèle:Division 108

Source : http://www.statsfootofeminin.fr/

Compétitions européennes

Qualifications

Classement du championnat français au coefficient UEFA
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
bgcolor="Modèle:Fc" |3 5 6 7 4 6 4 bgcolor="Modèle:Fc" |3
2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
bgcolor="Modèle:Fc" |3 colspan="2" bgcolor="Modèle:Fc" |2 bgcolor="Modèle:Fc" |1 colspan="5" bgcolor="Modèle:Fc" |2 bgcolor="Modèle:Fc" |1
2020 2021 2022 2023
colspan="4" bgcolor="Modèle:Fc" |1

Le tableau ci-contre récapitule le classement de la France au coefficient UEFA depuis 2002. Ce coefficient par nation est utilisé pour attribuer à chaque pays un nombre de places pour la Ligue des champions ainsi que les tours auxquels les clubs doivent entrer dans la compétition. Depuis les années 2010, le championnat français fait partie des deux meilleurs championnats européens.

La Coupe féminine de l'UEFA est créée en 2001, et permet ainsi au club champion de France de pouvoir participer au premier tour de qualification de la compétition. Le Toulouse OAC, champion en 2001, est le premier club français à participer à cette compétition. À partir de 2008, après les bons résultats des clubs français dans la compétition, le champion de France est directement qualifié pour le second tour de qualification.

En 2009, la Coupe féminine de l'UEFA est réformée et devient la Ligue des champions féminine de l'UEFA. Dans ce nouveau format, le champion de France est directement qualifié pour participer à la phase finale de la compétition alors que le vice-champion doit passer par le tour préliminaire de cette compétition. Depuis la victoire de l'Olympique lyonnais dans cette compétition en 2011, le champion et le vice-champion du championnat sont directement qualifiés pour la phase finale de la Ligue des champions.

Alors qu'à partir de 2021-2022 la Ligue des champions change de format avec une phase de groupes avant les tours à élimination directe, la troisième place du championnat de France devient qualificative pour la compétition européenne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le champion de France se qualifie directement pour la phase de groupe tandis que le deuxième entre au deuxième tour qualificatif et le troisième au premier tour<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Palmarès continental

Fichier:2019-05-18 Fußball, Frauen, UEFA Women's Champions League, Olympique Lyonnais - FC Barcelona StP 0071 LR10 by Stepro.jpg
L'Olympique lyonnais soulevant son sixième sacre européen en 2019.

Depuis la création de la Coupe féminine de l'UEFA en 2001, devenue la Ligue des champions féminine de l'UEFA en 2009, deux équipes de première division ont disputé douze finales continentales pour un total de huit victoires. Ces huit titres sont gagnés par l'Olympique lyonnais, club le plus titré de l'histoire de la compétition, en dix finales jouées depuis 2010. Il est aussi le seul club à avoir remporté la compétition cinq fois consécutivement, de 2016 à 2020.

Le Paris Saint-Germain, quant à lui, est le finaliste le plus malheureux de la complétion européenne avec deux finales jouées (2015 et 2017) et aucune victoire.

En 2017, a lieu la première finale 100 % française, opposant l'OL et le PSG. Les Lyonnaises s'imposent aux tirs au but face aux Parisiennes<ref>Modèle:Article</ref>.

Organisation

Format de la compétition

Modèle:Début d'illustration Modèle:Début de carteFichier:France location map-Regions-2016.svg Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte Modèle:Fin d'illustration Modèle:Fin d'illustration Le championnat oppose douze clubs français en une série de vingt-deux rencontres jouées durant la saison de football. Le classement est calculé avec le barème de points suivant : une victoire vaut trois points et le match nul un. La défaite ne rapporte aucun point. Les critères de départage entre plusieurs équipes au même nombre de points sont, dans l'ordre d'importance, plus grand nombre de points dans les confrontations directes, la plus grande différence de buts particulière, la plus grande différence de buts générale puis le plus grand nombre de buts marqués. En dernier lieu, une rencontre supplémentaire sur terrain neutre est organisée avec, éventuellement, l'épreuve des tirs au but<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.

À la fin de la saison, l'équipe terminant en tête du classement est sacrée championne de France, alors que les deux dernières sont reléguées en deuxième division. Un club sportivement relégué peut être repêché si une ou plusieurs équipes ayant fini dans les dix premières places sont rétrogradées administrativement ou si l'un des promus se voit refuser la promotion en Division 1.

Les trois premières places de ce championnat sont qualificatives pour la compétition européenne qu'est la Ligue des champions<ref group="Note">Pour le détail des qualifications continentales, voir la section Qualifications.</ref>.

Les dix premiers de Division 1 2022-2023 et les deux premiers de Division 2 2022-2023 (appelés les promus) participent à la saison Division 1 2023-2024.

Équipes engagées pour la saison 2023-2024
Club Dernière
montée
Entraîneur Stade Capacité Saison
en D1
Girondins de Bordeaux 2016 Modèle:FRA-d Patrice Lair Stade Sainte-Germaine, Le Bouscat 7 048 Modèle:7e
Dijon FCO 2018 Modèle:FRA-d Sébastien Joseph Stade des Poussots, Dijon 498 Modèle:5e
FC Fleury 91 2017 Modèle:FRA-d Fabrice Abriel Stade Walter-Felder, Fleury-Mérogis 1 000 Modèle:6e
EA Guingamp 2006 Modèle:FRA-d Frédéric Biancalani Stade de l'Akademi EA Guingamp, Pabu 1 960 Modèle:42e
Olympique lyonnais 1977 Modèle:FRA-d Sonia Bompastor Groupama OL Training Center, Décines-Charpieu 1 524 Modèle:46e
Le Havre AC 2022 Modèle:FRA-d Frédéric Gonçalves Stade Océane, Le Havre 25 178 Modèle:2e
Montpellier HSC 1997 Modèle:FRA-d Yannick Chandioux Stade Bernard-Gasset - Terrain d'honneur Mama-Ouattara, Montpellier 1 280 Modèle:30e
Paris FC 1979 Modèle:FRA-d Sandrine Soubeyrand Stade Charléty, Paris 19 151 Modèle:45e
Paris Saint-Germain 2001 Modèle:FRA-d Gérard Prêcheur Stade Georges-Lefèvre, St-Germain-en-Laye 2 164 Modèle:36e
Stade de Reims 2019 Modèle:FRA-d Amandine Miquel Stade Louis-Blériot, Bétheny 500 Modèle:16e
LOSC Lille 2023 Modèle:FRA-d Rachel Saïdi Complexe sportif de Luchin, Camphin-en-Pévèle 2000 Modèle:2e
AS Saint-Étienne 2023 Modèle:FRA-d Laurent Mortel Stade Salif-Keita, Saint-Étienne 1250 Modèle:13e

Évolution du règlement

Format

Le championnat de France de football féminin met aux prises douze clubs en une poule unique. Cette formule en poule unique de douze clubs fut mise en place en 1992. Auparavant, de 1974 à 1992, la compétition comprenait plusieurs groupes et une phase finale, la format précis ayant changé de nombreuses fois.

De 1974 à 1979, le nouveau championnat de France féminin se divise en deux phases : un premier tour de quatre groupes composés d'abord de quatre équipes les deux premières années puis de cinq équipes par la suite, chaque équipe affrontant une seule fois chaque équipe de son groupe. Les deux meilleures équipes de chaque groupe sont qualifiées pour les quarts de finale de la compétition, tandis que la dernière est reléguée. La phase finale consiste en trois tours de confrontations directes aller-retour.

En 1979, le championnat s'agrandit puisque désormais quarante-huit clubs français sont répartis dans six groupes de huit équipes, jouant une série de quatorze rencontres durant la saison de football. La meilleure équipe de chaque groupe se qualifie pour les demi-finales de la compétition qui consiste en deux mini-tournoi à trois équipes qui s'affrontent une seule fois. Les deux meilleures équipes s'affrontent enfin lors de la finale du championnat à la fin de la saison.

De 1982 à 1986, l'ensemble des équipes nationales, quarante-huit clubs, s'affrontent lors d'une première phase de huit groupes de six équipes, en une série de douze rencontres jouées durant la première partie de la saison de football. Les trois meilleures équipes de chaque groupe sont alors qualifiées pour participer à la première division tandis que les trois derniers participent à la deuxième division. Ainsi, en deuxième partie de saison, les équipes qualifiées pour le championnat de première division sont réparties en quatre groupes de six équipes qui s'affrontent à deux reprises. La meilleure équipe de chaque groupe se qualifie ensuite pour les demi-finales se jouant en double confrontation directe, avant que les deux meilleures équipes ne s'affrontent lors de la finale du championnat à la fin de la saison.

Finalement en 1986, le système de deux divisions est abandonné et le championnat français revient à la formule précédente, avant une réduction des équipes l'année suivante. En effet, de 1987 à 1992, plus que trente clubs français, répartis dans trois groupes de dix équipes, jouaient une série de dix-huit rencontres durant la saison de football. Les deux meilleures équipes de chaque groupe et les deux meilleures troisièmes étaient qualifiées pour les quarts de finale de la compétition, tandis que les deux dernières de chaque groupe étaient reléguées au niveau régional. La phase finale consistait en trois tours de confrontations directes aller-retour, à l'exception de la finale qui se jouait sur un seul match.

1992 marque ainsi la création de deux divisions nationales, la Nationale 1A et la Nationale 1B. Pour la première division, est mis en place le format tel qu'on le connaît aujourd'hui avec douze équipes dans une poule unique, s'affrontant tout au long des Modèle:Nombre du championnat. En 2000, le championnat prend son nom actuel : Division 1. De cette date à 2004, les quatre premiers du classement disputèrent un tournoi final à l'issue des Modèle:Nombre pour désigner le champion. Ces playoffs sont remis en place à partir de la saison 2023-2024.

Feuille de match

Depuis 2019, dix-huit joueuses peuvent être inscrites sur une feuille de match, contre seize auparavant, la FFF se conformant à la norme en Ligue des champions féminine. Le nombre de remplacements autorisés reste pour autant maintenu à trois par club au cours d'une rencontre<ref>Modèle:Lien web</ref>, tandis que peuvent figurer sur une feuille de match seulement trois joueuses extra-communautaires, c'est-à-dire non ressortissantes de l'UE ou de l'EEE ou de pays disposant d'accord d'association ou de coopération avec l'UE<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.

Arbitrage

Modèle:Encadré texte

Fichier:20150922 1826 W AUT WAL 3950.jpg
Florence Guillemin, meilleure arbitre de D1 en 2020.

Douze arbitres sont retenus en début de saison pour devenir les arbitres principales des matchs de première division. À l'issue de la saison, un classement est établi en fonction de leurs performances et la moins bonne arbitre est rétrogradée en division inférieure. L'arbitre occupant actuellement le plus haut niveau dans la hiérarchie féminine française est Alexandra Collin.

Parmi les arbitres Fédérale Féminine 1, trois sont internationales et peuvent être appelées à arbitrer des matchs de Ligue des champions ou des confrontations entre équipes nationales.

Depuis la saison 2020-2021, l'ensemble des arbitres de D1 Arkema sont équipés d'un système de communication par micros et oreillettes<ref>Modèle:Lien web</ref>. De plus, la FFF lance un plan de professionnalisation des arbitres de D1 à partir de cette même saison. Dans un premier temps, huit arbitres en bénéficient : quatre centrales et quatre assistantes<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Symboles

Le trophée

Fichier:Olympique lyonnais féminin 2017 (2).jpg
Les joueuses de l'OL posant avec le nouveau trophée en 2017.

Alors que le précédent trophée paraissait tout du moins classique<ref>Modèle:Lien web</ref>, un nouveau trophée est brandi en 2017 par l'Olympique lyonnais, champion de France. Fait de métal argenté, il pèse 6,4 kilos et mesure en hauteur Modèle:Unité. Quatre anses forment une vrille et symbolisent les quatre points cardinaux. Le palmarès du championnat figure sur le double socle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Identité visuelle et sonore

Pour la saison 2020-2021, la D1 Arkema se dote d'un hymne officiel nommé « Let's Run » choisi par les supporters et joué avant chaque rencontre du championnat<ref>Modèle:Lien web</ref>, ainsi qu'un slogan : « L'Esprit de Conquête »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Aspects socio-économiques

Télédiffusion

Évolution des montants des droits TV<ref name="tv2016">Modèle:Lien web</ref>
Période Montant par saison
2011-2012 Modèle:Unité
2012-2014 Modèle:Unité
2014-2018 Modèle:Unité
2018-2023 Modèle:Unité

Profitant du succès de la Coupe du monde 2011, la D1 féminine est pour la première fois diffusée à la télévision cette même année, sur Eurosport et France 4. Sur cette dernière, les premiers matchs diffusés de la saison 2011-2012 attirent Modèle:Nombre en moyenne, soit 2,1 % de parts d’audience<ref name="tv2016" />. Ainsi jusqu'en 2018, 16 à Modèle:Nombre de D1 et/ou de Coupe de France féminine étaient diffusée chaque saison sur Eurosport, pour une audience moyenne de Modèle:Nombre, avec la garantie de Modèle:Nombre en direct par saison sur France 4 attirant en moyenne Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web</ref>. France Télévisions payait alors un montant de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La Fédération française de football lance le Modèle:Date- l'appel d'offre des droits télévisés du championnat de France féminin pour les saisons 2018-2019 à 2022-2023, en imposant aux diffuseurs d'être en mesure de diffuser toutes les rencontres. La FFF annonce le mois suivant l'attribution de ces droits au groupe Canal+<ref>Modèle:Lien web</ref>, pour un montant total de Modèle:Nombre d'euros sur Modèle:Nombre, soit Modèle:Nombre d'euros par saison<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le championnat gagne ainsi en visibilité, puisque deux matchs émergent désormais lors de chaque journée, un match le samedi à 14 h 30 en multiplex sur Foot+ et les canaux Multisports avec les autres rencontres et un second en match le dimanche à 14 h 45 sur Canal+ Sport. À la mi-temps de l'affiche de Ligue 1, diffusée par Canal+ à Modèle:Nombre le samedi, la chaîne cryptée consacre aussi un résumé de Modèle:Nombre au foot féminin<ref>Un championnat à suivre entièrement à la TV, sur footofeminin.fr</ref>. En Modèle:Date-, l'affiche de D1 PSG-OL est diffusée pour la première fois un dimanche à 21h sur Canal+ à la place de l'affiche de Ligue 1 (trêve internationale), elle réalise une audience encourageante avec Modèle:Nb en moyenne<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Lors de la saison 2018-2019, 129 des Modèle:Nombre ont été retransmis — trois rencontres remises en semaine n'ayant pas fait l'objet d'une diffusion — dont trois sur Canal+, le PSG - OL du dimanche 18 novembre donc, mais aussi le match retour décisif pour le titre diffusé le samedi 13 avril à 20h45 rassemblant en moyenne Modèle:Nombre, et Montpellier - OL le dimanche 16 décembre à 13h00 devant Modèle:Nombre<ref name="tv2020">Modèle:Lien web</ref>.

Pour la saison 2019-2020, le groupe Canal+ renforce son offre en mettant en avant une rencontre de plus, le samedi à 15h30 ou à 20h45, en plus de l'affiche du dimanche à 14h45. Ainsi le nombre d'affiche sur Canal+ va passer de 3 à une dizaine lors des week-ends sans rugby<ref name="tv2020" />. Finalement, 95 des 96 rencontres disputées sont diffusées en direct dont 9 sur Canal+. Pour la saison suivante, deux rencontres restent mises en avant par journée, avec une nouvelle case possible : le vendredi à 18h30<ref>Modèle:Lien web</ref>. Avec la reprise par Canal+ de l'intégralité de la Ligue 1 à partir de mi-février 2021 jusqu'à la fin de saison, la D1 Arkema se voit placée sur Canal+ Sport Week-end le vendredi soir à 18h30/45 et le dimanche à 17h30<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Après la première diffusion historique d'un match, Lyon-Bordeaux de la Modèle:3e journée, à l'international le 27 septembre 2020<ref>Modèle:Lien web</ref>, la FFF officialise le 8 octobre un partenariat historique pour la diffusion à l'international de la D1 Arkema dès la saison 2020-2021. Au travers d'un accord de trois saisons signé avec Atalanta Media, le championnat de France féminin est désormais visible aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Irlande, en Allemagne et en Italie. Un match en direct par journée sera diffusé sur de multiples plateformes de diffusion premium : ESPN+, BT Sport, DAZN, Fanatiz et Modèle:Lien<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Économie du championnat

Le budget total de la D1 (environ Modèle:Nombre € en 2017-2018, Modèle:Nombre sans Lyon et le PSG) se compose de la façon suivante : 50 % de revenus commerciaux (droits télévisés, merchandising, abonnements), environ 40 % de sponsoring et subventions et moins de 5 % de billetterie. Mais en parallèle, les dépenses des clubs sont nettement supérieures à leurs recettes : en 2017-2018, 8 clubs sur 12 étaient déficitaires, avec un déficit global de Modèle:Nombre € (dont Modèle:Nombre € pour l'OL et le PSG) soit 72 % du budget total. Alors que ces pertes d'exploitation augmentent de l'ordre de 75 % par saison en moyenne sur cinq ans, elles sont souvent compensées par les clubs professionnels masculins, pour les équipes associées à ces structures. Le football féminin français cherche donc encore son équilibre économique<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La D1 féminine bénéficie à plusieurs reprises de soutien de la part du football masculin. La Ligue de football professionnel décide en 2018 de reverser sa partie du bénéfice de la Coupe du monde versée par Fédération, aux clubs de D1, soit un montant ponctuel d'environ Modèle:Nb par club<ref>Modèle:Lien web</ref>. Depuis la saison 2018-2019, les clubs participant à la D1 féminine sont évalués dans le but de leur attribuer ou non la saison suivante la Licence Club D1 Féminine délivrée par la FFF, permettant d'obtenir une aide financière<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Début 2020, les clubs professionnels français créent l'Association du Football Professionnel Féminin (AFPF), présidée par Laurent Nicollin (MHSC), qui a pour projet de mieux structurer le championnat et créer un modèle économique sain pour les clubs<ref>Modèle:Lien web</ref>. Un premier résultat est perçu à partir de la saison 2020-2021 avec le versement, par la LFP, en utilisant ses nouveaux droits TV, d'un total de Modèle:Unité à l'AFPF pour la D1 et D2 féminine, validé par la FFF<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Une première répartition devait voir la D1 Arkema recevoir 85 % du montant, avec un versement de Modèle:Unité pour les sections féminines de club professionnel et Modèle:Unité pour les clubs amateurs. Tandis que les 15 % restants devaient aller aux sections féminines de club professionnel évoluant en D2<ref>Modèle:Lien web</ref>. Mais après la colère des clubs amateurs face à cette inégalité de traitement<ref>Modèle:Lien web</ref>, la LFP et la FFF font passer l'enveloppe globale à Modèle:Nombre d'euros. Les 9 clubs de D1 « pro » toucheront Modèle:Unité chacun, les 3 clubs « amateurs » près de Modèle:Unité. En D2, Modèle:Unité iront à destination des 13 sections féminines rattachées aux clubs professionnels, pendant que les 11 autres clubs vont finalement toucher Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, la FFF signe à partir de la saison 2019-2020 un contrat de naming avec la société Arkema, qui devient le partenaire-titre de la D1 féminine pour Modèle:Nombre, pour un montant d'un million d'euros par saison<ref>Modèle:Article</ref>.

Contrats et rémunérations

Une enquête de la FIFPRO en 2017 montre qu'une footballeuse de D1 peut se trouver, pour simplifier, dans trois cas de figure. 160 joueuses sont en « contrat fédéral », dont la moitié à temps partiel. C'est un contrat régi par la convention nationale collective des sports, donc non adapté au métier de footballeuse. Le salaire minimum dépasse à peine le SMIC. La majorité sont « semi-professionnelles », c'est-à-dire qu'elles peuvent être en contrat d'apprentissage, et donc à la fois étudiantes et footballeuses, ou dans une sorte de contrat de travail hybride qui leur permet tout juste de vivre de leur football, souvent des compléments de revenus sont nécessaires. Enfin, il y a les amatrices qui n'ont aucun contrat de travail ni aucune rémunération directe régulière liée à leur activité de footballeuse. Elles obtiennent cependant souvent des défraiements occasionnels ou le remboursement des frais de déplacement. Ces joueuses travaillent donc en parallèle de leur carrière de footballeuse et s'entraînent le soir après la journée de travail<ref name="eco">Modèle:Lien web</ref>.

Selon l'enquête de la FIFPRO, avec un salaire annuel moyen de Modèle:Unité, la Division 1 féminine est le championnat féminin de football le plus rémunérateur dans le monde en 2017 devant les championnats allemands (Modèle:Unité), anglais (Modèle:Unité) et américains (Modèle:Unité). Mais cette place haute s'explique par le niveau des salaires moyens des joueuses de l'Olympique lyonnais (Modèle:Unité) et du PSG (Modèle:Unité)<ref name="eco" />. Le championnat français est donc très inégalitaire entre les différents clubs, ce qui explique notamment l'hétérogénéité du niveau en D1 Arkema<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Un rapport de la FIFA et du cabinet Deloitte révèle qu'en 2018-2019 81 % des joueuses de D1 ont le football comme principale source de revenus, 82 % reçoivent un salaire mensuel et 84 % disposent d'un contrat écrit<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.

Affluences

Records d'affluences

Le Paris Saint-Germain foule la pelouse du Parc des Princes pour la première fois le Modèle:Date-, contre le FCF Juvisy pour un derby francilien, devant Modèle:Nb<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ce record d'affluence pour un match de D1 le restera jusqu'au Modèle:Date-, lorsque l'En avant Guingamp accueille l'Olympique lyonnais au stade de Roudourou devant Modèle:Nb<ref name="recordaff" />.

Sept ans et demi plus tard, l'affiche du championnat de France OL-PSG bat tous les records avec Modèle:Nb accueillis au Groupama Stadium en avril 2019<ref>Modèle:Lien web</ref>, avant que le 16 novembre, le record soit porté à 30 661, toujours pour la même affiche et dans le même stade<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Classement des affluences les plus importantes<ref name="recordaff">Modèle:Lien web</ref>
Rang Match Stade Date Affluence
1 Olympique lyonnais - Paris Saint-Germain Groupama Stadium Modèle:Date 30 661
2 Olympique lyonnais - Paris Saint-Germain Groupama Stadium Modèle:Date 25 907
3 Paris Saint-Germain - Olympique lyonnais Parc des Princes Modèle:Date 18 876
4 Olympique lyonnais - Paris Saint-Germain Groupama Stadium Modèle:Date 13 497
5 Olympique lyonnais - Paris Saint-Germain Groupama Stadium Modèle:Date 13 400
6 EA Guingamp - Olympique lyonnais Stade de Roudourou Modèle:Date 12 263
7 Olympique lyonnais - Paris Saint-Germain Stade de Gerland Modèle:Date 10 122
8 Paris Saint-Germain - Olympique lyonnais Stade Jean-Bouin Modèle:Date 8 704
9 EA Guingamp - Olympique de Marseille Stade de Roudourou Modèle:Date 7 945
10 Olympique lyonnais - Paris Saint-Germain Groupama Stadium Modèle:Date 7 912

Affluence moyenne

Depuis plusieurs années, l'affluence moyenne de spectateurs par match progresse chaque année, mais les disparités sont grandes entre clubs, alors que ces chiffres sont surtout poussés par les affluences des grosses affiches du championnat jouées dans de grands stades<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Évolution de la moyenne de spectateurs par match depuis 2003<ref>Modèle:Lien web</ref>
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 points:(134,40)(157,42) # 2004: 160 s. à 2005: 175 s.
 points:(157,42)(180,38) # 2005: 175 s. à 2006: 141 s.
 points:(180,38)(203,41) # 2006: 141 s. à 2007: 168 s.
 points:(203,41)(226,39) # 2007: 168 s. à 2008: 148 s.
 points:(226,39)(249,42) # 2008: 148 s. à 2009: 175 s.
 points:(249,42)(272,51) # 2009: 175 s. à 2010: 245 s.
 points:(272,51)(295,45) # 2010: 245 s. à 2011: 201 s.
 points:(295,45)(318,98) # 2011: 201 s. à 2012: 622 s.
 points:(318,98)(341,95) # 2012: 622 s. à 2013: 596 s.
 points:(341,95)(364,106) # 2013: 596 s. à 2014: 681 s.
 points:(364,106)(387,100) # 2014: 681 s. à 2015: 631 s.
 points:(387,100)(410,109) # 2015: 631 s. à 2016: 708 s.
 points:(410,109)(433,109) # 2016: 708 s. à 2017: 708 s.
 points:(433,109)(456,96) # 2017: 708 s. à 2018: 602 s.
 points:(456,96)(479,134) # 2018: 602 s. à 2019: 904 s.
 points:(479,134)(502,158) # 2019: 904 s. à 2020: 1094 s.
 points:(502,158)(525,33) # 2020: 1094 s. à 2021: 101 s.
 points:(525,33)(548,103) # 2021: 101 s. à 2022: 658 s.
 points:(548,103)(571,142) # 2022: 658 s. à 2023: 965 s.
 color:black width:3 # points du nombre de spectateurs
 points:(134,39)(134,41) # 2004: 160 s.
 points:(157,41)(157,43) # 2005: 175 s.
 points:(180,37)(180,39) # 2006: 141 s.
 points:(203,40)(203,42) # 2007: 168 s.
 points:(226,38)(226,40) # 2008: 148 s.
 points:(249,41)(249,43) # 2009: 175 s.
 points:(272,50)(272,52) # 2010: 245 s.
 points:(295,44)(295,46) # 2011: 201 s.
 points:(318,97)(318,99) # 2012: 622 s.
 points:(341,94)(341,96) # 2013: 596 s.
 points:(364,105)(364,107) # 2014: 681 s.
 points:(387,99)(387,101) # 2015: 631 s.
 points:(410,108)(410,110) # 2016: 708 s.
 points:(433,108)(433,110) # 2017: 708 s.
 points:(456,95)(456,97) # 2018: 602 s.
 points:(479,133)(479,135) # 2019: 904 s.
 points:(502,157)(502,159) # 2020: 1094 s.
 points:(525,32)(525,34) # 2021: 101 s.
 points:(548,102)(548,104) # 2022: 658 s.
 points:(571,141)(571,143) # 2023: 965 s.
  1. échelle de temps: le graphe commence à 2000 = 42 px, ensuite chaque année fait 23 px jusqu'à 2023 = 42+23x23 = 569 px
  2. échelle du nombre de spectateurs : le graphe va de 20px à 228px, donc 0 hab. = 20px et 1 habitant fait 208/1650 = 0.12606 pixel
  3. et donc l'ordonnée (nombre de spectateurs) des points est y = 20 + nb(habitants) x 0.12606
  4. Courbe réalisée avec l'aide du modèle modèle:Générateur de code de courbe d'affluence

</timeline>

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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