Fleury-Mérogis
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Fleury-Mérogis (prononcé Modèle:MSAPI <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située à vingt-six kilomètres au sud de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France. Elle est notamment connue pour sa maison d'arrêt, qui est l'une des plus grandes prisons d'Europe.
Ses habitants sont appelés les Floriacumois<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/04/2009.</ref>.
Géographie
Situation
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 35,3 % | 225,42 |
Espace urbain non construit | 11,7 % | 74,73 |
Espace rural | 52,9 % | 337,70 |
Source : Iaurif-MOS 2008<ref>Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.</ref> |
Fleury-Mérogis est située à vingt-six kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, point zéro des routes de France, six kilomètres au sud-ouest d'Évry<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, sept kilomètres à l'est de Montlhéry<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, neuf kilomètres à l'ouest de Corbeil-Essonnes<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, neuf kilomètres au nord-est d'Arpajon<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, treize kilomètres au sud-est de Palaiseau<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, seize kilomètres au nord de La Ferté-Alais<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, vingt-six kilomètres au nord-est d'Étampes<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>, vingt-huit kilomètres au nord-est de Dourdan<ref>Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.</ref>. Modèle:…
Hydrographie
Relief et géologie
Modèle:… Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-seize mètres d'altitude et le point culminant à cent un mètres<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.
Communes limitrophes
Climat
Modèle:Article connexe Fleury-Mérogis, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, en étant régulièrement arrosée sur l'ensemble de l'année. En moyenne brute annuelle, la température s'établit à Modèle:Unité, avec une moyenne maximale de Modèle:Unité et une moyenne minimale à Modèle:Unité. Les températures moyennes mensuelles extrêmes relevées sont de Modèle:Unité en juillet au maximum et Modèle:Unité en janvier au minimum, mais les records enregistrés s'établissent à Modèle:Unité le Modèle:Date et Modèle:Unité le Modèle:Date. Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés Celsius se fait sentir, surtout en début de journée. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec un total de 1 798 heures par an, une moyenne haute à deux cent quarante heures en juillet et basse à cinquante trois heures en décembre. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total annuel de Modèle:Unité de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.
Voies de communication et transports
Modèle:… La ville ne possède pas de gare sur son territoire, les plus proches étant celles de Grigny, Viry-Châtillon (RER D) ou encore de Sainte-Geneviève des Bois (RER C) qui sont toutes trois des villes limitrophes.
Il est possible d'y accéder directement en empruntant les lignes DM5 (Juvisy RER - ZAC de la Croix Blanche) et 510 (Grigny - ZAC de la Croix Blanche) qui sont les lignes les plus importantes de la ville car elles desservent la quasi-intégralité des zones d'habitations de la ville.
La ligne TICE 401 (Saint-Michel-sur-Orge - Corbeil-Essonnes) relie la ville à Évry-Courcouronnes (notamment son centre commercial régional et sa préfecture) et Corbeil-Essonnes qui sont les deux villes les plus importantes du département, mais également à ses voisines Sainte-Geneviève des Bois et Saint-Michel-sur-Orge jusqu'à minuit tous les jours.
Pour la maison d'arrêt, la ligne 109 permet de relier la maison d'arrêt à Paris - Porte d'Orléans en moins de 30 minutes par autoroute tous les jours, et la DM50 à la gare de Juvisy, sans arrêt également.
La ligne TICE 409 (Fleury-Mérogis - Villabé) dessert également le territoire communal, mais uniquement 3 arrêts qui sont tous situés dans la ZI des Ciroliers et aux portes de la ZAC de la Croix-Blanche et avec une desserte assez famélique du fait de ses 4 à 5 passages journaliers les jours ouvrés seulement.
Lieux-dits, écarts et quartiers
L'ouest de la ville compte un petit quartier prioritaire nommé Les Aunettes, à ne pas confondre avec plusieurs quartiers éponymes dans ce secteur de l'Essonne. Il compte Modèle:Nombre habitants en 2018, le secteur prioritaire étant limité à un petit groupe de treize immeubles à l'ouest de l'avenue du docteur Fichez<ref>Quartier Prioritaire : Les Aunettes sur sig.ville.gouv.fr</ref>.
Au sein des Aunettes, un écoquartier, les Joncs-Marins, est construit à partir de 2013<ref>Site de la mairie</ref> avec seize lots devant totaliser onze cents logements familiaux (labellisés Modèle:CitationModèle:Quoi), sociaux, résidence pour personnes âgées à mobilité réduite, centre commercial. Les petits immeubles, en majorité de cinq étages, sont quadrillés de rues ombragées d'arbres avec des allées de verdure et des pelouses. S'étendant sur Modèle:Unité, il comprend aussi des parkings et des commerces de proximité. Des appartements sont accessibles à la propriété, les derniers étant livrés pour 2016. Le lot Modèle:N° comprend dix-neuf maisons individuelles construites selon les normes écologiquesModèle:Référence nécessaire.
Urbanisme
Typologie
Fleury-Mérogis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Fluriacum en 1093<ref>dans le Cartulaire de Longpont</ref>, Floriacum, Floriacum Merogii, Fleury-Merongis, Flori<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref> ou Flory au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
De florus « être riche », -acum « fortification » et de l'anthroponyme Méraugis<ref>Histoire: archéologie, biographie du canton de Longjumeau</ref>.
La commune fut créée en 1789 avec son nom actuel<ref name="Cassini"/>.
Histoire
L'histoire de la ville commence en l'an 1093 : c'est à l'époque un domaine agricole appartenant à un seigneur du nom de Florus (d'où le nom de Floriacum = de Florus). L'endroit est la possession du seigneur Robertus de Floriacus en 1140, puis de Guillaume de Mérogis<ref name="UTX"/>, et ainsi le village se nomme Flory-Mérogis au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il est construit autour de sa petite église et du château fort médiéval détruit en 1722. Guillaume Joly de Fleury (1675-1756), propriétaire des terres, fait construire un nouveau château dans les années 1720. La vocation agricole de Fleury-Mérogis se perpétue jusqu'au début des années 1960. En parallèle, on sait aussi qu'au {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:| }} }} siècle, la commune comptait aussi une carrière de pierres meulières, destinées à la ville de Paris, dont le lieu-dit du "Bois des trous" tire son nom<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Fleury-Mérogis comptait 261 habitants en 1946 et 361 en 1962.
Depuis 1968, la ville accueille sur son territoire la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, le plus grand centre pénitentiaire d'Europe<ref>Fiche de la prison de Fleury-Mérogis sur le site topic-topos.com Consulté le 25/07/2016.</ref>.
La population de la commune explose à partir des années 1970<ref name="Cassini"/>, intégrant des travailleurs immigrés et des populations issues de l'exode rural par vagues successives. Cette période marquée par la politique de regroupement familial est gérée par une municipalité communiste (jusqu'en 2009) qui doit faire construire des infrastructures ex nihilo. Les habitants sont au nombre de 4 953 en 1990<ref name="UTX">Histoire de Fleury-Mérogis</ref>, de 7 419 en 1982 et de 9 219 en 2013<ref>Voir tableau ci-après</ref>. De grandes cités de logements sociaux sont construites rapidement dans les années 1970-1990. La politique de la ville évolue au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la destruction de tours et la réhabilitation de certains quartiers. Il est à noter que 37 % de la surface de la commune sont constitués d'espaces verts ou boisés<ref name="UTX" />.
Modèle:Passage non pertinent. Modèle:…
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964<ref>Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif le Modèle:Date-. Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la dixième circonscription de l'Essonne.
La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Longjumeau. Celui-ci est scindé en 1964 et la commune rattachée à celui de Juvisy-sur-Orge. Lors de la mise en place du département de l'Essonne, la commune intègre en 1967 le canton de Viry-Châtillon, puis, en 1975, celui de Morsang-sur-Orge. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Ris-Orangis.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Val d'Orge créée au Modèle:Date-.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du Modèle:Date-, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le projet de schéma régional de coopération intercommunale de février 2015 prévoyait la création, en Essonne, d’une agglomération de plus de Modèle:Unité regroupant 48 communes, allant de l’Arpajonnais au SAN de Sénart Ville Nouvelle en Seine-et-Marne. Après concertation, ce projet a été amendé et le préfet de la région d'Île-de-France approuve le Modèle:Date- un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération du Val d'Orge et de la communauté de communes de l'Arpajonnais »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Cette fusion est intervenue le Modèle:Date-, créant la communauté d'agglomération Cœur d'Essonne Agglomération<ref>Modèle:Article.</ref>, dont la commune est désormais membre.
Tendances et résultats politiques
- Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 79,46 % pour Jacques Chirac (RPR), 20,54 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 72,78 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2007 : 51,81 % pour Ségolène Royal (PS), 48,19 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 83,03 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2012 : 62,65 % pour François Hollande (PS), 37,35 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 78,13 % de participation<ref>Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.</ref>.
- Élection présidentielle de 2017 : 62,55 % pour Emmanuel Macron (LREM), 37,45 % pour Marine Le Pen (FN), 72 % de participation<ref>Modèle:Article.</ref>.
- Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 58,80 % pour Julien Dray (PS), 41,20 % pour Francis Decoux (UMP), 47,35 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2007 : 57,25 % pour Julien Dray (PS), 42,75 % pour Laurence Gaudin (UMP), 51,92 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2012 : 58,48 % pour Malek Boutih (PS), 41,52 % pour Marianne Duranton (PR), 48,28 % de participation<ref>Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 21/06/2012.</ref>.
- Élections législatives de 2017 : 51,35 % pour Charlotte Girard (FI), 48,65 % pour Pierre-Alain Raphan (EM), 32,02 % de participation.
- Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 23,26 % pour Harlem Désir (PS), 21,82 % pour Francis Wurtz (PCF), 33,06 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2009 : 24,32 % pour Patrick Le Hyaric (PCF), 16,59 % pour Harlem Désir (PS), 32,22 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2014 : 29,01 % pour Aymeric Chauprade (FN), 21,33 % pour Pervenche Berès (PS), 35,12 % de participation<ref>Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.</ref>.
- Élections européennes de 2019 : 29,09 % pour Jordan Bardella (RN), 12,25 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 36,99 % de participation.
- Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 62,62 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 21,82 % pour Jean-François Copé (UMP), 55,77 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections régionales de 2010 : 71,59 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 28,41 % pour Valérie Pécresse (UMP), 39,25 % de participation<ref>Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30/03/2010.</ref>.
- Élections régionales de 2015 : 50,27 % pour Claude Bartolone (PS), 25,99 pour Wallerand de Saint-Just (FN), 23,74 % pour Valérie Pécresse (LR), 48,03 % de participation.
- Élections cantonales puis départementales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2004 : 69,66 % pour Marjolaine Rauze (PCF), 30,34 % pour Laurence Gaudin (UMP), 56,00 % de participation<ref>Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Élections cantonales de 2011 : 68,14 % pour Marjolaine Rauze (PCF), 31,86 % pour René Delmas (FN), 36,91 % de participation<ref>Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.</ref>.
- Élections départementales de 2015 : 60,15 % pour Hélene Dian-Leloup et Stéphane Raffali (PS) , 39,85 % pour Isabelle Rossignol et Claude Stillen (FN), 36,96 % de participation.
- Élections municipales
Modèle:Article détaillé Résultats des deuxièmes tours
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 100 % pour Michel Humbert (PCF) élu au premier tour, 40,61 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/01/2013.</ref>.
- Élections municipales partielles de 2009 : 54,43 % pour David Derrouet (PS) élu au premier tour, 45,57 % pour Michel Humbert (PCF), 52,42 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale partielle 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/01/2010.</ref>.
- Élections municipales de 2014 : 57,45 % pour David Derrouet (DVG) élu au premier tour, 15,60 % pour Bruno Hyson (DVD), 15.55 % pour Abdel Yassine (DVG), 11,38 % pour Annie Saltzmann (FDG), 62,07 % de participation<ref>Résultats du Modèle:1er pour la commune Fleury-Mérogis.</ref>.
- Élections municipales partielles de 2019 : 56 % pour Olivier Corzani (PCF), élu au premier tour, 29 % pour Nadia Le Guern, adjointe sortante et 15 % pour Abdel Yassine, 39,05 % de participation<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.
- Élections municipales de 2020 : 79,72 % pour Olivier Corzani (PCF) élu au premier tour, 20,28 % pour Nadia Le Guern, 42,39 % de participation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 69,86 % pour le Oui, 30,14 % pour le Non, 19,63 % de participation<ref>Résultats du référendum 2000 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 73,73 % pour le Non, 26,27 % pour le Oui, 65,54 % de participation<ref>Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/07/2009.</ref>.
Politique locale
Le maire réélu au terme des élections municipales de 2014 dans l'Essonne, David Derrouet, annonce en juin 2017 sa démission pour des raisons personnelles<ref name="LP21062017"/>. Le conseil municipal élit en octobre 2017 son successeur, Aline Cabeza<ref name="LP14102017"/>, malgré la contestation de certains élus<ref>Modèle:Article.</ref>. Celle-ci annonce toutefois sa démission dès novembre 2018, au terme d'un conseil municipal où le quorum n'avait pas été réuni et où des élus avaient reprochés au maire le départ de médecins<ref name="LP13112018"/>.
Les élections municipales partielles organisées le Modèle:Date- voient la victoire de la liste « Fleury pleinement citoyenne » (SE) menée par Olivier Corzani (PCF) dès le premier tour<ref>Modèle:Article.</ref> et celui-ci est élu maire le Modèle:Date-<ref name="LP09022019"/>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Fleury-Mérogis, consultée le 26 octobre 2017</ref>.
Jumelages
La commune de Fleury-Mérogis Modèle:Quand aucune association de jumelage.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 50,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 6,0 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 66,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Fleury-Mérogis est rattachée à l'académie de Versailles. Modèle:Quand des groupes scolaires Robert Desnos, Frédéric Joliot-Curie et Paul Langevin.
Santé
Le centre hospitalier Manhes a été créé initialement en 1965 par la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) pour les anciens déportés <ref>Centre hospitalier Manhes</ref>. Aujourd'hui, le centre hospitalier propose :Soins de Suite et de Réadaptation (SSR), Hôpital de Jour , Psychiatrie, Hémodialyse rénale, un service de consultations externes . La commune dispose sur son territoire de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Marcel-Paul (rattaché au centre Manhes, a vu le jour à l'initiative d'anciens déportés). Le centre Jean-Moulin fondé en 1948, est également rattaché au centre Manhes <ref>Centre Jean-Moulin</ref>. Un centre de la protection maternelle et infantile est implanté dans la commune<ref>Fiche du centre de PMI de Fleury-Mérogis sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 15/01/2013.</ref>.
Culture
La Modèle:Quand de plusieurs infrastructures culturelles, dont<ref>Site de la mairie</ref> :
- la salle André-Malraux (théâtre, danse, musique) ;
- la médiathèque Elsa-Triolet ;
- l'espace Jean-Wiener (centre musical et artistique) ;
- Le Onze (studio de répétition et d'enregistrement).
Sports
Le club de football, le FC Fleury 91, la D1 Féminine, les réserves, et les jeunes évoluent au Complexe Sportif Auguste Gentelet. Tandis que l'équipe première masculine réside au stade Robert-Bobin de BondoufleModèle:Référence nécessaire.
Services publics
La commune dispose en 2010 sur son territoire d'une brigade de gendarmerie nationale<ref>Organisation des forces de l'Ordre en Essonne sur le site de la préfecture. Consulté le 24/11/2010.</ref> et d'une agence postale<ref>Coordonnées de l'agence postale de Fleury-Mérogis sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.</ref>.
Lieux de culte
La paroisse catholique de Fleury-Mérogis est rattachée au secteur pastoral du Val d'Orge-Sainte-Geneviève-des-Bois et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église du Saint-Rédempteur<ref>Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 08/11/2009.</ref>, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Patrimoine religieux</ref>.
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
La ville est principalement connue pour accueillir sur son sol la prison de Fleury-Mérogis. Modèle:…
Emplois, revenus et niveau de vie
Modèle:Section à actualiser En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait la commune au 12 100e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent quatre-vingtième rang départemental<ref>Résumé statistique national sur le site de l’Insee. Consulté le 26/10/2009.</ref>.
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Fleury-Mérogis | 0,0 % | 1,5 % | 8,8 % | 18,2 % | 44,7 % | 26,9 % |
Zone d’emploi d’Orly | 0,1 % | 4,6 % | 15,2 % | 27,8 % | 30,3 % | 22,1 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Fleury-Mérogis | 0,3 % | 5,7 % | 3,1 % | 11,5 % | 6,4 % | 4,1 % |
Zone d’emploi d’Orly | 0,5 % | 8,1 % | 7,2 % | 15,0 % | 14,3 % | 6,3 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee<ref>%5CCOM%5CDL_COM91235.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.</ref>,<ref>%5CDL_ZE19901144.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Orly sur le site de l'Insee. Consulté le 25/05/2010.</ref>,<ref>Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.</ref> |
Culture locale et patrimoine
Patrimoine environnemental
Les bois communaux ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne<ref>Carte des ENS de Fleury-Mérogis sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 03/2019.</ref>.
Lieux et monuments
Une borne routière marquée d'une fleur de lys, aujourd'hui disparue, a été inscrite aux monuments historiques le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Fleury-Mérogis :
- Georges Marrane (1888-1976), homme politique y est mort.
- Florimond Bonte (1890-1977), homme politique y est mort.
- Martine Lefeuvre-Déotte (1951-), sociologue y enseigna.
- La famille Joly de Fleury possédait le domaine sous l'Ancien Régime.
- Grégoire Ludig (1982-), humoriste et acteur, y est né.
Héraldique et logotype
Fleury-Mérogis dans les arts et la culture
- Trust - Le Mitard (musique) : Modèle:8e de la version française de l'album Répression, et Modèle:10e pour la version anglaise. Les auteurs sont Bernie Bonvoisin (chanteur du groupe) et Jacques Mesrine (ancien criminel français, connu comme "l'ennemi public numéro un", et principal protagoniste du morceau). Dans cette chanson, Fleury-Mérogis désigne la maison d'arrêt de ladite commune, où Jacques Mesrine fut incarcéré. Elle visait à dénoncer le traitement des détenus.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Église du Saint-Rédempteur de Fleury-Mérogis
- Maison d'arrêt de Fleury-Mérogis
- Liste des communes de l'Essonne