Clairmarais
Modèle:Voir homonyme Modèle:Infobox Commune de France
Clairmarais (en néerlandais : Klaarmares, en flamand occidental: Klommeres<ref>Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois</ref>, Claeremeersch) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Clairmaraisiens.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe Modèle:EPCI-pop1 communes et compte Modèle:Nombre en Modèle:EPCI-pop1.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune est située dans le bassin de l'Aa en grande partie sur le marais audomarois sur la Méridienne verte à la frontière de la Flandre et de l'Artois, du Nord et du Pas-de-Calais. Elle fait partie du Westhoek français, la région flamingante de France.
Lors de la dernière invasion marine, à l'époque de Charlemagne vers l'an 800, Saint-Omer était un petit port, et Clairmarais était presque au bord de la mer.
Clairmarais se situe dans l'agglomération de Saint-Omer, mais son occupation des sols est essentiellement agricole et naturelle (forêt de chênes sur sol argileux et zone humide). L'urbanisation est concentrée autour d'un bourg et le long de certaines voies.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont cinq dans le département du Nord : Modèle:Communes limitrophes
Hydrographie
Modèle:Article connexe Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Le canal de Neufossé traverse l'extrème est de la commune. C'est un cours d'eau de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune d'Aire-sur-la-Lys et se jette dans Aa canalisée au niveau de la commune de Saint-Omer<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La commune est également traversée par quatre cours d'eau :
- le Schoubrouck, cours d'eau naturel de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune de Renescure et se jette dans le petit Leck au niveau de la commune<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- le petit Leck, cours d'eau naturel de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le grand Leck au niveau de la commune de Saint-Omer<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- le vieux fossé, cours d'eau naturel de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune d'Arques et se jette dans le watergang liene au niveau de la commune de Saint-Omer<ref>Modèle:Sandre</ref> ;
- le Clairmarais, cours d'eau naturel de Modèle:Unité, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Schoubrouck au niveau de la commune<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Modèle:Article détaillé Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »<ref group=Note>Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).</ref>, selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après<ref name=Joly/>.
Modèle:Centrer
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Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés et gérés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans ce cadre, la commune fait partie de plusieurs espaces protégés :
- le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- le marais audomarois avec :
- un terrain acquis par le Conservatoire du littoral, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- la réserve de biosphère, zone centrale, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- la réserve de biosphère, zone tampon, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- la réserve de biosphère, zone de transition, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- la zone humide protégée par la convention de Ramsar, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- la réserve naturelle régionale des prairies du Schoubrouck avec :
- une parcelle acquise en maitrise foncière. Terrain acquis (ou assimilé) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- une parcelle en maitrise d'usage. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> :
- la forêt domaniale de Clairmarais, d'une superficie de Modèle:Unité. Cette ZNIEFF s’étend à l’est de Saint-Omer, appartient au vaste complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les prairies humides de Clairmarais et du Bagard, d'une superficie de Modèle:Unité. Cette ZNIEFF se situe dans la partie est du marais audomarois et est bordée au sud par la forêt de Clairmarais et au nord par le début des collines de Flandre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- le bassin de Bonduelle et bois à l'Est, d'une superficie de Modèle:Unité. Cette ZNIEFF, essentiellement ornithologique, compte pas moins de dix espèces qui fréquentent le site en période de reproduction. C'est également un site de halte pour des espèces remarquables comme l’Échasse blanche ou le Combattant varié<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> : le complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants, d'une superficie de Modèle:Unité. Cette ZNIEFF est un élément de la dépression préartésienne, drainé par l’Aa, le marais Audomarois est un golfe de basses terres bordé à l’Ouest par la retombée crayeuse de l’Artois et à l’Est par les collines argileuses de la Flandre intérieure<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web</ref>.
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les prairies, marais tourbeux, forêts et bois de la cuvette audomaroise et de ses versants, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
et un site Natura 2000 au titre de la « directive Oiseaux » : le marais audomarois, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Clairmarais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,7 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), prairies (13,5 %), zones humides intérieures (2,2 %), zones urbanisées (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Voies de communication
Modèle:Article connexe La commune est desservie par la route départementale D 209<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Transport ferroviaire
Modèle:Article connexe La commune se trouve à Modèle:Unité de la gare de Saint-Omer, située sur les lignes de Lille aux Fontinettes et de Saint-Omer à Hesdigneul, desservie par des trains TER Hauts-de-France<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Transports en commun
Clairmarais est desservie par la ligne 5 du réseau Mouvéo.
Toponymie
Modèle:Article connexe Le nom de la localité est attesté sous les formes Claromaresch ou Claromaresck (1145), Clarus Mariscus (1163-1171), Cleirmaresc (1165), Claromariscum (1175), Clemariscus (1176), Claromarescum (1177), Claremariscus (1247), Clermaresch (1270), Clermarès (1285), Clamarès (1412), Clémarez (1498), Clermarestz (1566), Clemairès (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Clairmaretz (1637-1639), Clairmarets (1739)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Clairemarais (1793) et Clairmarais (depuis 1801)<ref name="Cassini"/>.
Ernest Nègre donne comme origine toponymique l'oïl clair + maresc : le « marais aux eaux claires »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
La commune porte le nom de Klommeres, Claeremeersch en flamand occidental, Klaarmares en néerlandais et Clairmérais en picard.
Histoire
Moyen-Âge et temps modernes
Clairmarais est née au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et doit son origine à la célèbre abbaye cistercienne fondée par Bernard de Clairvaux (saint Bernard) en 1140.
Clairmarais est devenue commune à part entière en 1790 alors que l'abbaye allait être détruite et vendue comme bien national à la Révolution.
Aujourd'hui un hameau, la Cloquette fut érigé en commune de 1790 à 1801.
Époque contemporaine
Le flamand était encore parlé jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Pendant la Première Guerre mondiale, en février 1916, sur l'aérodrome de Clairmarais, stationnait l'escadrille n° 20 du Corps Royal des aviateurs anglais. Un des avions, un biplan armé de deux mitrailleuses s'est accidenté à Rexpoëde : le 3 février 1916, vers 16h30, un avion biplan anglais armé de deux mitrailleuses a atterri à Rexpoëde. Les deux aviateurs ont déclaré appartenir à l'escadrille n° 20 du Corps Royal des aviateurs anglais, attachée à l'aérodrome de Clairmarais. Ils venaient de Clairmarais et se sont égarés en recherchant leur destination (Djoogland? DJooyland?), d'où leur atterrissage. Ils prévoyaient de repartir le lendemain. Les deux mitrailleuses ont été déposées au commandement d'étapes (Rexpoëde est alors siège d'un commandement d'étapes, organisme de l'armée de terre destiné à accueillir des troupes en séjour ou de passage) et une garde organisée autour de l'appareil. L'avion n'a pu décoller le 4 matin en raison du mauvais temps. Il a tenté de le faire dans l'après-midi. Mais à peine en vol, il a touché un fil téléphonique ce qui le fit changer de direction, et l'empêcha de prendre de la hauteur. Il finit dans sa course dans un arbre et tomba au sol, non loin de son point de départ. Les premiers secours ont rapidement été donnés, le médecin chef de l'infirmerie du commandement d'étapes a ausculté les deux aviateurs. Il a diagnostiqué des contusions à la tête pour l'un, dans la région lombaire pour l'autre, mais sans gravité apparente pour aucun d'eux. Ils ont été évacués sur l'hôpital de Beveren. L'avion complètement détruit a été gardé pour la nuit. Le 5 février, des mécaniciens anglais sont venus le démonter mais ont oublié sur place les mitrailleuses. Averti, le quartier général anglais a prévu leur enlèvement le 6 février<ref>Journal de marche du commandement d'étapes de Rexpoëde, p. 520-524, lire en ligne.</ref>.
En 2015, un projet de fusion des communes de la Communauté d'agglomération de Saint-Omer en une seule est élaboré. Pour que ce projet puisse être validé, il nécessite l'accord de toutes les communes concernées. Le 8 octobre, le conseil municipal de Clairmarais vote contre, ce qui met un terme à ce projet<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
Découpage territorial
Modèle:Article connexe La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais, depuis 1801<ref name="Cassini"/>.
Commune et intercommunalités
Modèle:Article connexe La commune est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer.
Circonscriptions administratives
Modèle:Article connexe La commune est rattachée au canton de Saint-Omer-Nord, de 1801 à 2014<ref name="Cassini"/>, puis depuis 2015 au canton de Saint-Omer.
Circonscriptions électorales
Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Enseignement
École en programmation. Collèges et lycées sur Saint-Omer.
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe Les habitants sont appelés les Clairmaraisiens<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 26,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 30,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,41 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Clairmarais est une commune essentiellement agricole, les maraîchers y cultivent notamment le chou-fleur.
Le tourisme est également une activité en plein essor, avec deux campings, un gite, des cafés - restaurant, un centre de thalassothérapie, la grange nature à proximité de la réserve naturelle, un embarcadère nautique, un centre équestre ainsi qu'un loueur de voitures anciennes, de types 2CV, combis Volkswagen, tandems...
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- la forêt domaniale de Rihoult Clairmarais et la réserve naturelle régionale du Romelaëre (devenue nationale le 7 février 2008<ref>JO ; Décret n° 2008-220 du 5 mars 2008 portant création de la réserve naturelle nationale « des étangs du Romelaëre » (Nord et Pas-de-Calais)</ref>) attirent de nombreux visiteurs.
- Présente également sur la commune, la grotte Notre-Dame de Lourdes où se recueillent des pèlerins. Le pèlerinage du 15 août étant le plus important au nord de la Seine.
- Le monument aux morts<ref name="mdp">Modèle:Lien web.</ref>.
-
Dans la réserve naturelle du Romelaëre.
-
La grotte.
Monuments historiques
- L'abbaye de Clairmarais : ancienne abbaye cistercienne, ruines inscrites au titre des monuments historiques par arrêté du 2 décembre 1946 ; ferme comprenant : 1. vestiges en partie médiévaux de l'entrée de l'abbaye avec la porterie et les bâtiments des étrangers (dont la chapelle) ; 2. ferme proprement dite avec le portail d'entrée, le logis (accolé aux bâtiments des étrangers) et sa tourelle d'escalier (datée 1680), les bâtiments agricoles (granges, étables, écuries, porcheries, maréchalerie, etc.) ; 3. le pigeonnier (cad. D 108, 110, 323, 326) : inscription par arrêté du 3 juillet 1987<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La ferme cistercienne de la Cloquette. Façades et toitures du petit pavillon Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (cad. B 193) : inscription par arrêté du 27 juin 1991<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Modèle:Autorité
- Modèle:Bases
- Modèle:Dictionnaires
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, Modèle:Lire en ligne
- Modèle:Lien web.
- Modèle:Géoportail