Diant

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Modèle:Infobox Commune de France

Diant est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est située à environ Modèle:Unité par la route<ref>fr.distance.to, consulté le 21 décembre 2021</ref>,<ref group=Note>Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> au sud de Montereau-Fault-Yonne, et est proche du parc naturel régional du Gâtinais Français<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>. Modèle:Encadré texte

Communes limitrophes

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

L'altitude de la commune varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Diant.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 27 décembre 2018</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Un espace protégé est présent sur la commune : la zone centrale de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité (Modèle:Unité pour la zone centrale). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Diant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir) dont Les Bons Ménages - Cornoy - Epigny - La Haie-au-Roi - Les Joncheries - Les Noues - La Tasse<ref name="SHAGE">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,9 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le Modèle:Date-, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois Modèle:Unité et trois communautés de communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 99,2 % de maisons<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Parmi ces logements, 69,8 % étaient des résidences principales, 19,9 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 92,1 % contre 3,4 % de locataires et 4,5 % logés gratuitement<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 24 mai 2020</ref>.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Transports

La commune est desservie par la ligne d’autocars Modèle:N°maj (BlennesNemours) du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours.

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Dedenz au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; Parrochia de Dian en 1206<ref>Bibl. nat., ms. nouv. acquis. Latines 400, p. 174.</ref> ; Diant en 1220<ref>Histor. France, XXIII, 662.</ref> ; Apud Diantem vers 1250<ref>Bibl. nat., ms. nouv. acquis. Latines 400, p. 233.</ref> ; Dominus de Diante en 1290<ref>Archives nationales, S 5170.</ref> ; Diens en Gatinais en 1349<ref>Archives nationales, JJ 68, n° 354.</ref> ; Prior de Dyante en 1369<ref>Longnon, Pouillés de Sens, p. 65.</ref> ; Tyant en Gatinois en 1505 [copie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle]<ref>Archives nationales, S 1551.</ref> ; Dyans au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Archives hosp. Nemours, C 3.</ref> ; Dians en 1793<ref name="SHAGE"/>,<ref name="Cassini"/>.

Histoire

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le domaine de Diant appartient au domaine des vicomtes de Sens dont le château principal est à Vallery. Lors du démembrement définitif de la vicomté, Diant rejoint le lot des seigneurs de Chaumont (Yonne) issus d'Héloïse (+1253), fille de la dernière vicomtesse Ermensent, et de son époux Eudes des Barres (+1233).

La seigneurie de Diant apparaît en 1264. Guillaume des Barres, petit-fils aîné d'Héloïse, tient la seigneurie. En 1269, il vend sa part des droits de la vicomté à l'archevêque de Sens. Son fils homonyme a ensuite la seigneurie, qui va ensuite à la sœur de ce dernier, Marguerite des Barres, mariée en 1293 à Hugues de Bouville, chambellan du roi et seigneur de La Chapelle-la-Reine.

Dès 1396, la seigneurie est achetée par François Chanteprime. Ce très grand bourgeois de Sens est trésorier général des Aides, impôt consacré au financement de la guerre sous Charles V. Les Chanterpime sont écartés (en tant que Marmousets) par les oncles de Charles VI désireux de perpétuer les prélèvements fiscaux massifs devenus injustifiés (la France avait pratiquement réglé le cas de l'intrusion anglaise) pour s'en adjuger une bonne part. Dès lors, la descendance Chanteprime détient des charges à la Cour écartées du pouvoir réel.

Circonscriptions d'Ancien Régime

Intendance : Paris - Élection : Montereau - Subdélégation : Montereau - Grenier à sel : Montereau - Coutume : Melun - Parlement : Paris - Bailliage : Moret-sur-Loing - Gouvernement : Ile-de-France - Diocèse : Sens - Archidiaconé : Sens - Doyenné : Marolles<ref name="SHAGE"/>.

Politique et administration

Fichier:Mairie et monument aux morts Diant.jpg
La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

Lors de sa création par la Révolution française, elle était rattachée à l'arrondissement de Fontainebleau, puis en 1926 à celui de Melun, et à nouveau, en 1988, à celui de Fontainebleau<ref name="Cassini"/>. Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le Modèle:Date- l'arrondissement de Provins<ref>Modèle:Article.</ref>.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Lorrez-le-Bocage-Préaux<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Nemours.

Intercommunalité

La commune a adhéré en 2012 à la petite communauté de communes du Bocage Gâtinais.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité (et Modèle:Unité en zone de montagnes), cette intercommunalité éclate, et certaines de ses communes, dont Biennes, sont rattachées le Modèle:Date- à la communauté de communes des Deux Fleuves (CC2F)<ref>Modèle:Article.</ref>, qui prend, lors de cette extension, la dénomination de communauté de communes du Pays de Montereau, dont est membre la commune.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

Modèle:…

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Diant est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le SIAAEP du Bocage assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAAEP du Bocage qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le Modèle:Date-, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Les habitants sont appelés les Darniots ou les Darnioses<ref group="Note">Voir le site de la mairie.</ref>.

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal, qui regroupe Blennes, Chevry-en-Sereine et Diant. L'école maternelle est à Chevry-en-Sereine et l'école primaire à Blennes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre, représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 910 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 29 décembre 2021.</ref>.

Emploi

En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants (dont 15,3 % dans la commune de résidence et 84,7 % dans une commune autre que la commune de résidence).

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77 % contre un taux de chômage de 4,9 %. Les 18 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,4 % de retraités ou préretraités et 4,1 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 29 décembre 2021.</ref>.

Secteurs d'activité

Entreprises et commerces

Au Modèle:Date-, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2020», consultée le 21 décembre 2021.</ref>.

En 2020, Modèle:Nobr entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

Au Modèle:Date-, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 21 décembre 2021.</ref>.

Agriculture

Diant est dans la petite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 11 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Diant, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Diant entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 11 8 5
Travail (UTA) 15 13 10
Surface agricole utilisée (ha) 976 1 011 935
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 959 1 011 935
Céréales (ha) 678 s 559
dont blé tendre (ha) 486 487 417
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 135 s 33
Tournesol (ha) 92 s s
Colza et navette (ha) 95 112 169
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 39 3 2

Culture locale et patrimoine

Fichier:Diant château 4.jpg
Douves du château de Diant.
Fichier:Lavoir sur l'Orvanne Diant n01.jpg
Lavoir sur l'Orvanne.
Fichier:Église Sainte-Geneviève de Diant 2017-10.jpg
Abside et clocher de l'église Sainte-Geneviève.

Lieux et monuments

Installé sur les bords de l'Orvanne, le château fort a pour origine un ancien manoir féodal. Louis IX et la reine Blanche de Castille y séjournèrent à plusieurs reprises. L'édifice soutient de nouveaux sièges en 1594 sous Henri IV, et en 1714 sous le règne de Louis XIV.
Proche du bourg, il s'agit d'un monolithe au sommet arrondi d'environ trois mètres de haut. La tradition locale l'a attribué, à tort<ref>QUESVERS, Paul. Lorrez-le-Bocage et ses environs. Paris : Res Universis, 1991. (réédition de « De Montereau à Château-Landon » paru en 1889)</ref>, à une commémoration de la bataille de Dormelles (599)<ref>Modèle:Article.</ref>.
Parce-que des silex en pierre taillée ou pierre polie furent retrouvés à proximité, une plaisanterie locale assurait aux enfants qu'en se frappant onze fois la tête contre la Pierre au Couteau, ils en feraient sortir de nouveaux silex taillés ou polis.
Cette pierre fut prise comme cible de tir par les soldats allemands en exercice pendant la Seconde Guerre mondiale.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette

Modèle:Portail