Fleury-sur-Orne

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Fleury-sur-Orne <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref>Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref> (les Fleurysiens). Originellement nommée Allemagne, la commune a été rebaptisée Fleury-sur-Orne par décision du conseil municipal le 23 août 1916, validée par le conseil des ministres le 12 avril 1917, en hommage au village Fleury-devant-Douaumont situé dans le département de la Meuse, qui a été détruit en 1916 pendant la bataille de Verdun.

Géographie

La commune est en plaine de Caen et est limitrophe au sud-est de Caen, son centre, autour de l'église Saint-Martin de Haute-Allemagne, est à Modèle:Unité du centre de la capitale régionale<ref>Distance routière la plus courte selon Viamichelin.fr</ref>. Elle est desservie par la ligne T3 du tramway de Caen.

Fichier:Map commune FR insee code 14271.png
Carte de la commune.

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,1 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Fleury-sur-Orne est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Caen, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), zones urbanisées (27,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,3 %), prairies (0,3 %), forêts (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Fleury-sur-Orne est mentionnée sous la forme latinisée Modèle:Langue en 1077<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, en français Allemagnes puis Allemagne jusqu’en 1916<ref name="Cassini"/>.

Elle doit sans doute ce nom d'Allemagnes à une garnison d’Alamans de l'armée romaine préposée à la garde du gué d'Athis qui franchissait l’Orne à l’époque du Bas-Empire dans le cadre du Modèle:Langue.

Un village de l'Orne, près de Mortrée, s'appelle Almenêches, issu d'une forme *Alemanniska qui désigne également un établissement d'Alamans<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing citent les toponymes de ce type à l'entrée Alamands (les) Modèle:P. de leur ouvrage, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1989 Modèle:ISBN.</ref>. La proximité dans l'espace (Modèle:Unité à vol d'oiseau) et le temps de deux toponymes se référant aux Alamans laisse penser qu'il existe une relation entre les deux communautés, mais on ignore selon quelles modalités.

Le Modèle:Date, en pleine guerre entre l'Allemagne et la France, le conseil municipal décide un remplacement du nom pour celui de Fleury, en commémoration de Fleury-devant-Douaumont, commune martyre de la Meuse intégralement détruite cette même année lors de la bataille de Verdun. Par décret du Modèle:Date, le nom de Fleury-sur-Orne devient officiel<ref>Décret du Modèle:Date, attribuant à la commune d'Allemagne (Calvados) la dénomination de Fleury-sur-Orne, publié au Journal officiel de la République française du Modèle:Date, dans Bulletin des lois de la République française, nouvelle série, 1917, no 199, Modèle:P. (lire en ligne Modèle:Pdf, consulté le Modèle:1er juillet 2015)</ref>. L'Orne est un fleuve côtier. C'est le deuxième plus important des cours d'eau normands, après la Seine, par sa longueur et son débit.

Histoire

Préhistoire

Le site de Fleury-sur-Orne est célèbre pour ses monuments d'une longueur impressionnante<ref name="Rivollat202204">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Maïté Rivollat, Aline Thomas, Emmanuel Ghesquière et al., Ancient DNA gives new insights into a Norman Neolithic monumental cemetery dedicated to male elites, pnas.org, 119 (18) e2120786119, 21 avril 2022, doi.org/10.1073/pnas.2120786119</ref> : un ensemble de tombes néolithiques a été découvert, composé d'une série de tombes monumentales de 4500 av. J.-C. construites avec les plaques de gazon et allant de 12 à Modèle:Nobr de long sur Modèle:Unité de large, entourées de fossés allant de Modèle:Unité à Modèle:Unité, et qui recelaient des hommes armés d'arc ainsi que leurs femmes<ref>François Savatier, « Des tombes néolithiques monumentales à Fleury-sur-Orne », Pour la science, août 2014, [1]</ref>. Le site comprend 32 monuments de tailles variables, contenant les sépultures de 19 individus de la période néolithique<ref name="Rivollat202204"/>.

Le cimetière de Fleury-sur-Orne fait partie des premières manifestations funéraires monumentales en Europe et est antérieur aux sociétés mégalithiques atlantiques. Créée au cours du deuxième quart du cinquième millénaire avant notre ère, Fleury-sur-Orne est constituée de longs tumulus en terre, certains mesurant jusqu'à 300 m de long. Ces monuments appartiennent au phénomène « Passy », du nom du site éponyme. Ils font partie de la culture de Cerny qui trouve son origine dans l'Yonne et la haute vallée de la Seine vers 4700 cal. BCE au début du Néolithique moyen local<ref name="Rivollat202204"/>. Les datations directes au radiocarbone des éléments squelettiques de 15 individus indiquent une phase d'utilisation principale de 4 600 à 4 300 cal. avant notre ère. Trois individus néolithiques datent d'après 4 000 cal. BCE, tous les trois enterrés à l'intérieur d'un monument existant. Au cours de la première moitié du quatrième millénaire avant notre ère, de nouveaux monticules de pierre ont été construits, tandis que des sépultures occasionnelles ont été ajoutées dans des périodes plus récentes (âge du bronze et antiquité classique) à l'intérieur des monuments existants<ref name="Rivollat202204"/>.

On a également mis au jour une nécropole datant de l'âge du fer comprenant une centaine de sépultures ainsi que des enclos de pierres. Le site a livré un mobilier diversifié d'une cinquantaine d'objets (outillage, parure, serrurerie et quincaillerie)<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le massacre du gué d’Athis

En 1047, le jeune Guillaume, duc de Normandie (qui n'est pas encore Guillaume le Conquérant), aidé par Henri Ier roi de France, et grâce à la soumission in extremis de l'un des insurgés, Raoul Tesson fondateur de l'abbaye Saint-Étienne de Fontenay (Saint-André-sur-Orne), mit fin à la révolte des barons normands à la bataille du Val-ès-Dunes, près des villages de Chicheboville, Secqueville et Bourguébus. Peu d’informations nous sont parvenues sur cette bataille, mais il semblerait qu’il n’y ait eu ni infanterie ni archers, seuls des groupes de cavaliers se seraient affrontés de manière désordonnée.

À l’issue de ces échauffourées, les barons rebelles s’enfuirent. Ils tentèrent de franchir l’Orne au gué d'Athis entre Saint-André-sur-Orne et Fleury-sur-Orne (« entre Fontenay et Allemagnes », comme il est raconté dans le Roman de Rou en 1160) et y furent décimés. Emportés en grand nombre par le courant, les corps des chevaliers massacrés bloquèrent le moulin de Bourbillon au niveau de l’actuelle « Île enchantée ». Guillaume devint alors le maître incontesté du duché de Normandie.

Les carrières

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le « carreau d'Allemagnes » était l'un des principaux lieux d'extraction de la pierre de Caen. L'exploitation se faisait alors à ciel ouvert. Elle servit à la construction de nombreux édifices en Normandie (par exemple les abbayes de Caen) ou en Angleterre (tour de Londres).

Dans un premier temps, l'exploitation s'est faite à partir de boyaux à flanc de coteaux. Puis à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, on exploita les carrières souterraines ; on creusa plus profondément grâce à des puits creusés à l'est de la route d'Harcourt vers la Grâce de Dieu.

En 1817, on découvre des fossiles de teleosaurus, à l'origine de la controverse entre Georges Cuvier et Étienne Geoffroy Saint-Hilaire sur les « crocodiles de Caen »<ref>Arnaud Brignon, L’étude inachevée d’Étienne Geoffroy Saint-Hilaire sur les crocodiles fossiles (Thalattosuchia) de Normandie à la lumière de documents inédits, Annales de Paléontologie, Modèle:Vol. - Modèle:N°, juillet 2013, Modèle:P..</ref>.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les habitants de l'agglomération caennaise trouvèrent refuge dans ces carrières souterraines pendant les bombardements. L'activité des carrières exploitant la pierre de Caen cessa à la fin des années 1950, après la reconstruction de Caen, le béton étant alors le matériau le plus utilisé dans la construction.

Aujourd'hui, ces carrières sont fermées au public sauf pour les journées du patrimoine. Certaines sont utilisées pour la culture du champignon de Paris<ref>Pour plus d'informations, notamment photographiques, voir le site de la Lithothèque de Normandie</ref>.

La libération de Fleury-sur-Orne en 1944

Durant la nuit du 18 au 19 juillet, les neuf régiments des trois brigades de la [[2e Division d'infanterie canadienne (1939-1945)|Modèle:2e d’infanterie canadienne]] se préparent à libérer le Sud de Caen avec pour objectif la Modèle:Nobr.

Les régiments Royal Black Watch (régiment créé à Montréal en 1862) et Calgary Highlanders (originaire de la province canadienne d'Alberta) traversent l’Orne puis escaladent les hauteurs de Vaucelles sous le feu des obus et des balles allemandes. Pendant ce temps, les troupes de la Modèle:6e opèrent plus à l’est. Le 19 juillet, au lever du jour, alors que les combats font rage sur les hauteurs de Vaucelles, le régiment de Maisonneuve principalement composé de Québécois, se prépare à son baptême du feu.

Quittant leur retranchement près de la prison vers 10 heures, les hommes du régiment de Maisonneuve traversent le pont Bailey mis en place quelques heures auparavant par le génie canadien.

Le docteur Robert installe son poste de soins à la croisée des routes 158 et 162 (actuel carrefour rue de Falaise-Boulevard Lyautey). À 13 heures, sous la supervision du commandant Bisaillon, les compagnies A (major Dugas) et C (major Ostiguy) prennent la route de Thury-Harcourt alors que les compagnies D (major Léon Brosseau) et B (major Massue) utilisent une petite route secondaire sur la droite (l’actuel chemin des Coteaux ?) avec pour objectif la partie basse de Fleury-sur-Orne.

Sous une pluie d’obus et de mortiers, les troupes canadiennes disputent aux Allemands l’occupation des maisons bordant la route. Les rafales des mitrailleuses déchirent l’air, les blessés attendent les premiers soins, près d’eux gisent leurs camarades morts. Sur la gauche, le village d’Ifs est en feu, alors que le Royal Back Watch arrive à Saint-André-sur-Orne qu'il réussira finalement à libérer après des combats acharnés et héroïques qui feront de nombreux morts parmi les jeunes soldats canadiens. À 16 heures, la compagnie C du major Ostiguy, aidée des lieutenants Mathieu et Robert, atteint l’objectif, chaque maison de Fleury est inspectée. Le curé Saussaye et les habitants de Fleury, réfugiés depuis début juin dans les carrières, apprennent avec soulagement la fin de leur exil souterrain tandis que les Allemands se replient sur Étavaux. Gérard Marchand, aumônier du régiment de Maisonneuve, dit une prière avant l’ensevelissement des soldats canadiens tués au combat.

Le 24 juillet, le régiment québécois participe avec les autres régiments canadiens à l’opération Spring. Le vendredi 29 juillet, vers Modèle:Heure, une attaque surprise, dirigée par le major Vallières suivie d’une autre attaque dans la nuit de vendredi à samedi entraîne la capitulation des troupes allemandes stationnées à Étavaux.

Le 9 août, la Modèle:2e canadienne s’empare de la crête de Verrières.

De l'après-guerre à nos jours

Un secteur de la commune de Fleury-sur-Orne a été rattaché à la commune de Caen par arrêté du 20 juillet 1962<ref name="Archives14">Archives départementales du Calvados, délibérations municipales en ligne</ref>. Cette partie non urbanisée connue sous le nom de la Grâce de Dieu est devenue un quartier de Caen.

Politique et administration

Ville Internet

La commune de Fleury-sur-Orne a été récompensée par le label « Ville Internet. En 2010, 2011, 2012, 2013 et 2014, elle obtient @@@ »<ref>Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18 décembre 2009.</ref>. En 2013, en partenariat avec le ministère de l’Égalité des Territoires et du Logement, le jury attribue également à la ville pour la première fois la mention « ruralité » pour saluer la commune qui « souvent, arrive à un niveau d’initiatives égal aux plus grands territoires ». En 2015, la commune obtient @@@@ puis en 2016 @@@@@ ainsi que les mentions « ruralité » et « coopération internationale ». En 2017, la commune obtient @@@@@ et une mention « coopération internationale ». En 2018, la commune obtient @@@@@ et une mention « solidarité numérique »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est la première Ville Internet du Calvados.

Deux membres du gouvernement sont également venus dans la commune pour des évènements liés au numérique. Le 2 octobre 2015, à l'occasion de l'InnovationWeek, Clotilde Valter, secrétaire d’État chargée de la réforme de l’État et de la simplification auprès du Premier Ministre, a assisté à une démonstration de la navigation sans contact au Foyer Soleil puis a visité l'Espace public numérique (EPN)Modèle:Référence nécessaire. Le 9 mars 2016, la ville a accueilli les Modèle:3es territoriales de l'identité numérique du citoyen (ATINC). Jean-Vincent Placé, secrétaire d’État chargé de la réforme de l’État et de la simplification auprès du Premier Ministre, parrain de ces assises, a conclu la journéeModèle:Référence nécessaire.

Intercommunalité

La commune adhère à la communauté d'agglomération Caen la Mer.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Fichier:Fleury-sur-Orne Mairie.jpg
La mairie.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et sept adjoints<ref name=ʺof-municipales-2020ʺ />.

Démographie

Modèle:Population de France/introduction Peuplée de 585 habitants en 1793, Allemagne avait compté jusqu'à Modèle:Nombre en 1861 puis la population était redescendue à 819 (1881). Le précédent maximum fut dépassé en 1911 (Modèle:Nombre).

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Économie

Le parc de Fleury-sur-Orne doit se développer sur 80 hectares de terrain. Les commerces s'implanteront sur 60 hectares et 13 hectares sont réservés aux activités tertiaires. L'ouverture d'un magasin Ikea et d'un magasin Castorama ont accéléré le développement économique de la commune.

Lieux et monuments

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: XII|-| – | XII }}Modèle:S mini- siècle
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: –|-| – | – }}Modèle:S mini- siècle

}}, alors que le reste du bâtiment, construit en 1845 dans un style néogothique, est moins intéressant. Ce lieu de culte destiné aux habitants de Basse-Allemagne fut construit à flanc de coteau à proximité de l'ancienne route d'Angers et du bac d'Athis.

Culture, animation, sports, loisirs

Il existe plusieurs associations dans lesquelles s'investissent bon nombre de Fleurysiens telles que la JSF (Jeunesse sportive fleurysienne), l'association de jumelage avec le Sénégal Fleury/Ouonck Dieba, l'association de jumelage Fleury-sur-Orne / Waldbüttelbrun (AJFW)… L'espace Nicolas-Oresme permet d'accueillir des spectacles musicaux, théâtraux, des expositions de peinture. Différentes manifestations se déroulent dans la commune : galas de boxe anglaise et full contact, les soirs d'été, la fête des associations, les journées du patrimoine, la fête des Coteaux, la fête de l'Internet, le festival du développement durable, les artistes à Fleury, le Bloody Fleury, le marché de Noël, des vide-greniers…

Sports

La Jeunesse sportive fleurysienne fait évoluer deux équipes de football en divisions de district<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Coopérations internationales

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

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Références

Altitudes, superficie : IGN, Répertoire géographique des communes.

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Voir aussi

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail