Giéville

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Ancienne commune de France

Giéville est une ancienne commune française du département de la Manche et la région Normandie, devenue le Modèle:Date- une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Torigny-les-Villes.

Elle est peuplée de Modèle:Dernière population commune de France habitants<ref group="Note">Population municipale Modèle:Dernière population commune de France.</ref>.

Géographie

La commune est en pays saint-lois. Son bourg est à Modèle:Unité au sud de Torigni-sur-Vire et à Modèle:Unité au nord-est de Tessy-sur-Vire<ref>Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.</ref>.

Plusieurs routes départementales parcourent le territoire communal, dont deux se rejoignent dans le bourg de Torigni-sur-Vire au nord : la Modèle:Nobr qui permet au sud-ouest de retrouver Domjean et Tessy-sur-Vire, et la Modèle:Nobr (ancienne route nationale 174 qui va vers Vire au sud. Situé entre les deux, le bourg en est relié par la Modèle:Nobr. Empruntant partiellement la Modèle:Nobr, celle-ci se prolonge à l'est vers Saint-Symphorien-les-Buttes. Partant de la Modèle:Nobr à l'est, la Modèle:Nobr et la Modèle:Nobr qui la rejoint permettent de prendre la direction du Bény-Bocage vers le sud-est. L'accès à l'A84 (sortie 40) est à Modèle:Unité au sud à Guilberville.

Giéville est dans le bassin de la Vire. Son affluent la rivière de Jacre délimite le territoire au sud-ouest et son bassin occupe la partie sud du territoire. La Jacre rejoint la Vire sur la commune voisine Domjean. La partie nord-est est dans le bassin du Hamel, autre affluent de la Vire, qui rejoint le fleuve côtier à Condé-sur-Vire. Un court affluent direct de la Vire draine les eaux du nord-ouest et la rejoint également à Condé-sur-Vire.

Le point culminant (Modèle:Unité) se situe en limite est, sur les pentes de la Hogue, près du lieu-dit la Tête Marie. Le point le plus bas (Modèle:Unité) correspond à la sortie de la Vire du territoire, à l'ouest. La commune est bocagère.

Le climat est océanique, comme dans tout l'Ouest de la France. La station météorologique la plus proche est Caen-Carpiquet, à Modèle:Unité, mais Granville-Pointe du Roc est à moins de Modèle:Unité<ref>Distances orthodromiques selon le site Lion 1906.</ref>. Le Saint-Lois s'en différencie toutefois pour la pluviométrie annuelle qui, à Giéville, avoisine les Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr).</ref>.

Les lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : les Claveteries, les Landes, les Bouillons, les Mauvinières, Norolles, la Guillardière, Putot, la Bigne (au nord), la Govinière, les Vallées, la Pavé, l'Oiselière, la Bouletière, la Conterie (à l'est), le Champ Savin, la Tête Marie, la Détourbe, la Filerie, le Pont du Mesnil, la Lande, les Montagnes, la Castelière, la Buquerie, la Bourgaie (au sud), le Haut des Chasses, la Beaudrie, la Françaiserie, le Bosq, les Canneveries, la Croix, la Hogues, la Tanquellerie, le Pont de Jacre, le Haut Hamel (à l'ouest), la Touperie, le Chêne à Rots, la Brandonnière, les Quimbins, la Harivellerie, la Carpentrie et la Gardinière<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Toponymie

Le toponyme est attesté sous les formes Guyevilla en 1350 (Pouillé Bayeux)<ref name="François de Beaurepaire">Modèle:Ouvrage.</ref>, Guyville en 1375<ref name="François de Beaurepaire"/>, Guieville en 1406 et 1434<ref name="François de Beaurepaire"/>.

Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Gié- représente vraisemblablement un anthroponyme selon le cas général.

Bien que le Giéville soit situé au nord de la ligne Joret, c'est la forme française en g- [ʒ] qui s'est imposée aux dépens de la forme normande en gu- [g] bien attestée jusqu'à époque récente dans les Guieville. Il n'y a pas unanimité chez les spécialistes pour expliquer l'élément Guie-.

Albert Dauzat y voit le nom de personne germanique occidental Gero<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, tandis qu'Ernest Nègre évoque Giddo<ref name="negre">Modèle:Ouvrage.</ref>, François de Beaurepaire préfère ne pas se prononcer<ref name="François de Beaurepaire"/>, suivi en cela par René Lepelley<ref>René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 Modèle:ISBN, p. 134a</ref>.

Le gentilé est Giévillais.

Histoire

Le Modèle:Date-, Giéville intègre avec trois autres communes la commune de Torigny-les-Villes<ref>Modèle:Lien web.</ref> créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi Modèle:N° du Modèle:Nobr de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Brectouville, Giéville, Guilberville et Torigni-sur-Vire deviennent des communes déléguées et Torigni-sur-Vire est le chef-lieu de la commune nouvelle.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal était composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints<ref name="of-maire2014"/>. Ces conseillers intègrent au complet le conseil municipal de Torigny-les-Villes le Modèle:Date- jusqu'en 2020 et Dominique Rose devient maire délégué.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Introduction population d'article de commune de France 4 Giéville a compté jusqu'à Modèle:Nobr en 1806.

Modèle:Tableau population d'article de commune de France

Modèle:Graphique population d'article de commune de France

Économie

Modèle:…

Lieux et monuments

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles

}}. Clocher du Modèle:S mini-. Elle abrite une Vierge à l'Enfant (Modèle:S mini-) et une verrière (Modèle:S mini-) de Charles Lorin.

C'est l'abbé de Cerisy qui avait le patronage de l'égliseModèle:Sfn.

Activité et manifestations

Le Quarteron's-club forme et participe régulièrement à des compétitions d'agility<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail