Torigni-sur-Vire
Modèle:Voir homonymes Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Ancienne commune de France
Torigni-sur-Vire est une ancienne commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de Modèle:Dernière population commune de France habitants<ref group="Note">Population municipale Modèle:Dernière population commune de France, légale en {{#expr:Modèle:Dernière population commune de France+3}}.</ref>. Elle est depuis le Modèle:Date- une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Torigny-les-Villes.
Elle est située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Saint-Lô, elle est le siège de la communauté de communes et a été chef-lieu de canton jusqu'en 2015.
Géographie
Torigni-sur-Vire est en Bocage normand, plus précisément en Pays saint-lois. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie place principalement la commune dans l'unité de la vallée de la Vire aux « paysages variés mais déterminés par un encaissement profond du cours d’eau »<ref>Modèle:Lien web.</ref>, mais en limite ouest du Bocage en tableaux caractérisé par « une série de vallées parallèles sud-ouest/nord-est » aux « amples tableaux paysagers »<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>. Ne couvrant que Modèle:Nombre, le territoire communal est le moins étendu de son canton et est majoritairement couvert par l'agglomération. Celle-ci est à Modèle:Unité au sud-est de Saint-Lô et à Modèle:Unité au nord de Vire<ref name="michelin">Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.</ref>.
La ville est au croisement de l'ancienne route nationale 174, déclassée en route départementale 974, et de la départementale 40. Celle-ci permet de rejoindre Caumont-l'Éventé et Caen à l'est et Tessy-sur-Vire à l'ouest. La Modèle:Nobr rejoint l'autoroute A84 à Guilberville au sud et permet de continuer vers Vire. Au nord, elle rejoint Saint-Lô qui est également accessible par la nouvelle Modèle:Nobr à quatre voies (de Guilberville à Carentan) qui offre une entrée proche sur le territoire de Condé-sur-Vire. Depuis la fermeture aux voyageurs de la gare ferroviaire de Torigni et de la ligne Saint-Lô - Vire en 1938, la gare la plus proche est celle de Saint-Lô. L'aéroport de Caen - Carpiquet est à Modèle:Unité<ref name="michelin"/>.
Le territoire est entièrement dans le bassin de la Vire par un sous-affluent appelé ruisseau de Torigni<ref>Modèle:Géoportail</ref> ou les Nonains<ref>Modèle:Légifrance.</ref>. Ce ruisseau et ses deux affluents alimentent dès leur entrée sur le territoire les étangs de Torigni, puis le ruisseau traverse l'agglomération avant de passer sur le territoire de Condé-sur-Vire où il rejoint le Hamel un kilomètre avant sa confluence avec le fleuve côtier.
Le point culminant (138/Modèle:Unité) se situe au sud-ouest, en limite de commune, près du lieu-dit la Maladrerie. Le point le plus bas (Modèle:Unité) correspond à la sortie du territoire des Nonains, à l'ouest.
La pluviométrie annuelle avoisine les Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web (archive Wikiwix du site basse-normandie.ecologie.gouv.fr).</ref>.
En dehors de la partie urbaine, les principaux lieux-dits Modèle:Incise sont, de l'est à l'ouest, dans le sens horaire, la Passelaie, la Bigne (au sud), la Cavée, la Maladrerie, la Dannerie, la Goulerie, le Champ (à l'ouest) et la Planquerie<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Torineo en 1159, Torignie vers 1175, Thorigni en 1252<ref name="Beaurepaire">François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, Modèle:P..</ref>. Sous l'ancien régime, les graphies Thorigny et Torigny étaient communes, mais à partir de 1810, apparaît Torigni qui va se généraliser dès 1829. Le déterminant complémentaire -sur-Vire est ajouté en 1849, bien que la ville se situe à plusieurs kilomètres de la rivière à laquelle il fait référence<ref name="Beaurepaire"/>.
Certains érudits du passé expliquaient l'origine du toponyme Torigni sur le mode de l'étymologie populaire par le latin turris ignis « tours de feu ». C'est ainsi qu'a été créé le blason de la ville. Ce genre d'étymologie encore reprise de nos jours (monographies, bulletins paroissiaux, hebdomadaires, quotidiens, sites internet) n'est pas basée sur l'étude phonétique des formes anciennes, ni sur celle des homonymes et n'a donc pas de fondement scientifique<ref>Yves Nédélec, Préface à l'ouvrage de F. de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, Modèle:P..</ref>.
Comme le montrent les formes anciennes, Torigni appartient à toute la série des Modèle:Page h' (ex: Thorigny-sur-Marne, Tauriniaco vers 700, Thoriniaco vers 1180, Toriniacum Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Thoregny en 1274, Toregni en 1283, Thorigny lez Laigny sur Marne en 1488, Thorigny en France en 1549), Modèle:Page h' (ex: Thorigné-d'Anjou, Tauriniacum en 996 - 1010), Thorignat, à savoir à un type toponymique gallo-roman Modèle:Petites capitales, composé du suffixe -(i)acum signifiant « lieu, propriété de » (gaulois -acon, du celtique commun *-āko(n) ), précédé d'un nom d'homme gallo-roman Taurinus, anthroponyme qui eut une grande diffusion en Gaule<ref name="Beaurepaire"/>. Ce nom de personne est, entre autres, illustré par saint Taurin, évêque d'Évreux aux Modèle:S mini- - Modèle:S mini- siècles.
Il dérive du latin taurus « taureau » (le mot celtique - gaulois - équivalent est taruos, taureau), cependant le suffixe -in- est commun en celtique. La forme féminine Taurina est attestée dans des inscriptions en langue gauloise à côté de termes celtiques (exemple : le peson de fuseau d'Autun, où l'on trouve : TAVRINA|VIMPI « belle génisse » : latin taur- + suffixe diminutif celtique -īno, gaulois vimpi « beau, belle », cf. gallois gwymp « joli »)<ref>Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994, Modèle:P..</ref>. L'utilisation de noms de personnes latins ou latinisés correspond à un processus de romanisation également bien attesté dans l'épigraphie, où les mêmes personnages ou des personnages de la même famille mêlent à la fois des anthroponymes latins à d'autres bien gaulois.
Les formes plus récentes Thorigny ou encore Torigny sont conformes à l'usage qui veut que le [i] final d'un nom propre français soit graphié -y (sauf Henri) depuis la fin du Moyen Âge. La généralisation de la graphie Torigni date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et représente un retour à celle utilisée initialement à l'époque médiévale, ce qui est exceptionnel pour les noms en -(i)acum, sauf dans l'Orne. Le déterminant complémentaire -sur-Vire a été ajouté en 1849<ref name="Beaurepaire" />, sans que la Vire coule sur son territoire.
Le gentilé est Torignais.
Histoire
La ville est pillée par les Anglais le Modèle:Date- lors de la chevauchée d'Édouard III<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Elle fut le fief de la famille de Matignon dont il demeure l'aile sud du château du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle est le lieu de naissance de Modèle:Souverain3.
Bombardée le Modèle:Date-, la commune est libérée le Modèle:Date- par le Modèle:35e d'infanterie américain<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À la suite de ces bombardements, le château a entièrement brûlé.
Le Modèle:Date-, Torigni-sur-Vire intègre avec trois autres communes la commune de Torigny-les-Villes<ref>Modèle:Lien web.</ref> créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi Modèle:N° du Modèle:Nobr de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Brectouville, Torigni-sur-Vire, Guilberville et Giéville deviennent des communes déléguées et Torigni-sur-Vire est le chef-lieu de la commune nouvelle.
Héraldique
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :
- Européennes 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref> (39.79 % de votants) : FN (Marine Le Pen) 25,39 %, UDI - MoDem (Dominique Riquet) 23,50 %, UMP (Jérôme Lavrilleux) 22,40 %, PS-PRG (Gilles Pargneaux) 10,57 %, EÉLV (Karima Delli) 5,05 %.
- Législatives 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Modèle:1er (58,37 % de votants) : Philippe Gosselin (UMP) 46,22 %, Christine Le Coz (PS) 34,25 %, Denis Féret (FN) 8,79 %.
- Modèle:2e (56,67 % de votants) : Philippe Gosselin (UMP) 54,97 %, Christine Le Coz (PS) 45,03 %.
- Présidentielle 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Modèle:1er (80,76 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 33,71 %, François Hollande (PS) 25,50 %, Marine Le Pen (FN) 17,97 %, François Bayrou (MoDem) 9,17 %, Jean-Luc Mélenchon (FG) 8,20 %.
- Modèle:2e (79,65 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 53,49 %, François Hollande (PS) 46,51 %.
- Européennes 2009<ref>Modèle:Lien web.</ref> (39.19 % de votants) : Majorité présidentielle (Dominique Riquet) 34,65 %, PS (Gilles Pargneaux) 14,65 %, Centre-MoDem (Corinne Lepage) 10,71 %, LV (Hélène Flautre) 10,24 %, Ext-G (Christine Poupin) 22,40 %, Ext-D (Carl Lang) 5,51 %, FN (Marine Le Pen) 5,35 %.
Administration municipale
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu |- | colspan=5 align=center | données manquantes 1799 - 1815 Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Le conseil municipal était composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ces conseillers intègrent au complet le conseil municipal de Torigny-les-Villes le Modèle:Date- jusqu'en 2020 et Anne-Marie Cousin devient maire délégué.
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Enseignement
Le collège public Albert-Camus accueille environ Modèle:Nombre.
Démographie
Modèle:Introduction population d'article de commune de France 4
Modèle:Tableau population d'article de commune de France
Modèle:Graphique population d'article de commune de France
Économie
La commune de Torigni-sur-Vire est labellisée Village étape depuis 2004Modèle:Référence nécessaire.
Lieux et monuments
- Château des Matignon (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) classé Monument historique en 1840<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Brulé en 1944, le bâtiment n'a conservé qu'une toile qui était alors en rénovationModèle:Référence nécessaire. Il abrite le musée Arthur-Le-Duc
- Église Notre-Dame-du-Grand-Vivier (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle). La chaire à prêcher et des lambris sont classés à titre d'objets<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
- Château de la Varignière (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle).
- Étangs, promenade des Tilleuls.
- Mur Grimaldi, mur de Modèle:Unité de long pour une hauteur de Modèle:Unité construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour abriter Louise-Hippolyte de Grimaldi, l'épouse de Jacques IV de Matignon.
- Cour aux Canons.
- Abbaye Notre-Dame, entièrement détruite à la Révolution française.
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Le château des Matignon, devenu hôtel de ville.
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L'église Notre-Dame-du-Grand-Vivier.
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Le « mur Grimaldi ».
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L'étang.
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La cour aux Canons.
Église Saint-Laurent
Modèle:Section à sourcer En tant qu'ancienne chapelle du château, dite des Mausolées, l'église Saint-Laurent et son histoire sont liées aux seigneurs de Torigny. En 1033, Saint-Laurent existe sous la dénomination de chapelle baptismale. À cette époque, Robert le Magnifique, père de Guillaume le Conquérant, la donne en patronage avec l'église de Saint-Amand aux religieux de l'abbaye de Cerisy-la-Forêt, fondée en 1032 par lui-même. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une nef est ajoutée. En 1400, quand Hervé de Mauny, baron de Torigny, construit une chapelle avec caveau sépulcral adossé à l'église, le patronage de Saint-Laurent subsiste. Il est supprimé en 1575 par le maréchal [[Jacques II de Goyon de Matignon|Jacques Modèle:II de Matignon]], devenu seigneur de Cerisy, par échange des patronages de Saint-Amand et de Saint-Laurent contre celui de Brectouville. En 1601, sa femme, Françoise de Daillon du Lude, transforme cette première chapelle appelée Saint-Pierre ou du Château. Elle fait aussi reconstruire la voûte du chœur de l'église et édifier la chapelle Notre Dame ou des Mausolées. Ces travaux s'inscrivent dans ceux plus vastes, de construction du château et de ses dépendances, dont le pavillon de garde est proche de l'église. En 1793, les sépultures de la famille de Matignon sont profanées. Les monuments funéraires sont en majorité brisés et les fragments dispersés. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'église Saint-Laurent fait l'objet d'une campagne de rénovation. En 1893, les deux chapelles sont démolies puis reconstruites : elles portent aujourd'hui le nom de chapelle du Sacré-Cœur et de chapelle de la Sainte-Vierge. Les voûtes sont restaurées, une nouvelle sacristie y est installée. Paradoxalement, c'est à cette époque que l'église Saint-Laurent perd son clocher.
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L'unique bas-côté de l'église Saint-Laurent.
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Nef de l'église Saint-Laurent.
L'orgue
L'église Saint-Laurent possède un modeste orgue posé au fond de la nef. Il est offert à la paroisse en 1888 par la famille Lemonnier et par quelques paroissiens.
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L'orgue posé au fond de la nef.
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La plaque indiquant le don de l'orgue par la famille Lemonnier.
Composition de l'orgue
L'orgue de l'église Saint-Laurent possède huit jeux réels repartis sur deux claviers de Modèle:Nobr et Modèle:Nobr. Il comporte également un pédalier de trente notes.
Modèle:Rom-maj. Grand Orgue (Do2-Sol5) | Modèle:II. Récit expressif (Do1-Sol5) | Pédale (Do1-FaModèle:3) |
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Bourdon 16' basse (Do1-Si1) | Flûte Harmonique 8' | Tirasses |
Bourdon 16' dessus (Do2-Sol5) | Gambe 8' | |
Principal 8' | Voix Céleste 8' | |
Salicional 8' | Trompette 8' | |
Flûte Octaviante 4' |
- Tirasses: GO/Péd, Réc/Péd
- Accouplement: Réc/GO, Réc/GO octave aiguë
- Appel Trompette
- Temolo Récit
- Appel du Souffleur (clochette)
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L'orgue.
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Le pédalier de trente notes avec les cuillères.
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Le tirant de jeu "Souffleur" qui active la clochette.
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Console de l'orgue.
Activité et manifestations
Jumelages
Sports
Le Football club des Étangs fait évoluer deux équipes de football en ligue de Normandie et deux autres en divisions de district<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'Étoile sportive Torigni handball possède une équipe masculine en Honneur régional dans la Ligue de Normandie, et une féminine en Excellence départementale. Le club dispose également de deux équipes B<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'Étoile sportive torignaise tennis de table a son école de tennis de table grâce à l'emploi d'un entraîneur-animateur diplômé d'État dans ce sport depuis 1999. Deux équipes évoluent en championnat régional (saison 2011-2012), Régionale 4 pour l'équipe masculine et Régionale 1 pour l'équipe féminine, ce qui est le plus haut niveau régional. En championnat départemental, de la D4 à la D1, tous les niveaux sont représentés en senior. Les enfants sont eux aussi régulièrement présents sur les podiums départementaux et régionaux aux compétitions individuelles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Robert de Torigni (vers 1110 à Torigni - 1186), abbé du Mont-Saint-Michel de 1154 à 1186.
- Olivier de Mauny, compagnon d'armes de Du Guesclin et comte de Thorigny.
- Charles de Goyon de Matignon (1564 à Torigni - 1648), sire de Matignon et de Lesparre, comte de Thorigny, militaire et un homme politique.
- Jacques de Callières (fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à Torigni - 1697 à Torigni), diplomate et homme de lettres.
- François de Callières (1645 à Torigni - 1717), militaire et homme de lettres.
- Hector de Callières (1648 à Torigni - 1703), gouverneur de Nouvelle-France de 1698 à 1703.
- Georges de Brébeuf (1617-1661), poète et traducteur de Lucain, probablement né à Condé-sur-Vire, à La Boissais, village partagé avec Sainte-Suzanne-sur-Vire. Son père était avocat à Torigni.
- L'abbé Desfontaines (1685-1745), célèbre adversaire de Voltaire, fut curé de Torigni de 1732 à 1734.
- [[Jacques Ier de Monaco|Jacques {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Monaco]], Jacques de Goyon de Matignon, comte de Thorigny (1689 à Torigni - 1751). L'actuel prince de Monaco, Albert II, porte parmi ses nombreux titres celui de comte de Thorigny.
- Quatre évêques des Modèle:S mini et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècles issus de la même famille (maison de Goyon) :
- Jacques de Goyon de Matignon, évêque de Condom,
- Léonor I de Goyon de Matignon, évêque de Lisieux,
- Léonor II de Goyon de Matignon, évêque de Lisieux,
- Léonor III de Goyon de Matignon, évêque de Coutances.
- Louis-Charles de Lavicomterie (1746 à Torigni - 1809), écrivain et homme politique engagé dans la Terreur.
- Jean-Baptiste Beaufol, dit général Beaufort de Thorigny (1761-1825), s'opposa à la destruction par le feu du château de Thorigny souhaitée par le proconsul, où se trouvaient incarcérés Modèle:Unité royalistes de Saint-Lô et leur rendit la libertéModèle:Référence nécessaire. Regardant cette action comme son plus beau titre de gloire, il voulut porter le nom de ThorignyModèle:Référence nécessaire.
- Éphrem Houël (1807 à Torigni - 1885), inspecteur général des Haras, initiateur des courses au trot en France, à Cherbourg, en 1836<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Arthur Le Duc (1848 à Torigni - 1918 à Antibes), sculpteur.
- Léonor-Joseph Havin (1799 - 1868), homme politique, décédé dans la commune.
- Annie Lemoine (née en 1957 à Torigni-sur-Vire), animatrice de télévision.
Voir aussi
Notes et références
Notes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
<references />