Ilonse
Modèle:Infobox Commune de France
Ilonse est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Ilonsois. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Ilonse se situe à Modèle:Unité de Clans et 72 (une heure) de Nice.
Géologie et relief
Commune proche de la vallée de la Tinée<ref>Le village de Ilonse</ref>.
- Hameaux<ref>Trois hameaux</ref> :
- Abillièra,
- Irougne,
- Le Pous.
- Reliefs :
- Lauvet d’Ilonse,
- Lauvet de Roubion,
- Tête de Vairon,
- Mont Lieuche,
- Brec d’Ilonse,
- Pointe des 4 Cantons.
Catastrophes naturelles - Sismicité
Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur<ref>Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020</ref>. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Ilonse, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"<ref>Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor</ref>.
Commune située dans une zone de sismicité moyenne<ref>Didacticiel de la règlementation parasismique</ref>.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :
- rivière la Tinée,
- vallons de coulié, d'abéliéra, de la figaïrasse, des chalanches, de gineste, de bramafam, du moulin, du pas de masse, de la villette,
- ruisseaux le roudiquiéry, de l'arsilane<ref>Ruisseau de l'Arsilane</ref>, de gaudissart<ref>Ruisseau de Gaudissart</ref>,
- riou blanc,
- ravins de duina, de la médecine.
Ilonse dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants<ref>Description de la station</ref>.
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger<ref>Table climatique</ref>.
Voies de communications et transports
Voies routières
La route arrive à Ilonse en 1945. Une route est inaugurée en septembre 1987 entre Ilonse et Pierlas.
Village accessible par les départementales depuis la nationale 202, Touët-sur-Var, Modèle:Nobr puis Modèle:Nobr et M 59 depuis Pierlas<ref>Routes d'accès</ref>.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Commune desservie par le réseau Lignes d'Azur.
Intercommunalité
Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
Urbanisme
La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019<ref>Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)</ref>.
Typologie
Ilonse est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune dispose d'une carte communale<ref>Carte Communale</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %), prairies (1,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Une voie romaine reliait les deux capitales successives de la province des Alpes-Maritimes, Cimiez et Embrun. Elle devait passer par la vallée de la Tinée et à partir de Saint-Sauveur-sur-Tinée se dirigeait vers le Var par Ilonse ou Roubion.
L'abbaye de Saint-Dalmas-de-Pedona avait un prieuré placé sous le vocable de saint Laurent et une chapelle Notre-Dame à Ilonse.
Le village apparaît dans le cartulaire de l'abbaye de Lérins au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Nice Rendez-vous : Ilonse</ref>, Ilontia, puis au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle Ilonza dans le cartulaire de la cathédrale de Nice.
Le village a d'abord appartenu à la famille Féraud de Thorame, Thorame-Glandevès, puis aux Grimaldi de Bueil au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
La peste de 1327 emporta toute la population qui se trouvait dans le vieux castel.
En 1344, Astruge Grimaldi ou Astruga Rostagni-Grimaldi<ref>Note 1 : Astruge Rostaing (aussi écrit Rostang) ou Astruga Rostagni est la fille de Guillaume Rostaing (ou Rostagni), seigneur de Beuil. Ce dernier avait poussé à la révolte en 1258 les habitants de Beuil, puis avait été tué en 1315 par les habitants de Thiéry indignés parce qu'il a usé d'un prétendu droit de cuissage sur une nouvelle mariée. Astruge se maria en 1315 avec Andaron Grimaldi, oncle de Rainier {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} Grimaldi, seigneur de Monaco. C'est le début de la famille Grimaldi de Beuil. Son fils Barnabé Grimaldi s'est rendu célèbre par le meurtre en 1353 de son voisin Bertrand de Caïs, fils de François Caïs qui avait acheté la seigneurie de Rourequ'il convoitait. Il lui avait fait trancher la main droite et crever les yeux. Il obtint le pardon du sénéchal de Provence après paiement de 2 000 florins d'or à la chambre royale. Pour laver sa conscience de ce crime il testa le 18 avril 1368 un don de 300 florins d'or aux héritiers de Caïs. Barnabé Grimaldi est le père de Jean Grimaldi de Beuil.</ref>, devenue veuve, acheta la seigneurie aux Glandevès mais dût faire valoir ses droits auprès de la Communauté des habitants par la force<ref>Philippe de Beauchamp, Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, Modèle:P. 86-87, Éditions Serre, Nice, 1989 Modèle:ISBN</ref>. Le Modèle:Date-, le viguier de Tinée donne l'investiture de la seigneurie aux barons de Beuil et ordonne aux habitants d'Ilonse de reconnaître Astruge Grimaldi. Les habitants passent l'acte de reconnaissance mais refusent de payer certaines redevances féodales, en particulier de participer au paiement de la dot de Tiburge Grimaldi à son mariage avec Ludovic ou Louis Lascaris de Vintimille. Traités durement par les agents de la dame Astruga, les habitants se révoltent. Faucon d'Agoût au nom du sénéchal de Provence Hugues del Bazo vient à Ilonse avec ses milices et décide de convoquer un tribunal arbitral composé du chevalier Guillaume du Puget et de Philippe Balbi, co-seigneur de Saint-Sauveur-sur-Tinée. Le jugement est prononcé par l'évêque de Nice et Philippe Balbi en présence de la dame Astruga, de son père Guillaume Rostaing, de son fils Barnabé Grimaldi et des représentants de la commune, et publié le Modèle:Date-. Ils sont condamnés le Modèle:Date- à payer une indemnité.
Le Modèle:Date, Jean Grimaldi de Bueil renonce contre 105 écus annuels à tous ses droits féodaux sur les habitants d'Ilonse sauf exceptions énoncées.
En 1621, à la suite de l'exécution du dernier comte de Beuil, Annibal Grimaldi, le château est démoli. Ilonse devient une seigneurie des Badat, et les habitants font hommage et prêtent serment de fidélité le Modèle:Date-<ref>Note 2 : Annibal Badat, gouverneur de Villefranche et de Barcelonnette, avait conduit l'armée du duc de Savoie contre Annibal Grimaldi retranché dans son château de Tourette-du-Château et le prit. Le duc de Savoie investit Annibal Badat d'Ilonse, de Rorà et de Pierlas avec le titre de comte. Ces fiefs sont revenus à la Couronne en 1722 (J. De Orestis, La Noblesse niçoise. Notes historiques sur les anciennes familles du comté de Nice, Modèle:P.51-52, Nice-Historique, 1909, no 3).</ref>.
En 1729, Ilonse devient une seigneurie des Pascalis avec le titre de comte<ref>En 1729, le fief appartient au comte Charles-François Pascalis (ou Charles-François Pascal, seigneur d'Ilonse). Les membres de la noble famille Pascalis (ou Pascal, Pascale), originaire de Cuneo en Piémont (Italie), étaient barons de Nucetto et comptes de Ilonse (Ilonsa en italien).</ref>.
En 1848, le hameau d'Abeleria est détruit par un incendie.
En 1860, Ilonse, comme la plus grande partie du comté de Nice, est rattachée à la France. La commune fait alors partie du canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée.
Politique et administration
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Modèle:Boîte déroulante/fin
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 8,43 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 29,54 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 39,11 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Enseignement
En 1925, fermeture de l’école d’Abillièra.
En 1968, fermeture de l’école au village.
Établissements d'enseignements proches<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- Écoles maternelle et primaire à Clans, Saint-Sauveur-sur-Tinée,
- Collèges à Saint-Sauveur-sur-Tinée,
- Lycée à Valdeblore.
Santé
Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :
- Médecins à Saint-Sauveur-sur-Tinée,
- Pharmacies à Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière, Isola, Péone, Lantosque,
- Hôpitaux à Villars-sur-Var, Saint-Martin-Vésubie, Roquebillière.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame de la Tinée<ref>Paroisse Notre-Dame de la Tinée</ref>, Diocèse de Nice.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture, chasse
- Agriculteurs<ref>La Ferme des 3 buis</ref>.
- Société de Chasse.
Tourisme
- Gîtes communaux et ruraux<ref>Gîtes communaux et ruraux</ref>.
Commerces
- En 1986, après la fermeture des derniers commerces, l’auberge communale « La Gruppio » est créée<ref>l’auberge communale « La Gruppio »</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- De l'ancienne seigneurie d'Ilonse, il reste les ruines d'un château qui a été démoli après l'exécution d'Annibal Grimaldi de Beuil, en 1621<ref>Ilonse dans le Comté de Nice</ref>, et quelques vestiges de remparts près de l'église<ref>Le village d'Ilonse</ref>.
- Village perché, il a conservé des ruelles avec passages voûtés. On a à partir du village un beau panorama sur la vallée de la Tinée et le Valdeblore.
- Pont sur la Tinée, inauguré le Modèle:Date-. Le tablier est une structure de 5 poutres en bois espacées de 1 m, sous-bandée par des tirants métalliques tenus par des entretoises en bois. Le hourdis a été réalisé à l'aide de dalles préfabriquées en béton armé fixées sur l'extrados des poutres en bois. Sur ce hourdis ont été mis en place l'étanchéité et la couche de roulement, ainsi que les équipements de sécurité. Le tablier a une portée de 21,50 m. Il a été réalisé par l'entreprise G.T.M.-T.P. Côte d'Azur. La charpente en bois lamellé-collé a été fabriquée par Fargeot Lamellé-collé. Le maître d'ouvrage et maître d'œuvre sont le Conseil général des Alpes-Maritimes. Ce pont remplace un ancien pont réalisé en 1862-1864 par l'entreprise Restolli de Touët de Beuil.
- Le site « Massif du Lauvet d’Ilonse et des Quatre Cantons – Dôme de Barrot – Gorges du Cians »<ref>Site Natura 2000 SIC/ZSC FR9301556 (directive Habitats) « Massif du Lauvet d’Ilonse et des Quatre Cantons – Dôme de Barrot – Gorges du Cians »</ref>.
Patrimoine religieux :
- Église paroissiale Saint-Michel<ref>Luc F. Thévenon, L'art du Moyen Âge dans les Alpes méridionales, Modèle:P. 46, Éditions Serre, Nice, 1983 Modèle:ISBN</ref> datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, agrandie dans la seconde partie du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, restaurée aux {{#switch: XX
| e | er | = {{#switch: XX
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
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}}
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini siècle
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}}
}}. La travée du chœur est couverte d'ogives pouvant dater de la fin du {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVe{{#if:s| s }} }} ou du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Cette partie aurait pu être l'ancienne chapelle castrale. Le reste de l'église aurait été construit après. On y a découvert au cours d'une restauration, en 1973, des peintures murales représentant saint Michel en armure pesant les âmes. Leur comparaison avec celles de la chapelle Saint-Michel de Clans les a fait attribuer à Andrea de Cella. On trouve aussi au chevet un retable sculpté avec une toile représentant saint Michel entre saint Pierre et saint Paul avec au registre supérieur le Père Éternel entouré des archanges Gabriel et Raphaël.
L'église abrite aussi un triptyque sur toile représentant saint Pons, daté de 1630, et qui se trouvait dans une chapelle qui est désaffectée aujourd'hui. Saint Pons est entouré des saints protecteurs de la peste, saint Roch et saint Sébastien<ref>Christiane Lorgues-Lapouge, René Lorgues, Comté de Nice baroque - Tome 1 : La vallée de la Tinée, Modèle:P.44-45, Encyclopædia Niciensis, Volume V, Serre éditeur, Nice, 2004 Modèle:ISBN ; Modèle:P.99</ref>,<ref>Église Saint Michel, sur montnice.fr/cartographie/</ref>.
- 8 Chapelles<ref>Territographie : Liste des chapelles</ref> :
- Chapelle Saint-Grat<ref>Chapelle Saint Grat</ref>, dite chapelle des Pénitents, des {{#switch: XVIII
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| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}, avec des peintures murales modernes par Irène Pagès<ref>Philippe de Beauchamp, L'art religieux dans les Alpes maritimes, Modèle:P. 88, Édisud, Aix-en-Provence, 1993 Modèle:ISBN</ref>.
- Chapelle Saint-Antoine, Asclos<ref>Chapelle Saint Antoine Asclos, sur montnice.fr/cartographie/</ref>,<ref>Chapelle Saint Antoine Asclos</ref>.
- Chapelle Sainte-Barbe, Le Pous<ref>Chapelle Sainte Barbe Le Pous</ref>.
- Chapelle Saint-Maur, hameau d'Irougne<ref>Chapelle Saint Maur Irougne</ref>.
- Chapelle au col Saint-Pons<ref>Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux</ref>,<ref>Chapelle Saint Pons Col Saint Pons</ref>.
- Chapelle Saint-Joseph Régeasses<ref>Chapelle Saint Joseph Régeasses</ref>.
- Chapelle Sainte-Marie (hameau d’Abéliéra)<ref>Chapelle Saint Marie (Sainte Vierge) Abéliéra</ref>.
- Chapelle Sainte-Catherine qui a disparu au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Présentation de l'histoire du village</ref>.
- Monument aux morts<ref>Monuùent aux morts : Conflits commémorés 1914-1918</ref>.
- La croix gravée.
- Oratoire Saint-Pons<ref>Bénédiction de l'oratoire Saint-Pons au col de la Sinne à Illonse</ref>.
Patrimoine rural :
- Le lavoir à arcades<ref>Visite du village par l'Association Accueil et Patrimoine</ref>.
- L’ancien moulin à sanc accolé au lavoir<ref>Ilonse, sur departement06.fr/</ref>.
- Le four communal.
-
Église paroissiale Saint-Michel.
-
Chapelle Saint-Grat.
-
Pont sur la Tinée.
-
Entretoise et tirants du tablier.
Personnalités liées à la commune
- Raimond Féraud<ref>Google Livres : Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes, Tome {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}, Modèle:P. VII, Nice, 1863</ref>, fils de Guillaume Feraud III seigneur d'Ilonse, peut-être né à Ilonse vers 1245. Mort vers 1325. Troubadour, il a fréquenté la cour de [[Charles II d'Anjou|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Provence]] et l'accompagna dans le royaume de Naples. Lié à Charles II de Provence et à Marie de Hongrie, il lui a rendu hommage dans ses écrits. Entré dans l'abbaye de Lérins avant 1300, il devint prieur du prieuré de Roquestéron. Il a laissé un grand poème en provençal de Modèle:Nb « Vida de saint Honorat », composé vers 1300<ref>Luc F. Thévenon, op. cité, Modèle:P. 46</ref>, qui est le seul texte qui nous soit parvenu<ref>Yves Bernard, L'annuaire Touristique et Culturel des Alpes-Maritimes et de Monaco Modèle:P. 211, Éditions Campanile, 1997 Modèle:ISBN</ref>. Il a aussi écrit une Vie de saint Hermentaire qui a disparu.
- Louis Genari, originaire d'Ilonse par son père, avocat, écrivain, compositeur.
- Joseph-Maitron Puons, membre du maquis ORA d'Ilonse<ref>Joseph-Maitron Puons</ref>.
Héraldique
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Historique du village
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Yves Bernard, L'annuaire Touristique et Culturel des Alpes-Maritimes et de Monaco, Modèle:P.429-430, Éditions Campanile, 1997 Modèle:ISBN
- Philippe de Beauchamp, Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, Modèle:P.86-87, Éditions Serre, Nice, 1989 Modèle:ISBN
- Pascal Colletta, Ilonse - Au bout du chemin, Serre éditeur, Nice, 2007 Modèle:ISBN ; Modèle:P.79
- Ilonse, patrie du moine troubadour Raimond Féraud
- Dépliant sur le village
- Ilonse : bossages erratiques; Gibets, piloris, potences; le Comté de Nice en 1850
- Vue du sanglier en tôle de bronze découvert, en 1995, à Ilonse
- Le village d'Ilonse
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Ilonse sur le site de l'Institut géographique national
- Le village d'Ilonse
- Accueil & Patrimoine à Ilonse
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Modèle:Palette Communes de la métropole Nice Côte d'Azur Modèle:Portail