La Gauche moderne

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Homon Modèle:À sourcer

Modèle:À mettre à jour

Modèle:Infobox modulaire/Début Modèle:Infobox Parti politique Modèle:Infobox Parti politique/Représentation Modèle:Infobox modulaire/Fin

La Gauche moderne (LGM) est un parti politique social-libéral français fondé en 2007 par Jean-Marie Bockel, ancien membre du Parti socialiste (PS) et ancien secrétaire d'État à la Justice. Après le départ de Bockel en 2017, Christian Debève lui succède à la présidence du parti.

Se réclamant de centre gauche et social-libéral, il s'est inscrit dans la majorité présidentielle durant le mandat de Nicolas Sarkozy, en se réclamant Modèle:Citation. Il est un des successeurs du courant interne au PS du même nom, de même que Manuel Valls resté au PS et qui se réclamait du blairisme. En Modèle:Date-, LGM prend part à la création de L'Alliance républicaine, écologiste et sociale (ARES), où Gilles Casanova sera son représentant.

La Gauche moderne revendique Modèle:Unité en 2009, 700 de moins en 2014. Il est, depuis juillet 2017, inactif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Positionnement politique

En dépit de son nom, le classement de La Gauche moderne dans le système bi-partisan gauche-droite est controversé, notamment par ses partisans. Il peut dépendre de la manière dont sont considérées les alliances passées avec d'autres partis, ou d'un ressenti sur l'idéologie du parti. En l'occurrence, malgré quelques apports programmatiques, comme la sécurité sociale professionnelle, LGM s'est constamment alignée sur les positions de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), au point de n'avoir, pour les conseillers de l'Élysée, aucune utilité dans le potentiel élargissement de la majorité.

Le parti peut également apparaître par son nom comme une formation de centre gauche. En revanche, son positionnement politique durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy a constamment été aligné sur celui de l'UMP, qui a d'ailleurs grandement contribué à son financement.

L'un des critères retenu pour classer un parti de gauche ou de droite est la position physique des sièges des parlementaires. En 2011, les deux seuls membres du Parlement du parti de La Gauche moderne étaient un sénateur d'outre-mer (Daniel Marsin) et le président du parti, élu du Haut-Rhin, Jean-Marie Bockel. Ceux-ci siégeaient dans le groupe du Rassemblement démocratique et social européen (RDSE), dominé par les élus du Parti radical de gauche.

Cependant, le Modèle:Date-, Jean-Marie Bockel unique sénateur Gauche moderne restant dans l'hémicycle à l'issue des élections sénatoriales de la semaine précédente, rejoignait le groupe Union centriste et républicaine (UCR). De plus, au Parlement européen, ses deux élues, Marielle Gallo et Michèle Striffler, siègent au Groupe du Parti populaire européen (PPE), avec les autres élus des listes de la majorité présidentielle. En Modèle:Date-, une majorité de l'organisation, critiquant l'orientation non différenciée de l'UMP, scissionne pour créer Modèle:Citation, qui deviendra Modèle:Citation. En Modèle:Date-, dans un entretien à l'Alsace, Jean-Marie Bockel annonce un changement de nom de l'organisation pour Modèle:Date- pour acter de la rupture consommée d'avec la gauche : Modèle:Citation bloc

La Gauche moderne est aidée financièrement par l'Union pour un mouvement populaire : en 2008, elle a ainsi reçu Modèle:Unité de la part du parti de Nicolas Sarkozy<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Objectif

Selon leur manifeste, les fondateurs de La Gauche moderne veulent instituer Modèle:Citation. Ils défendent un Modèle:Citation et une Modèle:Citation

Selon Jean-Marie Bockel, cette démarche est dans la logique de son entrée au gouvernement dans le cadre de l'ouverture voulue par Nicolas Sarkozy et va lui permettre de continuer sa démarche social-libérale<ref>Le Parisien, 26 septembre 2007. Propos recueillis par Didier Micoine et Henri Vernet.</ref>.

Histoire du parti

Fondation

Le courant du Parti socialiste Gauche moderne est créé le Modèle:Date-. Cinq ans plus tard, les 29 et Modèle:Date-, se déroule le congrès fondateur du parti La Gauche moderne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Deux ans après sa création, La Gauche moderne revendique Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Élections municipales de 2008

La Gauche moderne a participé pour la première fois à un scrutin lors des élections municipales de 2008. Le Modèle:Date, Jean-Marie Bockel a présenté les candidats du mouvement, parmi lesquels plusieurs têtes de listes : lui-même à Mulhouse, Jean-Marie Kutner (maire-adjoint Mouvement démocratie alsacienne) à Schiltigheim, Yves Urieta (maire ex-PS, « apparenté Gauche moderne ») à Pau, ou colistiers : Philippe Sanmarco auprès de Jean-Claude Gaudin à Marseille, Robert Thévenot auprès de Philippe Cochet à Caluire, David Melloni auprès de Nadine Morano à Toul, Jean-François Pascal auprès de Jean-Marie Cavada dans le [[12e arrondissement de Paris|Modèle:12e de Paris]], soit Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien archive.</ref>.

Au soir du premier tour, le mouvement revendique Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien archive.</ref>. Son leader, Jean-Marie Bockel, parvient à conserver sa municipalité de Mulhouse de justesse, sa liste d'union UMP-MoDem-LGM n'ayant devancé celle de son opposant du PS que de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien archive.</ref>.

À l'issue du second tour, La Gauche moderne revendique une quarantaine d'élus (Avignon, Bourges, Bouc-Bel-Air,Boulogne-sur-Mer, Caluire-et-Cuire, Colmar, Corbeil-Essonnes, Échirolles, La Ciotat, Lambersart, Lille, Mâcon, Marseille, Montereau-Fault-Yonne, Mulhouse, Nancy, Nice, Nogent-sur-Marne, Orléans, Paris, Pau, Schiltigheim, Sélestat, Suresnes, Valenciennes, Villiers-sur-Marne), dont de nombreux adjoints et plusieurs dizaines de conseillers d'opposition<ref>Modèle:Lien archive.</ref>. Toutefois, LGM est défaite par le PS à Schiltigheim et le sortant Yves Urieta est battu à Pau, dans un contexte où la gauche connaît une forte poussée, au détriment de l'UMP et de ses alliés.

Élections européennes de 2009

La Gauche moderne soutient les listes de l'UMP, affilié au Parti populaire européen<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le parti présente des candidats dans toutes les circonscriptions de métropole :

Le Modèle:Date-, sont élues députées européennes : Marielle Gallo et Michèle Striffler, qui siègent au Parlement européen au groupe du Parti populaire européen.

Élections régionales de 2010

La Gauche moderne soutient les listes de la majorité présidentielle (avec l'Union pour un mouvement populaire, le Nouveau Centre, le Mouvement pour la France, Chasse, pêche, nature et traditions). À la suite de ces élections, le parti présente 30 candidats, surtout présents en Alsace, en Nord-Pas-de-Calais, en Réunion, en GuadeloupeModèle:Etc

La Gauche moderne obtient un bilan mitigé de quatre élus alors que sept étaient en position éligible.

Élections cantonales de 2011

Aux élections cantonales de 2011, La Gauche moderne présente trente-et-un candidats. Trois candidats titulaires et deux candidats suppléants parviennent au second tour, mais aucun n'est élu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Élection présidentielle de 2012

Le Modèle:Date, Jean-Louis Borloo annonce, en présence de Jean-Marie Bockel, la création d'une « alliance républicaine, écologiste et sociale » qui regrouperait « avant l'été » plusieurs formations politiques du centre droit (Parti radical, Nouveau Centre) et du centre gauche (La Gauche moderne). Cette formation se positionnerait comme une « alternative au PS et à l'UMP ». Il affirme que l'alliance devrait avoir un candidat à l'élection présidentielle de 2012. Le nom officiel de ce nouveau parti est dévoilé par Yves Jégo le Modèle:Date : L'Alliance républicaine, écologiste et sociale (ARES).

Jean-Louis Borloo refuse finalement de se présenter et La Gauche moderne apporte son soutien à la candidature de Nicolas Sarkozy le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette prise de position provoque la scission de l'organisation. Plusieurs hollandistes quittent le parti le Modèle:Date- pour fonder Modèle:Citation, qui devient la Gauche moderne et républicaine (GMR) en mai. Parmi eux, l'ancien secrétaire général et député Michel Suchod et l'ancien secrétaire national Gilles Casanova<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui formeront le Front démocrate avec Jean-Luc Bennahmias en 2014.

Élections législatives de 2012

Pour les législatives, La Gauche moderne décide de présenter vingt-trois candidats où le parti se situe dans le cadre de la majorité sortante et aux côtés des centristes de L'Alliance républicaine, écologiste et sociale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Depuis 2012

Modèle:...

Le Modèle:Date-, La Gauche moderne adhère à l'Union des démocrates et indépendants (UDI). Elle le quitte par la suite<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, le parti signe un contrat de partenariat avec le Parti radical<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

LGM dénombre Modèle:Unité à jour de cotisation en Modèle:Date-, et 300 de plus au mois de juillet de la même année<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Jean-Marie Bockel quitte la présidence du parti en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il devient président fondateur<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Autres personnalités

Anciens membres

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

Modèle:Palette Modèle:Portail