C'est l'une des Modèle:Nobr de ce département et l'une des deux sous-préfectures. Le Modèle:Date-, Nogent-sur-Marne est la première commune du Val-de-Marne à obtenir le label « Commune touristique »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Modèle:Sommaire
La commune se situe au flanc d’un coteau dominant au sud et à l’est une boucle de la Marne. Elle possède en cela un grand nombre de rues particulièrement en pente (notamment le bas de la rue Bauyn-de-Perreuse). Elle est limitée à l’ouest par une ancienne forêt (l’actuel bois de Vincennes qui fait partie de la ville de Paris). Le point culminant de la ville se trouve au nord-est dans le quartier des Maréchaux près du fort de Nogent.
Nogent-sur-Marne est desservie par l’autoroute A4 en venant de Paris ou de l'Est de la France ou par l'autoroute A86, le super-périphérique parisien. L'A86 passe sous la partie Est de la ville grâce à un tunnel. La jonction entre la A86 et la A4 n'est réalisée que pour moitié sous la Marne, ce qui entraîne des embouteillages sur le pont<ref>Modèle:Article.</ref> enjambant la Marne, dit « Pont de Nogent », permettant de rejoindre Champigny-sur-Marne. Cependant, les travaux sur le pont achevés en mars 2019 ont conduit à une fluidification de l'infrastructure par la suppression du carrefour à l'indonésienne qui était responsable de la perturbation du flux de véhicules.
Les pistes cyclables sont présentes dans plusieurs quartiers (bordure du bois de Vincennes, rue Théodore-Honoré…). Trois stations Vélib' sont accessibles à Nogent-sur-Marne : devant le commissariat de police municipal, entre le RER A et le bois de Vincennes, ainsi que sur le parvis de la gare de Nogent - Le Perreux du RER E.
Les lignes 114 et 210 relient également les gares de Nogent entre elles avec le métro à la station Château de Vincennes de la ligne 1 en moins de 10 minutes, ce qui peut être une bonne alternative pour rejoindre l'est parisien ainsi qu'en cas de situation perturbée.
Nogent-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune est divisée en six secteurs représentés depuis fin 2008 par des conseils de quartier : Beauté Baltard, Le Bois-Porte de Nogent, Nogent Village, Plaisance (incluant Les Maréchaux), Le Port sous la Lune et Les Viselets<ref>Article de Nogent Citoyen d'octobre 2008, annonçant la création des conseils de quartiers, et actualité des conseils de quartier de Nogent-sur-Marne.</ref>.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 15 689, alors qu'il était de 14 651 en 1999<ref group="a">LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.</ref>.
Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 10,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 14,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 84,6 % des appartements<ref group="a" name="LOG T2">LOG T2 - Catégories et types de logements.</ref>.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 52,7 %, en légère hausse par rapport à 1999 (50,7 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était toujours inférieure au seuil légal de 20 % et même en baisse : 11,6 % contre 13,4 % en 1999<ref group="a">LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.</ref>.
Projets d'aménagements
Pour les années 2014 à 2030, le projet d'aménagement voté au conseil municipal du 27 février 2013 comporte trois axes. Premièrement, inscrire le territoire dans la dynamique du Grand Paris tout en préservant l’identité et la spécificité de la commune. Deuxièmement, préserver et valoriser un cadre de vie d’exception par la protection du patrimoine. Troisièmement, renforcer l’attractivité économique, touristique et fonctionnelle de la ville<ref>Voir le projet d'aménagement et de développement durable de février 2013.</ref>. Les alentours de la gare RER Nogent-sur-Marne sont mis en chantier depuis début 2016 pour y construire des bureaux, des nouveaux logements et dégager une perspective sur le pavillon Baltard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le marché central couvert, qui ne répond plus aux normes de sécurité, sera reconstruit.
De par sa position au bord d'une rivière, la Marne, et de la forêt, Nogent-sur-Marne est un lieu propice à la création d'une agglomération, ainsi un peuplement de l'époque gallo-romaine est référencé à cet endroit.
Un palais mérovingien de [[Chilpéric Ier (roi des Francs)|Chilpéric {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] (Modèle:Nobr) aurait été situé à Nogent-sur-Marne. En 581, Grégoire de Tours cite Novigentum comme résidence du roi<ref name="gregdetour1">Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Livre VI</ref>. Chilpéric y reçoit une délégation de Childebert II, vraisemblablement en 581.
Il est possible que Thierry III ait également séjourné à Nogent en 675 ou 676<ref name="jbarbier">J. Barbier, Le système palatial franc : genèse et fonctionnement dans le nord-ouest du regnum, Bibliothèque de l'école des chartes, 148-2, p.270, note n°70, 1990.Lire en ligne</ref>.
D'autres documents officiels attestent également d'une occupation mérovingienne sur le territoire de la commune. La démonstration en est faite lors de fouilles de sauvetage en 1977 et 1987. Lors de ces recherches, un certain nombre de sépulture de cette époque sont mises au jour<ref name="leforestier">C. Le Forestier, Archéologie des nécropoles
mérovingiennes en Île-de-France, rapport d'activité 2014, p.59-60. Lire en ligne</ref>. La datation de cinq d'entre elles montre une occupation pérenne sur l'ensemble des périodes mérovingiennes et carolingiennes. La plus ancienne est creusée entre 422 et 563 de notre ère<ref>D. Hadjouis, Atlas des maladies et traumatismes du monde médiéval et moderne : Ve siècle-XVIIe siècle, p.20, ISTE editions LTD, 2018. Lire en ligne</ref>
Une ordonnance du 14 février 1404 statua que les Nogentais faucheraient trois arpents d'une prairie royale, et en transporteraient le foin au château de Vincennes<ref>Dictionnaire historique des environs de Paris, du docteur Ermete Pierotti.</ref>.
En mars 1475, par ses lettres patentes, Louis XI confirma les droits des habitants octroyés par ses prédécesseurs<ref>Lettres patentes de Louis XI, Paris, mars 1475 (1474 avant Pâques), sur GoogleBooks.</ref>.
Temps modernes
Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, alors que la population rurale est composée d’une majorité de vignerons et d'agriculteurs, la bourgeoisie découvre les charmes du pays et s’installe à Nogent-sur-Marne ; entre autres :
Les Coignard, imprimeurs du roi, avec Jean Baptiste II qui imprime la première édition du dictionnaire de l'Académie française, et son fils Jean Baptiste III qui reprend sa charge et devient secrétaire du Roi et conservateur des hypothèques.
L'abbé de Pomponne, abbé de Saint-Médard de Soissons, ambassadeur de Venise, aumônier du roi, conseiller d'État et créateur de la première compagnie de l'arc à Nogent<ref>Première Compagnie d'Arc de Nogent-sur-Marne.</ref> en 1733.
Les Vandenywer, banquiers de la comtesse Dubarry, qui seront guillotinés avec elle.
La comtesse de Larboust<ref>Claire Sophie Mercier - 20/12/1749 (Toulon 83) - 07/02/1826 (Nogent-sur-Marne 94) épouse de Philippe Gabriel de Péguilhan, comte de Larboust, était la petite fille de Simon Mercier et de Marie-Madeleine Bocquet, nourrice du roi Louis XV.</ref>, petite fille de la nourrice de Louis XV, qui sauva ce dernier d'empoisonnement en le nourrissant exclusivement au sein, le laissant seul héritier du trône, alors que l'on assista aux décès rapprochés de Louis, Grand Dauphin, fils de Louis XIV, de Louis, duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, de son épouse Marie-Adélaïde de Savoie, et de Louis, duc de Bretagne, frère ainé de Louis XV<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 1789, lors du bouleversement administratif du pays initié par loi de l’Assemblée constituante, les archives municipales apparaissent avec la création de la commune de Nogent-sur-Marne dont elles retracent l’activité. En 1814, à la veille de l’occupation de Nogent par les Cosaques lors de la Campagne de France, les autorités communales les mettent en sûreté dans une cave, puis lors de la guerre franco-allemande de 1870, à la veille de l’arrivée des troupes confédérées allemandes, les transfèrent au tribunal de commerce de Paris.
Époque contemporaine
Le 26 mars 1872<ref>Archives Nationales - Notaire Constant Amédée Mocquard - le 26 mars 1872 - MC/RE/LXVIII/17 Cotes : 190 r°-215 v° Vue 9/27 - MC/ET/LXVIII/1244</ref>, le maréchal Vaillant lègue à la commune sa propriété ravagée par les bombardements prussiens. C'est sur ces terrains que la nouvelle mairie est construite (actuel square d’Estienne-d’Orves) où les archives sont stockées, puis classées méthodiquement une fois les combats de 1940 achevés, puis relativement délaissées de 1950 à 1983, et réorganisées depuis cette date<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le viaduc de Nogent-sur-Marne dessert la ligne Paris-Mulhouse, et notamment pour la banlieue Paris Gare de l'Est à Tournan-en-Brie (devenu RER E en 1999), construit par les Auvergnats et les Belges est détruit une première fois le 15 septembre 1870. Ce sont les Italiens qui le reconstruisent. Il sera dynamité à nouveau par les Allemands en 1944, et les arches détruites remplacées par des arches en béton armé en 1945<ref>Modèle:Structurae.</ref>.
1887 voit l'ouverture d’une ligne de tramways « ligne Vincennes - Ville-Evrard », des Chemins de fer nogentais avec traction à air comprimé, puis électrique à partir de 1900.
Réseau de bus
À partir de 1937, un réseau d'autobus, partant notamment depuis le terminus du métro ligne 1Château de Vincennes, prendra le relais (traversant le Bois de Vincennes via la Porte Jaune) (113 : Le Perreux via le boulevard de Strasbourg, 114 : Le Perreux via la Grande Rue, 120 : Bry-sur-Marne, via la Grande Rue). Ce réseau continuera jusqu'à l'arrivée plus pratique du RER A en 1969, s'ensuivant de quelques modifications : Le 313 partant alors du château de Vincennes, et tous les autres bus depuis la gare de Nogent.
Communauté italienne transalpine
Sans doute attirée par les travaux de reconstruction, c’est la communauté italienne qui s’implante. Venus pour la majorité de la province de Plaisance, ils sont originaires du Val de Nure, pas moins de 40 % pour Ferriere, et plus précisément de la frazione de Rocca, de Bettola, ou du Val Ceno (Bardi), mais aussi de la province de Novare, ou encore du Sud-Tyrol, de Toscane ou du Frioul. L’histoire de cette immigration est immortalisée par François Cavanna dans son roman Les Ritals.
L'immigration italienne débuta vers 1870 et connut son apogée vers 1926, en restant importante jusque dans les années 1960<ref>Modèle:Article.</ref>.
Isolée depuis 1854 par la construction du viaduc de la ligne Paris-Mulhouse, la commune du Perreux voit le jour après une lutte de plus de 10 ans en 1887.
L'urbanisation et l'aménagement du réseau routier se poursuivent avec la construction d'écoles, d'immeubles et du pont de Nogent. Après la Seconde Guerre mondiale, une politique de rénovation est menée, et des îlots sont construits le long des grands axes routiers. Les bords de Marne sont réaménagés avec le comblement de son bras mort, la construction du centre nautique et du port de plaisance.
Proximité du Bois de Vincennes
La forêt côtoyant Nogent, étant devenue le bois de Vincennes, entièrement réaménagé en 1855 et 1866, à la demande de Napoléon III, sa proximité sur Saint-Mandé à la limite de Nogent, en fait un lieu de loisirs facile d'accès pour les enfants, promeneurs ou cyclistes, en rejoignant le lac des Minimes près de la porte Jaune.
Pour davantage d'informations sur l'histoire urbaine et le patrimoine de Nogent-sur-Marne, voir l'ouvrage publié dans la collection Images du Patrimoine du ministère de la Culture : Inventaire général du patrimoine culturel, Région Île-de-France. Isabelle Duhau (réd.) ; Stéphane Asseline et Laurent Kruszyk (photogr.)<ref>Nogent et Le Perreux, l'eldorado en bord de Marne, Paris : APPIF, 2005. (Images du patrimoine ;°237). 144 p. Modèle:ISBN. Présentation sur le site des éditions LieuxDits.</ref>,<ref group="Note">Voir également les bases de données nationales du ministère de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie.</ref>.
Les guinguettes du bord de Marne
Nogent-sur-Marne est bien connu notamment pour ses guinguettes, situées en majorité sur les bords de la Marne. Dès la deuxième moitié du {{#ifeq:siècle | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:siècle| siècle }} }}, le petit peuple de Paris, utilisant le nouveau chemin-de-fer, y venaient en nombre le dimanche pour boire le guinguet, le vin local, exempté de la taxe parisienne sur l'alcool. De nombreux orchestres de bal musette s'y succèdent, de nombreux danseurs ou titis venus "guincher" et s'"encanailler" faisant tournoyer leur cavalière aux rythmes effrénés de l'accordéon, le dimanche après-midi notamment<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le nombre de guinguettes était particulièrement important au cours de son âge d'or vers 1900<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, favorisées par l'arrivée des Italiens. Nogent est alors surnommé l'Eldorado du dimanche et un film documentaire de Marcel Carné (1929) traite de ce sujet. Les bals musette se raréfièrent ensuite progressivement, surtout à partir des années 1960, détrônés par les nouvelles modes des danses et rythmes venus des États-Unis. La plus célèbre d'entre elles, toujours existante actuellement, conjointement au "Petit Robinson" de Joinville le Pont (fermé en 2007), est "Gégène"<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les canotiers étaient également célèbres pour effectuer à cette époque un tour en barque sur la Marne.
Fête du petit vin blanc
La fête du Viaduc avec courses d’aviron et joutes nautiques et parfois lâchers de ballons aérostatiques, avait lieu le 15 août aux débuts du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Nogent-sur-Marne est renommée grâce à la chanson de 1943 sous forme de valse musette, Ah ! le petit vin blanc sur des paroles de Jean Dréjac et la musique de Charles Borel-Clerc, puis interprétée par Lina Margy. En juin 1954, sous l'égide de Roland Nungesser, qui deviendra maire de Nogent-sur-Marne en 1959, la fête du petit vin blanc fut organisée, conjointement à la fête des Guinguettes et à la fête de la Rentrée, en septembre, du Perreux sur Marne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Cette fête réunissait sous forme de défilé voire concerts, tous les deux ans en juin durant deux jours consécutifs, de nombreuses fanfares venues de différents pays, comme notamment celles des villes jumelées, allemande de Siegbourg et suisse d'Yverdon, ainsi que de Hollande, formées de cuivres, fifres et tambours, précédées de majorettes, dont celles du quadrille de Nogent, accompagnées de corsos composés de chars fleuris et envois de confettis multicolores. Elle partait depuis le haut du boulevard de Strasbourg, descendant place Leclerc, pour s'acheminer dans la Grande Rue et terminer en se regroupant face à la mairie pour un concert de fanfares sur la place. Elle était clôturée par un feu d'artifice sur les bords de Marne. L'élection de la "miss" désignée "Reine du petit vin blanc" était une personnalité du spectacle (cinéma, chanson ou télévision). La dernière fête du petit vin blanc eut lieu en juin 1990<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En hommage à Jean Dréjac disparu en 2003, la ville inaugure en 2007 le square du Petit-Vin-Blanc bordé de vignes et de l’allée Jean-Dréjac<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le Quadrille de Nogent-Val de Marne
Il débute en 1966 sous la forme « danses de salon et de la belle époque », s'inspirant du quadrille des Lanciers, comportant cinq figures. Il présente en costume d’époque, où le canotier et promenades en barques des bords de Marne étaient en vogue… puis participe au carnaval de Siegburg. Les danses folkloriques s'ajoutèrent ensuite aux représentations, avec les costumes appropriés. Il participe à de nombreux défilés dont la Fête du petit vin blanc<ref name="quadrille nogent">Modèle:Lien web.</ref>.
Les Moineaux du Val-de-Marne
En 1953, l'abbé Pierre Tessier crée la chorale-manécanterie des Moineaux de Beauté-Plaisance, référence à deux quartiers de Nogent. Ils deviennent en 1965 Les Moineaux du Val-de-Marne, chantant notamment à l'église Saint Saturnin. Le père Roger Coutelle en assure alors la direction jusque vers 1975. Il écrit et compose également plusieurs chansons religieuses de Noël. Denis Chasset prend la succession. Ils enregistrent plusieurs disques renommés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le scoutisme est également très présent près des bords de Marne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le stade sous la Lune, la piscine et le Réveil de Nogent
Enfin, en 1972, la piscine fut érigée<ref>Modèle:Lien web.</ref>, contenant un bassin intérieur de Modèle:Unité, un extérieur de Modèle:Unité, ainsi qu'une fosse au-dessous d'un ensemble de grands plongeoirs de 3, 5, et Modèle:Unité, le plus haut s'élevant jusqu'à Modèle:Unité<ref>Des plongeoirs existaient auparavant directement au-dessus de la Marne, mais étaient devenus inutilisables face à la pollution croissante de la Marne</ref>. Un bowling s'y adjoignit.
Au 28 rue Émile-Zola, en 1936, une salle de fêtes polyvalente fut aménagée avec de belles décorations et une verrière au cachet particulier "rétro", à la place d'un ancien gymnase municipal lui-même érigé en 1927, pour des conférences, votes aux élections, projections de documentaires, spectacles, danse, réunions des Sociétés de Nogent, etc<ref>http://www.nogent-citoyen.com/pratique/salle/emile-zola-salle-des-fetes</ref>.
La Maison des Jeunes et de la Culture Louis-Lepage (nom de l'ancien adjoint au maire), fut créée dans les années 1970, proposant de nombreuses activités artistiques et culturelles : théâtre, danse, poterie, échecs, atelier littéraire, etc<ref>http://www.nogent-citoyen.com/pratique/culture/mjc-louis-lepage</ref>.
La petite place du Théâtre est aussi créée en 1990 près de la gare de Nogent-Le Perreux pour construire La Scène Watteau, propice aux pièces de théâtre, concerts et spectacles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Modèle:Article détaillé
En 1921, Albert Klein construit dans la Grande Rue le Royal-Palace, celui-ci étant aussi utilisé durant l’entre-deux guerres en music-hall, accueillant de grands artistes comme Fernandel.
En 1972, il se transforme en quatre salles séparées Artel-UGC diffusant chacune un film en continu.
Face à la crise de l’exploitation cinématographique, il ferme ses portes au début des années 1990, puis rouvre en 1997 sous son nom originel du Royal Palace. En 2012, il rajoute deux salles à l'arrière du bâtiment historique, en le rendant conforme aux normes pour les personnes à mobilité réduite. Sa façade est classée aux monuments historiques en 1990.
Le RER A
En 1969, les carrefours de la place du Général Leclerc furent réaménagés, à la suite de l'arrivée du nouveau RER A desservant Boissy Saint-Léger jusqu'à Nation dans un premier temps, venu remplacer l'ancien train à locomotive à vapeur qui desservait jusqu'à Bastille. La gare de Nogent - Vincennes est fermée pour être remplacée par l'actuelle gare de Nogent-sur-Marne. De nombreux immeubles de 10 étages y furent construits. Un nouveau marché couvert s'y implanta ainsi qu'une patinoire qui fonctionna au cours des années 1990 sur cette place.
L'entrée se situe avenue des marronniers.
En 1976, le maire Roland Nungesser rachète le Modèle:8epavillon Baltard, construit à l'origine sous Napoléon III et démonté de l'ancien marché des Halles de Paris, pour le faire reconstruire, en réadaptant l'intérieur pour en faire une salle de spectacles.
Vers 1978, les plus vieux bâtiments situés entre la Grande rue Charles-de-Gaulle et la rue Pierre-Brossolette sont démolis, pour y faire construire la nouvelle sous-préfecture du Val-de-Marne. Roland Nungesser baptise l'esplanade adjacente en hommage aux aviateurs Nungesser et Coli, honorant ainsi la mémoire de son oncle. Le parc Watteau, jusqu'ici privé, devient à cette même période accessible au public<ref>http://www.ville-nogentsurmarne.fr/decouvrir-nogent/parcs-et-jardins.htm</ref>.
Le parc de l'Institut Biblique possède l'un des plus grands cèdres du Liban de la banlieue parisienne, patrimoine arboricole, le second n'ayant pu être conservé lors de l'aménagement de la sous-préfecture. La rue qui le borde s'appelait d'ailleurs rue du Cèdre avant d'être rebaptisée rue Jean Moulin vers 1959 en hommage au héros de la Résistance,
Au début des années 1990, la place du Marché est réaménagée avec un kiosque, de nouveaux bâtiments remplacent les anciens de manière plus "conviviale" et progressivement au fil des années, tout l'ensemble de la Grande Rue, ainsi que la rue Jacques-Kablé. La rue Baüyn-de-Perreuse où se situent l'école primaire suivie du lycée Edouard-Branly (l'une des plus pentue proche de Paris), devient entièrement piétonne pour les élèves.
La commune fait partie du canton de Nogent-sur-Marne du département de la Seine créé en 1893. Il est recréé lors de la création du Val-de-Marne et comprend la totalité de la commune. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton de Nogent-sur-Marne est remanié, et la commune est désormais divisée entre ce canton et celui de Charenton-le-Pont.
Nogent-sur-Marne possède un tribunal d'instance. En revanche, le tribunal de grande instance, le tribunal pour enfants et la cour d'assises du Val-de-Marne sont à Créteil, de même que le tribunal de commerce. Nogent-sur-Marne dépend du tribunal administratif de Melun, de la cour administrative d'appel de Paris, et pour le conseil des prud’hommes, de Villeneuve-Saint-Georges.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- (loi NOTRe) prévoit également la création le Modèle:Date- d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
En 2007 un arrêté anti-mendicité<ref>Cf. arrêté Modèle:N° du 14 mars 2007 portant interdiction partielle et temporaire de la mendicité</ref> fut institué de mi-septembre à fin avril et de Modèle:Heure à Modèle:Heure sur une partie importante du domaine communal. Un autre arrêté, pris le Modèle:Date-<ref>Arrêté municipal Modèle:N° du 16 septembre 2011.</ref>, interdit de fouiller dans les poubelles et containers déposés sur la voie publique, de renverser leur contenu au sol, d'uriner ou de cracher sur la voie publique, ou de souiller celle-ci de quelque manière que ce soit ; le tarif de l'amende s'éleva à Modèle:Unité. Le maire justifia cette mesure par des raisons de santé publique et d'esthétique urbaine. Cet arrêté créa une grande controverse à la suite de la reprise de l'information par l'ensemble des médias. Il a été suspendu par le tribunal administratif de Melun fin novembre 2011<ref>Article de Nogent-Citoyen du 22 novembre 2011.</ref>.
Le Modèle:Date- est annoncée par le maire l'érection d'une statue en bronze de Modèle:Nobr de hauteur représentant Carla Bruni, alors première dame. Cela a déclenché une vive polémique aux niveaux local et national<ref>Article du Parisien du 12 février 2012.</ref>, cette annonce intervenant en pleine campagne présidentielle. La mairie a finalement renoncé à prendre en charge une partie des coûts et la statue est financée intégralement par le promoteur Cogedim et inaugurée en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La ville a également signé des accords d'amitié avec Jezzine (Liban) et Metoula (Israël).
Par ailleurs, la commune a signé en 1992 un accord de coopération (eau et assainissement) avec la commune de Keur Massene en Mauritanie<ref name="JUMEL" />.
Modèle:Section à sourcer
Héritage du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle où Nogent-sur-Marne s'urbanisa plus rapidement que les villages alentours du fait de l'arrivée de la ligne de chemin de fer, la ville constitue un pôle important en matière d’éducation, puisqu'on y trouve un grand nombre d'établissements au regard de sa population. Les établissements nogentais accueillent des élèves de toutes les communes avoisinantes. On trouve à la fois des lycées publics et sous contrat, généraux et professionnels.
Nogent-sur-Marne Modèle:Quand : Gallieni, Val-de-Beauté, Fontenay, Léonard-de-Vinci, Victor-Hugo et trois privés St André, Albert de Mun et Montalembert.
En cours primaire, il y a cinq écoles publiques : Val-de-Beauté, Paul-Bert, Guy-Môquet, Victor-Hugo et Léonard-de-Vinci, et trois privées St André, Albert de Mun et Montalembert.
La ville Modèle:Quand. Le collège Watteau et le collège Édouard-Branly sont publics, alors que Saint-André, Albert de Mun, Montalembert et le Cours Nogentais sont privés.
Nogent-sur-Marne a également de nombreux lycées. Le lycée général Édouard-Branly, le lycée technologique Louis-Armand et le lycée professionnel Edmond-Rostand sont issus de la division du lycée de Nogent-sur-Marne en 1967. L'EREA est un lycée professionnel pour les métiers du tourisme, et La-Source forme aux métiers de la mode. Val-de-Beauté est le quatrième lycée professionnel de Nogent-sur-Marne. Nogent-sur-Marne compte aussi deux lycées privés généraux, le lycée Albert-de-Mun<ref>Ensemble scolaire privé mixte Albert de Mun site officiel.</ref> et l'Institut Montalembert<ref>Institut Montalembert site officiel.</ref>.
Santé
Modèle:Section à sourcer
L'hôpital privé Armand Brillard de Nogent-sur-Marne a fusionné avec la clinique de l'Orangerie au Perreux-sur-Marne. Il est équipé notamment d'un service d'urgence, d'un pôle maternité et d'un pôle d'imagerie médicale. Il est situé vers le bas de Nogent-sur-Marne, près du bois de Vincennes et du RER A.
Il fait partie du groupe Ramsay Générale de Santé<ref>Modèle:Lien web</ref>
Équipements sportifs
Modèle:Section à sourcer
Les principaux équipements sportifs de Nogent-sur-Marne sont le stade Alain-Mimoun, avec un terrain synthétique, l'espace David-Douillet pour les arts martiaux, un centre nautique avec bassin extérieur, des courts de tennis et six gymnases.
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 19,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 53,37 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,91 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Journées du patrimoine. Une exposition, un spectacle, des visites sont organisés avec un thème différent chaque année (Modèle:3e de septembre)
Fête des Jardins (fin septembre)
Festival de courts-métrages cinématographiques et d'animation « Autour du Court »
Associations
Modèle:Section à sourcer
Nogent-sur-Marne possède de nombreuses associations très actives, qui participent aux différentes manifestations tout au long de l'année (Village des Associations, Téléthon…) ou aux stages sportifs (appelés SMS) durant les vacances scolaires.
La commune est le siège de la Fédération Française des Sociétés d’aviron, situé en bord de Marne. Clubs : Club nautique de Nogent et Encou (Société d'Encouragement du Sport Nautique)
La Maison des Jeunes et de la Culture Louis-Lepage,
Club de football de district jouant au Stade sous la Lune Alain-Mimoun : FC Nogent-sur-Marne
La ville détient le plus gros club de karaté (en termes d'adhérents) du Val-de-Marne : Karaté club de Nogent
Club de volley-ball : le VCN (Volley Club Nogentais)<ref>Site internet du club (Volley Club Nogent).</ref>
Son club d'athlétisme s'appelle l'UAI Nogent (Union athlétique Intergatz'Arts)
Le Réveil De Nogent Handball (RNHB) est l'association de handball de la ville qui est en quatrième division de handball français.
Le Réveil de Nogent Gymnastique (RNGYM) est l'association de gymnastique de la ville.
Club de judo : JKC NOGENT (Judo Kano Club Nogent)
Club d'aïkido : AKDN. Cette association est reconnue association d’amitié franco-japonaise par l’ambassade du Japon. Modèle:Référence nécessaire qui exige une pratique sportive mais également une action dans le domaine socioculturel franco-japonais.
Le Réveil de Nogent (RN) regroupe plusieurs disciplines : gymnastique, handball (RNHB, voir ci-dessus)
Natation : Nogent Natation 94 et Les Dauphins de Nogent
Baseball : « Les Bandits de Nogent »
Rugby : Union des bords de Marne. (rugby hommes, femmes et enfants)
Il existe un magazine municipal (le Magazine de Nogent-sur-Marne). Les actualités sont également relayées par les médias régionaux (Le Parisien, Val-de-Marne infos, les échos du Val-de-Marne). Une télévision locale, Télé du Val-de-Marne, a été créée au printemps 2013. L'information relative à Nogent-sur-Marne est également diffusée sur le site de presse en ligne Nogent-Citoyen<ref>Nogent-Citoyen.</ref>.
Plusieurs confessions chrétiennes et le judaïsme sont représentés à Nogent-sur-Marne :
le culte catholique à la paroisse Saint-Saturnin, à la chapelle Sainte-Anne (rue Saint-Quentin), à Sainte-Marie-du-Val (avenue Charles-V), au Carmel (rue de Plaisance) et aux couvents des Sœurs Disciples du Divin Maître (rue de Plaisance) et des Sœurs missionnaires du Saint-Esprit (rue de Plaisance)
le culte évangélique à l'Église évangélique de Nogent (rue Théodore-Honoré)
le culte mormon, à la paroisse de Nogent (rue Léon-Lepoutre)
le culte israélite au Centre communautaire israélite Ain-Beth Meïr (rue Henri-Dunant)
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on comptait 78,9 % d'actifs dont 71,7 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs<ref group="a">EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.
On comptait Modèle:Nombre dans la zone d'emploi, contre 7 988 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 14 989, l'indicateur de concentration d'emploi<ref group="Note">L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.</ref> est de 56,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un peu plus d'un emploi pour deux habitants actifs<ref group="a">EMP T5 - Emploi et activité.</ref>.
Entreprises et commerces
Au 31 décembre 2010, Nogent-sur-Marne comptait Modèle:Nombre : 5 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 82 dans l'industrie, 152 dans la construction, 2 067 dans le commerce-transports-services divers et 482 étaient relatifs au secteur administratif<ref group="a" name="CEN T1">CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.</ref>.
En 2011, Modèle:Nombre ont été créées à Nogent-sur-Marne<ref group="a">DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.</ref>, dont 190 l'ont été par des autoentrepreneurs<ref group="a">DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.</ref>.
l’Hôtel des Coignard, construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, fut occupé durant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par une dynastie d’imprimeurs du roi, qui lui ont donné son nom. Cette demeure devint propriété communale en 1914. Le Conservatoire de musique et d’art dramatique Francis Poulenc y est installé depuis 2002. Au rez-de-chaussée, le « Carré des Coignard » accueille des expositions de peinture, de sculpture, ainsi que parfois des récitals de poésie ou des animations, comme le festival du développement durable<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
le cinéma Royal Palace : construit de 1919 à 1921, dont la façade est inscrite à l’Inventaire des monuments historiques en 1991, ce cinéma fut aussi un des lieux phares du music-hall parisien<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
le pavillon Baltard : en 1977, le maire Roland Nungesser inaugure le pavillon Baltard (ancien pavillon de la volaille et des œufs aux Halles de Paris acheté en 1973), que la commune a acheté et fait installer dans la commune, le sauvant ainsi de la destruction. Il y installe l'orgue du Gaumont-Palace, dernier orgue de cinéma installé en France, vendu aux enchères à Drouot après la fermeture du cinéma en 1972, et le fait entièrement restaurer<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Depuis, le pavillon reçoit manifestations, spectacles et émissions de télévision.
la villa La Détente (propriété privée), construite en 1904 par l'architecte Georges Nachbaur, sise au 3 boulevard de la République<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Inscrite à l'inventaire supplémentaire en juillet 2013.
La kouba, au cimetière de Nogent-sur-Marne : monument hommage aux combattants musulmans de la Modèle:1re mondiale<ref>— Mohammed Arkoun (dir.) (préf. de Jacques Le Goff), Histoire de l'islam et des musulmans en France du Moyen Âge à nos jours, Paris, éd. Albin Michel, 2006 Modèle:ISBN, quatrième partie « Temps présent », chap. I « Présence de l'islam en France », Modèle:P..</ref>. La kouba fut inaugurée le 16 juillet 1919. Peu entretenue, ses vestiges ont été détruits en 1982. Elle a été reconstruite en 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Parcs et jardins ouverts au public : le parc départemental Watteau et huit squares (square d’Estienne d’Orves, square des Oulches, square d’Yverdon, square Walter, square Tino-Rossi, square Dagobert, square Leclerc et square du Petit-Vin-Banc).
Chœur des Petits Chanteurs de Nogent-sur-Marne « Les Moineaux du Val-de-Marne ». À la suite d'une enquête concernant des abus sexuels sur des enfants de la chorale, Jacques J. P. Martin, maire de Nogent-sur-Marne, décide en 2023 de retirer la subvention et le local communal qui leur sont accordés <ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Équipements culturels
Carré des Coignard, espace d'exposition d'art contemporain (peinture, sculpture), situé dans l'hôtel des Coignard.
Conservatoire municipal Francis-Poulenc.
Bibliothèque municipale Cavanna.
Archives municipales : également lieu d'exposition.
La Maison nationale des artistes est une maison de retraite pour artistes (gérée par la Fondation nationale des arts graphiques et plastiques). Elle abrite un lieu d'exposition.
L'association Hélices poésie, dirigée par Emmanuel Berland, regroupe poètes et musiciens, officie au Carré des Coignard dans un récital de poésie suivie d'une scène ouverte depuis 2003.
Jean Sablon y est né en 1906 et en 2006 en bord de Marne est inaugurée la promenade Jean-Sablon, dans le prolongement du quai du Port passant sous le viaduc ferroviaire<ref>Modèle:Article.</ref>.
L'écrivain François Cavanna est né à Nogent-sur-Marne en 1923, et y a passé sa jeunesse<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il a donné son nom à la bibliothèque municipale de la ville.
La danseuse Marion Barbeau est née à Nogent-sur-Marne en 1991.
Les armes de Nogent-sur-Marne se blasonnent ainsi : Coupé : au Modèle:1er, d'azur aux deux épis de blé passés en sautoir, cantonnés, en chef et aux flancs, de trois fleurs de lis et, en pointe, d'une grappe de raisin tigée et feuillée, le tout d'or ; au Modèle:2e de gueules de deux tours crénelées de cinq pièces d'argent ouvertes, ajourées et maçonnées de sable, posées sur deux rochers aussi d'argent issant d'ondes du même mouvant de la pointe<ref>Description disponible sur le site la Banque du Blason, consulté le 3 avril 2013.</ref>.
Un logo de la commune a été réalisé fin 2009. Il allie tradition et modernité, avec une police à empattement sur la partie gauche du N, et une police contemporaine sur la partie droite. Les deux couleurs, le vert et le bleu, symbolisent respectivement le bois de Vincennes et la Marne. Il est remplacé par un nouveau en 2019.
Un logo spécifique a également été réalisé pour symboliser Nogent-sur-Marne en tant que commune touristique.
Pour approfondir
Bibliographie
France Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France Commission régionale Île-de-France, Nogent et Le Perreux : l’eldorado en bord de Marne : Inventaire général du patrimoine culturel, [région] Île-de-France, texte d’Isabelle Duhau avec la participation de Laurence de Finance, photographies de Stéphane Asseline et Laurent Kruszyk, avec la participation de Christian Décamps, [sous la direction de Dominique Hervier], Paris, APPIF, 2005, 144 pages, Modèle:Unité, Modèle:ISBN.