Yves Jégo

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique Yves Jégo, né le Modèle:Date de naissance à Besançon (Doubs), est un homme politique français.

Il a notamment été maire de Montereau-Fault-Yonne, président de la communauté de communes des Deux Fleuves, secrétaire d'État chargé de l'Outre-Mer dans le gouvernement Fillon II, président par intérim de l'UDI, vice-président du Parti radical et député de la troisième circonscription de Seine-et-Marne entre 2002 et 2018.

Situation personnelle

Famille

Yves Jégo est marié à Ann-Katrin Jégo (conseillère de Paris entre 2014 et 2020 siégeant au sein du groupe UDI-MoDem puis Agir, élue dans le [[16e arrondissement de Paris|Modèle:16e de Paris]]). Le couple a quatre enfants.

Formation

Il est titulaire d'une maîtrise de droit, obtenue en 1983, et d'un DEA d'études politiques de l'université Panthéon-Assas, obtenu en 1985<ref>Yves Jégo sur le Nouvelobs</ref>.

Carrière professionnelle

Yves Jégo est consultant en ressources humaines<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il exerce par la suite diverses activités professionnelles<ref>Biographie d'Yves Jégo sur son blog</ref> :

En juin 2022, il devient délégué général du groupe AVEC<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Parcours politique

Débuts

Yves Jégo devient en 1986 chef de cabinet du maire de Montereau-Fault-Yonne Claude Eymard-Duvernay. À la suite du changement de majorité à la mairie en 1989, il devient conseiller municipal d'opposition et est nommé directeur du comité de développement économique de l'Essonne, dont le conseil général est dirigé par Xavier Dugoin (1989-1992)<ref>Blog de Yves Jégo : Biographie</ref>. En 1992, il est nommé directeur de cabinet de Jean-François Mancel, président du conseil général de l'Oise, poste qu'il occupe jusqu'en 1998.

En 1995, il est élu maire de Montereau, succédant au socialiste Alain Drèze. En tant que maire, Yves Jégo a notamment engagé la rénovation du quartier de la ville haute, Surville, recourant à la démolition-reconstruction et à la réhabilitation-résidentialisation, grâce notamment à la participation importante de l'agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU)<ref>Un pactole pour Meaux et Montereau, humanite.fr</ref>. Il mène également une politique d'accession, que ce soit à la propriété (maisons à Modèle:Unité par jour), à la culture (pass musical au Conservatoire pour les enfants à Modèle:Unité par mois, sorties culturelles à Modèle:Unité par jour) ou aux loisirs (journées de vacances à la mer à Modèle:Unité par jour).

Au RPR, Yves Jégo est secrétaire national chargé des communes entre 1996 et 1997. En Modèle:Date-, il est élu conseiller général RPR de Seine-et-Marne, dans le canton de Montereau-Fault-Yonne. L'élection est annulée par le Conseil d'État le Modèle:Date-, à la suite d'un jugement du tribunal administratif de Melun du Modèle:Date- relatif à la saisine de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques qui frappe Yves Jégo d'inéligibilité aux fonctions de conseiller général<ref>Modèle:Pdf Décision du conseil constitutionnel</ref>.

Député UMP

Réputé alors être proche de Nicolas Sarkozy<ref>[1] Le Figaro du 6 novembre 2006</ref>, il est élu député le Modèle:Date, pour la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} législature (2002-2007), dans la troisième circonscription de Seine-et-Marne. Membre du groupe UMP à l'Assemblée nationale, il participe en 2002 à la réunion de relance du courant Debout la République, à tendance gaulliste et souverainiste, de Nicolas Dupont-Aignan : il est l'un de ses vice-présidents<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Leurs interprétations du gaullisme étant sensiblement différentes, le rapprochement n’aura pas lieuModèle:Référence souhaitée. Il est nommé au Haut Conseil à l'intégration, poste qu'il occupe jusqu'en 2006.

Au sein de l'UMP, il est secrétaire national chargé des nouveaux adhérents entre décembre 2004 et 2007. Pendant la campagne de l'élection présidentielle française de 2007, Yves Jégo conseille Nicolas Sarkozy sur les dossiers liés à Internet<ref>L'homme de la campagne de Sarkozy sur Internet, Le Journal du Net.</ref>.

Yves Jégo est réélu député dans la Modèle:3e de Seine-et-Marne en Modèle:Date-<ref>Site du ministère de l'Intérieur</ref> face à Sami Naïr.

Secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer

Yves Jégo est nommé secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer dans le second gouvernement Fillon le Modèle:Date, à la suite de sa nomination son suppléant Gérard Millet siège à l'Assemblée nationale.

Il s'oppose au président du conseil régional de La Réunion Paul Vergès à propos des crédits de la continuité territoriale<ref>[2]Le Quotidien de La Réunion du 14 mai 2008</ref>. Il est critiqué par les membres de l'Observatoire des prix de la Réunion, selon qui les mesures prévues par le gouvernement n'amélioreront pas le pouvoir d'achat des Réunionnais<ref>Les 4 propositions d’Agir Pou Nout Tout à Yves Jégo, Témoignages, 28 juin 2008</ref>.

Lors de la crise en Guadeloupe, en février 2009, alors qu'il avait assuré rester sur place tant que la situation ne serait pas revenue au calme, il est rappelé à Paris par François Fillon, chef du gouvernement<ref>- L'express</ref>.

Parallèlement, il a poursuivi le processus législatif engagé depuis 2008 (projet de loi déposé le Modèle:Date-), concernant la loi pour le développement économique des outre-mer (LODEOM), définitivement adoptée le Modèle:Date-. Cette loi prévoit notamment la possibilité pour l'État de réglementer les prix de produits ou de familles de produits de première nécessité. Elle crée des zones franches d'activités à fortes réductions fiscales<ref>Document de présentation de la loi au Conseil des Ministres</ref>.

Le Modèle:Date, il quitte le gouvernement, éviction qu'il attribue aux pressions du patronat béké<ref>Les Békés ont tué Yves Jégo, Le Quotidien de la Réunion, 25 juin 2009</ref> mais qui serait surtout due à la crise aux Antilles, Yves Jégo ayant attendu douze jours après son déclenchement pour se rendre sur le terrain<ref>Arthur Berdah, « Ericka Bareigts, ministre des Outre-mer et grande absente de la crise en Guyane », lefigaro.fr, 27 mars 2017.</ref>. Il est prévenu de son départ moins d'une heure avant l'annonce du remaniement ministériel<ref>Modèle:Lien web</ref>. Après son éviction du gouvernement, il choisit de retrouver son siège de député<ref>Modèle:Lien web</ref>. Gérard Millet redevient suppléant d'Yves Jégo.

Responsable radical

Il adhère au Parti radical en Modèle:Date- et en devient l'un des vice-présidents<ref>[3]</ref>. Il est également président de la Fédération nationale des Clubs Perspectives et Réalités.

Candidat à l'investiture UMP pour la tête de liste aux élections régionales de 2010 face à Roger Karoutchi et Valérie Pécresse, il décide finalement de se retirer de la course pour ne pas « briser l'unité au sein de la majorité »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Rallié à Valérie Pécresse, il prend la tête de liste en Seine-et-Marne et est élu conseiller régional d'Île-de-France le Modèle:Date-. En vertu de la loi<ref>"Ministère de l'Intérieur" "Le cumul des mandats électoraux"</ref> sur le cumul des mandats, M. Jégo avait un mois à la suite de son élection au conseil régional d'Île-de-France pour abandonner son mandat de député ou un de ses deux mandats locaux de maire et de conseiller régional. Le Front national ayant déposé un recours en annulation de l'élection régionale, il continue de cumuler ces trois mandats jusqu'à sa démission du Conseil régional en Modèle:Date-<ref>Le FN a déposé un recours en annulation de l'élection régionale, Le Point, 23 avril 2010.</ref>,<ref>[4]</ref>.

Au côté de Jean-Louis Borloo

Le Modèle:Date-, il quitte l'UMP<ref>Le Figaro</ref> pour « construire une force nouvelle avec Jean-Louis Borloo ». Il participe ainsi à la fondation de l'Alliance républicaine, écologiste et sociale dont il devient membre de la direction nationale<ref>L"Alliance" centriste pense avoir un groupe parlementaire à l'automne. L'Express</ref>. Il dispose également d'un micro-parti, Mieux Vivre Ensemble (MVE)<ref>Légifrance : publication générale des comptes des partis et groupements politiques au titre de l'exercice 2011</ref>, auparavant Mouvement des Seine-et-Marnais (MdSM)<ref>Journal officiel de la République française, no 218 du 18 septembre 2004, page 36013</ref>.

Yves Jégo est un des neuf députés du groupe UMP à voter la proposition de loi du Parti socialiste visant à ouvrir le mariage aux couples de même sexe le Modèle:Date-<ref>Têtu</ref>.

En Modèle:Date-, il prend la tête d'une liste centriste pour les élections sénatoriales en Seine-et-Marne du Modèle:Date-. La constitution de cette liste est critiquée par l'UMP qui lui reproche de faire le jeu de la gauche en divisant la droite. Son bras droit, membre de l'UMP, est ainsi suspendu de ses fonctions à l'UMP<ref>[5]</ref>. En concurrence avec une autre liste centriste, celle menée par Gérard Ruffin du Nouveau Centre, la liste Jégo obtient 11,08 % des voix et aucun siège<ref>Résultats, ministère de l'Intérieur</ref>.

Le Modèle:Date-, Yves Jégo, prenant acte de l'abandon de Jean-Louis Borloo dans la course à l'élection présidentielle de 2012, constate que l'« ARES est morte avant d'avoir vécu<ref>« Jégo s'émancipe de ses amis centristes » publié le 7 novembre 2011 par l'Express.</ref> » et enjoint au Parti radical de « s'engager derrière Nicolas Sarkozy »<ref>Jégo : «Le Parti radical doit s'engager derrière Sarkozy», 6 novembre 2011, Le Figaro.</ref>.

Le Modèle:Date-, Yves Jégo est réélu député dans la Modèle:3e de Seine-et-Marne face à Patricia Inghelbrecht (Parti socialiste). Il rejoint le groupe parlementaire centriste de l'Union des démocrates et indépendants, créé par Jean-Louis Borloo le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Au sein de l'UDI

Le Modèle:Date-, le parti UDI est créé et Yves Jégo en devient le délégué général.

Le Modèle:Date-, il est parmi les quatre députés sur 29 de l'Union des démocrates et indépendants à voter la loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe à l'Assemblée nationale<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, Yves Jégo devient directeur de la campagne des élections européennes pour l’UDI.

Lors des élections municipales de 2014, la liste qu'il conduit l'emporte au premier tour à Montereau-Fault-Yonne avec 77 % des suffrages exprimés<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>. Entre les deux tours, Yves Jégo plaide pour un front républicain et une « frontière infranchissable »<ref>Modèle:Article.</ref> avec le Front national.

Il démissionne le Modèle:Date- de la présidence par intérim de l'UDI<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref> pour se présenter à l'élection interne, formant un tandem avec Chantal Jouanno ; ils terminent à la troisième place. Il est nommé Modèle:1er après l'élection de Jean-Christophe Lagarde au poste de président, le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, il annonce son ralliement à la candidature de Bruno Le Maire à la primaire de la droite et du centre prévue pour fin 2016<ref>Jim Jarrassé, « Primaire : Yves Jégo (UDI) se rallie à Bruno Le Maire », lefigaro.fr, 13 septembre 2015.</ref>. En Modèle:Date-, il est nommé avec plusieurs autres personnalités politiques conseiller politique de la campagne<ref>« Équipe politique autour de Bruno Le Maire », brunolemaire.fr, consulté le 19 septembre 2016.</ref>.

Le Modèle:Date-, dans le cadre de l'affaire Fillon et après le départ de Bruno Le Maire de l'équipe de campagne de François Fillon, il lâche à son tour le candidat LR à la présidentielle<ref>Anthony Favalli, « François Fillon lâché par une partie de son camp », cnews.fr, Modèle:1er mars 2017.</ref>.

Lors des élections législatives de juin 2017, il est réélu député face au candidat du Front national<ref name="MI_1862017">Modèle:Lien web.</ref>.

Yves Jégo annonce au journal Le Parisien le Modèle:Date- qu'il compte mettre un terme à sa carrière politique Modèle:Incise le Modèle:Date-, tout en restant conseiller municipal de Montereau-Fault-Yonne jusqu'au terme de la mandature. Il indique son souhait de s'impliquer dans le Modèle:Citation. Cette démission annoncée implique la nécessité d'un choix pour Jean-Louis Thiériot, son député-suppléant, mais qui a depuis été élu président du conseil départemental de Seine-et-Marne. La réglementation limitant le cumul des mandats en France lui interdisant d'exercer simultanément les deux mandats, il doit donc démissionner de l'un d'eux, entraînant l'organisation d'élections pour pourvoir le mandat abandonné<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Tentative de retour en politique

En Modèle:Date-, après moins de deux ans de retrait de la vie politique, Yves Jégo annonce se porter candidat aux élections municipales à Montereau-Fault-Yonne<ref>Modèle:Lien web</ref>, ville dont il a été maire et dont il est, au jour de sa candidature, toujours adjoint auprès de son successeur James Chéron. Ce dernier étant officiellement investi par leur parti commun, l'UDI, Yves Jégo dépose une liste qui se voit attribuer la nuance divers droite. À l'issue d'une campagne virulente<ref>Modèle:Lien web</ref>, il arrive en deuxième position du premier tour, avec 41,2 % des suffrages, contre 48,1 % pour James Chéron. Il perd le second tour après avoir recueilli 46,4 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Action politique

Marque « Origine France Garantie »

Missionné par le président de la République française Nicolas Sarkozy à l'automne 2009 pour réfléchir à la défense des emplois français face à la mondialisation, Yves Jégo rend un rapport en Modèle:Date- (« En finir avec la mondialisation anonyme - La traçabilité au service des consommateurs et de l’emploi »)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Parmi ses propositions, figure la création d'une mention plus exigeante que la mention valorisante « made in ». Dans la foulée, le parlementaire crée l'association Pro France, destinée à « promouvoir la marque France ». La marque de certification Origine France Garantie est officiellement présentée devant l'Assemblée nationale le Modèle:Date-<ref>label origine France garantie sur www.economie.gouv.fr</ref>. C'est l’unique label qui certifie l’origine française d’un produit. Il assure aux consommateurs la traçabilité du produit en donnant une indication de provenance claire et objective<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le label est, transversal (tout secteur confondu) et incontestable (la certification, obligatoire, est réalisée par un organisme certificateur indépendant)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, il est annoncé comme animateur d'une nouvelle émission mensuelle sur Public Sénat, Cocorico, destinée à promouvoir le made in France. Sans remettre en cause son engagement sur le sujet, la société des journalistes de la chaîne regrette ce choix, estimant que son nom Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Parc Napoléon

En Modèle:Date-, Yves Jégo annonce son projet d'ouvrir dans son département un parc à thèmes consacré à Napoléon Bonaparte<ref>Le Parisien : un parc de loisirs consacré à Napoléon devrait ouvrir en Seine-et-Marne en 2017</ref>. En Modèle:Date-, avec Modèle:Unité il présente les plans du parc qui devrait ouvrir en 2023 situé sur la ZAC du Moulin dans la commune de Marolles-sur-Seine<ref>Modèle:Article</ref>.

Edward Snowden

Le Modèle:Date, Yves Jégo dépose à l'Assemblée nationale une proposition de résolution pour accorder l'asile à Edward Snowden et le proclamer citoyen d'honneur<ref name="lemonde201406112">Modèle:Article</ref>,<ref name="01Net201406112">Modèle:Article</ref>. Il souligne que Modèle:Citation et précise que ce « lanceur d'alerte » a permis « d'informer le grand public de ces dérives, en plaçant l'intérêt général et l'éthique au-dessus de la raison d'État »<ref name="01Net201406112" />,<ref name="lexpansion201406042">Modèle:Article</ref>.

Menu végétarien

Au lendemain du rejet du recours contre la suppression du menu sans porc dans les cantines de Chalon-sur-Saône, Yves Jégo souhaite déposer une proposition de loi pour rendre obligatoire la présence d'un menu végétarien dans les cantines scolaires<ref>Modèle:Article</ref>. Le Modèle:Date-, il dépose à l'Assemblée nationale une proposition de loi relative à la mise en place d’une alternative végétarienne dans les cantines scolaires<ref>Modèle:Lien web</ref>. Parmi les cosignataires de la proposition de loi figurent les députées écologistes Cécile Duflot, Laurence Abeille et Isabelle Attard<ref>Modèle:Article</ref>. Dans la foulée, Yves Jégo lance une pétition qui recueille Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web</ref>. « Ce succès populaire inattendu prouve s'il en était besoin l'actualité de cette question et m'amène à vous solliciter pour que le gouvernement prenne en compte ce sujet qui répond à plusieurs préoccupations », a écrit Yves Jégo dans un courrier envoyé à Manuel Valls<ref>Modèle:Article</ref>. Finalement, cette proposition de loi n’a pas été inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale en raison du refus du Gouvernement, pour autant de nombreux maires se sont engagés volontairement dans ce dispositif<ref>Modèle:Article</ref>. Dans la ville de Montereau-Fault-Yonne, en Seine-et-Marne, la municipalité a  décidé de proposer systématiquement au moins un menu végan dans les 9 cantines scolaires que compte la commune. Au total, 20 % des repas consommés sont végétariens<ref>Modèle:Article</ref>. Une dynamique que Nicolas Hulot souhaite étendre à toutes les communes en 2018<ref>Modèle:Article</ref>.

Assises du produire en France

Pendant l'été 2015, il lance avec l'ancien ministre de l'Économie socialiste Arnaud Montebourg « Les assises du produire en France »<ref>Marc de Boni, « Yves Jégo, de la politique d'appareil aux coups personnels », lefigaro.fr, 9 septembre 2015.</ref>. Les 8 et Modèle:Date- se tiennent la deuxième édition des Assises du Produire en France à Reims<ref>Modèle:Article</ref>. En 2017, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire est venu défendre les mesures fiscales du gouvernement<ref>Modèle:Lien web</ref> et glisse : « Je ne suis pas venu avec une marinière mais avec ma Peugeot 5008...»<ref>Modèle:Article</ref>.

Détail des fonctions et des mandats

Au niveau local

Au Parlement

Au gouvernement

  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer, auprès de la ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités

Autres responsabilités

Cumul des mandats et des fonctions

En Modèle:Date-, le « palmarès des "cumulards" de la République » publié par l'Express<ref>L'Express, Les "cumulards" de la République</ref>, place Yves Jégo en sixième position à l'échelle nationale et en première position en Île-de-France<ref>France Bleu : Le député-maire de Montereau est le champion des cumulards en Île-de-France</ref> en matière de cumul des mandats et des fonctions. Quelques jours plus tard, l’Express rectifie son classement en constatant qu’Yves Jégo ne détient pas 10 mais 5 fonctions. Il passe ainsi de la Modèle:6e à la Modèle:48e du classement<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.

Plaintes déposées par Yves Jégo

Plainte contre deux blogueurs (Modèle:Date-)

Le Modèle:Date-, Yves Jégo perd le procès qu'il intente contre Frédéric Maupin et Jean-Luc Pujo, mettant en cause les auteurs d'un site où il était notamment qualifié de « menteur » et de « manipulateur » lors de la campagne pour les législatives de Modèle:Date-. Yves Jégo fait appel de ce jugement, mais le Modèle:Date- la Cour d'appel de Paris le déboute en confirmant le jugement de première instance<ref>Yves Jégo perd son procès en diffamation , lefigaro.fr</ref>.

Plainte contre Yves Poey pour diffamation et injure (Modèle:Date-)

Yves Jégo porte plainte pour diffamation et injure contre le blogueur Yves Poey, militant socialiste local<ref>Internet : Yves Jégo, pas vraiment l’apparatchik type, backchich.info, 25 mars 2008</ref>. En première instance, le Modèle:Date-, Yves Jégo obtient la condamnation du blogueur à Modèle:Unité d'amende pour diffamation. Ce dernier ayant fait appel mais Yves Jégo n'ayant pas fait de même dans les délais, la Modèle:11e d'appel de Paris ne l'a pas autorisé à être présent en appel. Yves Jégo saisit la Chambre criminelle de la cour de Cassation, qui rejette le Modèle:Date- le pourvoi qu'il a formulé<ref>Je reste seul, blog d'Yves Poey</ref>. Le Modèle:Date-, la Cour d'appel de Paris déboute Yves Jégo de sa plainte contre Yves Poey<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Plainte contre Yves Poey pour diffamation publique envers un citoyen chargé d'un mandat public (Modèle:Date-)

Le Modèle:Date-, Yves Jégo attaque à nouveau en justice le blogueur monterelais Yves Poey, pour « diffamation publique envers un citoyen chargé d'un mandat public » pour un commentaire publié sur son blog. Le Modèle:Date-, le Président chargé de l'instruction au Tribunal de grande instance de Paris rend une ordonnance de non-lieu pour charges insuffisantes à l'encontre d'Yves Poey<ref>Diffamation contre le maire : le blogueur mis hors de cause, Le Parisien, 3 juin 2011.</ref>,<ref>Ordonnance de non-lieu : page 1, page 2, page 3 et page 4.</ref>.

Ouvrages

Yves Jégo a signé ou cosigné plusieurs ouvrages :

Romans historiques

  • 1661 (avec Denis Lépée), Timée-Éditions, 2005
  • La Conspiration Bosch (avec Denis Lépée), Timée-Éditions, 2006
  • 1807, (avec Valéry-Philippe Morron), Timée-Éditions, 2011. Modèle:ISBN

Essais politiques

  • De Gaulle, L'esprit du possible, Timée-Éditions, 2007
  • Dictionnaire impertinent de l'Île-de-France, Éditions de l'Archipel, 2009 (Source EDITSTAT)
  • Modèle:Nombre et Modèle:Nombre entre faux gentils et vrais méchants (Avec Muriel Grémillet), Grasset, 2009
  • Marine Le Pen arrivera au pouvoir. Sauf si…, First, 2014

Essai historique

  • La campagne de France : 1814, Taillandier, 2013. Modèle:ISBN

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

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