Lastours

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Lastours <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} (Las Tors) est une commune française du département de l'Aude en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie de la Montagne Noire, un massif montagneux constituant le rebord méridional du Massif central. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orbiel, le ruisseau du Grésillou et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lastours est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1931. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne. Ses habitants sont appelés les Lastourois ou Lastouroises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de la Caunette, inscrit en 1948, et les châteaux de Lastours, classés en 1905.

Modèle:Sommaire

Géographie

Le village de Lastours est situé dans le département de l'Aude au nord de Carcassonne dans la vallée de l'Orbiel. Lastours est au cœur du pays du Cabardès entre la rivière de l'Orbiel et le torrent du Grésilhou.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Orbiel, le ruisseau du Grésillou et le ruisseau de Villanière, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

L'Orbiel, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mazamet et s'écoule vers le sud. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Trèbes, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 10,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cuxac-Cabardes », sur la commune de Cuxac-Cabardès, mise en service en 1991<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « gorges de l'Orbiel aux Ilhes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et la « vallée de l'Orbiel » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : les « crêtes et piémonts de la Montagne Noire » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 24 dans l'Aude et 2 dans l'Hérault<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Lastours est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carcassonne, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (45,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (26,8 %), forêts (22,5 %), mines, décharges et chantiers (19,6 %), cultures permanentes (18,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Lastours est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Orbiel. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1996, 1999, 2005, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:11194-Lastours-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lastours.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 12 sont en aléa moyen ou fort, soit 13 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2019<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>.

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lastours est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Histoire

Les traces d'occupation humaines remontent à la préhistoire dans une grotte appelée le Trou de la cité au pied des châteaux de Lastours. L'histoire du village est liée aux différentes occupations des châteaux de Lastours<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le développement de la métallurgie est connue à Lastours depuis l'Antiquité. En effet, la région est riche en minéraux de fer, cuivre, plomb et or et est un important centre d'extraction minière. Le village est entourée de gisements miniers :

Le village n'est desservi par une route qu'à partir de 1863. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'industrie drapière était florissante à Lastours.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données INSEE publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (62,6 % ayant un emploi et 12,1 % de chômeurs) et 25,3 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Carcassonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 32 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 57, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 57 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 73,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 8,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Quatorze établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Lastours au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 14 entreprises implantées à Lastours), contre 32,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans la « Région viticole » de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, également dénommée localement « Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin »<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Lastours - Châteaux - JPG1.jpg
Les quatre châteaux de Lastours.
Fichier:France - Lastours et ses châteaux.jpg
Lastours et ses châteaux.
  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Lastours.
  • Les châteaux de Lastours sont au nombre de quatre sur un éperon calcaire du Cambrien.
  • Les ruines d'une église romane : église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Cabaret.
  • Le village abandonné du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle au pied des châteaux en cours de fouille.
  • L'ancienne Usine Rabier qui fabriquait des pièces de draps jusqu'au milieu du siècle. L'usine sert maintenant de lieu d'accueil pour le tourisme et notamment pour l'accès aux châteaux de Lastours.
  • Le Belvédère de Montfermier offre un panorama incomparable sur le site des châteaux, le village et ses environs.
  • le panorama est classé depuis le Modèle:Date- comme indiqué ci-dessous :

"Par décret du Modèle:Date-, est classé parmi les sites du département de l’Aude, le site constitué de l’ensemble formé par les châteaux de Lastours et leurs abords ainsi que des mines des Barrencs, sur le territoire des communes de Fournes-Cabardès, Lastours, Les Ilhes-Cabardès, Limousis et Villanière."

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références nombreuses

Bibliographie

  • Marie-Élise Gardel, Bruno Jaudon, Sylvain Olivier, De Rivière à Lastours, histoire d’un village languedocien ({{#switch: -
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles

}}), Nouvelles Éditions Loubatières, 2011, 184 p., Modèle:ISBN.

Liens externes

Modèle:Autres projets

Modèle:Palette Modèle:Portail