Le Juge et l'Assassin

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

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Le Juge et l'Assassin est un film de procès dramatique et historique français réalisé par Bertrand Tavernier, sorti au cinéma en 1976. L'histoire est inspirée de la vie du tueur en série Joseph Vacher à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Synopsis

En 1893, Joseph Bouvier, ancien sergent d'infanterie réformé en raison de ses crises de violence, tire sur la fille qu'il poursuit, Louise, avant de retourner son arme contre lui. Elle survit et lui aussi, malgré les deux balles restées logées dans sa tête. Esprit simple et exalté, nourri de slogans anarchistes, il devient vagabond à la suite de sa libération de l'asile où son geste l'avait conduit. Dès lors, parcourant la France à pied, il égorge et viole sur son chemin de jeunes bergers ou bergères.

S'intéressant à cette affaire, un juge de province, Émile Rousseau, suit patiemment Bouvier à la trace. Une fois l'assassin arrivé dans sa région, il obtient son arrestation sur la base d'un signalement composé à partir de témoignages. Si Bouvier pense qu'on va le soigner, Émile Rousseau, par arrivisme, s'efforce de ne pas croire à sa folie. Voyant dans cette affaire l'occasion unique d'une promotion, il instaure une relation de confiance avec Bouvier, base d'une mécanique huilée pour obtenir des aveux complets et sa condamnation à mort.

Le film se déroule sur le fond d'une France déchirée, mentionnant aussi bien l'affaire Dreyfus (1894-1906) que les luttes ouvrières aboutissant à la création de la CGT (1895)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fiche technique

Distribution

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Autour du film

Musique et chansons originales

La musique du film a été composée par Philippe Sarde et dirigée par Hubert Rostaing.

Avec Jean-Roger Caussimon, Sarde a écrit trois chansons originales.

La première, intitulée Sigismond le Strasbourgeois, est une chanson aux airs patriotiques qui retrace la vie d'un jeune Alsacien ayant opté pour la France en 1871 et qui choisit de s'engager dans l'armée pour partir dans les colonies.

La deuxième chanson a été composée sur le mode de la complainte, un genre populaire propre aux chansonniers qui parcouraient les routes, inventaient des chansons s'inspirant de l'actualité, les interprétaient et les vendaient par feuillets. Elle s'appelle La Complainte de Bouvier l'éventreur et est interprétée dans le film par Jean-Roger Caussimon lui-même : Modèle:Citation bloc

La dernière chanson, qui conclut le film, est quant à elle inspirée des chants révolutionnaires de la Commune de Paris. Elle s'intitule La Commune est en lutte<ref>Modèle:Lien web.</ref> et sert à deux reprises d'illustration sonore au film : la première fois — interprétée par Michel Galabru — lorsque Joseph Bouvier attend les gendarmes, en étant encerclé par les bergers qui l'ont pris en flagrant délit, et la seconde fois lors de la scène finale qui retrace une grève ouvrière réprimée par la gendarmerie. Cette dernière chanson a fait l'objet de plusieurs interprétations : par Jean-Roger Caussimon<ref>Modèle:Lien brisé</ref>, au concert de Jean-Roger Caussimon<ref>Modèle:Lien brisé</ref>, par Serge Utgé-Royo<ref>Modèle:Lien brisé</ref> et par Dominique Grange.

Distinctions

Récompenses

Nominations

Bibliographie

  • René Tavernier, Henri Garet, Le Juge et l'Assassin, Paris, Presses de la Cité, 1976, 312 p.
  • L'Avant-scène. Cinéma, Modèle:N°, juin 1976 : Le Juge et l'Assassin (découpage et texte in extenso).
  • Modèle:Article.

Notes et références

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Liens externes

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