Liste des comtes de Guînes

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Guînes ou Ghisnes ou Guynes ou Guysnes (en latin Ghisnae), ville du Nord-Pas-de-Calais à deux lieues de la mer. Comté qui comprenait Ardres, Hardewic, Brédenarde, Tornehen et le port de Witsan, douze baronnies et autant de pairies.


Première famille de Guînes

La légende des origines scandinaves

D'après les travaux de Jean-François Nieus sur les comtes de Saint-Pol (2005), la première mention sûre d'un comte de Guînes concerne Modèle:Souverain2, en 1065, ou un comte Manassès cité en 1056<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les comtes plus anciens, tels le chef viking Siegfried, donnés par Lambert d'Ardres (vers 1200), « narrateur fantasque qui se trompe, déforme, invente au besoin », n'ont pas d'existence avérée.

Comtes de Guînes plus ou moins légendaires

Comtes de Guînes dont l'existence est attestée

Seconde famille de Guînes (issue des châtelains de Gand)

En 1284, vend le comté au roi Philippe le Bel

Maison de Brienne

Il se fit confisquer ses terres par le roi de France, Modèle:Souverain- le Bon.

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Famille de La Trémoille

Duc de Guînes

  • Charles Eugène Jean Dominique de Bonnières de Guînes, comte de Souastre, et de Pas-en-Artois, fils de Charles Ignace de Bonnières et de Jeanne Marie Thérèse de Créquy, (famille de Créquy), est le premier membre de la famille de Bonnières à ajouter « de Guînes », à son nom. Les de Bonnières sont considérés comme descendants des comtes de Guînes par Modèle:Souverain-, châtelain de Gand, époux de Gilette ou Gisle de Guînes, fille de Modèle:Souverain3,sœur de Modèle:Souverain3 et mère d'Modèle:Souverain3, ancêtre du futur duc de Guînes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Par lettres du Modèle:Date-, Charles Dominique Eugène de Bonnières de Guînes, comte de Souastre, mestre de camp d'un régiment de cavalerie pour le service du roi, est autorisé à acheter au nommé Gouart, la haute justice (justice seigneuriale) de la terre de La Neuville en Hainaut<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, Modèle:P., lire en ligne.</ref>. Le Modèle:Date-, le Conseil d'État rend un arrêt sur la requête de Charles Eugène Jean Dominique de Guînes, comte de Souastre, se plaignant que l'élection d'Artois l'avait poursuivi ainsi que le curé de La Madeleine d'Arras parce qu'il avait pris la qualité de haut et puissant seigneur, qualité que ses auteurs avait toujours prise… Le Conseil d'État renvoie la requête dudit Guînes de Bonnière aux États de la province, tenus de répondre dans les trois mois<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, Modèle:P., lire en ligne.</ref>.

Sa fille Marie Louise Philippine (Modèle:† mort1796), épouse, en 1778, Charles de La Croix de Castries. Lorsque ce dernier est fait duc de Castries (duc à brevet) en 1784, il obtient du Roi la promesse de réversion du duché de Guines, promesse qui ne pourra se réaliser, Adrien-Louis de Bonnières étant mort sous l'Empire.

Notes et références

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Annexes

Articles connexes

Liens externes

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Bibliographie

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