Luc-sur-Mer

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Luc-sur-Mer est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.

Géographie

Localisation

La commune de Luc-sur-Mer se situe au sud de la baie de Seine, au cœur de la Côte de Nacre, aux confins nord du Bessin et de la plaine de Caen, au nord du Calvados. Son bourg est à Modèle:Unité au nord-est de Douvres-la-Délivrande, à Modèle:Unité au nord-ouest d'Ouistreham et à Modèle:Unité au nord de Caen<ref>Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr</ref>. Le territoire communal est au croisement de trois unités paysagères : un espace littoral et balnéaire, un espace rural et un espace périurbain.

Le point culminant (Modèle:Unité) se situe en limite sud, près du lieu-dit le Bout Varin. Bien que la commune soit littorale, l'IGN considère que le point le plus bas est à Modèle:Unité correspondant à la hauteur de digue.

Fichier:Luc-sur-Mer Entrée.jpg
Entrée de la ville.

Modèle:Communes limitrophes

Environnement

La biodiversité marine a été suivie sur ce secteur par de nombreux universitaires depuis plusieurs décennies. Elle était élevée, mais est en déclin. Les bioindicateurs d'eutrophisation et de dégradation de la qualité des habitats se font plus nombreux<ref>Voir document cité en lien externe du Département de zoologie et de biologie animale, de septembre 2004</ref>.

À l'est de Luc-sur-Mer, la coupure naturelle de Lion/Luc est intégrée au réseau des espaces naturels sensibles du département du Calvados.

Dans le même secteur, les falaises à confessionnaux relèvent d'une formation géologique fossilifère unique dans le nord de la France, les calcaires du Bathonien supérieur (Jurassique moyen; environ 166 millions d'années)<ref>Modèle:Lien web</ref>; site classé en 1976, les falaises sont toutefois très dégradées aujourd'hui, du fait des aménagements urbains<ref name=":3" />.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Luc-sur-Mer est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Luc-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,5 %), zones urbanisées (41,5 %), prairies (5,9 %), zones humides côtières (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Lu en 1077 (charte de Saint-Étienne)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Luques en 1675 (carte de Petite)<ref name="Hippeau">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Ce toponyme serait issu de l’ancien français Modèle:Abréviation, « bois », attesté sous la forme luz<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, terme issu du latin lucus, « bois sacré ».

Le gentilé est Lutin.

Histoire

Fichier:Edgar Audra Cabane de plage Luc sur mer 1905.jpg
Edgar Audra : une cabane de plage à Luc-sur-Mer (1904, musée de Normandie).

Luc-sur-Mer a connu une occupation humaine dès le Néolithique, ainsi qu'en atteste le mobilier trouvé dans les deux premières décennies du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Edmond Hue, ancien maire de la commune et fondateur de la Société Préhistorique Française, dans le cadre de ses recherches le long du vallon du ruisseau du Luc : couteaux, lames, grattoirs, percuteurs et pierres de jet. De petite taille et très retouchés, ces outils préhistoriques témoignent, selon leur inventeur, de la rareté de la matière première (silex) sur le bord de mer<ref>Modèle:Article.</ref>. Il est vraisemblable que Luc fut un centre important d'occupation à l'époque romaine et Edmond Hue a mis au jour en 1905 un four à briques sur une coupe de la falaise à l'est de la Brèche du Corps de Garde<ref>Modèle:Article.</ref>.

Une nécropole mérovingienne a été découverte en février 1936, rue du Parc, comportant plusieurs sarcophages de pierre<ref>Luc-sur Mer au fil du temps, éditions Maury, 1995, pages 23 et 24.</ref>

Aux {{#switch: XIX

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}}, Luc est une commune habitée par des cultivateurs et par des marins-pêcheurs et leurs matelots, ainsi qu'en témoigne la Monographie communale rédigée par l’instituteur de Luc-sur-Mer dans la dernière décennie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>. Réputée pour la fertilité de ses sols légèrement siliceux, que les engrais maritimes récoltés sur le rivage viennent enrichir, la commune pratique la culture maraichère et compte Modèle:Nobr agricoles à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les propriétés, très morcelées, sont de petite taille, atteignant à peine Modèle:Unité pour les plus importantes. Au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'activité de la pêche bat son plein, avec près de Modèle:Nobr se livrant à la pêche au maquereau et au hareng. Les opérations de saurissage et de salaison qui en découlent occupent plus de Modèle:Nobr. À cette période d'apogée, Luc compte Modèle:Nobr d'environ Modèle:Nobr qui emploient Modèle:Nobr d'équipage pour le trafic avec le port du Havre, principal débouché de la pêche lutine.

Le Modèle:Date- fut créée à Luc une manufacture de dentelles, placée sous la direction de deux institutrices, que devaient fréquenter toutes les filles de la commune pour y apprendre à lire, à écrire et à filer de la dentelle. En 1836, la commune compte Modèle:Nobr et fileuses. Au recensement de 1901, les dentellières et fileuses ont disparu<ref name=":1">Modèle:Article</ref>.

Durant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Luc a participé à la défense côtière du Calvados. S'y trouvait en effet une redoute, dénommée le Fort de la Vigie, qui sera détruite en 1884. Cette redoute repoussa les assauts des Anglais de 1807 à 1815 mais fut impuissante face aux Prussiens qui réussirent à débarquer le Modèle:Date- et ne reprirent la mer qu'en février 1816.

Bien que située sur un terrain plat bien aéré, la commune sera ravagée par deux fois par le choléra, en 1832 et en 1849<ref name=":0" />.

En 1839, Luc-sur-Mer cède le hameau de la Délivrande à la commune de Douvres (qui prendra en 1961 le nom de Douvres-la-Délivrande)<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>.

Le village, à dominante agricole, se développe dans les terres à l'écart du littoral (actuel vieux Luc), à l'exception du hameau du Petit Enfer. À partir des années 1840, la mode des bains de mer se développe, ce qui fait de Luc la doyenne des stations balnéaires de la Côte de Nacre<ref>Sandie Brémond, « La villégiature balnéaire sur la Côte de Caen au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : représentations à travers les guides touristiques et les journaux balnéaires », In Situ [En ligne], no 24-2014, mis en ligne le 9 juillet 2014 Modèle:Lire en ligne</ref>. Toutefois, Luc était fréquenté par l'aristocratie parisienne, les artistes et les familles anglaises dès 1820, qui le préférait à Dieppe, réservée aux bourgeois. Ce serait à George Brummel que Luc doit son premier établissement de bains chauds et de varech frais, fondé en 1859, en annexe au premier casino. La station balnéaire avait alors pour slogan<ref>Modèle:Article.</ref> :

Modèle:Citation bloc

À partir de 1875, Luc est connecté au réseau de chemin de fer par la ligne de Caen à la mer, qui part de la gare Saint-Martin au centre de Caen. Cette ligne est fermée au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

Le matin du Modèle:Date-, un douanier découvre sur les rivages de la côte de Nacre, à l’endroit dit la « Brèche du Moulin », une baleine (rorqual commun) de quarante tonnes et longue de dix-neuf mètres, qui s’était échouée pendant la nuit, sans doute victime d'une collision avec un navire. Dépecée et transportée à Caen, étudiée par le professeur Yves Delage, son squelette ne reviendra qu'en 1937 à la commune, qui le place sous un abri construit dans le parc municipal<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date, la plage de Luc fait partie de Sword Beach, mais les récifs côtiers gênant le débarquement, l'essentiel des troupes affectées à Sword débarquera vers la Brèche d'Hermanville<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1945, avec l'arrivée massive de Caennais sinistrés, la commune voit sa population doubler<ref name=":1" />.

Politique et administration

Fichier:LucsurmerMairie 001.JPG
La mairie côté parc de la Baleine.
Fichier:Luc-sur-Mer Hôtel-de-Ville 1.jpg
La mairie côté rue de la Mer.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et six adjoints<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Jumelages

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Luc-sur-Mer est le pôle secondaire de l'unité urbaine de Douvres-la-Délivrande - Luc-sur-Mer, formée par les communes de Bernières-sur-Mer, Douvres-la-Délivrande, Langrune-sur-Mer, Luc-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer<ref>Liste des unités urbaines officielles en France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee)</ref>.

Manifestations culturelles et festivités - Luc Animation

  • Luc sur Mer Tribute Fest : tous les ans, ce festival de musique ouvre la saison estivale de la commune. Des Tributes Bands se succèdent sur scène devant près de Modèle:Nombre (sur deux jours). Un rendez-vous désormais ancré chez les lutins.
  • Noël en Lumière : Tous les ans, le Parc de la Baleine (Parc de l'Hôtel de Ville) se transforme pour devenir un lieu féerique. Illuminations, déambulations et village de noël font vivre le parc le temps d'un weekend.
  • Festival de voltige aérienne : Il y a quelques années, en été, des démonstrations d'aéronefs civils et militaires étaient effectuées au-dessus de la mer. Cet événement a été créé en 1997 à l'initiative de la mairie et du casino.

Économie et tourisme

Depuis Modèle:Date-, Luc-sur-Mer est dénommée « station balnéaire classée de tourisme »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

  • Xavier Deluc (1958-), acteur, tire son pseudonyme de Luc-sur-Mer qu'il apprécie particulièrement.
  • Aurélien Wiik (1980-), acteur, y passa une partie de son enfance.

Luc-sur-Mer dans les arts

Cinéma

Littérature

Dans le roman Au-dessous du volcan de Malcolm Lowry, paru en 1947, le héros Geoffrey Firmin, consul britannique, séjourna à Luc dans sa jeunesse.

Luc-sur-Mer dans les sciences

La station marine du Centre régional d'études côtières<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref> (Université de Caen-Normandie) est installée à Luc-sur-Mer depuis 1880. Créée par le professeur de zoologie de l'Université de Caen Eugène Eudes-Deslongschamps dans la maison qu'avait habitée Arcisse de Caumont, l’un des fondateurs de l’archéologie moderne, elle remplit depuis sa double mission initiale de recherche et d'enseignement en biologie marine.

Les spécialités que développe le CREC sont, au delà de la biologie, de physiologie et du comportement des organismes marins, sont la sédimentologie, l'hydrodynamique, la physico-chimie des eaux, la météorologie et plus généralement le fonctionnement biotique et abiotique des écosystèmes littoraux<ref name=":2" />. Il est intégré dans plusieurs réseaux nationaux labellisés d'observation littorale<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Bibliographie

  • Edmond Hue, 8 articles parus entre 1909 et 1936 sur l'histoire antique de Luc-sur-Mer dans le Bulletin de la Société Préhistorique française.
  • René Streiff, Luc-sur-Mer, doyenne des cités balnéaires de la Côte de Nacre, article dans Études nornandes, tome XLIX, 1964.
  • Collectif, Luc-sur-Mer au fil du temps, Office du tourisme de Luc-sur-mer et éditions Maury, 1995. Modèle:ISBN. 190 pages illustrées de documents et reproduction de cartes postales en noir et blanc.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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