Gérard Depardieu
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Gérard Depardieu, né le Modèle:Date de naissance à Châteauroux (France), est un acteur, chanteur, réalisateur, producteur de cinéma, de télévision et de théâtre français. Il est par ailleurs naturalisé russe en 2013 puis émirati en 2022. Il est aussi homme d'affaires, notamment dans le domaine de la viticulture.
Révélé en 1974 avec Patrick Dewaere par le film Les Valseuses, il est depuis l'une des principales vedettes du cinéma français.
Il a tourné avec des cinéastes français prestigieux, parmi lesquels François Truffaut, Jean-Luc Godard, André Téchiné ou Alain Resnais, mais également étrangers tels que Bernardo Bertolucci, Marco Ferreri, Andrzej Wajda ; et a alterné films d'auteur et divertissements populaires, tout en apparaissant également dans des films hollywoodiens durant les années 1990 (Green Card de Peter Weir, 1492 : Christophe Colomb de Ridley Scott, L'Homme au masque de fer de Randall Wallace). Il fut en outre l'acteur favori des réalisateurs Maurice Pialat, Francis Veber, Alain Corneau et Bertrand Blier. Apparu dans plus de deux cents films, il est le deuxième acteur français ayant cumulé le plus d'entrées en France, derrière Louis de Funès. En 1981, son interprétation dans Le Dernier Métro lui permet d'obtenir son premier César du meilleur acteur. Il obtient l'un de ses plus grands succès en 1990 avec Cyrano de Bergerac, qui lui vaut son deuxième César du meilleur acteur, le prix d'interprétation masculine du Festival de Cannes et une nomination à l'Oscar du meilleur acteur.
Il a par ailleurs réalisé ou coréalisé trois films : Le Tartuffe en 1984, Un pont entre deux rives (avec Frédéric Auburtin) en 1999 et le segment Quartier Latin dans Paris, je t'aime en 2006.
Il est notamment le père des acteurs Guillaume et Julie Depardieu.
En Modèle:Date, il est accusé de viols et d'agressions sexuelles par une comédienne ; il est mis en examen en 2020. Mediapart publie en 2023 le témoignage de treize femmes qui l'accusent de violences sexuelles. L'acteur conteste les faits allégués.
Biographie
Jeunesse
Gérard Depardieu est le troisième enfant de René Depardieu (plus connu dans son quartier sous le sobriquet de « Dédé » parce qu'il ne savait, dit-on, écrire que deux lettres)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, tôlier-formeur en carrosserie, Compagnon du devoir, et sapeur-pompier volontaire, père qu'il admire malgré sa violence<ref>« C’était un ivrogne comme je dois l’être et comme beaucoup de gens le sont ». Source : Anaïs Chabalier, « Gérard Depardieu en interview : sa vie, son fils, l'alcool, Hollande, Poutine et Sarkozy », Le Nouvel Observateur, Modèle:Date-.</ref>, et d'Alice Marillier dite « La Lilette », mère au foyer, originaire de Saint-Claude, où ses grands-parents possèdent une petite fabrique de pipes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Son père et sa mère naissent tous deux en 1923 et décèdent tous deux en 1988.
Gérard Depardieu grandit dans la misère dans un deux-pièces au 39 rue du Maréchal-Joffre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, à Châteauroux, dans une famille de prolétaires au milieu de cinq frères et sœurs. Gérard aidera d'ailleurs sa mère pour les accouchements de ses frères et sœurs cadets<ref>Jean-Michel Djian, Interview de Gérard Depardieu dans À voix nue, France Culture, Modèle:Date- (à 14 min 15 s).</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Il passe plus de temps dans la rue qu'à l'école, qu'il quitte à l'âge de Modèle:Nobr. Pratiquement analphabète et à moitié bègue, il n'apprend la lecture que plus tard<ref>« Depardieu passe les livres », Libération, Modèle:Date-.</ref>. Au cours d'une adolescence difficile, il se « débrouille », commet quelques vols et pratique la contrebande en tous genres (cigarettes, alcool), entre autres avec des GIs de l'importante base aérienne américaine de Châteauroux-Déols. Il fait office également de garde du corps pour des prostituées qui descendent de Paris le week-end, le jour de paye des GIs<ref name="destin">Laurent Delahousse, « Gérard Depardieu : blessures secrètes », Un jour, un destin, 2009.</ref>,<ref>« Sur les traces berrichonnes de Gérard Depardieu », La Montagne, Modèle:Date-.</ref>. Sa famille le surnomme alors « Pétard » ou « Pétarou », allusion « fine » à l'habitude qu'il a contractée de péter sans cesse, en tout lieu<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Son certificat d’études primaires en poche, il est embauché à douze ans comme apprenti dans une imprimerie du groupe de presse Centre France<ref name="BOYE_12">Bernard Boyé, Les Légendes du cinéma français : Gérard Depardieu, éd. Autres Temps, 2010, page 12.</ref> tout en participant à des combats de boxe clandestins<ref name="ReferenceA">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="parismatch">Modèle:Lien web.</ref>. Pour la saison 1965-1966, il signe une licence junior dans le club de football de la Berrichonne de Châteauroux, ce qui est contradictoire avec un départ de cette ville en 1964<ref>Reproduction de la licence dans le livre du centenaire de la Berrichonne.</ref>, après divers petits métiers, dont celui de plagiste à La Garoupe sur le Cap d'Antibes<ref name="BOYE_12"/> alors qu'il n'a que seize ans. En 1968, son meilleur ami d'enfance Jacky Merveille, autre caïd castelroussin, meurt dans un accident de voiture, il décide alors de prendre son destin en main<ref name="ReferenceA"/>.
Il est dispensé du service militaire par un psychiatre qui diagnostique une « hyperémotivité pathologique », dont il souffrirait depuis l'enfance<ref>Reportage sur Gérard Depardieu à l'occasion de la promotion du film La Dernière Femme sur le site de l'INA, Modèle:Date-.</ref>,<ref>« Gérard Depardieu : ce que cache son coup de sang », Le Nouvel Observateur, Modèle:Date-.</ref>.
Débuts d'acteur
En 1963, sur les conseils de Michel Pilorgé (fils d'un médecin berrichon)<ref name="BOYE_12"/>, Gérard Depardieu monte avec lui à Paris où ils suivent ensemble des cours de comédie au Théâtre national populaire. Son manque de culture lui fait dévorer avec passion et avidité tous les grands textes classiques tout en suivant la thérapie du docteur Tomatis pour corriger ses difficultés d'élocution et sa mémoire déficiente<ref>Paul Chutkow, Depardieu, Belfond, 1994, Modèle:P. et suivantes.</ref>. Il fait ses débuts devant la caméra en 1965 dans le court-métrage de Roger Leenhardt Le Beatnik et le Minet<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, mais sa voix y est doublée car il parle toujours mal<ref>Modèle:YouTube.</ref>. Il suit au théâtre Édouard VII Modèle:Incise les leçons de Jean-Laurent Cochet qui le prend sous son aile. À cette époque, il rencontre Élisabeth Guignot, fille de polytechnicien, qu'il épouse le Modèle:Date- à la mairie de Bourg-la-Reine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son épouse lui fait alors découvrir le monde de la bourgeoisie<ref name="destin"/> ; elle lui présente Agnès Varda et son mari Jacques Demy<ref>Bernard Boyé, Les Légendes du cinéma français : Gérard Depardieu, Modèle:Opcit Modèle:P..</ref> chez qui il est baby-sitter pour gagner de l'argent<ref name="parismatch"/>.
En 1970, Michel Audiard lui procure un petit rôle dans Le Cri du cormoran le soir au-dessus des jonques. Il joue également un petit rôle dans le film Un peu de soleil dans l'eau froide (1971) de Jacques Deray. Il joue dans plusieurs pièces de théâtre à Paris, notamment dans deux pièces mises en scène par Claude Régy ; c'est là que Marguerite Duras le remarque et lui offre un rôle en 1972 dans Nathalie Granger et un autre l'année suivante dans La Femme du Gange<ref>Gérard Lefort, « Gérard Depardieu a tourné dans quatre films de Marguerite Duras », Libération, Modèle:Date-.</ref>. La même année, Pierre Tchernia lui offre un petit rôle de gangster avec quelques belles répliques dans Le Viager, aux côtés de Michel Serrault.
Ascension et succès en France
C'est en 1974 que Gérard Depardieu est pleinement révélé au grand public : son rôle de Modèle:Citation voyou en cavale dans Les Valseuses de Bertrand Blier, aux côtés de Patrick Dewaere et de Miou-Miou, est un succès doublé d'un scandale en raison des dialogues crus et de la sexualité étalée des personnages. Cette même année, il reçoit le prix Gérard-Philipe de la ville de Paris<ref>Biographie : Gérard Depardieu, Comme au cinéma.</ref>.
Dans les années 1970, depuis Les Valseuses, la profession considère Gérard Depardieu et Patrick Dewaere comme des alter-ego<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Plusieurs réalisateurs et producteurs, pensent systématiquement à l'un ou l'autre durant cette période, comme s'ils étaient interchangeables<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Bertrand Blier estime toutefois que Dewaere est « suiveur » par rapport à Depardieu<ref name="Esposito">Marc Esposito, Patrick Dewaere, documentaire sorti en 1992.</ref>. Par exemple, le réalisateur Claude Sautet pense à Depardieu lors de l'écriture de Un mauvais fils mais confie le rôle à Dewaere, estimant Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Inversement, Patrick Dewaere doit initialement jouer à la place de Depardieu dans Buffet froid de Bertrand Blier car à cette période, il a obtenu plus de succès en salle que son ami et les producteurs ont tenté de l'imposer, sans succès<ref name="Esposito"/>. De 1974 à 1979, Dewaere reste prioritaire devant Depardieu dans le choix des producteurs de films français car selon le journaliste Marc Esposito, ils le trouvent Modèle:Citation<ref name="EspositoP195">Modèle:Ouvrage.</ref>. Avec humour, Depardieu déclare lors d'une interview : Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Dewaere est d'ailleurs obsédé par cette compétition avec Depardieu, qu'il surnomme Modèle:Citation<ref name="EspositoP195"/>.
En 1975, il se libère du rôle étriqué de voyou grâce au succès de Sept morts sur ordonnance de Jacques Rouffio. Vient ensuite la période des grands réalisateurs italiens : Bernardo Bertolucci l'engage dans sa fresque historique 1900, où il partage la vedette avec Robert De Niro, et Marco Ferreri le dirige dans Rêve de singe et La Dernière Femme, film provoquant dans lequel son personnage s'émascule avec un couteau électrique. Depardieu impressionne pour son aisance à changer d'univers et aussi pour l'éventail de son registre. Il tourne en effet dans des films aussi différents que Le Camion (1977) de Marguerite Duras, Barocco (1976) d'André Téchiné, La Femme gauchère (1978) de Peter Handke et Inspecteur la Bavure (1980) de Claude Zidi.
Tout en restant fidèle à Bertrand Blier (Tenue de soirée, Trop belle pour toi), Depardieu élargit son répertoire auprès d'autres grands noms du cinéma d'auteur français, en refusant de s'enfermer dans un genre ou un personnage précis :
- Maurice Pialat le fait tourner dans quatre films, dont les très remarqués Police qui lui vaut un prix d'interprétation à la Mostra de Venise 1985 et Sous le soleil de Satan, récompensé par la Palme d'or au Festival de Cannes 1987 ;
- Alain Resnais lui confie le rôle de l'un des Modèle:Citation dans Mon oncle d'Amérique et le réengage dans I Want to Go Home ;
- François Truffaut lui propose à la même époque des rôles d'amoureux passionné : La Femme d'à côté, au côté de Fanny Ardant et auparavant Le Dernier Métro avec Catherine Deneuve, succès commercial qui lui vaut le César du meilleur acteur en 1981.
Francis Veber l'illustre parallèlement dans des comédies de type buddy movie à la française en formant un tandem gagnant avec Pierre Richard : La Chèvre en 1981, Les Compères en 1983 et Les Fugitifs en 1986.
En 1981, il est choisi par John Travolta pour être sa voix française dans Blow Out, réalisé par Brian De Palma.
On le retrouve également dans des films en costumes, où il incarne plusieurs personnages historiques ou issus de la littérature française :
- Le Retour de Martin Guerre de Daniel Vigne (1982), qui lui donne sans doute un certain goût pour ce type de rôle ;
- Danton d'Andrzej Wajda (1982), dans lequel il endosse le rôle-titre du célèbre jacobin opposé à Robespierre ;
- Jean de Florette (1986) de Claude Berri, réalisateur qu'il retrouve dans les films d'époque Uranus (1990) et Germinal (1994) ;
- Camille Claudel (1988) de Bruno Nuytten dans le rôle de Rodin ;
- Cyrano de Bergerac (1990) de Jean-Paul Rappeneau où son interprétation tonitruante et pleine d'allant du célèbre personnage de la pièce d'Edmond Rostand lui vaut un nouveau César, une palme cannoise et une nomination à l'Oscar du meilleur acteur, ainsi qu'une critique et un public conquis ;
- Tous les matins du monde (1991) d'Alain Corneau, qui l'avait déjà dirigé dans le polar Le Choix des armes et la fresque épique Fort Saganne et lui offre ici le rôle de Marin Marais aux côtés de son fils Guillaume Depardieu et de Jean-Pierre Marielle en Jean de Sainte-Colombe ;
- 1492 : Christophe Colomb de Ridley Scott (1992) ;
- Le Colonel Chabert (1994) d'Yves Angelo ;
- L'Homme au masque de fer (1998) dans le rôle de Porthos ;
- Vatel (2000), de Roland Joffé, dans le rôle de François Vatel, intendant et maître d'hôtel du Grand Condé ;
- Blanche (2002) dans le rôle de D'Artagnan ;
- La Femme mousquetaire (2002) dans le rôle de Mazarin.
Il s'essaie par ailleurs à la réalisation avec Le Tartuffe en 1984, adapté de la pièce de Molière ; il réédite l'expérience par trois fois, avec Un pont entre deux rives en 1999 (aux côtés de Frédéric Auburtin), un segment de Paris, je t'aime en 2006, et La Voix des Steppes en 2014 (aux côtés de Yermek Shinarbayev)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 1986, il joue au Zénith de Paris dans la pièce de théâtre Lily Passion auprès de Barbara<ref>Modèle:Lien web.</ref>, avec qui il développe une relation de travail et d'amitié<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Succès américain avorté
Au début des années 1990, après notamment le succès de Cyrano de Bergerac, sa notoriété s'étend et le cinéma américain lui propose des premiers rôles comme dans Modèle:Langue de Peter Weir avec Andie MacDowell (1990). Sa prestation lui vaut, en janvier 1991, le Golden Globe du meilleur acteur de comédie<ref name="ScandaleOscar"/>.
Sa carrière américaine est pratiquement stoppée net avec le scandale provoqué par la parution, en février 1991, d'une interview (conduite en français) dans le magazine américain Modèle:Langue : selon la version publiée, Gérard Depardieu raconte avoir participé à un viol à Châteauroux alors qu'il était âgé de neuf ans ; mais selon Allociné, le journaliste du Modèle:Langue utilise le mot anglais assisted, qui signifie Modèle:Citation ou Modèle:Citation, au lieu du mot attended, qui veut dire Modèle:Citation, Modèle:Citation<ref>Paul Chutkow, Depardieu, Belfond, Modèle:P. et suivantes.</ref>,<ref name="ScandaleOscar"/>,<ref name="AffaireTime"/>. Alors que Time prétend qu'il a bien acquiescé à la question de savoir s'il a participé à des viols, Gérard Depardieu dément et reconnaît seulement en avoir observé<ref name="AffaireTime">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="SoirOscars">Modèle:Lien web.</ref>.
La question du journaliste du Time à l'origine de la réponse polémique renvoie à une interview à Modèle:Lien de 1978 passée inaperçue, dans laquelle Gérard Depardieu évoquait son enfance passée dans la rue et révélait avoir participé à plusieurs viols, ajoutant qu'Modèle:Citation, que Modèle:Citation et qu'Modèle:Citation, expliquant : Modèle:Citation<ref name="SoirOscars"/>. Time relève que Modèle:Citation, tandis qu'Modèle:Citation<ref name="AffaireTime"/>. Selon Le Soir, Modèle:Citation<ref name="SoirOscars"/>. Le ministre de la Culture Jack Lang fustige un Modèle:Citation ; Jacques Attali, ancien conseiller du président François Mitterrand, évoque Modèle:Citation<ref name="AffaireTime"/>.
Ce scandale ôte à Gérard Depardieu toutes chances d'obtenir, en 1991, l'Oscar du meilleur acteur pour son rôle dans Cyrano, distinction pour laquelle il partait favori selon Allociné Modèle:Incise, et qui échoit à Jeremy Irons pour son rôle dans Le Mystère von Bülow, réalisé par le Français Barbet Schröder<ref name="ScandaleOscar">Modèle:Lien web.</ref>. Il n'assiste pas à la cérémonie, étant en plein tournage à l'Île Maurice<ref name="AffaireTime"/>. De son côté, Time affirme qu'Modèle:Citation, soulignant que personne n'a alors jamais remporté le prix du meilleur acteur pour un rôle non anglophone<ref name="AffaireTime"/>.
Gérard Depardieu obtient cependant encore trois rôles dans des films hollywoodiens au cours des années 1990 : le rôle titre de 1492 : Christophe Colomb (1992), Bogus face à Whoopi Goldberg (1996) et celui de Porthos dans L'Homme au masque de fer (1998).
Poursuite au premier plan dans le cinéma français
En 1993, il tourne sous la direction de Jean-Luc Godard dans Hélas pour moi. Il multiplie également les succès publics dans des films à vocation populaire, en incarnant par exemple un père dépassé dans Mon père, ce héros de Gérard Lauzier, un patron de cabaret pris dans un engrenage mafieux dans Les Anges gardiens de Jean-Marie Poiré, le héros de bande dessinée Obélix dans Astérix et Obélix contre César de Claude Zidi et Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat ou encore un antihéros naïf et ingénu dans Le Placard et Tais-toi ! de Francis Veber. Il participe également à des téléfilms ambitieux réalisés par Josée Dayan tels Le Comte de Monte-Cristo, Balzac et Les Misérables dans lequel il incarne Jean Valjean. En 2000, il est en tête d’affiche du film Vatel, face à Uma Thurman et Tim Roth ou encore Arielle Dombasle, qui est un échec commercial<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il apparait également en second méchant dans le film 102 Dalmatiens chez Disney aux côtés de Glenn Close, qui joue Cruella.
Son rôle de commissaire ripou désabusé et fatigué dans 36 quai des Orfèvres (2004) d'Olivier Marchal est salué par la critique. Star incontournable du cinéma français, il est parallèlement sollicité pour former un tandem avec ses complices et amies Isabelle Adjani (Bon Voyage de Rappeneau) et Catherine Deneuve (Les Temps qui changent de Téchiné).
En 2004, il est le sujet d'une controverse quand on annonce qu'il joue au théâtre avec une oreillette, ce qui serait dû à ses accidents de moto<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Depardieu reprend en 2005 un rôle immortalisé par Michel Simon dans Boudu sauvé des eaux dans un remake réalisé par Gérard Jugnot : Boudu.
Il reçoit en 2006 un accueil de la critique et du public très favorable pour son interprétation de chanteur de bal populaire auvergnat dans Quand j'étais chanteur de Xavier Giannoli où il manifeste une sobriété et une nuance de jeu inattendues.
En 2008, il redevient Obélix pour la troisième fois dans Astérix aux Jeux olympiques puis apparaît dans Disco de Fabien Onteniente, Babylon A.D de Mathieu Kassovitz et L'Instinct de Mort de Jean-François Richet. En 2009, il tient le premier rôle de Bellamy, mis en scène par Claude Chabrol, accepte une participation amicale dans Coco de et avec Gad Elmaleh et retrouve Xavier Giannoli dans À l'origine. L'année suivante, il partage le haut de l'affiche, avec Benoît Poelvoorde, de L'Autre Dumas.
Décennie 2010 (2010-présent)
En 2010, il joue dans La Tête en friche de Jean Becker et surprend à nouveau critique et public en interprétant un ouvrier à la retraite, devant reconstituer sa carrière dans le très décalé Mammuth, réalisé par le duo grolandais Benoît Delépine et Gustave Kervern. Il s'affiche ensuite, auprès de Catherine Deneuve et de Fabrice Luchini, dans Potiche de François Ozon où il incarne un député-maire communiste des années 1970, aussi impétueux que romantique. Il interprète par ailleurs un homme atteint de la maladie d'Alzheimer dans le thriller de Bruno Chiche Je n'ai rien oublié. En 2012, il endosse une quatrième et dernière fois le rôle d'Obélix dans Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté<ref name="«Astérix chez les Bretons»">«Astérix chez les Bretons» : Depardieu en Obélix, Luchini en Jules César Le Parisien, le Modèle:Date-.</ref>. Le film est un succès, engendrant plus de Modèle:Nombre<ref name="JP Box office">Modèle:Lien web.</ref> et obtient de bonnes critiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Dans le film Welcome to New York d'Abel Ferrara, sorti le 17 Mai 2014 , il incarne à l'écran Dominique Strauss-Kahn, l'ancien directeur général du FMI<ref>Modèle:Lien web.</ref>, accusé de viol lors de l'affaire du Sofitel de New York. Gérard Depardieu déclare : Modèle:Citation<ref>« Pourquoi Canal+ a refusé de financer le DSK de Depardieu », Le Point, Modèle:Date-.</ref>,<ref>« Gérard Depardieu : “Je vais jouer Dominique Strauss-Kahn parce que je ne l'aime pas” », rts.ch, Modèle:Date-.</ref>. Au mois d'avril 2017 la chaine italienne Rai 1 invite l'acteur à se produire sur l'émission Ballando con le stelle<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. La comédienne Clotilde Courau et le comédien Christophe Lambert avaient été invités par le passé<ref>Modèle:Article.</ref>.
Il côtoie en 2017 Catherine Deneuve dans Bonne Pomme, qui obtient bonne presse et est un succès au box-office<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
En 2018, il retrouve Daniel Auteuil pour la sixième fois à l’occasion de la comédie Amoureux de ma femme adapté d’une pièce du dramaturge Florien Zeller. Il y interprète le nouveau petit ami de l’actrice espagnole Adriana Ugarte tandis que Sandrine Kiberlain complète la distribution. Le film est reçu assez froidement par la critique. Il joue la même année un politique manipulateur qui souhaite devenir maire de la ville de Marseille dans la série du même nom aux côtés de Benoit Magimel. La série reçoit des critiques catastrophiques et se trouve annulée après deux saisons par Netflix qui en assurait la diffusion et la production. La même année, la réalisatrice Maïwenn envisage de lui confier le rôle du roi Louis XV dans son film en costume : Jeanne du Barry. Peu emballé par le projet, ce dernier refuse le rôle qui reviendra finalement à l'acteur américain Johnny Depp<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Décennie 2020 (2020-présent)
Il est en tête d’affiche de la comédie Maison de retraite, aux côtés de Kev Adams, sorti en salles le 21 Janvier en 2022<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le film s’érige en seconde position du box-office<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Un peu plus tard, le 23 février, il incarne le Maigret pour Patrice Leconte<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pour son premier jour d'exploitation au box-office français, le film se place en tête du classement des nouveautés avec Modèle:Nombre, dont 19 800 en avant-première, pour 585 copies<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le 24 Août 2022, il est l'acteur principal dans les volets verts, issu de l'adaptation du roman du même nom de Georges Simenon publié en 1950<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le long-métrage grimpe au second rang du classement des nouveautés sorties ce jour<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Engagements
Croyances religieuses
En 1967, assistant à l’un de ses concerts, il est ému par la voix de la chanteuse égyptienne Oum Kalthoum<ref>Concert donné à Issy-les-Moulineaux, voir Elsa Zimmermann, Gérard Depardieu une vie libre, City Éditions, 2013.</ref>. Il décide alors de se convertir à l'islam et fréquente assidûment la Grande Mosquée de Paris pendant deux ans<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Gérard Depardieu éprouve une grande admiration pour saint Augustin, dont il a récité des textes dans des églises<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il a rencontré Modèle:Nobr lors du jubilé de l'an 2000<ref>Ca. D., « Depardieu parle de sa foi », Le Parisien, Modèle:Date-.</ref>, moment où l'évêque d'Hippone fut évoqué. Le cardinal Poupard lui a suggéré de faire un film sur cet homme. Le Modèle:Date-, il donne une lecture publique des Confessions de Saint Augustin à la cathédrale Notre-Dame de Paris<ref>« Gérard Depardieu : “Lire m’a fait grandir” », Pèlerin Magazine, Modèle:Date-.</ref>, le Modèle:Date- au temple protestant de l'Oratoire du Louvre<ref>Philippe Gaudin, « Gérard Depardieu lit Saint-Augustin à l'Oratoire du Louvre », Oratoire du Louvre, mai 2003.</ref> puis le Modèle:Date à la basilique Notre-Dame de Montréal.
En Modèle:Date-, il se convertit au christianisme orthodoxe et est baptisé chrétien orthodoxe lors d’une cérémonie en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky, à Paris.
Engagements politiques
François Mitterrand
Soutien de la gauche durant de longues années<ref>Grégory Raymond, « Gérard Depardieu, Villepinte: de Mitterrand à Sarkozy, en passant par le Parti communiste, itinéraire d'un électeur contrarié », Le Huffington Post, Modèle:Date-.</ref>, Gérard Depardieu s'engage dans le « Mouvement individuel, énervant et indépendant pour la réélection de François Mitterrand » en décembre 1987. L'acteur est en couverture du quotidien Le Matin de Paris en 1988, appelant le président sortant à se représenter avec l'appel en titre, « Mitterrand ou jamais ». Réélu, le président Mitterrand lui attribue alors la Légion d'honneur.
Parti communiste français
En 1993, il soutient publiquement une première fois le Parti communiste français<ref>« Renaud, Miou Miou, Depardieu : une surprise était annoncée pour le spectacle de la grande scène, à la Fête de l'Huma », L'Humanité, Modèle:Date-.</ref>, puis en 2002, il participe financièrement à la souscription pour refinancer le PCF. Parmi ses autres engagements, il s'engage pour le candidat des Verts, Jacques Boutault, aux élections municipales de 2008 de Paris. En 2010, Gérard Depardieu soutient le président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche – alors radié du Parti socialiste –, au moment où celui-ci est attaqué. L'acteur se rend d'ailleurs à ses obsèques et lui rend publiquement hommage en Modèle:Date<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Vid « Louis Nicollin et Gérard Depardieu parlent de Georges Frêche », Youtube, Modèle:Date-, consulté le 0Modèle:Date-.</ref>.
Noël Mamère
En 2002, il critique Noël Mamère, député-maire écologiste de Bègles, qui refuse d'assister à un match de rugby girondin en raison de la présence de l'homme d'affaires Rafik Khalifa, qu'il accuse d'avoir fait fortune grâce aux généraux algériens et d'être corrompu<ref name="Gérard Depardieu cravate Noël Mamère">Modèle:Article.</ref>. Ami de longue date de Khalifa, Depardieu taxe Mamère de Modèle:Citation et de Modèle:Citation, ajoutant qu'Modèle:Citation et qu'Modèle:Citation<ref name="Gérard Depardieu cravate Noël Mamère"/>,<ref>Modèle:Vid « Polémique Gérard Depardieu / Noël Mamère dans l'émission Tout le monde en parle, animé par Thierry Ardisson », Ina.fr, Modèle:Date-, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Nicolas Sarkozy
Lors de la campagne présidentielle de 2007, Depardieu apporte publiquement son soutien à Nicolas Sarkozy, déclarant dans un entretien accordé à Paris Match qu'il Modèle:Citation<ref>« Les acteurs qui soutiennent des candidats : Gérard Depardieu », L'Internaute.</ref>, ajoutant que tous les autres sont Modèle:Citation. Modèle:Citation, estime-t-il.
Il critique les syndicats lors de leur opposition à la réforme des retraites en 2010 mise en place par Nicolas Sarkozy et Éric Woerth. Dans un entretien publié par Le Journal du dimanche le Modèle:Date-, il déclare : « La politique ne m’intéresse pas. Ce n’est qu’une basse-cour avec des poules et des coqs qui se chient dessus »<ref>Barbara Théate, « Depardieu, acteur poids lourd », Le Journal du dimanche, Modèle:Date-.</ref>.
À l'élection présidentielle de 2012, il soutient à nouveau la candidature de Nicolas Sarkozy. L'acteur assiste en effet au meeting de Villepinte en mars de la même année. Invité à prendre la parole, il déclare : Modèle:Citation<ref>Judith Waintraub, « Morano : “Avec Hollande, ce serait Retour vers le passé” », Le Figaro, Modèle:Date- (l'expression « Retour vers le passé » est un clin d'œil ironique au film Retour vers le futur).</ref>. Il signe également une tribune pour dénoncer le déni de démocratie dont serait victime Nicolas Sarkozy<ref>« Dix-huit artistes et intellectuels dénoncent l'antisarkozysme dans une tribune », Le Lab Europe1, Modèle:Date-.</ref>.
Cuba
Il se dit l'ami de Fidel Castro qu'il a rencontré en 1992<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rob Leigh, « Meaty mates: Gerard Depardieu reveals friendship with Fidel Castro based on common fondness for eating », The Mirror, Modèle:Date-.</ref>. Il a déclaré en 2010 : Modèle:Citation<ref>L.T.G., Ingrid Bernard, « Gérard Depardieu : “J’ai poussé comme une mauvaise graine” », France-Soir, Modèle:Date-.</ref>. En 1996, il a investi dans une compagnie d'exploitation pétrolière à Cuba, sur les conseils d'un ami commun, Gérard Bourgoin, sans succès<ref name="Or noir">Vincent Nouzille, « Depardieu en chercheur d'or noir », L'Express, Modèle:Date-.</ref>.
Tchétchénie
En Modèle:Date, il se rend à la soirée d'anniversaire de Ramzan Kadyrov, président de la Tchétchénie, accusé de nombreuses violations des droits de l'homme<ref>« “Gloire à Kadyrov !” Depardieu célèbre son ami l’autocrate tchétchène », Le Nouvel Observateur, Modèle:Date-.</ref>,<ref name="Depardieu soutient le président tchétchène Kadyrov">Modèle:Article.</ref>, et auquel, pour l'occasion, il apporte publiquement son soutien<ref name="Depardieu soutient le président tchétchène Kadyrov"/>. Deux mois plus tard, il enregistre un duo musical avec Gulnara Karimova<ref>« Gérard Depardieu en duo avec la fille du président de l'Ouzbékistan », huffingtonpost.fr, Modèle:Date-.</ref>, fille aînée d'Islom Karimov, président de l'Ouzbékistan, lui aussi accusé par l'Occident de malmener les droits de l'homme dans son pays<ref>Modèle:Article.</ref>. En février 2013, Ramzan Kadyrov offre à l'acteur un appartement de cinq pièces situé dans un gratte-ciel nouvellement construit à Grozny<ref>« À Grozny, la résidence offerte à Gérard Depardieu a pris feu », francetvinfo.fr, Modèle:Date-.</ref>.
Belgique
Fin 2012, il acquiert une propriété à Néchin en Belgique, et une polémique éclate à propos de son exil fiscal<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, qui défend la politique fiscale de son gouvernement, déclare que le départ de l'acteur pour la Belgique est « assez minable »<ref>« Gérard Depardieu met en vente son hôtel particulier parisien », Les Échos, Modèle:Date-.</ref>,<ref>« Gérard Depardieu met en vente son hôtel particulier parisien », France 24, Modèle:Date-.</ref>. Quelques jours plus tard, Gérard Depardieu annonce dans une lettre ouverte au Premier ministre renoncer au bénéfice de son passeport français et de sa sécurité sociale en France<ref name="lettre_ouv">« Gérard Depardieu : “Je rends mon passeport” », Le Journal du dimanche, Modèle:Date-.</ref>. Il s'ensuit une polémique à laquelle participent des acteurs célèbres (comme Gérard Lanvin), le plus souvent pour défendre Gérard Depardieu<ref>« Gérard Lanvin victime d'une usurpation d'identité sur internet », La Parisien, Modèle:Date-.</ref> contre les attaques qu'il subitModèle:Référence à confirmer<ref>« Les grenouilles ne se sentent plus », site officiel du CEDIF, Modèle:Date-.</ref>.
Russie
Le Modèle:Date-, Vladimir Poutine, président de la fédération de Russie, lui accorde la citoyenneté russe par ukase, officiellement obtenue grâce à son rôle de Raspoutine dans un téléfilm de Josée Dayan, et après qu'il en a fait la demande par lettre, dans laquelle il déclare aimer Poutine et adorer Modèle:Citation<ref>Gérard Depardieu, passeport russe en poche, visite la Russie, Caroline Larson, Radio France, Modèle:Date-.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}/{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} « Modèle:Langue »/Modèle:Langue, site officiel du Kremlin, Modèle:Date-.</ref>. Trois jours plus tard, le président de Mordovie, Vladimir Volkov, lui offre un appartement, ou un endroit pour se faire construire une maison au milieu d'une forêt et près d'une rivière, et lui propose même le poste de ministre de la Culture, alors vacant, au sein de cette république russe<ref>« Gérard Depardieu, ministre de la culture en Mordovie ? », CinéObs, Modèle:Date-. L'acteur déclinera finalement l'offre.</ref>. Début janvier 2013, l'acteur effectue un court séjour à Sotchi (ville désignée pour recevoir les Jeux olympiques d'hiver de 2014)<ref>« JO 2014 : Sotchi a déjà la flamme », Europe 1, Modèle:Date-.</ref>, où il rencontre Vladimir Poutine qui lui remet son nouveau passeport russe<ref>« Depardieu ganté en Russie : C'est le Président Poutine lui-même qui lui remet son nouveau passeport russe », conakrytime.com, Modèle:Date-.</ref>, puis à Saransk, où il fête le Noël orthodoxe en étant « accueilli comme un héros », selon une journaliste de Rossiya 24. Il accepte d'être l'ambassadeur de la Mordovie auprès de la FIFA dans le cadre de l'organisation du Mondial 2018 par la Russie<ref>« CDD à Modèle:Nobr par mois pour Gérard Depardieu », Le Point, Modèle:Date-.</ref>. Modèle:Citation, affirme dans le même temps Joël Chapron, coordinateur général du festival Le cinéma français aujourd'hui en Russie, organisé par Unifrance Films International chaque année depuis 2000<ref>Marie-Noëlle Tranchant, « L'immense popularité de Depardieu en Russie », Le Figaro, Modèle:Date-.</ref>.
Le Modèle:Date-, Jour du défenseur de la patrie<ref name="le jour des hommes">Modèle:Lien web.</ref>, Gérard Depardieu reçoit des mains du président de la Mordovie, Vladimir Volkov, la propiska qui établit officiellement sa domiciliation, sise rue de la Démocratie<ref>« Russie, Gérard Depardieu habitera rue de la Démocratie », Le Parisien, Modèle:Date-.</ref>, et lui permet de travailler, d'avoir accès aux services sociaux de la république, et d'en être contribuable.
Le mardi Modèle:Date-, par le biais d'une déclaration AFP, l'acteur franco-russe révèle sa position concernant l'invasion de l'Ukraine par les armées de la fédération de Russie. Il déclare : Modèle:Citation Quelques jours plus tôt, dans un entretien à l'Obs, l'acteur révèle qu'il a obtenu la Modèle:Citation, sans toutefois préciser à quelle date<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, il déclare : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le député russe Soultan Khamzaev a demandé qu'on lui retire la nationalité russe et que ses biens immobiliers soient transférés à des associations caritatives<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Ouzbékistan
En novembre 2019, il est nommé ambassadeur du tourisme pour l'Ouzbékistan en France<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Vie privée
Famille d'acteurs
Modèle:Article détaillé Le Modèle:Date-, Gérard Depardieu épouse l'actrice Élisabeth Guignot, avec qui il a deux enfants, Guillaume (1971-2008) et Julie née en 1973, qui deviennent tous deux acteurs. Séparés en 1992, ils divorcent en 2006 après quatorze années de procédure. Le Modèle:Date-, il a une fille, Roxane, avec Karine Silla. De 1996 à 2005, il entretient une relation avec l'actrice Carole Bouquet. De 2001 à 2006, il est en couple avec Hélène Bizot<ref>À ne pas confondre avec l'actrice Hélène Bizot.</ref>, fille de l'anthropologue François Bizot<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Michael Sloan, « Upheaval of life blamed on Apsara », Phnom Penh Post, Modèle:Date-.</ref>, avec qui il a un fils, né le Modèle:Date-, prénommé Jean en hommage à son ami Jean Carmet (mort en 1994)<ref>E. P., « Gérard Depardieu a un fils caché : Jean, Modèle:Nobr », La Dernière Heure, Modèle:Date-.</ref>.
Depuis 2005, Gérard Depardieu vit avec Clémentine Igou (née en 1977), une ancienne étudiante en littérature de Harvard, responsable du marketing d'un domaine viticole en Toscane<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Santé
Le Modèle:Date-, il a un accident de moto avec Modèle:Unité/l d'alcool dans le sang<ref name="Express"/> sur la route le menant au tournage d'Astérix et Obélix contre César, de Claude Zidi. Quarante jours d'arrêt de travail lui sont prescrits<ref>Jean-Baptiste Drouet, « Astérix et Obélix contre César : Les vraies galères d’Obélix racontées par Claude Zidi avant la diffusion sur TF1 », Première, Modèle:Date-.</ref>.
En 2000, il subit un quintuple pontage coronarien<ref>« Depardieu au régime sec », Le Matin, Modèle:Date- (article inaccessible).</ref>.
En 2012<ref>« Plainte pour “coups et blessures” - Gérard Depardieu s'explique sur RTL : “Ma réaction était un peu disproportionnée” », rtl.fr, Modèle:Date-.</ref>, il est heurté par une voiture alors qu'il circulait à scooter à Paris<ref>« Altercation avec un automobiliste : Gérard Depardieu porte plainte à son tour », lci.tf1.fr, Modèle:Date-.</ref>. La même année, en état d'ébriété avec Modèle:Unité/l d'alcool dans le sang, il a de nouveau un accident de scooter, sans blessure et sans collision avec un tiers<ref>« Arrêté en état d'ébriété, Gérard Depardieu est sorti du commissariat », Le Parisien, Modèle:Date-.</ref>. Depuis les années 2000, l'acteur a subi au moins sept accidents à moto ou à scooter<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Dans sa lettre ouverte à Jean-Marc Ayrault parue dans Le Journal du dimanche du Modèle:Date-, qu'il a écrite au sujet de son exil fiscal, Gérard Depardieu évoque sans complexe ses ennuis de santé : Modèle:Citation bloc
Autres activités, revenus, patrimoine
En 1983, il crée la société DD Productions. Le dernier chiffre d'affaires publié de celle-ci est celui de 2013, qui est de Modèle:Unité, avec une perte de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 1988, il est le troisième acteur français le mieux payé, avec des cachets estimés entre deux et cinq millions de francs par film<ref name="Depardieurama">Modèle:Lien web.</ref>. Ses cachets américains dans les années 1990 auraient été colossaux, avec apparemment Modèle:Nobr pour 1492 : Christophe Colomb et Modèle:Nobr de francs pour Bogus<ref name="Depardieurama" />.
Il possède des vignobles dans la zone d'appellation viticole AOC des Coteaux-du-layon au château de Tigné en Anjou depuis 1989, sur l'île de Pantelleria en Italie, au Maroc et Modèle:Nobr à Tlemcen en Algérie avec le milliardaire algérien Rafik Khalifa, son ami. En 2001, Depardieu s'associe avec l'homme d'affaires Bernard Magrez pour créer la société « La Clé du Terroir » et acquérir et promouvoir de nouveaux domaines viticoles. Il a également investi dans de grands restaurants (Paris, Canada et Roumanie), ainsi que dans un hôtel, une brasserie, une cave-restaurant et une poissonnerie, tous situés rue du Cherche-Midi à Paris<ref>Denis Saverot, « Depardieu bistrotier rue du Cherche-Midi », La Revue du vin de France (non daté).</ref>. Il est aussi producteur via la société de production DD Productions<ref>Modèle:Lien web.</ref> créée dès 1983 avec des administrateurs tous membres de sa famille<ref>Marc-André Gagnon, « Les vins de Gérard Depardieu », Vin Québec, Modèle:Date-.</ref>,<ref name="Express">Modèle:Lien web.</ref>. En 1999, il a investi plusieurs millions de francs dans l'exploration pétrolière à Cuba<ref name="Or noir"/>.
En 2005, il crée à Nîmes le festival Un Réalisateur dans la Ville, parrainé par Carole Bouquet et Jean-Claude Carrière. Ce festival de cinéma met à l'honneur chaque été un réalisateur invité à venir projeter cinq de ses films.
Selon le classement annuel établi par Le Figaro en 2003, la rémunération de Gérard Depardieu pour 2002 est de Modèle:Unité d'euros (hors télévision et théâtre). Depardieu est l'acteur français le mieux payé en 2005 avec Modèle:Unité d'euros de gains estimés, soit environ Modèle:Unité pour chacun de ses films sortis en 2005. En 2004, dans ce même classement, il était troisième avec des gains quasiment équivalents (Modèle:Unité). En 2008, il est encore l'acteur le mieux payé du cinéma français avec Modèle:Unité d'euros.
Une partie des revenus de l'acteur provient de la publicité. Dans les années 1990, il toucha sept millions de francs pour une campagne de promotion des sauces Barilla<ref>« De la pâte à la nouille », Stratégies, Modèle:Date-.</ref> sous la caméra de David Lynch. Il fit une autre publicité pour Senoble<ref>« Senoble laisse Depardieu coi », LSA.fr, Modèle:Date-.</ref>. Depuis l'acteur a fait la promotion pour d'autres entreprises telles que Crédit Agricole, la marque de montres Cystos ou encore Armavia.
En 1994, il achète, dans la rue du Cherche-Midi ([[6e arrondissement de Paris|Modèle:6e arrondissement de Paris]]), l'hôtel de Chambon, qu'il fait entièrement rénover et aménager par l'architecte Guillaume Trouvé<ref>G. Trouve - F. Tchepelev, architectes et associés.</ref>. Plusieurs artistes et décorateurs contribuent à ce chantier, dont Bernard Quentin et Jacques Garcia. Gérard Depardieu y emménage en 2003<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis le met en vente en 2012 pour un montant de Modèle:Nobr d'euros<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Parallèlement, il envisage au début des années 2000 de racheter avec Carole Bouquet l'hôtel de luxe Le Cheval Blanc situé face aux arènes de Nîmes, fermé depuis quelques années après avoir été confié à Régine dans les années 1990<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 2011, il aurait vendu à Trouville à la fin de l'été sa villa en cèdre rouge entourée d'arbres fruitiers et de pins centenaires, cette résidence normande étant occupée surtout par son ex-femme, pour aussitôt en construire une autre, toujours sur les hauteurs de la ville. Cette nouvelle villa de Modèle:Unité au sol (Modèle:Unité sur trois niveaux) est entourée d'un immense terrain<ref>« Poissonnerie, vignes : le drôle de patrimoine de Depardieu », Le Figaro, Modèle:Date-.</ref>,<ref>« À Trouville, une deuxième maison pour Gérard Depardieu », Le Point, Modèle:Date-.</ref>.
En décembre 2012, selon le quotidien économique américain The Wall Street Journal, son patrimoine est évalué à Modèle:Nobr de dollars<ref>« Gérard Depardieu », Les Échos, Modèle:Date-.</ref>. Dans le palmarès 2012 du Figaro, il apparaît comme le deuxième acteur français le mieux payé avec Modèle:Unité d'euros de revenus<ref>« Boon, Depardieu et Frot sont les acteurs les mieux payés en 2012 », 20minutes, Modèle:Date-.</ref>.
Fin 2012 et courant 2013, il investit dans des établissements gastronomiques en Belgique, non loin de la frontière française, à Tournai et à Néchin. Il est également devenu propriétaire d'une agence immobilière, qu'il compte agrandir en ouvrant des franchises en Belgique et en France<ref>« Depardieu lance sa compagnie aérienne privée Cyran R », Le Parisien, Modèle:Date-.</ref>.
Il entretient des amitiés avec de nombreux chefs d'entreprise<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont l'entrepreneur belge Pierre Louvrier<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Il a fondé en Russie une société avec le statut d'auto-entrepreneur<ref>« Et maintenant, Gérard Depardieu veut demander un passeport algérien », Le Parisien, Modèle:Date-.</ref>, et en plus du cinéma, il dit également avoir sur place des activités dans le commerce, la restauration, l'immobilier, le tourisme<ref>Modèle:Vid « Gérard Depardieu va demander la nationalité algérienne », L'Express, Modèle:Date-.</ref>.
En 2021, après des succès rencontrés à l'étranger, Gérard Depardieu décide de lancer sur le marché français<ref>Modèle:Lien web</ref> sa vodka premium, qui se caractérise par des notes de seigle et de blé grillés<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Début 2022, l'acteur révèle dans un entretien à l'Obs qu'il souhaite vendre son hôtel parisien ainsi que ses vignes, sans abandonner le cinéma français et les tournages pour autant<ref name=":0" />.
Accusations de viol et harcèlement sexuel
Modèle:Section affaire judiciaire en cours Modèle:Article détaillé
En août 2018, Gérard Depardieu est accusé de viol et de harcèlement sexuel, par la comédienne Charlotte Arnould, alors qu’elle était âgée de 22 ans. En décembre 2020, l'acteur est mis en examen pour « viols » et « agressions sexuelles »<ref>Modèle:Article.</ref>.
En avril 2023, la journaliste Marine Turchi publie dans Mediapart le témoignage de 13 femmes qui accusent Gérard Depardieu de violences sexuelles lors des tournages de 11 films entre 2004 et 2022. Trois de ces femmes apportent leur témoignage à la justice en soutien à Charlotte Arnould. Gérard Depardieu conteste les accusations<ref name="LM1">Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
En juillet 2023, une autre femme dénonce auprès de France Inter une agression sexuelle sur un tournage en 2015<ref>Modèle:Article.</ref>.
En octobre 2023, il affirme dans une lettre ouverte publiée dans Le Figaro n'avoir « jamais abusé d'une femme »<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Filmographie
Gérard Depardieu fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles de cinéma. Il est d'ailleurs le second de sa profession ayant cumulé le plus d'entrées dans une carrière (derrière Louis de Funès). Très prolifique, ayant donné la réplique à plusieurs centaines d'acteurs et dirigé par plus de cent cinquante réalisateurs, parmi lesquels de grands noms du cinéma : Jean-Luc Godard, François Truffaut, Maurice Pialat, Alain Resnais, Claude Chabrol, Jean-Paul Rappeneau, Ridley Scott ou encore Bernardo Bertolucci. La filmographie de Gérard Depardieu est aussi impressionnante par son éclectisme, brassant tous les genres du comique au drame, en passant par le film historique ou l'adaptation d'une œuvre littéraire, Depardieu a ainsi joué les rôles de bandit, de commissaire de police, de professeur, d’ouvrier, de chef d’entreprise, d’homme politique, de Danton, de Staline, de Balzac, d’Alexandre Dumas, de Rodin, de Cyrano de Bergerac, de Jean Valjean, d’Edmond Dantès, de Christophe Colomb, de Maigret ou encore d'Obélix. Il est ainsi devenu en près de cinquante ans, l'un des plus importants acteur de l'histoire du cinéma français, avec plus de Modèle:Nobr à son actif.
Théâtre
- 1967 : Boudu sauvé des eaux de René Fauchois, mise en scène Jean-Laurent Cochet, théâtre des Capucines
- 1969 : Les Garçons de la bande de Mart Crowley, mise en scène Jean-Laurent Cochet, théâtre Édouard VII
- 1970 : Une fille dans ma soupe de Terence Frisby, mise en scène Raymond Rouleau, théâtre de la Madeleine
- 1971 : Clair-obscur d'Israël Horovitz, mise en scène Laurent Wesman, théâtre de la Gaîté-Montparnasse, théâtre du Lucernaire
- 1971 : Galapagos de Jean Chatenet, mise en scène Bernard Blier, théâtre de la Madeleine
- 1972 : Sauvés d'Edward Bond, mise en scène Claude Régy, TNP, théâtre national de Chaillot
- 1972 : Home de David Storey, mise en scène Claude Régy, Espace Pierre Cardin
- 1973 : Isma de Nathalie Sarraute, mise en scène Claude Régy, Espace Pierre Cardin
- 1973 : Isaac de Michel Puig, mise en scène Claude Régy, Espace Pierre Cardin
- 1974 : La Chevauchée sur le lac de Constance de Peter Handke, mise en scène Claude Régy, Espace Pierre Cardin
- 1977 : Les gens déraisonnables sont en voie de disparition de Peter Handke, mise en scène Claude Régy, théâtre des Amandiers
- 1984 : Tartuffe de Molière, mise en scène Jacques Lassalle, théâtre national de Strasbourg
- 1986 : Lily Passion de et avec Barbara, mise en scène Pierre Strosser au Zénith
- 1999 : Les Portes du ciel de Jacques Attali, mise en scène Stéphane Hillel, théâtre de Paris (thème : la fin de Charles Quint)
- 2004 : La Bête dans la jungle de James Lord, d’après une nouvelle d'Henry James, mise en scène Jacques Lassalle, avec Fanny Ardant, théâtre de la Madeleine
- 2014 : Love Letters d'Albert Ramsdell Gurney, mise en scène Benoît Lavigne, avec Anouk Aimée, théâtre Antoine
- 2015 : The Ingrid Bergman Tribute de Isabella Rossellini, avec Fanny Ardant, théâtre du Châtelet
- 2015 : La Musica deuxième de Marguerite Duras avec Fanny Ardant, théâtre de l'Estrade de Moscou
Discographie
- 1980 : OK Cafard (Je suis noir), paroles Élisabeth Depardieu
- 1980 : Ils ont dit moteur…, paroles et musique Élisabeth Depardieu et Jean-Claude Mejstelman
- 1986 : Lily passion, avec Barbara (chant et voix)
- 1992 : I'll Strangle You d'Hector Zazou, collectif (voix parlée)
- 1997 : Un piccolo aiuto avec Zucchero sur l'album The Best of: Greatest Hits
- 1997 : L'Histoire du soldat d'Igor Stravinsky, collectif (voix parlée)
- 2005 : Háry János de Zoltán Kodály, collectif (voix parlée)<ref>Enregistré live le 14 mai 2004 à l'Opéra Berlioz de Montpellier.</ref>
- 2005 : La Bête dans la jungle d'Henry James, adaptation de Marguerite Duras, avec Fanny Ardant, Éditions des femmes (voix parlée)
- 2006 : Quand j'étais chanteur, bande originale du film de Xavier Giannoli (collectif, chant)
- 2009 : Sex Shop - Je vous aime, bande originale des films de Claude Berri, collectif
- 2009 : Rendez vous in Paris avec Jasmine Roy (chant)
- 2010 : Œdipus rex d'Igor Stravinsky, collectif (voix parlée)
- 2010 : Lélio ou le Retour à la vie d'Hector Berlioz (narrateur, voix parlée), Chicago Symphony Orchestra and Chorus sous la direction de Riccardo Muti, enregistré sur le vif à Chicago en septembre 2020 (CD CSO Resound, 2015).
- 2012 : Nebo moltchit (Небо молчит ; « Le ciel se tait » en russe) avec Gulnara Karimova (voix parlée)
- 2017 : Depardieu chante Barbara
- 2019 : Blond de Phillipe Katerine
Publications
- Lettres volées, Lattès, Paris, 1988, Modèle:ISBN
- Vivant ! Entretiens avec Laurent Neumann, Plon, 2004, Modèle:ISBN
- Ma cuisine, France Loisirs, 2005, Modèle:ISBN
- Depardieu grandeur nature, Richard Melloul, Flammarion, 2009, Modèle:ISBN
- Gérard Depardieu une vie libre, Elsa Zimmerman, City Editions, 2013, Modèle:ISBN
- Ça s'est fait comme ça, avec la collaboration de Lionel Duroy, XO Éditions, 2014, Modèle:ISBN; Le Livre de Poche, 2016, Modèle:ISBN
- Innocent, Cherche-Midi, 2015, Modèle:ISBN
- Monstre, Le Cherche Midi, 2017.
- Ailleurs, 2020.
Box-office
Très actif durant cinq décennies, ayant joué avec de fameux interprètes et pour nombre de réalisateurs réputés, Gérard Depardieu a tourné dans de nombreux films ayant attiré des millions de spectateurs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Notons cependant qu'il n'a qu'un rôle secondaire dans certains de ces films. Parmi sa filmographie, on dénombre :
- 61 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 36 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 20 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 13 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 10 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 6 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 4 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 2 films de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 1 film de plus de Modèle:Nobr d'entrées ;
- 1 film de plus de Modèle:Nobr d'entrées.
Distinctions
Décorations
Françaises
- Modèle:Déco CLH (1996)<ref>Modèle:Légifrance portant promotion et nomination.</ref>
- Modèle:Déco CONM (1985)
Étrangères
- Modèle:Déco Chevalier de l'Ordre national du Québec (2002, Modèle:Pays)<ref>Ordre National du Québec, Fiche individuelle.</ref>
Reconnaissance et hommage
| s = | S = [[S/Depardieu ({{{3}}}{{#if: |{{{4}}}) {{{5}}}|) {{{4}}}}}|S/Depardieu ({{{3}}}{{#if: |{{{4}}}) {{{5}}}|) {{{4}}}}}]] | {{#expr: 19999*1 }} = Modèle:Nobr | #default = [[19999{{#if: Depardieu |Depardieu|}}|19999{{#if: Depardieu |Depardieu|}}]] }} est nommé en son honneur et en celui de son fils Guillaume<ref>Minor Planet Circular 72199.</ref>.
- 2013 : médaille des Modèle:Lien, auszeichnung für den Frieden und den Dialog zwischen den Völkern (médaille honorifique de l'opéra Semperoper de Dresde, distinction décernée pour la paix et le dialogue entre les peuples)<ref>« Juncker et Depardieu distingués à Dresde », Luxemburger Wort, Modèle:Date-.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- 2013 : citoyen d'honneur de la commune d'Estaimpuis<ref>Modèle:Vid « Gérard Depardieu élevé au rang de Citoyen d’honneur d’Estaimpuis », Lesoir.be, Modèle:Date-.</ref>.
Récompenses et nominations
Annexes
Bibliographie
- Georges Cohen, Gérard Depardieu, éditions J'ai lu, collection Cinéma, 1988
- Paul Chutkow, Depardieu, Belfond, 1994 (biographie « autorisée »)
- Laurent Neumann et Gérard Depardieu, Vivant, Plon, 2004 (entretiens)
- Caroline Réali (en collaboration avec Annie Reval), Gérard Depardieu, voleur d'âmes, France-Empire, 2004
- Roberto Chiesi, Depardieu, Modèle:Lien, 2005
- Bernard Violet et Gérard Depardieu, L'Insoumis, Fayard, 2006
- Marie-Claire Estevin, Si je mens je vais en enfer, Autobiographie d'une voyante, préface de Gérard Depardieu, 2006
- Patrick Rigoulet, Gérard Depardieu : Itinéraire d'un ogre, Éditions du Rocher, 2007
- Richard Melloul, Gérard Depardieu, grandeur nature , Édition Flammarion, 2009
- Bernard Boyé, Les Légendes du cinéma français, Autres Temps Éditions, 2010
- Richard Millet, Le corps politique de Gérard Depardieu, Pierre-Guillaume de Roux, 2014
- Alain Depardieu, Mon Frère, préface de Robert Hossein, Éditions de l'Archipel, 2015
Documentaires
- Gérard Miller et Anaïs Feuillette, « Gérard Depardieu, l'homme dont le père ne parlait pas », diffusé sur France 3 le lundi Modèle:Date.
- Richard Melloul, « Gérard Depardieu, grandeur nature », diffusé sur France 5 et au Festival de Cannes, le lundi Modèle:Date.
BD
Notes et références
Liens externes
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